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Votre avis sur Evangelion : 3.0+1.0: Thrice Upon A Time ?
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Visuellement et musicalement c'est propre, on ne sent pas le temps passer, et on ne peut qu'imaginer le travail colossal que ça a nécessité (les crédits de fin durent 10 minutes...!). Dommage qu'il n'ait pas eu le droit à une sortie au cinéma.
Mais au delà de ça, on attendait surtout une conclusion, certes avec la saga Evangelion les réponses ne sont jamais servies sur un plateau et chacun les interprétera à sa manière, mais Hideaki Anno s'en est finalement bien sorti après ce qui semblait être une impasse au niveau de l'histoire.
ça n'égalera pas le film de conclusion "The End of Evangelion" de 1997, mais ça nous dévoile plus la psychologie de Gendo Ikari et c'était une pièce importante du puzzle pour une meilleure compréhension des choses.
Mais au delà de ça, on attendait surtout une conclusion, certes avec la saga Evangelion les réponses ne sont jamais servies sur un plateau et chacun les interprétera à sa manière, mais Hideaki Anno s'en est finalement bien sorti après ce qui semblait être une impasse au niveau de l'histoire.
ça n'égalera pas le film de conclusion "The End of Evangelion" de 1997, mais ça nous dévoile plus la psychologie de Gendo Ikari et c'était une pièce importante du puzzle pour une meilleure compréhension des choses.
Benito G
Une conclusion avec les moyens de ses ambitions : quand on connaît les galères financières qu'a connu l'auteur sur la série originelle... Belle revanche ! La mise en image est littéralement époustouflante, le crayonné exceptionnel ; on atteint ici le sublime. Renversant de beauté, de diversité et d'idées toutes plus extraordinaires les unes que les autres.
Comment conclure l'un des trois plus importants animes de l'histoire ? On commence par un résumé partiel, très partiel, de près de 4 minutes avant de retrouver nos personnages. La NERV se reconstruit, Shinji et Rei refont surface et retrouvent Asuka après le quasi-troisième impact, mais ils ont quelques peu changé, surtout Rei : elle a absolument tout oublié de qui elle était...
Cette fois l'organisation est déterminée à détruire la dernière base de la NERV afin d'éviter un éventuel 4ème impact.
C'est un univers post-fin du monde, toujours foisonnant, dans lequel on se replonge avec un plaisir incontestable, et c'est toujours la profondeur et l'intensité des protagonistes qui nous séduit. Philosophiquement on est absorbé par ce drame planétaire et humain abordant une multitude de thèmes. Anime sexué, formidablement violent, mais surtout animé par une réflexion théologique : même si ce 3.0 se répète un peu et perd en réflexion méta ce qu'il gagne en mecha.
J'exagère : la dernière heure reprend le thème du transhumanisme déifié, reprenant la structure de la série pour s'achever en apothéose. Se focalisant sur un flamboyant plaidoyer à l'égard des relations humaines, ces liens infimes qui unissent l'humanité.
Ca reste et restera une saga au ton unique qui, au-delà des notions de métaphysique, s'achève sur un plan... étonnant.
Comment conclure l'un des trois plus importants animes de l'histoire ? On commence par un résumé partiel, très partiel, de près de 4 minutes avant de retrouver nos personnages. La NERV se reconstruit, Shinji et Rei refont surface et retrouvent Asuka après le quasi-troisième impact, mais ils ont quelques peu changé, surtout Rei : elle a absolument tout oublié de qui elle était...
Cette fois l'organisation est déterminée à détruire la dernière base de la NERV afin d'éviter un éventuel 4ème impact.
C'est un univers post-fin du monde, toujours foisonnant, dans lequel on se replonge avec un plaisir incontestable, et c'est toujours la profondeur et l'intensité des protagonistes qui nous séduit. Philosophiquement on est absorbé par ce drame planétaire et humain abordant une multitude de thèmes. Anime sexué, formidablement violent, mais surtout animé par une réflexion théologique : même si ce 3.0 se répète un peu et perd en réflexion méta ce qu'il gagne en mecha.
J'exagère : la dernière heure reprend le thème du transhumanisme déifié, reprenant la structure de la série pour s'achever en apothéose. Se focalisant sur un flamboyant plaidoyer à l'égard des relations humaines, ces liens infimes qui unissent l'humanité.
Ca reste et restera une saga au ton unique qui, au-delà des notions de métaphysique, s'achève sur un plan... étonnant.
Enfin l'ultime chapitre du Manga culte Evangelion, avec une véritable fin, toujours aussi complexe et torturée, mais incroyablement poignante et prenante, par tous ses personnages et son histoire unique !
J'avais détesté le 3. J'étais parti pour détester celui-là aussi en voyant le début qui était dans le même ton que le 3 avec la surféminisation du casting. Puis je me suis dit que je vais laisser le film jouer en faisant autre chose à côté... sauf que, malgré tout le jargon énuméré, toutes les références évoquées et les imbroglios sentimentaux, il apparaissait une cohérence interne qui, malgré la représentation de Shinji qui était aussi misérable que ce qu'il avait toujours été, donnait au tout une force et un intérêt, une cohérence qui faisait sens et réunissait la saga autour de quelque chose qui semble avoir de l'importance _ et à partir de ça les personnages se sont développés, ont évolué et ont changé à un point qui aurait paru insoupçonné il y a quelques années. Ce film, c'est du sérieux _ c'est comme si la saga aussi avait muri. Il semble même dommage qu'elle prenne fin _ contrairement à d'autres comme l'ADT qui a abusé de la patience du monde.
Apothéose réussie, toujours aussi impressionnant visuellement, belle conclusion !!
À voir et revoir sans modération.
À voir et revoir sans modération.
Il donne une fin magnifique à cette saga mitique du manga et de l'animation japonaise je vous le conseille vivement comme tous la série de film ou l'anime
Long, compliqué, on ne comprend rien. Trop de complexités, trop tiré par les cheveux, trop de scènes ou on ne comprend rien visuellement, trop de trop.
"Evangelion 3.0+1.01" est le quatrième et dernier volet de la série "Rebuild of Evangelion",
qui se veut à la fois résumé très condensé de la série d'animation (le premier volet) et fin alternative à cette série phare de la jap'animation des années 90.
Suite directe du volet précédent ("Evangelion 3.0 : You Can (Not) Redo"), avoir vu les précédents volets est un prérequis nécessaire à la compréhension de cet épisode, sous peine d'être plongé dans une incompréhension abyssale à chaque nouvelle scène.
Cette nouvelle fin très spectaculaire sublime par sa technique très colorée et son rythme très maitrisé, tel un concert classique.
Il se permet de nombreuses références à la culture télévisuelle japonaise, lors d'un combat de créatures géantes dans un décor citadin en carton (les séries de héros contre des monstres géants), et des plans des créatures dans un studio de cinéma, cassant ainsi le mur métaphysique de sa nature d'œuvre fictive.
Il propose aussi de nombreux clin d'œil à la série, soit au détour d'un dialogue, d'une phrase, ou d'une coiffure.
Plus qu'une conclusion, une nouvelle vision sur cette période compliquée de la vie, le passage à l'âge adulte. Un fabuleux Au Revoir à cette série.
Seul petit point faible : la musique. À part la chanson de fin, entendue dans la bande-annonce, la musique n'est pas aussi présente et percutante que dans la série d'animation. Oubliable. Dommage.
Nouvelle fin, toute aussi vraie que les autres. Peut-être mieux compréhensible car plus explicite sur le devenir psychologique de ses héros.
Ce n'est pas un animé à simple grand spectacle. Il réclame un visionnage attentif, pour capter chaque sous-entendu, chaque non-dits, chaque mimique a son importance.
Une fin en apothéose, à laquelle ont participé de nombreux studios d'animation (MADBOX, MADHOUSE, ufotable, CloverWorks pour ne citer qu'eux).
qui se veut à la fois résumé très condensé de la série d'animation (le premier volet) et fin alternative à cette série phare de la jap'animation des années 90.
Suite directe du volet précédent ("Evangelion 3.0 : You Can (Not) Redo"), avoir vu les précédents volets est un prérequis nécessaire à la compréhension de cet épisode, sous peine d'être plongé dans une incompréhension abyssale à chaque nouvelle scène.
Cette nouvelle fin très spectaculaire sublime par sa technique très colorée et son rythme très maitrisé, tel un concert classique.
Il se permet de nombreuses références à la culture télévisuelle japonaise, lors d'un combat de créatures géantes dans un décor citadin en carton (les séries de héros contre des monstres géants), et des plans des créatures dans un studio de cinéma, cassant ainsi le mur métaphysique de sa nature d'œuvre fictive.
Il propose aussi de nombreux clin d'œil à la série, soit au détour d'un dialogue, d'une phrase, ou d'une coiffure.
Plus qu'une conclusion, une nouvelle vision sur cette période compliquée de la vie, le passage à l'âge adulte. Un fabuleux Au Revoir à cette série.
Seul petit point faible : la musique. À part la chanson de fin, entendue dans la bande-annonce, la musique n'est pas aussi présente et percutante que dans la série d'animation. Oubliable. Dommage.
Nouvelle fin, toute aussi vraie que les autres. Peut-être mieux compréhensible car plus explicite sur le devenir psychologique de ses héros.
Ce n'est pas un animé à simple grand spectacle. Il réclame un visionnage attentif, pour capter chaque sous-entendu, chaque non-dits, chaque mimique a son importance.
Une fin en apothéose, à laquelle ont participé de nombreux studios d'animation (MADBOX, MADHOUSE, ufotable, CloverWorks pour ne citer qu'eux).
Techniquement, visuellement et musicalement irréprochable, cet ultime opus de l'anime culte (c'est assez rare pour le souligner, mais l'adaptation manga est postérieure à l'anime) ne séduira sans doute que les fans tant son récit reste opaque. Evidemment, il faut avoir vu les films précédents, dont cet épisode est la suite et la conclusion. Pour les fans de l'anime, ce film et l'épisode précédent, s'insère narrativement entre la fin de l'anime (et la mort du 13ème ange, Kaworu) et l'épilogue tellement controversé à sa sortie. Et de fait, il rend plus clair la fin de l'animé tout en enfonçant le clou. Personnellement j'avais aimé cette fin, cet épisode ne peut donc que me conforter. Mais cet épisode nous révèle sa pépite surtout dans la seconde moitié du film, car si vous n'êtes pas fan, il est certain que vous aurez décroché avant, tant la première partie oscille entre la lenteur de développement et un récit abscons. La série n'est déjà pas bien accessible sans une véritable attention, mais compte tenu de l'action, il est encore possible de s'en abstraire et d'apprécier la série. Ici, impossible de profiter de l'œuvre sans s'accommoder du fond de l'histoire, alors révisez un peu (la Seele, le plan de complémentarité de l'homme, le statut des des nages et celui des Eva, etc.). Rien de surprenant, mais on comprend enfin les motivations dernières de Gendô Hikari, et on observe enfin Shinji à maturité. C'est donc une conclusion touchante qui s'attache plus au devenir des personnages qu'à la résolution des énigmes et mystères entretenus jusque-là vec la mort symbolique du père portée à de multiples niveaux (Nietzche ne renierait sans doute pas une conclusion déicide comme condition de l'élévation de l'homme). Une petite mention particulière au personnage de Mari, dont je ne voyais absolument pas l'intérêt dans l'épisode précédent, et qui se révèle finalement essentielle dans l'évolution de Shinji. Et enfin une conclusion pour la colérique mais non moins attachante Asuka. Ce n'est donc pas un film révolutionnaire, mais au saura gré à Hideaki Anno d'avoir su apporter une conclusion humaine et attachante à ses personnages restés en vie. Reste à attendre la sortie blu ray/DVD pour achever la collection :-)
J'ai juste envie de demander pourquoi autant de 3d et surtout pourquoi autant de 3d aussi bâclé et moche, pour ma part c'est pitoyable et honteux, on parle quand même de EVANGELION.
En terme de conclusion pour une saga, je n'ai pas vu mieux depuis la planète des Singes, et ma dernière grosse claque en animation remonte à 2019 avec Dragons 3.
Hideaki Anno a parfaitement rendu hommage à sa franchise.
Entre le visuel (mention spéciale pour le travail sur l'eau), la musique, les plans et bien sûr les personnages, ce film réussi parfaitement dans son objectif. Il n'y a absolument RIEN à jeter.
En tout point le meilleur film de la franchise.
Hideaki Anno a parfaitement rendu hommage à sa franchise.
Entre le visuel (mention spéciale pour le travail sur l'eau), la musique, les plans et bien sûr les personnages, ce film réussi parfaitement dans son objectif. Il n'y a absolument RIEN à jeter.
En tout point le meilleur film de la franchise.
Comparé a Rebuild of Evangelion 3.0 il a un scenario et des personnage beaucoup mieux écrie, un véritable chef d’œuvre.
Super film si on a déjà vu les 3 premiers, c'est plus facile à comprendre.
La fin un peu complexe mais finalement c'est plus compréhensible que la série
La fin un peu complexe mais finalement c'est plus compréhensible que la série
Je suis dans la minorité mais j'ai vraiment était dessus par la tournure prise pour ce dernier volet. J'avais beaucoup accroché a l'univers d'Evangelion et avait trouvé que les deux premiers volet de cette trilogie rendait le tout plus intéressant. Ce film change complètement de direction et essaye d'être plus impressionnant et complexe et pour moi en fait trop.
Juste un Chef-d'œuvre de l'animation! H.Anno Termine ENFIN son oeuvre en une Tuerie de qualité visuelle et scénaristique toujours avec un développement complet des personnages quasi jamais vu au jour d'aujourd'hui. Il nous livre le FINAL d'une série épique de plus de 25 ans et qui compte dans les sérieuses Références du manga et de la Japanimation,; Qui a joué un tournant majeur dans la qualité des graphiques de personnages utilisés aujourd'hui ainsi que dans les méchas. Le Dom Pérignon de l'animation. Si vous etes un profane, Plongez vous dans univers afin d'en apprécier toutes les subtilités détails at aspérités que compose cette oeuvre.
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