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    C'est pas moi
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    Séverine Boulant
    Séverine Boulant

    5 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juin 2024
    Un florilège d’images choisies qui dressent SON portrait
    Poétique
    Dramatique
    Provocateur
    Utile
    Le destinataire initial du film en donne la forme qui aurait fini par me lasser si Annette n’avait pas fait cette apparition si impromptue qui bien sûr fait pleurer
    Sacré coquin de Leos tu nous attends toujours au tournant …
    J31frites
    J31frites

    4 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 juin 2024
    Bon le message moral est bon et le montage est original, mais on peut pas tout mélanger, le film est court et pourtant archi long tant c'est atroce à regarder, ce mélange de couleurs, de plans randoms, de références, de scènes recyclées, de musiques sans rapport, de jeux de mots mauvais, de design de mauvais goût, le tout ficelé par un ego surdimensioné (ce qui reste drôle). Mais offrir quelque chose d'aussi bizarre a un public qui n'a pas forcément les clés pour le comprendre... il faudrait peut être contextualiser un peu plus.
    Leniod
    Leniod

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juin 2024
    "C'est pas moi" est une œuvre mineure de Leos Carax, une imitation du cinéma de Jean-Luc Godard dernière période, comme si le disciple avait hérité du matériel du 2, rue des Petites Buttes.

    Ce long "Où en êtes-vous ?", au départ commande du Centre Pompidou pour une expo qui n'a finalement pas eu lieu, est aussi un prétexte pour revisiter ses propres films.

    À noter quelques nouvelles scènes avec Denis Lavant en "Monsieur Merde" sur une photographie de Caroline Champetier.

    Du mouvement et des musiques, dont forcément Bowie, particulièrement dans le beau et émouvant post-générique, moment de grâce.

    Carax est un formidable formaliste, mais n'est qu'un formaliste, aux éclats romantiques, parfois naïvement grotesque.
    Ici il propage lourdement un point de vue bobo convenu sur la politique, s'attaquant aux nazis, à Poutine, Marine Le Pen et Trump ( spoiler: les méchants
    ) et s'apitoyant sur les sans-papiers ( spoiler: les gentils
    ) et se révèle même lâche en spoiler: revenant gratuitement sur l'affaire Polanski vieille de cinquante ans, datant d'une époque qui avait d'autres valeurs
    .
    Il m'a déçu le Carax.
    pat4poufzouz
    pat4poufzouz

    5 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 juin 2024
    Pas de cohérence, derrière un assemblage qui se veut l'incohérence d'un génie artistique, du vide. Le film est nombriliste, parisien. De la masturbation intellectuelle - ou bien, peut-être, ce film s'adresse-y-il aux 0,001% de la population les plus cultivés, et je suis passée à côté ?
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    184 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 juin 2024
    Égo surdimensionné. Déjà "Annette" avait terriblement déçu. Dans ce dernier film, Carax recycle péniblement ses vieilles images et ses souvenirs avariés. Il agrémente le tout de blagues pourries et de citations ringardes. Le problème de Carax, c'est que son seul et unique horizon, c'est Godard. Parfois brillant, souvent pathétique, toujours fatiguant, Carax signe un film vertigineux d'ennui et de vide
    Yves G.
    Yves G.

    1 350 abonnés 3 353 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2024
    « Il se trouve, chose assez rare, que le distributeur Les Films du losange nous propose d’aller découvrir un film de quarante et une minutes et dix-neuf secondes dans lequel Carax – qui n’a rien fait pour le mettre en conformité avec la durée d’une séance – bricole cette chose à la fois bâtarde et ourlée, ouvertement intime, qui, ordinaire caraxien, saigne et rit en même temps. » Cette phrase, de Jacques Mandelbaum, dans Le Monde, compte parmi les plus élégamment tournées, les plus intelligentes, les plus synthétiques que j’aie jamais lues pour présenter et résumer un film. Je me damnerais pour être capable d’en écrire d’aussi belles. J’ai bien failli me borner à la recopier ; car tout ce que j’y ajouterai sera un vain bavardage.

    Que rajouter sinon quelques éléments de contexte sur Alex Dupont, alias Leos Carax, figure mystérieuse du cinéma français, mélange de Rimbaud et de Godard, qui déboule dans le cinéma à vingt-quatre ans à peine, signe deux films d’une éclatante jeunesse ("Boy Meets Girl" et "Mauvais Sang"), manque entraîner toute l’industrie dans une faillite industrielle avec "Les Amants du Pont-Neuf", ne réussit pas à rebondir avec "Pola X", et finit, la cinquantaine bien entamée par signer deux films aussi beaux que déroutants qui lui valent une admiration révérencieuse : "Holy Motors" et "Annette".

    Le Musée Georges-Pompidou lui a passé commande d’une exposition, qui ne s’est jamais montée, en lui posant une unique question : « Où en êtes-vous, Leos Carax ? ». Avec une étonnante franchise, le réalisateur y répond avec ce moyen métrage hors normes, une autobiographie constituée quasi exclusivement d’images d’archives, de vieilles photos, d’extraits de ses films…

    Ce patchwork aurait pu tourner au clip vidéo narcissique. Grâce au génie de Carax – car je lui reconnais volontiers une forme de génie même si je ne le place pas au panthéon de mes auteurs préférés – le piège est évité. L’ensemble est noyé dans une musique omniprésente. Elle pourrait être envahissante si elle n’était pas aussi excellente : Benjamin Britten, Maurice Ravel, Barbara, Miles Davis, Nina Simone, David Bowie bien sûr (dont Zaho de Sagazan vient de reprendre "Modern Love" durant la cérémonie d’ouverture d’un Cannes pâmé) et les Sparks qui ont signé la B.O. de "Annette".

    "C’est pas moi" est frappé au sceau de la nostalgie, une corde à laquelle je suis hyper-sensible. On y retrouve Juliette Binoche et Denis Lavant, le double fictionnel de Carax, quarante plus tôt, les traits encore à peine sortis de l’enfance, débordant d’énergie juvénile. Je ne suis plus sûr d’avoir aimé "Mauvais Sang" ; je sais que je n’ai pas aimé "Annette" ; mais j’adore l’idée qu’existe un réalisateur comme Leos Carax capable, sa vie durant, de vivre aussi entièrement son art et de tourner des films aussi originaux.
    Clem Lepic
    Clem Lepic

    34 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 juin 2024
    Film relativement court (40 min), on dirait que Leos Carax a manqué d'inspiration pour son nouveau film. En effet, il reprend des extraits de ses films précédents en ajoutant des mots en énorme sur l'écran. Film très autocentré ne présentant pas grand intérêt. La bande son est très bien choisie cependant (notamment le concerto en g mineur mouvement 2 de Ravel, "four women" de Nina Simone).
    Franck J P
    Franck J P

    2 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juin 2024
    Le petit génie du cinéma d'auteur nous livre le foisonnement de ces interrogations mais nous prive d'une vraie jouissance cinématographique.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    159 abonnés 1 055 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juin 2024
    L’enfant terrible du cinéma Français dans un exercice de cut-up dans la lignée des dernières œuvres de Godard. A qui il rend évidemment hommage. Dans ce délire kaléidoscopique tout se confronte et se percute : archives personnels, classiques du cinéma ou de la musique, défilés militaires hitleriens, dictateurs actuels, images de tournage ou de sa petite fille, la silhouette de Polanski, l’entrée du train en gare de la Ciotat, textes et slogans et même Annette. Ce montage foutraque dessine en creux le portrait de son auteur, et c’est aussi court et libre que réussi.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    116 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 juin 2024
    Invité à répondre à une interview par le centre Pompidou, Léos Carax interroge sa vision du monde. à l’aide d’images issues de ses précédents films et de l’univers cinématographique qu’il affectionne, il tente de se frayer un chemin de pensée pour appréhender son espace contemporain. Portrait par l’image d’un réalisateur engagé. En salle le 12 juin.

    spoiler: "C’est pas moi" n’a selon moi pas sa place dans les très nombreuses salles de cinéma qui ont fait le choix de le mettre à la programmation. Je ne dis pas que le discours de Léos Carax sur sa vision du monde n’est pas digne d’intérêt, mais ce prétendu film n’est pas vraiment un objet de cinéma. C’est une interview de 42min avec des images recyclées des films du cinéaste calées dessus à la va-vite, parfaite pour un documentaire Arte ou une vidéo Youtube. “C’est pas moi” n’offre pas ce que j’attends d’une séance de cinéma : une vision, une histoire, un travail permettant de transformer une successsion d’images en un tout cohérent.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    154 abonnés 516 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juin 2024
    C'est pas moi est un film inutile et anachroniquement daté. Inutile car Carax dit en beaucoup mieux et en beaucoup beaucoup plus subtil tout ce qu'il raconte là dans ses autres films. Inutile car ces 40 minutes ne sont qu'une ressucée des Histoire(s) du cinéma de Jean-Luc Godard, au point que celui-ci gagnerait sans difficulté un procès en plagiat. Inutile car le discours est tellement disloqué qu'on ne saisit pas à quoi tout cela correspond. Et daté car on dirait un vieux machin du XXe siècle. D'abord par la référence à l'œuvre précitée de Godard qui date des années 1980-1990. Mais aussi par le discours lourd lourd lourd sur les dictateur, la Shoah, les images du monde, etc. Bref, il s'agit d'un exercice vaniteux d'un grand cinéaste qu'on a sans doute trop glorifié en tant qu'individu. Espérons qu'il retrouve le chemin des grands films qu'il a trop perdu depuis trop d'années...
    La seule petite chose qu'on peut conseiller, si vous allez voir ces 40 min, est de surtout rester après le générique final car on y voit la meilleure scène, associant les univers de deux films différents de Carax.
    LLDS76
    LLDS76

    9 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juin 2024
    Objet personnel et intime brillant qui rappelle les expériences Godardienne ainsi que le début du cinéma. Il faut aimer le cinéma de Carax pour trouver un intérêt au projet, mais si c’est le cas, comme moi, ce moyen métrage de 40minutes peut vous bouleverser. J’en suis ressorti pris d’une émotion dont je ne m’attendais pas du tout. Bouleversant, poétique, une ode au cinéma. Pour les amoureux de cinéma.
    Anne CC
    Anne CC

    6 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 juin 2024
    Intimiste. Peuplé de souvenirs cinéphiles et personnels. Magnifique scène de sa fille au piano.
    Hommage à Jean-Luc Godard, aux personnes et aux proches disparus.

    Retour sur sa filmographie : Boy meets Girl, Mauvais Sang, Les Amants du Pont Neuf, Pola X, Holy Motors, Annette.
    Films à voir ou à revoir !
    Inévitables Denis Lavant et David Bowie.

    Superbe ! Une 2ème séance s'impose. Pour les fans de Leos Carax !
    Ressenti à la 2ème séance d’un film plus court, bien qu’aussi dense et rythmé. Magnifique, à (re)voir !
    Pierre
    Pierre

    8 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juin 2024
    J'ai absolument rien compris au film. Je me suis ennuyé devant. Heureusement ça durait que 45 minutes.
    Phil
    Phil

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2024
    Très beau moment, on est porté par les images, les voix, les musiques, on est captivé par un flux puissant....
    Très réussi et très agréable, décoiffant.
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