4,5
Publiée le 18 mars 2025
Le grand retour de Bong Joon Ho après 6 ans d’attente après le raz de marée Parasite ! Est-ce que l’attente valait le coup ? Et bien selon moi oui ! Car si voir un grand cinéaste coréen aux States peut un peu faire peur (va t’il se plier aux exigences d’Hollywood et y délaisser son style ?), ici ce n’est pas du tout le cas. Au contraire ! Si vous allez voir Mickey 17 comme un énième film de science-fiction : vous risquez d’être déçu. Mais si vous y allez en connaissant et en aimant le style de Bong Joon Ho, vous pourrez difficilement vous plaindre. On y voit les mêmes thématiques de lutte des classes habituelles : des humains vus uniquement à travers leurs prismes « fonctionnels » et non humains, Mickey est un immense crash test qui va prendre tous les risques à la place de l’entrepreneur qu’il doit servir et ce sans jamais recevoir de reconnaissance. Une société laissée complètement sous dictature mais aveuglé par l’adoration de leur chef, et au milieu, Mickey, la figure parfaite du prolétaire mais pas glorifié pour autant. Mais ne vous attendez pas un héros façon Robin des Bois : comme dans Parasite, Bong Joon Ho critique le capitalisme pas uniquement avec le prisme « les riches exploitent les pauvres », mais aussi (et surtout!) en disant : « les pauvres feraient tout pour être à la place de ces mêmes riches ». Ce qui rend le tout encore plus déprimant qu’une vision basiquement marxiste basé sur la lutte entre pauvre et riches.

Ici, Mickey n’a même pas la conviction profonde d’être exploité et cela marque encore une vision de Bong Joon Ho, puisqu’il ne fait pas là un film sur la lutte des classes, mais + sur le constat que la lutte des classes est terminée car les « ouvriers » eux-mêmes s’en sont désintéressés. Vient ensuite tout le discours sur la démesure humaine et la volonté d’aller toujours plus loin : est-ce que nous faisons toujours l’effort de comprendre les autres (ici les aliens?), est-ce que nous sommes tellement convaincus que les autres nous veulent du mal que nous sommes incapables de vivre sereinement avec un peuple étrangers ? Tant de questions ou je n’essaierai pas de répondre, mais qui résonne encore + avec cette figure de Ruffalo proche d’un Trump ou Elon Musk.

Au final, la seule faiblesse de Mickey 17 vient + de sa forme que de son fond. Le film a coûté + de 100 millions de dollar mais abandonne complètement les scènes d’action. Ce n’est pas un mal selon moi, mais ça prend totalement à contre pied ce que nous vendait le marketing du film. En revanche ce qui est dommage, c’est que Mickey 17 n’est jamais magnifique. Les effets visuels sont beaux mais le film ne joue jamais sur la démesure des ces paysages et difficile de retenir un plan qui aurait marqué mon esprit, ne vous attendez pas à une mise en scène à la « Dune » ou « Star Wars 8 ».

Bref, au final clairement pas un Bong Joon Ho mineur selon moi mais tellement représentatif de sa filmographie qu’il ne représente pas un énorme bond comme a pu l’être Parasite. Ça reste excellent et une bonne porte d’entrée dans sa filmo malgré tout ! Le film est en plus assez drôle et Pattinson excellent, je recommande vraiment !
3,0
Publiée le 18 mars 2025
Mickey et Donald (Trump)... Mickey 17 aurait dû être comme sa super bande-annonce sur du Frank Sinatra avec des scènes d'action drôles, cyniques, pétillantes, qui nous en mettait plein les yeux. Oubliez. Ça, c'était la version 1, et on ne sait pas bien quel numéro porte la version que l'on voit au cinéma, mais ça ne sent plus le Bong Joon-Ho, plutôt un produit très tiède, sans prise de risque, "bien mais pas top", à l'américaine. Alors, évidemment, Robert Pattinson est brillant dans les deux rôles qu'il tient à l'écran (non, n'espérez pas qu'il y en ait plus de deux : on a eu une attente délirante), et sauve à lui tout seul la majorité de l'intérêt du film, sachant être tristement drôle dans la peau de Mickey 17, ce gars pas très malin, pas très courageux, mais "gentil, va..." qui s'en prend plein la tête sans broncher, et en même temps parvient à faire exister dans le même cadre Mickey 18, le macho brutal qui veut tuer tout le monde. Bref, Pattinson est un bon acteur, et se démène pour faire respirer ce film très lisse, mais contrairement à son Mickey, Pattinson est tout seul. On a demandé à Mark Ruffalo d'être une caricature (malheureusement dépassée par la réalité) de Donald Trump, et n'intéresse pas davantage le scénario, idem Toni Collette qui a une lubie des sauces qui nous soule carrément (on ne voit pas ce que cela vient faire là, à part spoiler: montrer que les pauvres rampent pour avoir un quignon de pain - scène multi-répétée dans le film, pour qu'on comprenne bien - tandis que les riches ont pour seule préoccupation de savoir ce qui va au-dessus dudit quignon de pain, le fait de posséder la base du plat ne fait pas partie de leurs angoisses...
Mais pour une telle métaphore bas de plafond, a-t-on besoin d'en faire une obsession ?), il y a une pénible ouverture avec une voix off invasive qui anesthésie tout comique ou drame de la situation (et c'est bien dommage), et des grandes incohérences ( spoiler: les scientifiques sont montrés comme des gros nuls très bébêtes, mais ils arrivent quand même à pondre un traducteur automatique de la langue alien, en deux secondes, et qui marche à la perfection...
Mouais.). N'espérez pas non plus voir de l'action : tout est dans la bande-annonce, cela vous donne un ordre d'idée du ratio d'action sur 2h20 de film), avec une spoiler: absence de bataille finale (désamorcée immédiatement)
, et des sujets très intéressants mais jamais exploités. L'écologie est abordée avec les colons qui détruisent la faune et la flore, la dictature avec ce patriarche timbré et colérique, raciste, misogyne, extrêmiste religieux (...il ne manque que la perruque jaune, et on y est), le traitement des ouvriers de basse extraction (les "remplaçables"), le manque d'empathie cruelle qui augmente d'année en année (les laborantins qui font subir les pires horreurs à Mickey, sous prétexte qu'il renaîtra, en se moquant de sa souffrance... Si vous avez un pincement un cœur lors de la scène de la "Pièta", spoiler: lorsque sa petite copine le tient lorsqu'il agonise en crachant du sang :
bravo, vous avez encore une âme). Ce ne sont donc pas les idées (excellentes) qu'il manque à ce Mickey 17, mais seulement leur réalisation, car on passe gentiment à côté de tous les sujets (on égratigne la surface), on n'a pas du tout la scène d'action promise à la fin, on n'a pas non plus autant d'interaction entre les deux Mickey qu'on l'attendait (ç'aurait été un motif de gags très efficace, surtout avec Pattinson à la barre, mais, c'est incompréhensible, le film n'en fait rien), et pas non plus beaucoup de réponses à quelques éléments narratifs largués entre deux dialogues spoiler: (comment les gros cloportes velus connaissaient le nom de Mickey ?
On ne saura pas). Mickey 17 confirmera quand même que Bong Joon-Ho est meilleur quand il est tout seul, en-dehors des gros studios américains, pas entouré de Producteur 22, Producteur 23, Producteur 24...
4,5
Publiée le 17 mars 2025
"Mickey 17" de Bong Joon-ho est une satire de science-fiction captivante, portée par un Robert Pattinson excellent dans un rôle multiple. Cependant, le film aurait gagné à être plus fou et plus gore au regard de son scénario.
1,5
Publiée le 17 mars 2025
Le pitch est plutôt stimulant. La concrétisation est un pensum. Même s’il y a ici et là quelques bonnes idées de scénario et de mise en scène, le projet initial paraît mal dégrossi. C’est globalement balourd au niveau écriture comme au niveau réalisation ou interprétation. Sans âme, sans fibre humaine. Et rarement intéressant. Tout sonne faux, dans la satire politique comme dans l’aventure de science-fiction. Il y a beaucoup de pistes dramatiques, faiblement ou ridiculement abouties, avec des personnages périphériques peu caractérisés et mal gérés dans le flux narratif. Quant au montage, il laisse à désirer, avec des raccourcis qui n’aident pas à la cohérence ou, au contraire, des empilages de scènes laborieusement étirées en longueur. Au vu du talent du réalisateur sud-coréen, cette première expérience de tournage aux États-Unis est un ratage.
3,5
Publiée le 17 mars 2025
Mickey7 est un individu envoyé coloniser une planète gelée. A chaque fois qu'il meurt, ses souvenirs sont implantés dans un nouveau corps et sa mission reprend.
Le concept est assez novateur
Le film est plutôt réussit et distrayant. Le coté volontairement loufoque et l'humour suptile sont appréciable et permettent de passer un bon moment.
Sandra Diago

1 critique

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4,0
Publiée le 17 mars 2025
Original ! Un peu décalé juste ce qu'il faut !
Je peux comprendre que certains n'apprécie pas mais franchement moi je conseille !
Le jeu d'acteur est réaliste par rapport à ce que le réal veut donner comme image de ce film
On ne se prend pas au sérieux mais derrière tout ça ce qu'il faut voir c'est que trop de progrès tue le progrès et que quoiqu'il arrive il y aura toujours des despotes
Frédéric Lagarde

1 critique

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0,5
Publiée le 17 mars 2025
Film ennuyant au possible et scénario très tiré par les cheveux , un ennui total tout le long de la séance
3,0
Publiée le 17 mars 2025
C'est cynique. C'est cynique et bizarre à la coréenne. C'est pas hollywoodien et ça fait du bien. Pas de bagarre et d'explosions partout, un rythme plutôt lent, avec une narration en voix off qui ajoute quelque chose et une bande-son bien choisie. Une histoire qui sait nous surprendre, étape après étape, jusqu'à un final qui tombe malheureusement un peu dans le message pseudo-politique insistant, facile et ennuyeux (le coup de l'allégorie anti-colonialiste), couplé d'une sensiblerie antispéciste un peu lourde (les femmes allant jusqu'à porter les bêtes comme leurs bébés). Sur le fond, on est d'accord avec les messages, mais j'ai trouvé ça surfait, et surprenant de la part de Bong Joon-Ho. Certains esprits indignés seront même satisfaits d'y voir un parallèle avec l'actualité du pays aux cinquante étoiles, paraît-il.
Autres détails qui m'ont déplu :
-L'aspect des aliens vu et revu, sorte de bisons-cloportes aux multiples rangées de tentacules baveuses, à qui on ajoute en fin de film des yeux ornés de cils (presque humains, ce qui donnerait du fil à retordre à l'ami Darwin pour sa théorie).
-Le fait que l'appareil à traduire parle avec une voix très grave, comme la mère alien (la voix sort bien de l'appareil, non de l'alien ?), mais après tout je chipote.
-Le personnage de Kai se limitant globalement à deux scènes, la deuxième un peu ridicule, alors qu'il y avait une matière intéressante à exploiter pour le dernier tiers de l'histoire.
Toutefois, je suis parti avec un handicap qui n'aide pas : J'ai vu le film en VF, qui ressemble à un doublage de Malcolm ou Disney Channel... Ne faites pas la même erreur. spoiler:
Mister K

1 critique

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2,0
Publiée le 17 mars 2025
Cher Bong Joon Ho,
Vous m'aviez tellement enchanté avec votre magnifique film "Parasite" que j'étais prêt à croquer votre nouvel opus version US avec gourmandise et les pop corn étaient encore chauds au générique.
Mais quelle déception. Après une heure de film, certes originale et agréable avec de multiples références non dissimulées (Edge of tomorrow qui faisait déjà référence à l'Histoire sans fin et l'Empire contre attaque...si, si, la scène de la grotte glacée messieurs dames!), la seconde partie du film tombe dans l'absurde absolu avec caricatures à volonté (Mark Ruffalo, Toni Colette que j'adore pourtant.sont à l'agonie et proches du claquage...), sans parler des "monstres" gentils qui sont l'antithèse des "monstres" méchants de Starship Troopers...autre film au second degré relatant les aventures de Barbie et Ken dans l'espace mais qui avait le mérite d'assumer la farce du début jusqu'à la fin.
Verdict: Une belle première mi-temps prometteuse mais une seconde cataclysmique...encore un raté sur un mercato Asio-américain.
Dommage monsieur Bong, on compte sur vous pour le prochain match.
manou richon

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4,0
Publiée le 17 mars 2025
J'ai beaucoup aimé ce film, divertissant drôle. A voir en VO par contre car le doublage VF est pas top (surtout quand le personnage "pense" dans sa tête)
Très original, j'ai passé un excellent moment
1,5
Publiée le 17 mars 2025
Attendu depuis longtemps, mais dont la sortie a été retardée à plusieurs reprises, le visionnage de Mickey 17 confirme qu’il y avait bien un problème avec ce film. Acteurs caricaturaux, décors hideux, personnages secondaires insipides, le nouveau long-métrage de Bong Joon Ho cumule les écueils. Robert Pattinson a beau se démener avec plein de bonne volonté, il semble aussi perdu que le spectateur face à un scénario totalement abscond. Pourtant, l’idée de départ (pouvoir renaitre éternellement), était prometteuse et on aurait pu envisager, à la manière de Edge of Tomorrow, un divertissement de science-fiction efficace. Mais ici, tout est ridicule et pompeux. Le sommet du pathétique est d’ailleurs atteint par la prestation guignolesque de Mark Ruffalo. L’acteur, habituellement si talentueux, se retrouve à jouer un caricatural milliardaire autocentré, dans un rôle assez navrant. Les autres seconds rôles sont, soit peu crédibles (la compagne incarnée par Naomi Ackie), soit parfaitement inutiles (Anamaria Vartolomei). Mais le long-métrage se distingue aussi et surtout par sa laideur constante : aucune nuance de gris ne nous est épargnée ! La réalisation s’est surpassée pour faire du moche. Avec, en point d’orgue, ces êtres extra-terrestres ressemblant à de gros vers hideux qui sont omniprésent dans la dernière partie du film et qui finissent d’achever la crédibilité du long-métrage.
1,5
Publiée le 17 mars 2025
J'attendais ce film avec impatience, l'idée de départ était vraiment sympa, un gars qu'on peut reproduire à l'infini pour le soumettre à toutes sortes d'expérimentations et qui est réimprimé dans la foulée. La bande annonce était alléchante, les critiques presses plutôt positives (je finis par me demandé si elles ne sont pas payées pour aimer un film... hum, hum). Bref, ce Mickey 17 est une grosse déception et surtout on ressort avec le sentiment d'avoir "été eu" à l'heure où la Warner sacrifie déjà le film qui passe aux USA directement sur la plateforme après 15 jours en sale seulement. Bref, c'est donc bien un flop. Il démarrait pourtant bien avec son premier 1/3 dans la tragicomédie des courtes "vies" de Mickey et un scénario qui semblait nous emmener quelque part. Mais rapidement le film sombre dans des apartés burlesques sans queue ni tête par rapport au scénario (existe-t-il?), les personnages sont vides pour la plupart et tellement inconsistants qu'on suspecte un dédoublement de personnalité raté. Pourtant c'était une bonne idée de départ et on aurait pu faire beaucoup de belles choses avec. Je déconseille donc, pas grand chose de positif pour rattraper ce film malheureusement
Thomas Reymond

1 critique

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4,0
Publiée le 17 mars 2025
Dans "Mickey 17", le réalisateur Bong Joon-ho nous plonge dans un univers de science-fiction où Robert Pattinson incarne Mickey Barnes, un "Expendable" chargé de missions périlleuses sur la planète glacée Niflheim. Pattinson livre une performance exceptionnelle, insufflant à son personnage une profondeur et une intensité qui mériteraient une reconnaissance aux Oscars. Son interprétation nuancée et physique donne vie à Mickey, rendant crédible chaque réincarnation du personnage.

Mark Ruffalo, dans le rôle de Kenneth Marshall, le leader de l'expédition, offre une prestation notable. Cependant, son personnage est parfois caricatural, ce qui atténue l'impact de son jeu. Malgré cela, Ruffalo parvient à apporter une certaine dimension à son rôle, enrichissant ainsi la dynamique du film.

Le film souffre néanmoins de longueurs injustifiées et d'un rythme inégal. Certaines scènes s'étirent sans apporter de réelle valeur ajoutée à l'intrigue, ce qui peut déconcerter le spectateur. Cette narration parfois décousue nuit à l'engagement émotionnel et à la tension dramatique.

Visuellement, "Mickey 17" est impressionnant, avec des effets spéciaux et une direction artistique de haute volée. Cependant, ces atouts esthétiques ne compensent pas entièrement les faiblesses du scénario. Malgré ces imperfections, le film reste une expérience cinématographique intrigante, portée par la performance remarquable de Robert Pattinson.

Note : ★★★★☆
4,0
Publiée le 17 mars 2025
Revoilà Bong Joon-ho 6 ans après l'excellentissime "Parasite". Le moins que l'ont puisse dire c'est que le monsieur était attendu au tournant. C'est le lot de chaque réalisateur après avoir livré une œuvre qui a quasiment fait l'unanimité. Et comme souvent le film d'après divise les critiques.

"Mickey 17" c'est un film de science fiction complètement déjanté et je fais parti des gens qui apprécie le métrage.
Oui ce n'est pas un chef d'œuvre. Oui ce n'est pas le meilleur film de son réalisateur.
Cela n'empêche que c'est un très bon film qui survole sans forcer les standards Hollywoodiens habituels.

Robert Pattinson est très bon dans 2 rôles, pour le coup, totalement à l'opposé caracteriellement. La grande totalité de l'œuvre repose sur ses épaules et c'est totalement assumé.
Mark Ruffalo et Toni Colette forment un duo diabolique très pertinent. Bien que Ruffalo soit en surjeu permanent. Chose (j'imagine) demandé par le réalisateur encore une fois.

Bref, ce futur dystopique extrêmement pessimiste concocté par Bong Joon-ho est un vrai bon cru cinéma de ce début d'année 2025 malgré de petites longueurs dans sa dernière partie. A voir !
3,5
Publiée le 17 mars 2025
Une proposition intéressante mais inégale

Malgré une première partie intrigante mais un peu trop longue, Mickey 17 reste un film plaisant à suivre. Les effets spéciaux sont corrects, et le design des créatures, mêlant CGI et costumes, est particulièrement réussi. Le duo d’antagonistes, bien que caricatural, est porté par des acteurs convaincants.

Le film regorge d’idées originales, parfois mal exploitées ou confuses, notamment en ce qui concerne les motivations des méchants, qui restent floues. Heureusement, la seconde partie gagne en rythme avec des scènes d’action efficaces sans jamais sombrer dans l’excès.

Le concept des clones remplaçables est fascinant et bien mis en scène, et Robert Pattinson incarne parfaitement son personnage. Sans être un chef-d’œuvre, Mickey 17 s’impose comme un film intéressant, divertissant et visuellement inspiré, malgré quelques maladresses dans son propos.
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