AlloCiné
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Votre avis sur Pas un mot ?
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bsalvert
Un thriller qui nous aurait tenu en haleine dans les années 80 mais qui la tombe à plat, Michael Douglas cherche des solutions et nous le regardons, à aucun moment on ne se sent concerné,
C’est un thriller sérieux mené avec un ton psychologique qui accroche bien, même si l’histoire n’a rien d’original. Michael Douglas en père désespéré et Sean Bean en méchant survolté mènent le jeu avec efficacité et suspense.
C'est un film a suspense mal écrit et totalement prévisible. Bien que Brittany Murphy se distingue l'histoire est exagérée et lorsque vous pouvez tout prévoir le suspense est aussi intense que de regarder de la peinture sécher. Michael Douglas doit sauver sa fille kidnappée oui il va le faire bien sûr à quand remonte la dernière fois où un film commercial gonflé et stérile d'Hollywood a t'il tué un enfant kidnappé. C'est une histoire remarquablement pathétique à tous les niveaux. Famke Jannsen a une jambe gravement cassée mais elle finit par tuer le criminel endurci qui veut l'attraper. Les kidnappeurs ont été emprisonnés pendant dix ans et en quelques semaines pourtant ils savent utiliser du matériel de surveillance audio et vidéo sophistiqué et même le cacher dans des endroits sûrs. Le détective qui découvre le complot n'a pas de partenaire et travaille littéralement seul. Pas un mot est un thriller absolument irréaliste...
Produit formaté avec son scénario prévisible, ses rebondissements attendus et ses moments toujours un peu embarrassants (le type ordinaire plus fort que les gros méchants qui deviennent subitement incapables de l’abattre le plus simplement du monde), « Pas un mot » est cependant un thriller qui fonctionne parfaitement bien. Avec son casting trois étoiles, son ambiance parfois trouble et poisseuse, son habile mélange de suspense et d’action, il remplit parfaitement sa fonction même si on peut aisément lui reprocher d’être trop formaté.
Si la réalisation manque d’élégance, le récit est conduit sur un bon rythme et exploite avec efficacité la partition que récite chacun de ses interprètes. On est parfois agréablement surpris par la construction de l’intrigue, par le choix de certains décors particulièrement soignés et par l’atmosphère blafarde d’un hiver à New-York pour passer outre les invraisemblances et les clichés.
S’il s’inscrit dans une longue liste de thrillers propres aux années 1990 et au début des années 2000 sans jamais se démarquer de la concurrence, il se regarde avec plaisir et sans ennui.
Si la réalisation manque d’élégance, le récit est conduit sur un bon rythme et exploite avec efficacité la partition que récite chacun de ses interprètes. On est parfois agréablement surpris par la construction de l’intrigue, par le choix de certains décors particulièrement soignés et par l’atmosphère blafarde d’un hiver à New-York pour passer outre les invraisemblances et les clichés.
S’il s’inscrit dans une longue liste de thrillers propres aux années 1990 et au début des années 2000 sans jamais se démarquer de la concurrence, il se regarde avec plaisir et sans ennui.
Film qui dure environ 1H40 sans compter les pubs. Vu sur RLT9 en Août 2020. Je le classerai dans les genres "suspens" et "psychologie". J'ai vu l'acteur qui a joué dans "Ultime décision" et l'actrice qui est apparu dans les X-mens sans compter l'acteur du Seigneur des anneaux. Il va de soi que le travail d'un psychiatre en France, n'a rien à voir avec ce film ou chacun peut regarder dans le dossier du patient. Et tout cela, pour régler un problème de vol. Pour résumer l'histoire du film, c'est 1 groupe de voleurs qui agissent contre la super super et formidable famille d'un psychiatre pour qui la seule solution est de régler le problème seul. Je donne 1 étoile et le film le mérite malgré la présence de Michael D.
Un tissus d''âneries incohérentes. Des pistes qu'on oublie de développer, un rôle de fliquette d'une absurdité à peine croyable. Douglas qui fait du mauvais Douglas. Quand au fond, c'est de l'auto-vengeance bien lourdingue (notons aussi au passage que le scénariste s'en prend à Freud, on se demande bien pourquoi ?) On sauvera éventuellement le casting féminin.
L'immense Micheal Douglas est encore victime d'un jeux pervers. guidé par Sean Bean. Et non par Sean Penn. Pour une ancienne affaire et donc une vengeance, un psychiatre de renommer se penche sur le cas d'une fille qui ne dit aucun mot pour trouver un chiffre contre la vie de la sienne pour retrouver un bijoux. Plutôt malin, mais un peu superficiel. Brittany Murphy est la révélation de ce film. Un bon thriller mais avec une fin approximative et touchante ceci dit
Un très bon thriller au scénario prenant. Michael Douglas y incarne un psychiatre qui doit faire parler une jeune fille internée. Elle détient un secret qu'une bande de gangster veut à tout prix. La fille du psychiatre a été enlevée pour l'obliger à collaborer. Douglas est parfait dans son rôle, un homme ordinaire confronté à des voyous sans foi ni loi. Sean Bean est lui aussi brillant dans son rôle de gangster. On passe un très bon moment.
Thriller fade. Un peu trop téléphoné et où les personnages sont bâcles. On finit le film sans se forcer c'est vrai mais on finit par se dire que le film s'oubliera aussi vite qu'il s'est vu.
Pas un mot, le film commence très bien, c'est très bien interprété, dans l'asile il y a la jeune fille malade qui interprète très bien son rôle difficile, elle est décédée peu après le tournage. Le film démarre bien mais après le scénario reste à désirer, il manque quelque chose, il manque un artifice, une authenticité. C'est bien dommage car c'est une superbe production. Le suspens tombe trop rapidement, mais ce film reste agréable à regarder.
Rien de bien original dans ce thriller archi conventionnel. L'histoire ne tient pas grandement la route et on peut dès le début du film savoir comment cela finira.
Bref : à voir pour la regretté Brittany Murphy peut être.
Bref : à voir pour la regretté Brittany Murphy peut être.
ferdinand75
Un petit thriller qui a un air de "déjà vu", mais qui vaut surtout par la superbe interprétation de Michael Douglas, toujours absolument impeccable,et charismatique, dans le rôle de ce notable, psychiatre , qui va tout faire pour retrouver sa petite fille enlevée. Un bon supsens ,qui nous tient en haleine jusqu'au bout.
Franchement, je l'avais déjà vu, et deux fois, encore. Mais je n'en ai eu souvenance que lorsque j'ai vu Famke Janssen avec son plâtre, c'est le seul souvenir que je gardais de ce film. Ce qui ne veut pas dire qu'il soit mauvais, loin de là, mais il n'est apparemment pas très marquant, la preuve,, je ne me souvenais même plus qu'il y avait Michael Douglas, c'est dire. Donc, je l'ai vu avec un oeil neuf, et il n'y pas vraiment de suspens, puisque c'est Hollywood et qu'il y a une gamine, on devine donc la fin. Mais on n'a pas le temps de s'ennuyer, même si les rebondissements de fin tirent un peu en longueur, et que ce n'est guère vraisemblable, un malfrat endurci qui a attendu ce moment pendant dix ans, face à un psy vieillissant et peu sportif, ( c'est vrai, quoi, le fils n'est pas le père, il est mollasson ), bref, c'est du cinoche. Sinon, je lisais la critique d'un professionnel qui parlait d'apologie de l'auto-justice, et, "il l'a laissé s'enterrer vivant ", mais enfin, il devait faire quoi, creuser avec ses petites menottes ? Moi, j'ai trouvé que c'était de la légitime défense dans ce film. Passons, c'est un bon divertissement, très classique, archi-convenu, et il faut arrêter de tout comparer avec Seven, ce film n'est même pas vraiment un thriller, puisqu'on sait dès le début qui sont les méchants. Il n'empêche, on passe un bon moment, c'est l'essentiel.
Nicothrash
Un thriller inégal sur la durée mais qui partait pourtant bien. On est intrigué par le début et par les connexions qu'il peut y avoir entre chaque personnage et chaque événement, d'autant plus que le casting est fort bien choisi, on se retrouve donc rapidement embarqué dans une intrigue qui parait complexe. Malheureusement, l'ensemble manque de rythme et la durée est mal dosée, deux heures c'est très bien lorsque l'on a quelque chose à dire, là ça ressemble à du remplissage avec une surenchère de rebondissements qui n'amènent finalement pas grand chose. Pendant une bonne partie du métrage on n'avance pas et ça tombe un petit peu à plat, on trouve donc à juste titre le temps long entre quelques incohérences et des enjeux limités. Le final est quant à lui plus que jamais tiré par les cheveux et énerve plus qu'il ne stresse. Restent des acteurs qui font le job et le plaisir de retrouver la regrettée Brittany Murphy, ça ne renouvelle pas le genre mais ça se laisse voir une fois.
Dans les années 90, le star system marchait encore. Et pour cause, il suffisait d’une célébrité hollywoodienne pour que le film en question, tout aussi basique qu’il soit, attise l’attention des curieux. Comme par exemple Le Collectionneur avec Morgan Freeman (surfant sur la côte de Se7en). Mais ce concept s’est peu à peu atténué au fil des années, causant la perte de nombreux projets tombés dans l’oubli dès le jour de leur sortie. Ce fut le cas de Pas un mot…, thriller qui ne fit pas des merveilles en 2001 et ce pour plusieurs raisons (dont un titre pas vraiment accrocheur, il faut bien l’admettre) malgré des qualités de divertissement indéniables.
Le premier problème provient avant tout du casting. Non pas qu’il soit mauvais, loin de là ! En effet, il propose tout un lot de comédiens assez bons dans leur domaine dont la regrettée Brittany Murphy, l’excellent Sean Bean et d’autres seconds rôles forts honorables (Famke Janssen, Oliver Platt, Jennifer Esposito…). Sans oublier un Michael Douglas fidèle à lui-même ! Mais voilà, du début jusqu’à la fin, Pas un mot… donne l’impression de ne reposer que sur les épaules de ce dernier. De ne laisser aucunement la chance à ses comparses de se mettre en avant alors qu’ils ont quelque chose à revendre (Sean Bean en antagoniste vaut toujours son pesant d’or).
Et pour affirmer que le long-métrage ne compte que sur la présence de son acteur principal, il suffit de voir le scénario pour s’en rendre compte : une banale histoire d’enlèvement d’enfant lié à un braquage raté. Bref, le genre de script que nous a livré Hollywood depuis bien des décennies et ce sous diverses versions copiées et recopiées. Surtout que l’ensemble part assez souvent en cacahuète, via un final qui traîne bien trop en longueur (et usant d’effets numériques franchement dispensables et immondes visuellement parlant) et une trame secondaire totalement inutile (la policière jouée par Jennifer Esposito ne sert strictement à rien, à part meubler le tout pour que le film atteigne une durée de 2h).
Pourtant, Pas un mot… n’est pas aussi mauvais que cela, étant donné que le film sait divertir ne serait-ce qu’un minimum. Et cela, il le doit au traitement de l’intrigue, plutôt captivante en soi, et de l’ambiance qui s’en dégage. Bon, il ne faut pas trop exagérer : nous sommes bien loin d’un David Fincher ! Mais il y a suffisamment de matière et de savoir-faire pour que l’on s’intéresse par ce qui tracasse les protagonistes principaux. Rien qu’en ce qui concerne le personnage d’Elisabeth (interprétée par Brittany Murphy), jeune fille hanté par un passé au point d’être devenue catatonique au fil des années. Un pan de l’intrigue qui flirte par moment avec le paranormal via l’atmosphère arborée. Bien entendu, ce n’est pas du calibre de X-Files, donc ne vous attendez pas à avoir des fantômes, des petits hommes verts ou autres trucs bizarroïdes à la Sixième Sens. Mais c’est superbement dosé pour que l’on se sente intrigué par le script. Et pour un thriller, c’est une bonne chose, non ?
Alors oui, Pas un mot… n’est pas le polar hollywoodien le plus impérissable qui puisse exister. Ni un projet inoubliable de la filmographie de Michael Douglas, déjà bien garnie. Non, il s’agit-là d’un divertissement sans réelle prétention, idéal pour un samedi soir, ni plus ni moins. Il est tout de même fort dommage qu’avoir Douglas au casting ait été le seul moteur de ce projet, ne comptant que sur la présence de la célébrité pour exister.
Le premier problème provient avant tout du casting. Non pas qu’il soit mauvais, loin de là ! En effet, il propose tout un lot de comédiens assez bons dans leur domaine dont la regrettée Brittany Murphy, l’excellent Sean Bean et d’autres seconds rôles forts honorables (Famke Janssen, Oliver Platt, Jennifer Esposito…). Sans oublier un Michael Douglas fidèle à lui-même ! Mais voilà, du début jusqu’à la fin, Pas un mot… donne l’impression de ne reposer que sur les épaules de ce dernier. De ne laisser aucunement la chance à ses comparses de se mettre en avant alors qu’ils ont quelque chose à revendre (Sean Bean en antagoniste vaut toujours son pesant d’or).
Et pour affirmer que le long-métrage ne compte que sur la présence de son acteur principal, il suffit de voir le scénario pour s’en rendre compte : une banale histoire d’enlèvement d’enfant lié à un braquage raté. Bref, le genre de script que nous a livré Hollywood depuis bien des décennies et ce sous diverses versions copiées et recopiées. Surtout que l’ensemble part assez souvent en cacahuète, via un final qui traîne bien trop en longueur (et usant d’effets numériques franchement dispensables et immondes visuellement parlant) et une trame secondaire totalement inutile (la policière jouée par Jennifer Esposito ne sert strictement à rien, à part meubler le tout pour que le film atteigne une durée de 2h).
Pourtant, Pas un mot… n’est pas aussi mauvais que cela, étant donné que le film sait divertir ne serait-ce qu’un minimum. Et cela, il le doit au traitement de l’intrigue, plutôt captivante en soi, et de l’ambiance qui s’en dégage. Bon, il ne faut pas trop exagérer : nous sommes bien loin d’un David Fincher ! Mais il y a suffisamment de matière et de savoir-faire pour que l’on s’intéresse par ce qui tracasse les protagonistes principaux. Rien qu’en ce qui concerne le personnage d’Elisabeth (interprétée par Brittany Murphy), jeune fille hanté par un passé au point d’être devenue catatonique au fil des années. Un pan de l’intrigue qui flirte par moment avec le paranormal via l’atmosphère arborée. Bien entendu, ce n’est pas du calibre de X-Files, donc ne vous attendez pas à avoir des fantômes, des petits hommes verts ou autres trucs bizarroïdes à la Sixième Sens. Mais c’est superbement dosé pour que l’on se sente intrigué par le script. Et pour un thriller, c’est une bonne chose, non ?
Alors oui, Pas un mot… n’est pas le polar hollywoodien le plus impérissable qui puisse exister. Ni un projet inoubliable de la filmographie de Michael Douglas, déjà bien garnie. Non, il s’agit-là d’un divertissement sans réelle prétention, idéal pour un samedi soir, ni plus ni moins. Il est tout de même fort dommage qu’avoir Douglas au casting ait été le seul moteur de ce projet, ne comptant que sur la présence de la célébrité pour exister.
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