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    En décalage
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    Arnaud KaDo
    Arnaud KaDo

    65 abonnés 255 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 août 2022
    Film looooonnng !!!!

    N'y allez pas gardez votre énergie .

    Quelle déception. J'avais beaucoup d'attente vu la bande annonce mais le résultat n'est pas au rdv .

    Non seulement les personnes sont insignifiant mais l'actrice principale est particulièrement molle !

    L'histoire est en elle (encore faut il qu'il y est une histoire) est pas intéressante . Ça manque de suspens et d'intrigues. Du coup on décroche très rapidement au bout de dix minutes de film on sait que tout le film sera comme ça donc on compte les minutes.

    Je pense que l'absence de musique aussi n'aide pas car du coup on dirait que tout est fait pour endormir le spectateur. Déjà que le scénario est pas top mais en plus une absence de musique la totale .

    L'actrice principale m'exaspère car elle est molle et prend tout son temps pour le moindre geste ou action ( on dirait qu'elle fait exprès pour bien rendre le film encore plus chiant ...)
    traversay1
    traversay1

    3 602 abonnés 4 870 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 août 2022
    Nombreux sont ceux qui ont découvert la merveilleuse Marta Nieto dans Madre (court-métrage puis long) de Rodrigo Sorogoyen et qui attendaient avec impatience de la revoir en tête d'affiche. Espérance comblée dans le très sensoriel En décalage, du cinéaste barcelonais Juanjo Giménez Peña, lequel n'avait alors à son actif qu'un seul long-métrage, datant de 2001. Le film part d'une idée très originale, avec cette ingénieure du son qui se met à entendre les sons avec un retard de plus en plus grand, un handicap insurmontable pour sa vie professionnelle mais surtout une gêne puissante dans sa relation aux autres. Cette héroïne, dont symboliquement on ne connait pas le prénom, En décalage la traite comme un être en souffrance avant de faire évoluer son intrigue vers d'autres rives, fantastiques, loin du réalisme du départ. Ce virage, très romanesque, est un peu forcé mais ravive l'intérêt pour cette femme sensible et solitaire, qui a du mal à faire coïncider l'image et le son spoiler: et dont les origines vont s'éclaircir peu à peu.
    Le travail sur le son, justement, est l'un des atouts majeurs du film, qui ne peut que déstabiliser le spectateur qui vit strictement les mêmes sensations que son personnage principal. Pour ce faire, il fallait une actrice exceptionnelle et Marta Nieto en est une, assurément. En décalage, lui, s'inscrit dans la mouvance d'un cinéma espagnol en grande forme, dans des registres très différents (Compétition officielle, El buen patrón, As Bestas ...).
    FaRem
    FaRem

    8 709 abonnés 9 565 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2023
    On est probablement tous tombés sur un film avec des problèmes de synchronisation au niveau du son, ce qui est très désagréable, alors imaginez ce même décalage, mais dans la vraie vie. C, qui est monteuse son, rencontre des problèmes avec sa perception des sons. Cela se répercute d'abord sur son travail puisque tout ce qu'elle rend est désynchronisé puis sur sa vie privée lorsque le problème s'accentue. Problème mental ou réelle désynchronisation, le problème de C devient de plus en plus sérieux lorsque cette latence s'aggrave. Elle en arrive à un point où je pense que c'est même pire que de perdre l'audition, car tout entendre en décalage de plusieurs minutes doit être invivable. Juanjo Giménez Peña adore ce genre d'histoire, il n'y a qu'à voir son court-métrage "Timecode". Son concept est génial d'autant plus que cela peut permettre de flirter avec d'autres genres comme quand elle entend des choses sans avoir été à l'endroit précis, mais en même temps, son film est loin d'être abouti. C'est original, intrigant et la mise en scène sonore est géniale, mais ça devient vraiment redondant à la longue. On dirait que le réalisateur ne sait pas quoi faire par la suite. "Tres" est finalement un drame sur une femme qui se cherche, un film avec de bonnes idées, mais qui m'a laissé sur ma faim.
    Vince
    Vince

    42 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2022
    En décalage ou Tres en espagnol, est le nouveau film du réalisateur catalan Juanjo Giménez mettant en scène Marta Nieto dans le rôle principal, une jeune femme appelée C., ingénieur de son pour la publicité et le cinéma, et qui vit à 100 % de son travail, une véritable passionnée. Elle passe régulièrement ses journées, seule dans le studio, à mixer le son sur les films et publicités, à enregistrer des effets de son, à éditer, mixer, superposer les sons, les musiques et ambiances. Le studio est en quelque sorte son refuge, où elle est à l’abri des relations avec son ancien petit ami, sa mère ou encore ses collègues de travail. On note alors une ambiance à la Blow Out (1981) de Brian de Palma avec John Travolta ou encore Conversation secrète (1974) de Francis Ford Coppola avec Gene Hackman, qui ont forcément dû influencer le très beau film de Juanjo Giménez. Le film a notamment remporté le prix Goya 2022 du meilleur son, qui est mérité puisque le sonore dans ce long-métrage est l’un des thèmes principaux.

    Mais tout d’un coup, C. commence à « se désynchroniser », et d’un point de vue cinématographique, cela devient très intéressant à partir de ce moment puisque nous avons l’impression que le film a été mal sonorisé, et que les sons sont « en décalage ». En effet, nous voyons C. toucher des objets, marcher, courir, ouvrir une porte, et les sons proviennent dix secondes, une minutes puis deux minutes plus tard… et C. va alors faire tout son possible pour réparer ce problème.
    L’introduction dans le studio est très bien réalisée, on entre directement dans l’ambiance du film, aux allures d’un Blow Out ou d’un Conversation secrète, avec Marta Nieto touchant à de nombreuses touches dans son studio de mixage, regard attentif, produisant des sons avec ses mains en singeant une gifle dans le micro, en mixant, en superposant d’autres sons. Le réalisateur joue précisément avec le thème du son dans son film, et de la perception de celui-ci en temps réel, en décalage dans le passé ou dans le futur. Lors de cette scène, au départ, on entend rien, on voit juste Marta Nieto, et le son se lance ensuite. De plus, le film met en lumière les travailleurs dans l’ombre dans le monde du septième art, comme les ingénieurs du son. D’autres thèmes s’imbriquent tout au long du film, où le réalisateur place une réflexion profonde sur l’handicap, le stress, la vie en générale dans une Barcelone à cent à l’heure, oppressante et étouffante, ainsi que les relations familiales et conjugales.

    En outre, le point fort de ce film est la prestation exceptionnelle de Marta Nieto, qu’on a pu découvrir dans le court-métrage Madre (2017) de Rodrigo Sorogoyen avant de devenir un long-métrage du même titre, en 2019 qui eut un succès fulgurant, et Marta Nieto incarnait une mère de famille, dont son enfant fut enlevé, et qui tentait de refaire sa vie en France où elle rencontre un jeune garçon qui aurait pu être le sien. Elle était d’une justesse remarquable dans Madre, et ici, elle livre une nouvelle prestation, aussi forte de justesse et de lucidité en termes d’émotions, de sentiments, de regards, gestes, sourires, prestance, etc. De mon humble avis, l’interprétation de Marta Nieto est l’une des meilleures de l’année dans le cinéma espagnol, aux côtés de Penélope Cruz dans Madres Parelales et Blanca Portillo dans Maixabel.

    Néanmoins, le film possède quelques défauts notamment après l’opération de C. où celle-ci en ressort « guérie » et a la capacité d’entendre des sons du passé. Son cerveau n’est plus en décalage avec le futur sinon avec le passé, et si elle se trouve dans une pièce, elle peut entendre ce qu’il s’est produit dans le passé comme ses origines lors de son enfance, lorsqu’elle se retrouve dans la chambre de sa mère… Cette partie est moins bien réussie que la première de par la complexité du scénario, on note une certaine vacuité de celui-ci ainsi qu’une certaine lenteur qui apparaît également… De plus, ce qui m’a gêné est que lors de la première heure du film, le réalisateur nous plonge dans un film plutôt réaliste, avec un décalage du son qui arrive quelques secondes voire minutes après mais la fiction intègre son long-métrage de manière prématurée et dénature complètement le propos de son film. En effet, C. arrive à entendre les sons en avance de ce qui va se produire, ou très loin dans le passé, et cela m’a décontenancé, au point que cela crée une certaine redondance des scènes, et par la même occasion, une certaine longueur qui dessert le film ; c’est-à-dire que notre suspension d’incrédulité fonctionne au départ du film mais plus par la suite, où on perd ce qui nous intéressait au départ avec le problème du retard lié au cerveau mais l’arrivée ou l’instant même de l’incursion du fantastique ou de la fiction endigue tout ce qui nous animait dans ce film, et on n’y croit plus, tout simplement. Par moments, on a même l’impression d’être devant un nouveau film de « super-héros ». Ainsi, sans ces quelques problèmes, le film aurait pu être l’un des films espagnols de l’année, mais il reste tout de même une très belle œuvre espagnole de l’année 2021, un bel essai réalisé par Juanjo Giménez. 4/5
    TheCatofsky
    TheCatofsky

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Bien, je ne sais pas si je surnote ou sous note le film.
    Commençons par dire qu'il ne s'agit pas d'un thriller, mais d'une fantaisie(Le postulat de base se développe la moitié du film jusqu'à arriver à des éléments fantastique spoiler: On passe d'un décalage sonore (déjà un peu fantastique) à pouvoir écouter les bruits qui se produiront dans une pièce (du coup certains éléments de la première partie ne fonctionnent plus)
    ). Ensuite, le film dure 1:45", c'est soit trop long soit trop court, car le film possède des scènes raccourcies et du coup certaines semblent inutiles. spoiler: Elle se fait écraser par une voiture lors de sa première crise, le son revient alors à une position adéquate, mais le montage ne nous le fait pas comprendre. Ainsi, on nous montre un faux climax qui se résout de lui-même et qui sera dénué d'importance sur le long terme.
    . Enfin attaquons la double intrigue, durant les 3/4 du film on nous fait croire que le postulat et la trame principale, mais une deuxième trame émerge et malgré sa supposée importance, elle ne sert pas à grand-chose si ce n'est rallonger de 30 " le long métrage et à parasiter la première.
    Touts les points prétendants ne sont pas aidés par l'inéxpression du personnage principal (qui rend certaines décisions assez inhumaines).
    En résumé on n'a l'impression que le film va se terminer au terme de n'importe quelle séquence (si vous trouvez mon explication décousue, le film le sera tout autant)
    GROS SPOIL; spoiler: Le film s'achève sur C qui développe un pouvoir d'avancement temporel, personnellement je vois ça comme la fin de n'importe quelle autre séquence du film. Elle est ouverte oui, mais dans ce cas autant finir sur la scène de son renvoi (20" en moins), sur la street dance (30" en moins) ou sur le cinéma (40 en moins), voir même lors de la remise des prix (50 en moins).

    ERRATUM; Le plus gros problème est l'agglomération de plein de petites erreurs diverses)
    Bref, faites-vous votre avis
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    178 abonnés 1 150 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 août 2022
    Moi qui aime les films sensoriels celui-ci avait tout pour me plaire puisque qu'il se focalise sur l'un des cinq, l'idée est très originale et l'héroïne est ingénieure du son un métier aussi rare dans les scénaris qu'indispensable dans tous les films qui en découlent.
    Et le résultat est quelconque et particulièrement long. Une fois la surprise de la découverte du handicap passée le réalisateur piétine et nous propose un film axé sur le symptôme et si l'oreille reste aux aguets l'œil à lui tendance à vouloir se fermer.
    Ciné-13
    Ciné-13

    119 abonnés 1 076 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mai 2023
    On se décale... On se désynchronise... On se resynchronise.... On se décale en avance... En retard...
    Cela est tellement ennuyeux, tellement invraisemblable! Cela relève d'abord d'une pathologie bien embarrassante et puis cela devient des superpouvoirs d'une superwoman qui pourrait agir sur le futur?
    Et l'actrice est mignonne mais si peu charismatique...
    Pas très intéressant tout ça!
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    229 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 août 2022
    En décalage, c’est l’histoire de C. qui est une ingénieure du son talentueuse et qui travaille sur le montage du son d’un film. Mais un jour elle va se mettre à entendre les sons en décalé de la réalité. Ce moment de repos forcé va la pousser à questionner d’où elle vient pour aller mieux. Ce film assez flou et assez brouillant à certains passages touchant, d’autres très ennuyeux.
    toinou
    toinou

    45 abonnés 706 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2023
    Film hyper intéressant avec un concept de dingue qui est plutôt bien exploité, mais ce concept impose un rythme assez lent au long métrage, ce qui fait que nous avons quelques longueurs et quelques creux dans le scénario. Les personnages sont tous très bien écrits et très bien joués, notamment l'actrice principale. On a évidemment un très très bon travail sur le son mais malheureusement la BO n'est pas aussi bonne. La réalisation est très bien avec une mise en scène qui nous montre évidemment les bruits de la vie quotidienne. Ce film nous offre des scènes plutôt mémorables, comme celle où ils sont tous les deux dans le lit et on entend les bruits de sex qui est assez brillante. Le film est donc très intéressant mais peu être un peu lent et très sérieux.
    lionelb30
    lionelb30

    442 abonnés 2 598 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 août 2022
    Ennuyeux au possible. Il ne se passe quasiment rien durant tout le film. Pas du tout thriller et tout un film basé sur un trauma de naissance , long.
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    175 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 juillet 2022
    Le film a été présenté en première mondiale aux 18e Journées de Venise, et il a également été projeté au Festival du film de Toronto et au Festival du film de Sitges
    En imaginant le dysfonctionnement dont le destin frappe l'héroïne du film, Juanjo Giménez Peña n'a pas cherché à reproduire des faits réels.
    Juanjo Giménez Peña est tombé sur l’histoire de "PH", un pilote de ligne sud-coréen qui perçoit les paroles de son interlocuteur quelques secondes après que ses lèvres ne se mettent à bouger.
    Juanjo Giménez Peña et le directeur de la photographie Javi Arrontes ont mis au point deux angles de base concernant la mise en scène : un pour les séquences synchrones, l’autre pour les séquences asynchrones.
    Le metteur en scène avait comme références des stimuli très variés sortis de films ayant marqué son enfance, comme Carrie ou Dead Zone, les comics Marvel racontant les origines des super-héros ou encore des films plus récents comme Thelma ou Border.
    Durant la postproduction de En décalage, Juanjo Giménez Peña et son équipe ont sacrifié bon nombre de séquences narrativement conventionnelles au profit de séquences plus sensorielles
    un film qui est sans musique de film mais un film humain et tres puissant un film choc pour les oreilles
    selenie
    selenie

    6 288 abonnés 6 192 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2022
    Le personnage principal ne perd pas le sens, ne perd pas l'audition, il n'est pas franchement non plus altéré, il y a "juste" un décalage entre son et image à la manière finalement d'un site de streaming qui a un bug et qui offre un film désynchronisé. Vu le sujet il y a évidemment un soin particulier au son dans le film (ça serait un comble !), notre immersion est parfaitement rendu surtout qu'il faut gérer la désynchronisation personnelle de C./Nieto ainsi que l'environnement "normal". Des séquences sensorielles intrigantes dans un premier temps mais très vite malheureusement le film vire vers un drame familial assez classique. La dimension sensorielle devient alors presque accessoire alors qu'elle est omniprésente. Cette partie sensorielle devient alors redondante sans être constructive pour amener vers une conclusion attendue. L'actrice joue merveilleusement bien, l'évolution du récit intéressante mais le lien entre le problème sensoriel et le secret familial est trop artificiel pour convaincre pleinement. Dommage...
    Site : Selenie
    Napoléon
    Napoléon

    144 abonnés 1 565 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 août 2022
    Un récit original avec un début assez prenant et fait de suspense. Mais tout le film reste sur ses acquis en utilisant sans cesse les idées déposées dès le début. Trop de répétitions. Dommage.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    695 abonnés 3 021 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 avril 2023
    La désynchronisation de l’image et du son permet au réalisateur de Tres de révéler à la femme qui l’endure, et au spectateur qui l’accompagne, la désynchronisation de sa propre existence, dans laquelle elle flotte sans jamais s’y lester. La fracture identitaire de C., explicitée par des plans sur des vitres et des miroirs, mute ainsi en expérience de cinéma originale qui investit d’ailleurs cet art pour mieux le réfléchir, nous donnant accès aux salles de bruitage et de montage du son comme des espaces de conservation d’une mémoire. Pourtant, une fois le dispositif mis en place, l’ensemble se répète inlassablement, ankylosé par une forme incapable d’évoluer avec son sujet, sinon par le registre fantastique qui octroie à C. le pouvoir quasi magique d’appréhender les voix et les situations antérieures, comme raccordée à un espace-temps parallèle et, par la même occasion, à ses origines. L’étrangeté initiale du délai établi entre le son et son émetteur d’une part, le quotidien dévitalisé et celle qui y erre d’autre part, s’estompe au détriment d’un bis repetita lassant. Une production bien terne que l’on aurait aimée plus décalée.
    Regard00
    Regard00

    11 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 août 2022
    "En décalage" est film où on s'ennuie terriblement.
    Non pas parce qu'il est mal filmé ou autre, non, c'est de la totale vacuité.
    Les meilleurs films de tous les temps
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