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Votre avis sur Kingdom: Ashin of the North ?
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Henrico
Kim Seong-Hun nous sert un film, qui est en fait un spin-off de la série dont on attend la saison 3. Les dicos anglais-français, proposent maladroitement "produit dérivé". Or, sans avoir rien vu des deux saisons, on peut très bien comprendre et apprécier le film. Ensuite, le mot produit dérivé sous-entend une supériorité du produit principal, en l'occurence, la série "Kingdom". Or, ce film est d'une qualité supérieure à celle de la série. Non pas que la série était de piètre qualité, bien au contraire, (voir notre critique à ce sujet), mais elle avait quelques petits défauts dont le film est totalement dépourvu. Pas de scènes à rallonge de bastons, ou d'attaques zombis, ou encore de pathos. Que du sobre et bien dosé. L'excellence est aussi de mise pour les acteurs. Avec un satisfécit pour les actrices principales (l'enfant, et l'adulte, jouée par Jun Ji-hyun, qu'Allo Ciné, a paresseusement oublié de créditer au casting !). La fin est un peu énigmatique, mais ne serait-ce pas pour nous laisser entrevoir la possibilité d'une suite? Cela ne serait pas surprenant venant du dénommé Kim.
D'un point de vue asiatique et du point de vue d'un fanatique de l'horreur ce film est sec et cliché comme le sont les films de zombies et les protagonistes féminins et tous les autres films Coréen. Le message du film est que l'ignorance des hommes privilégiés est punie tandis qu'une femme forte élevée humblement et soucieuse de sa famille est au sommet. Les personnages sont si incroyablement stupides que c'en est risible. Lorsque les soldats attaquent les civils au début de cette histoire ils décapitent sans raison les civils pour les tuer. Mais par hasard lorsque les zombies infiltrent le camp ils font tout sauf viser la tête et le cœur comme si le réalisateur Seong-hun Kim voulait simplement que ce soit un massacre où des hommes expérimentés et forts meurent de leur bêtise et de leur ignorance. Toutes les pièces de l'intrigue du début à la fin du film s'emboîtent non pas parce qu'elles se dérouleraient logiquement de cette façon dans la vie réelle mais parce que le scénariste doit faire avancer une histoire qui sinon fait du surplace. Mais tous ça n'est que mon opinion personnelle prenez-la pour ce qu'elle est...
elriad
la série est une véritable réussite de bout en bout, décors et costumes compris, mais ce préquelle (qui dans sa dernière scène retombe à l'endroit où le secret de la fleur est dévoilé et arrivera jusqu'à Janseon )est inégal et parfois frustrant. Sinon, les moyens, photo soignée, lumière saturée, paysages désertiques envoutent toujours autant le spectateur...
Le vrai monstre n'était pas celui qu'on croyait.
Film spécial retraçant les origines et le parcours d'un personnage venu se greffer en fin de saison 2 de la série de zombies sud-coréenne Kingdom, disponible sur Netflix, ce Kingdom: Ashin of the north, est construit en deux parties que je trouve assez hétérogènes dans l'écriture ou dans leur intérêt. J'ai en effet trouvé la première partie d'un ennui mortel, le comble pour une œuvre traitant des morts-vivants, alors que la seconde m'a nettement plus intéressé. La faute à un rythme très très lent, et à une succession d'événements sans grande surprise. En revanche la seconde partie, qui coïncide avec l'apparition de la protagoniste version adulte m'a beaucoup plus convaincu, diverti et intrigué, à défaut de m'avoir totalement emporté. Celle-ci est plus âpre, plus sombre et nettement plus enlevée.
Après, pour le reste, c'est comme pour la série, de superbes décors, des costumes fastueux, et une très belle reconstitution des institutions et des rapports sociaux et hiérarchiques de l'époque, bref, à ce niveau, c'est une franche réussite. Reste un film dispensable mais pas mauvais pour autant, et puis il est nécessaire de le voir pour mieux appréhender les motivations de Ashin avant d'aborder la saison 3 de Kingdom, qui ne devrait plus trop tarder à montrer le bout de son nez zombifié. Alors oui, j'y vais.
Film spécial retraçant les origines et le parcours d'un personnage venu se greffer en fin de saison 2 de la série de zombies sud-coréenne Kingdom, disponible sur Netflix, ce Kingdom: Ashin of the north, est construit en deux parties que je trouve assez hétérogènes dans l'écriture ou dans leur intérêt. J'ai en effet trouvé la première partie d'un ennui mortel, le comble pour une œuvre traitant des morts-vivants, alors que la seconde m'a nettement plus intéressé. La faute à un rythme très très lent, et à une succession d'événements sans grande surprise. En revanche la seconde partie, qui coïncide avec l'apparition de la protagoniste version adulte m'a beaucoup plus convaincu, diverti et intrigué, à défaut de m'avoir totalement emporté. Celle-ci est plus âpre, plus sombre et nettement plus enlevée.
Après, pour le reste, c'est comme pour la série, de superbes décors, des costumes fastueux, et une très belle reconstitution des institutions et des rapports sociaux et hiérarchiques de l'époque, bref, à ce niveau, c'est une franche réussite. Reste un film dispensable mais pas mauvais pour autant, et puis il est nécessaire de le voir pour mieux appréhender les motivations de Ashin avant d'aborder la saison 3 de Kingdom, qui ne devrait plus trop tarder à montrer le bout de son nez zombifié. Alors oui, j'y vais.
J'aime énormément la série, probablement l'une des plus réussies sur Netflix selon moi, et cet épisode reste de très bonne facture, même si je le trouve légèrement en deça. L'histoire met un peu de temps a décoller, comme pour la série on nous présente plusieurs personnages et il n'est pas toujours aisé de s'y retrouver entre les différents clans et les nombreuses intrigues politiques, c'est un peu brouillon même si dans la seconde partie on parvient à raccrocher les wagons. Les scènes d'action également m'ont paru moins intenses que la série (même si attention ça reste maitrisé malgré tout, la réalisation demeure efficace). Malgré ces quelques points négatifs, on passe quand même un très bon moment, les acteurs sont tous convaincants et j'ai été investit tout du long, sur le plan émotionnel j'ai été cueilli, l'histoire en elle-même est prenante, ça m'a même paru plus violent, au moins psychologiquement, que la série. Une scène vers la fin m'a particulièrement marquée (
spoiler:
quand elle retourne dans son village avec tous les habitants transformés en zombies
), je l'ai trouvée aussi émouvante que terriblement glaçante, elle me testera en tête un bon moment je pense. Bref si vous aimez la série allez-y, cet épisode s'inscrit parfaitement dans le même ton et une qualité quasi égalée, je pense aussi qu'il peut être vu et compris sans avoir suivi la série, ça peut être une éventuelle porte d'entrée, et de toute façon si vous n'avez pas vu la série, je vous encourage fortement à vous y plonger sans plus attendre.
), je l'ai trouvée aussi émouvante que terriblement glaçante, elle me testera en tête un bon moment je pense. Bref si vous aimez la série allez-y, cet épisode s'inscrit parfaitement dans le même ton et une qualité quasi égalée, je pense aussi qu'il peut être vu et compris sans avoir suivi la série, ça peut être une éventuelle porte d'entrée, et de toute façon si vous n'avez pas vu la série, je vous encourage fortement à vous y plonger sans plus attendre.
Alors comment décrire Ashin of the North,
Déjà, j'ai adoré la série de bases, donc j'attendais avec impatience cet épisode spécial, disons que j'étais peut-être trop impatient, car finalement, j'ai été un peu déçu.
Tout d'abord, une gestion de la colorimétrie parfaite, dans certaines scènes (dans les bois par exemple) ils ont utilisé des tons bleutés et dans les champs un ton plutôt jaunâtre.
Une utilisation de la caméra exemplaire, notamment avec des plans embarqués, des plans large et des très plan serrer.
Des décors toujours au rendez-vous, bien qu'ils soient moins nombreux que dans la série, ceux-ci restent efficaces.
Une utilisation de quelques personnages de la série.
Une atmosphère toujours aussi prenante, notamment dans les bois et dans les champs (la scène dans les champs avec le tigre, m'a énormément fait penser à celle de jurassic park 2 le monde perdu, avec les vélociraptors.).
Quelques petits clins d'œil à la série principal.
Personnages principaux super cool.
Malgré tout les points positifs que je viens de citer, il y a quand même du négatif.
Une VF pas si bonne, car oui, je suis de la team VF.
Un manque cruel de Zombies, car 1 h pour voir le premier zombie alors que le film dur 1 h 33, c'est toute même long.
En conclusion, Ashin of the North, est une bonne suite de la série Kingdom, légèrement inférieur à celle-ci, mais annonce du très bon pour la saison 3 que j'attend avec grande impatience.
Déjà, j'ai adoré la série de bases, donc j'attendais avec impatience cet épisode spécial, disons que j'étais peut-être trop impatient, car finalement, j'ai été un peu déçu.
Tout d'abord, une gestion de la colorimétrie parfaite, dans certaines scènes (dans les bois par exemple) ils ont utilisé des tons bleutés et dans les champs un ton plutôt jaunâtre.
Une utilisation de la caméra exemplaire, notamment avec des plans embarqués, des plans large et des très plan serrer.
Des décors toujours au rendez-vous, bien qu'ils soient moins nombreux que dans la série, ceux-ci restent efficaces.
Une utilisation de quelques personnages de la série.
Une atmosphère toujours aussi prenante, notamment dans les bois et dans les champs (la scène dans les champs avec le tigre, m'a énormément fait penser à celle de jurassic park 2 le monde perdu, avec les vélociraptors.).
Quelques petits clins d'œil à la série principal.
Personnages principaux super cool.
Malgré tout les points positifs que je viens de citer, il y a quand même du négatif.
Une VF pas si bonne, car oui, je suis de la team VF.
Un manque cruel de Zombies, car 1 h pour voir le premier zombie alors que le film dur 1 h 33, c'est toute même long.
En conclusion, Ashin of the North, est une bonne suite de la série Kingdom, légèrement inférieur à celle-ci, mais annonce du très bon pour la saison 3 que j'attend avec grande impatience.
Bien qu'assez perplexe, j'ai été totalement séduit par ce film annexe de la série qui permet de nous éclairer sur la cause de cette épidémie. Vraiment très bon en tout point.
‘Kingdom’ est une série coréenne qui récolte un succès (apparemment mérité) sur Netflix. Je ne la regarde pas, parce que les journées ne comptent que 24 heures mais je suis certain que ça me plairait beaucoup puisqu’elle mélange l’épopée historique en costumes (même si le seizième siècle est aussi obscur que n’importe quel autre siècle de l’histoire coréenne pour le spectateur européen)...et le film de zombies ! Si on en croit les showrunners de ‘Kingdom’, les Coréens auraient vaincu leurs adversaires japonais et mongols en ressuscitant des villageois tués au cours de l'invasion pour les transformer en troupes de choc anthropophages. Ce long-métrage, en fait un épisode spécial de la série, lui tient en fait lieu de préquelle. On n’aurait toutefois jamais pensé assimiler ce qu’on voit à un simple “Holiday special’, tant ‘Ashin of the North’ conjugue la maestria visuelle et la cruauté froide des meilleurs représentants du cinéma local des vingt dernières années avec un sens de la narration et de la scène-choc qui n’a rien à envier à une série de la trempe de ‘Game of thrones’. Cerise sur le gâteau, on n’a absolument pas besoin d’avoir vu la série pour en profiter et on n’a jamais l’impression que cet épisode adresse des clins d’oeil d’initié au spectateur assidu. N’hésitez pas à tenter le coup : au pire, vous n’aurez pas d’autre choix que de vous lancer immédiatement dans un binge-watching des deux saisons de ‘Kingdom’
Les premières demi heures sont époustouflantes
Il est dommage que le milieu du film souffre d'un ventre mou certes toujours interessant mais pas au niveau du reste
Il est dommage que le milieu du film souffre d'un ventre mou certes toujours interessant mais pas au niveau du reste
Du temps à se lancer, toujours un peu compliqué de comprendre initialement les enjeux politiques entre les différentes tribus...mais rien que pour Ashin (super personnage) et ce final énorme.
On comprend le lien préquelle avec la série...et du coup cela donne envie pour une saison 3.
On comprend le lien préquelle avec la série...et du coup cela donne envie pour une saison 3.
Les spectateurs de la série Kingdom, dont ce film est un spin off, vont aimer. On y retrouve tous les éléments de la série : la Corée médiévale, des conflits politiques et militaires, des trahisons, des zombies, de l'action. Si vous n'avez pas vu Kingdom mais que ces ingrédients vous parlent, ce film pourrait quand même vous plaire.
L'AlsacienParisien
Je suis tombé raide dingue de la série sud-coréenne "Kingdom" et je trouve, à bien des égards, qu'il s'agit de l'une des meilleurs séries signée Netflix. Et même si on ne raffole pas des histoires de zombies, on ne peut que reconnaitre la qualité de mise en scène, du scénario et de la reconstitution de la Corée médiévale. Malgré un rythme bien à lui, le spectacle reste total, entre scènes osées et sans pitié, humour bien dosé et action trépidante ! Mais avec son épisode spécial d'une heure et demie, "Ashin of the North", origin story axée sur le personnage d'Ashin (qui n'apparait que dans le dernier épisode de la deuxième saison), mon avis est un peu plus mitigé... Déjà, j'ai trouvé l'introduction mal adaptée et très compliquée, notamment la situation politique et militaire du pays. Il faut donc faire preuve d'efforts pour s'intéresser à ce contexte qui nous est largement inconnu. Ensuite, j'ai trouvé ce prequel plutôt dispensable dans son ensemble. Si on le regarde dans la continuité de la série, je pense que l'intérêt est tout autre mais regarder cet épisode plus d'un an après la fin de la dernière saison fait perdre beaucoup de saveur. L'atmosphère, bien que similaire, se veut plus sérieuse et dramatique et permet de revenir sur le destin d'Ashin, une petite fille survivante d'une tribu prise en étau dans une guerre féroce. En parallèle, on observe le déclenchement d'une épidémie qui va anéantir toute une nation, et ce, à partir d'un incident insignifiant... On retrouve la patte de la série, avec une présentation directe de la violence, impitoyable et peu bavarde. L'humour est ici mis en sourdine mais l'exposition de la mystérieuse plante de résurrection établit un lien direct avec les événements désastreux du début de la première saison. Mais personnellement, je suis resté sur ma faim, notamment avec le personnage d'Ashin avec lequel je n'ai bizarrement pas accroché. Je n'ai pas réussi à m'identifier à son désir de vengeance et à ses motivations. L'intrigue, aussi, est assez banale et n'arrive jamais à pousser son potentiel comme il le faut. L'ensemble est pour moi prévisible, trop long pour ce que ça raconte et trop sombre dans l'image, bien qu'on ne puisse renier totalement son efficacité. Entre fresque historique, drame humain et délire gore, ce petit film comble les attentes des fans de genre. Mais "Ashin of the North" ne nous apporte pas grand chose de neuf.
Je n'ai pas vu la Série peut-être que j'aurais du la regarder avant pour en comprendre davantage, néanmoins Film plutôt sympathique qui met du temps à démarrer mais une fois parti c'est assez rythmé et bien réalisé
La première saison de "Kingdom" est incroyable (la deuxième un peu moins) alors j'étais curieux de voir ce que ce préquel avait à proposer. A mon grand regret, pas grand-chose. La mise en contexte est longue, très compliquée et difficile à comprendre, et finalement quand les choses démarrent réellement, l'histoire est terriblement convenue et sommaire. On retrouve bien des scènes d'action bien réalisées typiques de la série (mais bien moins impressionnantes), malheureusement elles n'arrivent pas à faire oublier la faiblesse du scénario et des animaux de synthèse très laids.
Autant j'aime bcp la série, autant j'ai trouvé le film décevant. Je n'ai pas du tout accroché au personnage de Ashin. Je lis dans les commentaires qu'elle apparaît en fin de saison 2 et je nen avais aucun souvenir. Au final on a du mal à s'y replonger et une fois qu'on a raccroché les wagons l'histoire paraît bien terne. On s'ennuie plutôt. Vivement que la saison 3 rattrape le coup.
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