AlloCiné
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Votre avis sur Apaches ?
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Tout d'abord je salue l'imagerie du film.
Les décors sont magnifiques, les acteurs sont bon, voir ce vieux Paris fait frémir tout amoureux de la capitale ! L'atmosphère de folie de l'époque est parfaitement retranscrite.
Le bémol du film est le scénario assez léger avec une fin on ne peut plus prévisible.
Néanmoins aller voir ce film ! Quand en France on produit des films avec de l'audace qui sort des habituels comédie ou drame avec un travail de l'image soigné, cela vaut le coup de se déplacer
Les décors sont magnifiques, les acteurs sont bon, voir ce vieux Paris fait frémir tout amoureux de la capitale ! L'atmosphère de folie de l'époque est parfaitement retranscrite.
Le bémol du film est le scénario assez léger avec une fin on ne peut plus prévisible.
Néanmoins aller voir ce film ! Quand en France on produit des films avec de l'audace qui sort des habituels comédie ou drame avec un travail de l'image soigné, cela vaut le coup de se déplacer
Une très belle proposition avec beaucoup d'inventivité et une très belle patte. La musique dans le film est parfaite, c'est anachronique mais c'est le but de retranscrire ce côté punk avant-gardiste de ces apaches. Les acteurs sont très bon et livre de belles scènes.
Excellent western français.
Des vrais beaux décors ça fait du bien aux yeux, un style Steampunk, des acteurs performants... n'hésitez pas à y aller!
Des vrais beaux décors ça fait du bien aux yeux, un style Steampunk, des acteurs performants... n'hésitez pas à y aller!
FaRem
Après le bon " Le dernier voyage" qu'il avait adapté de son propre court-métrage, Romain Quirot délaisse l'énigmatique Paul WR et la science-fiction pour nous emmener à Paris au début des années 1900. On découvre une bande de petits voleurs qui vont se croire plus grands qu'ils ne le sont. Après avoir payé le prix de leur ambition avec la mort de l'un d'eux, Billie est emprisonnée de nombreuses années. À sa sortie, elle est bien décidée à se venger de Jésus et de son clan... Cette immersion dans les coins malfamés de Paris avec ces voyous en tout genre et ces prostituées est efficace même si on peut regretter un scénario très léger pour ne pas dire inexistant. Ce qu'il manque, ce sont des étapes intermédiaires dans cette vengeance, des missions qui verraient Billie se rapprocher peu à peu de son but. Là, l'infiltration est trop rapide et l'histoire tâtonne par la suite. Heureusement que la dynamique de groupe compense ces manques avec de bons personnages, bien que caricaturaux, et de bons acteurs. Comme dans ses précédents projets, le réalisateur propose quelque chose de très travaillé malgré un budget ridicule. La cinématographie est propre, les décors soignés et la mise en scène immersive notamment lors de la conclusion. Bref, je pense quand même qu'il y avait beaucoup mieux à faire, mais "Apaches" est un divertissement plaisant.
Romain Quirot nous offre un film extrêmement orignal et plutôt qualitatif pour la France. Déjà le mise en scène est très bonne avec beaucoup d’idées de mouvements de caméra très interessants. Le scénario est aussi très bien écrit mais le vrai point fort du film, ce sont ses personnages qui sont tous extrêmement bien développés et auxquels ont s’attache énormément, la fin est d’ailleurs assez dévastatrice pour le spectateur. Le tout avec un casting 5 étoiles comportant l’incroyable Alice Isaaz, les très bons Niels Schneider et Artus ainsi qu’Emilie Gavois-Kahn. La photographie est très belle et les décors et les costumes sont vraiment incroyables, on se sent totalement dans l’époque même si je ne pense pas qu’à l’époque, les hommes avaient la coupe de Niels Schneider. La BO est vraiment exceptionnelle et très mémorable, elle est très bien utilisée ici. Bref, un très bon film français d’époque avec des costumes et des décors incroyables, une très bonne BO et un casting de fou, les personnages sont tous incroyables et attachants.
Ce film évoque l’histoire de ces apaches violents et sauvages dans le Paris du début de 20ème siècle bien reconstitué. Les décors sont soignés et les personnages de ces apaches sont hauts en couleur et en sauvageries. L’ensemble du film reste intéressant à visionner malgré son côté parfois grand guignol et outrancier.
Bernard CORIC
Bernard CORIC
J'aime bien les acteurs, mais certains plan rapprochés sont trop gros. On ne sait pas trop où l'on va, c'est pataud, empesé, peu convaincant et le scénario traîne vraiment trop, terriblement paresseux. Je n'ai clairement pas aimé le film. Sinon, la reconstitution de l'époque est réussie.
Une idée originale : un film sur les surineurs de la pègre parisienne d'avant-guerre, surnommés "les Apaches", ce sans tomber dans la sempiternelle "Bande à Bonnot". Hélas, le scénario, sans imagination et écrit sur un vieux ticket de métro, débouche sur une histoire simpliste, linéaire, attendue, et déjà vue, digne d'un TV film à petit budget. D'ailleurs, nombre d'acteurs viennent de la TV, et le niveau général de l'interprétation s'en ressent ! La grande question est : que vient faire Niels Schneider là-dedans !? Obligation d'honorer un contrat malencontreusement signé un soir de beuverie ? Besoin urgent de liquidités ? Omar Sy et Jean Reno n'étaient pas libres ? Mystère !
Faut dire aussi que les acteurs ne sont guère aidés par la mise en scène, empesée autant que pataude, frisant parfois le grotesque en s'essayant au N&B genre rétrospective du muet ! Les mouvements de caméra saugrenus et incongrus, aux gros plans tournant au ridicule, et la musique inappropriée aident à lentement, mais surement, tirer le spectateur vers l'ennuie nauséeux.
Seuls les décors, la reconstitution d'époque (malgré plusieurs anachronismes grossiers), et la qualité de la photographie tirent leurs épingles du jeu !
Faut dire aussi que les acteurs ne sont guère aidés par la mise en scène, empesée autant que pataude, frisant parfois le grotesque en s'essayant au N&B genre rétrospective du muet ! Les mouvements de caméra saugrenus et incongrus, aux gros plans tournant au ridicule, et la musique inappropriée aident à lentement, mais surement, tirer le spectateur vers l'ennuie nauséeux.
Seuls les décors, la reconstitution d'époque (malgré plusieurs anachronismes grossiers), et la qualité de la photographie tirent leurs épingles du jeu !
Malgré les décors et costumes parfois convainquant, l'histoire simpliste et des acteurs mal dirigés qui en font des tonnes. Une violence mal scénarisé qui rend le moment soi très banal ou soi malaisant ou maladroit. une frustration persiste au vu des promesses historiques de ces bandes d'apaches. De trop nombreux anachronismes et musiques en font un clip brouillon et au final trop indigeste.
Un film d'un ennui mortel , une déception total , mal joué, la seul chose à sauvé c'est les décors, et les costumes . Un film d'1h30 qui paraissait 10h
"Vous savez ce qu'on dit: plutôt mourir debout que vivre à genoux."
2 ans seulement après son premier long, «Le Dernier Voyage», Romain Quirot nous revient avec ces «Apaches», vrai-faux film d'époque assumant complètement son côté anachronique et décomplexé.
Et, à l'image de son précédent film, il se départit de ce que le cinéma français a l'habitude de nous proposer, ici en terme de films à résonance historique, et cela en injectant des codes du western et de la BD dans ce tableau haut en couleurs qu'il dresse de ces ancêtres à la "Bande à Bonnot".
Voguant quelque part entre «Gangs of New York» et «Peaky Blinders», ce second long-métrage serait surtout à rapprocher du style survitaminé de Guy Ritchie, de par l'énergie qu'il dégage, de par son casting prenant un plaisir non-dissimulé à jouer les hors-la-loi sans pitié (en particulier une Alice Isaaz en mode bien vénère), de par son aspect plastique soigné ou encore de par sa BO rock.
Et, comme pour sa précédente réalisation, son principal défaut est sa durée, trop courte, qui ne permet pas de développer suffisamment son univers et ses personnages, et de rester principalement cantonné à des archétypes et dans les clous d'une histoire de gang et de vengeance relativement classique.
Un divertissant efficace et frustrant à la fois. Mais un auteur-réalisateur à ne définitivement pas quitter des yeux. 6,5/10.
2 ans seulement après son premier long, «Le Dernier Voyage», Romain Quirot nous revient avec ces «Apaches», vrai-faux film d'époque assumant complètement son côté anachronique et décomplexé.
Et, à l'image de son précédent film, il se départit de ce que le cinéma français a l'habitude de nous proposer, ici en terme de films à résonance historique, et cela en injectant des codes du western et de la BD dans ce tableau haut en couleurs qu'il dresse de ces ancêtres à la "Bande à Bonnot".
Voguant quelque part entre «Gangs of New York» et «Peaky Blinders», ce second long-métrage serait surtout à rapprocher du style survitaminé de Guy Ritchie, de par l'énergie qu'il dégage, de par son casting prenant un plaisir non-dissimulé à jouer les hors-la-loi sans pitié (en particulier une Alice Isaaz en mode bien vénère), de par son aspect plastique soigné ou encore de par sa BO rock.
Et, comme pour sa précédente réalisation, son principal défaut est sa durée, trop courte, qui ne permet pas de développer suffisamment son univers et ses personnages, et de rester principalement cantonné à des archétypes et dans les clous d'une histoire de gang et de vengeance relativement classique.
Un divertissant efficace et frustrant à la fois. Mais un auteur-réalisateur à ne définitivement pas quitter des yeux. 6,5/10.
Vu en avant-première : après un 1er film de science fiction incroyable (Le dernier voyage), Romain Quirot s'attaque à l'histoire d'un gang qui fait régner la terreur au début du siècle dernier à Paris. La caméra est maîtrisée en expert, l'image est belle quelque soit le plan, le sujet bien choisi et reste actuel quand on voit Paris actuellement. Le casting est à la hauteur du film, et sonne vraiment comme le début d'une nouvelle vague du cinéma français. Enfin, la BO n'est pas en reste. En résumé, courez voir ce film.
Incommensurable navet. On ne sait pas si on doit en rire ou en pleurer. On a beau aligner un casting avec des noms célèbres, des gens prometteurs. Rien n'y fait. Mauvais tu es et mauvais tu seras. Ici, on est encore un cran au-dessous, dans le pire du pire. Le réalisateur se croit inventif, novateur, il se fantasme en "artiste", en esthète de haut vol. Son univers est un sommet d'images laides, consternantes, de séquences d'une totale ringardise et d'idées simplettes piquées un peu partout sur la toile. Croire en une telle entreprise révèle une haine féroce, irréductible pour le cinéma.
Scénario paresseux vu et revu maintes fois qui traîne en longueur. Les acteurs, sont du niveau de l'amateurisme. Les décors sont assez réussi et le thème concernant "les Apaches" était plutôt intéressant, mais là mise en scène pas assez approfondie tourne en rond, ça aurait pu être tellement mieux. Et pitié que quelqu'un explique à Artus qu'il est réellement mauvais, déjà voyant son nom j'aurais dû m'attendre à cette pénitence.
Reconstitution ambitieuse et réussie du Paris des années folles, dans des décors et autres accoutrements très classes ! Une histoire prenante, jusqu'au bout. Seul bémol, les acteurs sont assez moyens ...
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