AlloCiné
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Votre avis sur Tabarly ?
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Un très bel hommage à ce grand homme surprenant par son immense talent et son extrême modestie.
Portrait séduisant d'un navigateur en avance sur son temps qui a révolutionné la navigation à la voile de manière indélébile encore aujourd'hui.
Merci monsieur Tabarly et surtout chapeau pour votre parcours sans égal.
Portrait séduisant d'un navigateur en avance sur son temps qui a révolutionné la navigation à la voile de manière indélébile encore aujourd'hui.
Merci monsieur Tabarly et surtout chapeau pour votre parcours sans égal.
Je suis un grand admirateur du personnage, mais ce documentaire, bien que détaillé et précis, ne m'a pas fait vibrer. Or, il y a bien des raisons pour vibrer pour ce qu'Eric Tabarly a fait.
Un documentaire à l'image du bonhomme : simple et passionné.
Cela fait vraiment plaisir de voir qu'une passion peut suffir à rendre heureux et à permettre de faire les plus belles choses. Vivre simplement mais de la plus belle des façon.
Chapeau l'artiste.
Cela fait vraiment plaisir de voir qu'une passion peut suffir à rendre heureux et à permettre de faire les plus belles choses. Vivre simplement mais de la plus belle des façon.
Chapeau l'artiste.
Petit bateau à coque noire, remisé, bichonné, il semble une coquille de noix vu de très haut au milieu de l'Atlantique Nord... On peut deviner ce que Tabarly pense des remous du monde à travers cette rétrospective. Homme d'action, de terrain, grand sportif, rivé sur son prochain défi. Il préfère gagner, toute son énergie mise en amont des enjeux, mais avec les stimuli de la course ! Une force de la nature qui entretient son souffle sur la crête des vagues. Ce documentaire relate les préparatifs, l'ambiance au contact des compagnons ou rivaux successifs (Colas, Kersauzon, Lamazou, Pajot, Poupon, et aussi le concurrent Moitessier, plus un autre visiteur de l'extrême, spécialiste des grands froids...). Rien que des hommes bien dans leur peau, pleinement vivants, solitaires ou a plusieurs, dans un combat avec les éléments, toujours mieux que la course au pognon ou la guerre !
Eric Tabarly ètait peut-être le meilleur navigateur français de tous les temps! il remporta la course transatlantique en solitaire en 1964 et 1976, sur deux versions de son "Pen Duick"! Ce qu'aimait Tabarly dans la mer, c'ètait avant tout les bateaux! Produit par Jacques Perrin et construit autour de documents pour la plupart inèdits, Pierre Marcel rèalise un beau et èmouvant portrait de marin breton qui prit dèfinitivement le large en mer d'Irlande dans la nuit du 13 juin 1998! Les images en mer donnent envie de prendre le large bien accompagnèes par la belle musique de Yann Tiersen! Une première rèalisation rigoureuse, pour une belle leçon d'humilitè et de courage, où les amoureux de la mer et des bateaux seront comblès! Les autres risquent d'avoir le mal de mer...
J'ai acheté le Blu-Ray sur un malentendu : je pensais avoir à faire à un film de cinéma alors qu'il ne s'agit que d'un montage d'images d'archives dont la qualité est un défi aux traitements d'image des meilleurs téléviseurs. Ceci mis à part, cela m'a permis de découvrir l'univers assez improbable de cet "ours" qui est plus à l'aise quand il se bat avec son bateau contre les éléments que lorsqu'il doit patienter sur terre avant la prochaine course avec les cérémonies officielles ou les questions des journalistes.
Même si la personnalité de l'homme est difficilement enthousiasmante, on comprend néanmoins mieux son point de vue qu'au travers des seules interviews TV. Pas inintéressant pour la découverte de cet univers des marins et de leur passion.
Même si la personnalité de l'homme est difficilement enthousiasmante, on comprend néanmoins mieux son point de vue qu'au travers des seules interviews TV. Pas inintéressant pour la découverte de cet univers des marins et de leur passion.
ferdinand75
Un très bon documentaire sur ce personnage secret mais emblématique. On en perce pas tous ses mystères, mais le film nous présente des documents très intéressants et assez rares. La description d'un homme intègre et atypique.
Voilà un film-documentaire sur un grand taiseux, et marin d'exception. Le film laisse le micro à Tabarly lui-même qui nous parle sur les images qui ont constituées sa carrière exceptionnelle. A ce titre, le documentaire est unique, et l'on n'a pas besoin d'avoir une culture du monde de la course au large pour suivre les grandes étapes d'une vie "qu'il n'aurait même pas révée". En plus, le tout est accompagné du piano heureux de Yann Tiersen. A voir
Deux facteurs m'ont poussé a aller voir Tabarly au cinéma. La musique de Yann Tiersen et bien sur la voile . J'aime énormément la voile, ça procure un sentiment de liberté, le sentiment d'être seul. Bien sur je ne suis pas sur des bateaux aussi impressionnants que ceux de Tabarly mais bon !!
Tabarly est un homme assez incroyable très courageux surtout comme tous les skippers.
La musique est splendide comme sait le faire Tiersen. Le film ou plutôt le documentaire évoque toutes les facettes de ce personnage mystérieux comme diraient les journalistes de l'époque, aussi bien sa vie sur l'eau que sa vie familiale. Ne connaissant pas Eric Tabarly, j'en ai appris pas mal comme par exemple qu'il dessinait lui même ses bateaux.
Le montage très académique car quasiment chronologique n'est pas sans déplaire. C'est une succession d'images d'archives mais aussi et surtout des images de mers, des images d'infini.
Tabarly est un homme assez incroyable très courageux surtout comme tous les skippers.
La musique est splendide comme sait le faire Tiersen. Le film ou plutôt le documentaire évoque toutes les facettes de ce personnage mystérieux comme diraient les journalistes de l'époque, aussi bien sa vie sur l'eau que sa vie familiale. Ne connaissant pas Eric Tabarly, j'en ai appris pas mal comme par exemple qu'il dessinait lui même ses bateaux.
Le montage très académique car quasiment chronologique n'est pas sans déplaire. C'est une succession d'images d'archives mais aussi et surtout des images de mers, des images d'infini.
Petit bateau à coque noire, remisé, bichonné, il semble une coquille de noix vu de très haut au milieu de l'Atlantique Nord... On peut deviner ce que Tabarly pense des remous du monde à travers cette rétrospective. Homme d'action, de terrain, grand sportif, rivé sur son prochain défi. Il préfère gagner, toute son énergie mise en amont des enjeux, mais avec les stimuli de la course ! Une force de la nature qui entretient son souffle sur la crête des vagues. Ce documentaire relate les préparatifs, l'ambiance au contact des compagnons ou rivaux successifs (Colas, Kersauzon, Lamazou, Pajot, Poupon, et aussi le concurrent Moitessier, plus un autre visiteur de l'extrême, spécialiste des grands froids...). Rien que des hommes bien dans leur peau, pleinement vivants, solitaires ou a plusieurs, dans un combat avec les éléments, toujours mieux que la course au pognon ou la guerre !
Je me suis ennuyé ferme pendant ce documentaire très monotone et loin d'être aussi passionnant que la vie de ce passionné de la mer qu'était Eric Tabarly. On retrace sa vie de façon très chronologique en parallèle avec les versions du Pen Duick, son fameux bâteaux. Se concentrant surtout sur sa carrière de compétiteur, le réalisateur semble manquer quelque peu son sujet. Il reste pour se consoler quelques bribes de témoignages intéressantes, et beaucoup d'images d'archives...
Très très très beau film. Après des mois de vaches maigres, c'est vraiment le film à aller voir en ce moment. Ce n'est pas un documentaire, mais un film complet, haletant, très fort, et drôle et émouvant. Des images superbes et hallucinantes. Portrait d'un homme rare, conquérant impeccable d'une noblesse inouïe, un sportif admirable, avec une trempe d'acier, qui n'aimait pas tant la mer que les bateaux, sensible non seulement à leur performance et leur puissance, mais aussi à leur beauté et leur aspect, leur allure. Un mec qui peaufinait ses instruments pour trouver le son juste, interpréter des partitions magistrales. Tabarly coure sur les mers comme d'autres pensent : à coup de marteau. Ce film taille une statue à sa mesure
L'histoire d'un petit breton têtu qui est tombé amoureux d'un Pen Duick (petit oiseau à tête noire).
Il faut d'abord dévoiler l'objet, ce sont uniquement des morceaux de reportages ou de documentaires tournés à l'époque, sans aucune nouveauté post mortem sauf les images du bateau actuel qui flotte très bien.
C'est plutôt bien traité numériquement, quand l'image est trop pourrie, le réalisateur a mis un filtre aquarelle (à moins que ce soit le traitement anti bruit VHS qui soit trop poussé), même sur grand écran, ça passe à peu près.
Le problème, c'est que si l'on exclut la musique correcte de Tiersen, on n'a pas grand chose à se mettre sous l'oeil. On découvre quand même un athlète et un sportif complet, autant qu'une personnalité humble qui n'a jamais été obsédée par l'argent (ce qui est souvent le cas avant l'arrivée d'un bambin), qui parle d'économies quand aujourd'hui un as de la barre parlerait de rémunération de sponsoring et de Porsche Cayenne.
Bref, on ne sait pas si l'on doit applaudir des deux mains sur un personnage dont toutes les bonnes facettes sont brûlées à la lumière d'un montage suffisamment rythmé pour ne pas s'ennuyer, avec un peu de place au rêve de la croisière sur l'océan, qualité des images à part. Car on imagine bien que quelque chose doit parfois clocher. Ou alors, et là c'est encore plus embêtant, on a affaire à un idiot du village breton, simple et tenace, qui a passé tellement de temps à faire du sport en solitaire et à regarder la mer qu'il ne reste plus beaucoup de choses intéressantes pour sa conversation. Sauf peut-être s'il fallait s'intéresser uniquement au côté technique de la voile, mais ça fait longtemps que les Kersauzon et consorts ont su se dépêtrer de l'image du vieux loup de mer qui ne sait que parler des bateaux.
Bien sûr, c'est un peu dur comme point de vue, on peut s'émouvoir ou être impressionné par le courage et la force de cet ours peu bavard, comme si les gens ordinaires l'ennuyait, mais le personnage populaire et humble paraît souvent limité. Et après tout, qui rêve encore de passer 60 jours loin de sa famille ou de la vie sociale pour risquer la mort et parler aux mouettes ? Un bon documentaire sur les héros d'un autre siècle, aujourd'hui, le fric, les plaisirs de la chair et le spectacle ont remplacé les forçats du courage, qui ne servaient sans doute pas à grand chose. Si on a inventé les moteurs, il doit bien y avoir une raison.
Dommage par ailleurs que l'analyse de personnalités après sa mort ne vienne pas contredire ou ciseler cet hommage sans retenue à Eric Tabarly. Ce doux héros au regard d'enfant.
Il faut d'abord dévoiler l'objet, ce sont uniquement des morceaux de reportages ou de documentaires tournés à l'époque, sans aucune nouveauté post mortem sauf les images du bateau actuel qui flotte très bien.
C'est plutôt bien traité numériquement, quand l'image est trop pourrie, le réalisateur a mis un filtre aquarelle (à moins que ce soit le traitement anti bruit VHS qui soit trop poussé), même sur grand écran, ça passe à peu près.
Le problème, c'est que si l'on exclut la musique correcte de Tiersen, on n'a pas grand chose à se mettre sous l'oeil. On découvre quand même un athlète et un sportif complet, autant qu'une personnalité humble qui n'a jamais été obsédée par l'argent (ce qui est souvent le cas avant l'arrivée d'un bambin), qui parle d'économies quand aujourd'hui un as de la barre parlerait de rémunération de sponsoring et de Porsche Cayenne.
Bref, on ne sait pas si l'on doit applaudir des deux mains sur un personnage dont toutes les bonnes facettes sont brûlées à la lumière d'un montage suffisamment rythmé pour ne pas s'ennuyer, avec un peu de place au rêve de la croisière sur l'océan, qualité des images à part. Car on imagine bien que quelque chose doit parfois clocher. Ou alors, et là c'est encore plus embêtant, on a affaire à un idiot du village breton, simple et tenace, qui a passé tellement de temps à faire du sport en solitaire et à regarder la mer qu'il ne reste plus beaucoup de choses intéressantes pour sa conversation. Sauf peut-être s'il fallait s'intéresser uniquement au côté technique de la voile, mais ça fait longtemps que les Kersauzon et consorts ont su se dépêtrer de l'image du vieux loup de mer qui ne sait que parler des bateaux.
Bien sûr, c'est un peu dur comme point de vue, on peut s'émouvoir ou être impressionné par le courage et la force de cet ours peu bavard, comme si les gens ordinaires l'ennuyait, mais le personnage populaire et humble paraît souvent limité. Et après tout, qui rêve encore de passer 60 jours loin de sa famille ou de la vie sociale pour risquer la mort et parler aux mouettes ? Un bon documentaire sur les héros d'un autre siècle, aujourd'hui, le fric, les plaisirs de la chair et le spectacle ont remplacé les forçats du courage, qui ne servaient sans doute pas à grand chose. Si on a inventé les moteurs, il doit bien y avoir une raison.
Dommage par ailleurs que l'analyse de personnalités après sa mort ne vienne pas contredire ou ciseler cet hommage sans retenue à Eric Tabarly. Ce doux héros au regard d'enfant.
un magnifique portait d'un Monsieur.
Un hommage tres touchant a un grand navigateur français, rythmé par une bande-originale tres belle et quelques images magnifiques (dont quelques charmantes images amatrices filmées en 16mm ou encore en super8)... Malheureusement ne m'intéressant pas du tout a la voile, ce film m'as surtout ennuyé. Je le conseille vivement aux fans de Eric Tabarly, et le déconseille aux autres... naturellement, comme tout les documentaires, si on n'est pas concerné par son sujet on y trouve pas d'intérêt, alors je n'ai pas été surpris ! je reconnais tout de même que le tout est tres bien construit et débordant de sincérité..
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