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This charming man
2 critiques
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2,5
Publiée le 16 juillet 2024
L'histoire est sensée se passer en 1985 mais des dialogues ( "tu veux que je te joue un son"), des chansons entendues lors des scènes de discothèque et certaines tenues vestimentaires ne concordent pas avec cette année choisie par la réalisatrice. Quant à la présence non-stop de fumeurs/fumeuses à l'écran, c'est d'une exagération !
J'avais gardé ce film en réserve après des souvenirs de critiques élogieuses, mais quelle déception! On suit le cheminement de Stella adolescente paumée entre son bac, sa famille dysfonctionnelle, son groupe d'amies, les soirées nightclub aux Bains et les petits amis. Mais le rythme est bien trop lent, les personnages peu développés, le scénario mal construit voire parfois incohérent, et on finit par se désintéresser du sort de Stella qui génère peu d'empathie. Restent une bande son et des scènes de danse plutôt sympas, la bonne prestation de Flavie Delangle en Stella, et la consommation prodigieuse de cigarettes à tout moment...
BIS. Stella a grandi et l'astre a perdu de sa clarté. Les émotions se sont envolées avec son âge. Des petits bouts de Sylvie Verheyde pour nous distraire de l'ennui. Un chagrin d'amour sans consequences dangereuses. Lola Lecomte a aimé.
Stella est amoureuse mais fait la gueule tout le film. Nous, on s' ennuie tout le film, les second roles sont inexistants comme dans la plupart des films français. Les copines de Stella n'apportent rien au film. Heureusement, la bande son est super mais c'est pas suffisant pour faire un bon film.
C'est vrai, il ne se passe pas grand chose mais le film restitue bien l'ambiance de cette année de Terminale où Stella est à mi-chemin entre l'adolescence et la vie d'adulte, se cherche, ne sait pas ce qu'elle va faire ensuite, ne sait pas ce qu'il va advenir de ses parents qui sont tous les 2 un peu perdus... Je me suis un peu reconnue, étant plus ou moins de la même époque, avec aussi une bande de copines, avec aussi un voyage en Italie (mais pas parisienne : pas de Bains-Douches !) La comédienne est très bien, surtout quand elle ne parle pas (ça tombe bien : elle est très silencieuse). D'ailleurs le son est très mauvais, j'ai raté plein de dialogues, dommage (mais on peut facilement suivre quand même !) Beaucoup de sensualité dans la danse, dans les scènes amoureuses même si on échappe pour une fois à des scènes explicites, bravo ! Je rejoins de nombreux commentaires : trop de cigarettes, faut pas exagérer quand même ! Surtout qu'on voit très bien que les comédiens ne fument pas vraiment, ça fait "fake". Quelques anachronismes (détails !) : le mot "cassos", le prénom Stella (à l'époque, c'était plutôt Estelle !), la forme de la petite culotte ;)
Le récit d’émancipation féminine plein de charme et de tendresse d’une ado parisienne désenchantée dans les années 80, portée par une jeune actrice charismatique.
C’est raté. Le scénario est faible, les clichés des décors et habillages qui se veulent 85-90’s. Le black Panther habillé comme LL Cool J et non comme un black Panther (chemise et cuir). Malgré de bonnes interprétations.
Je me suis ennuyé car les personnages sont peu intéressants, voir désagréables. Le film est censé se passer dans les années 1980 mais l'immersion n'est pas totale. La bande originale n'est pas mal.
Dommage que la réalisatrice soit autant accro à la clope (Gainsbourg passerait pour un abstinent à côté des personnages du film qui pompent non stop...jamais vu ça) car l'histoire est sympathique et la réalisation faite avec subtilité et intelligence. La peinture de la vie des ados des années 80 est assez réaliste (pour l'avoir vécu réellement). Les sentiments des jeunes filles qui passent à l'âge adulte sont bien exprimés. La métamorphose physique et psychologique est douloureuse et pleine de questions sur la vie qui s'annonce pour ces jeunes dont certains sont perdus et inquiets. L'actrice principale, Flavie Delangle, aux faux airs d`Anaïs Demoustier il y a 15 ans, est très juste, très fine dans son interprétation. Bravo à elle.
Le premier film était un peu décevant déjà, où une enfant se retrouvait témoin de tout ce qui se passait dans le bar de ses parents dont la faune était l'élément principal d'un film sans réel enjeu. Malheureusement la cinéaste reprend la même idée de base, sauf que cette fois au lieu du bar c'est devenu la discothèque. En résumé, une ado lambda devient une addict de la célèbre boîte des Bains Douches. Le plus décevant encore c'est quand on lit les déclarations de la réalisatrice, donc non par exemple les différences sociales se vivent dès la primaire ou comment croire qu'avoir connu le bar enfant empêcherait de tomber dans la drogue ?! Tandis que dans le film on ne ressent au contraire aucun danger, ça paraît beaucoup trop "classe" et "sage" comme boîte pour y ressentir une tension ou autre. Le scénario alterne entre scènes de danse plutôt redondantes en discothèques et passages entre amies ados très teen-movie, entrecoupées de séquences familiales plus tristes mais sans réelles conséquences sur le récit. Ainsi cette suite reste cohérente avec le premier film, mais pour faire court ce n'est pas très intéressant malgré la belle révélation du film. Site : Selenie.fr
Je me suis demandée su ce film n’avait pas été sponsorisée par lindustrie du tabac tant la cigarette est présente à chaque plan. J’ai aimé la musique des années 80, mais je ne me suis pas retrouvée dans l’adolescente insouciante et sans projet d’avenir. Les séquences en boite d enuit ont fini par me lasser, ainsi que les gros plans sur les visages. J’ai aimé Marina Foys dans le rôle de la mère-copine qui laisse son ado vivre sa vie, plongée dans ses propres soucis. Je me suis demander pourquoi mettre en si bonne place Benjamin Biolay au générique tant ses apparitions se comptent sur une main. Le pompon va à la chanson composée par l’homme qu’aime Stella : sirupeuse et gnian-gnian à souhait. A la fin du film, je me suis demandée à qui «était destiné ce film : pas aux ados actuels, ni aux anciens ados des années 80.
Mais comment le cinéma français a t il pu passer en l'espace de 40 ans du génial "LA BOUM" à la daube "Stella est amoureuse" ?? c'est la seule réflexion que l'on peut avoir en voyant ce film pathétique sans scénario, sans dialogue et sans acteur !! on dirait que ce film a été fait par un stagiaire et encore un mauvais stagiaire !! c'est d'une nullité sans nom et d'un ennuie abyssale !! A FUIRE