Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Mangaka44
5 abonnés
25 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 5 octobre 2023
Ce film ne sera certainement pas un de mes films culte, non, il sera sans doute oublié, je suis un grand fan de Ennio Morricone et je voulais voir ce film pour sa composition , je retiens le passage ou Malèna traverse le village sur la musique de Ennio et je vais en rester là parce que le reste n'est pas une histoire que l'on retiendra dans l'histoire du cinéma.
La quintessence du cinéma transalpin dans un film, presque une fable, sur les 1ers émois d'un enfant épris d'une madone, Monica Bellucci. Soit la beauté italienne dans toute sa splendeur, fantasmée par les hommes, détestée par les femmes, et qui deviendra en temps de guerre, la victime de tous leurs bas insincts. Le film alterne entre le désuet, le léger et la gravité, à hauteur d'un jeune garçon. Monica Bellucci elle, est... parfaite.
La malédiction de la beauté en Sicile, au travers des fantasmes d un jeune on voit Monica Bellucci dans toute sa splendeur traverse dans ces années 40 la jalousie et l envie d un village.
Excellent film, ode à la beauté, à tout ce quelle suscite de bien, de mal, d'admiration, et de jalousie , de fascination, scenario intelligent, jeu d'acteur parfait, Bellucci au sommet de son art.
nulité absolue !! rien ne fonctionne. l'histoire n'as absollument aucun sens, tout ce qu'ont décode c'est un simple gars qui drague une fille qui se balade dans la rue, le reste n'as aucun sens. les acteurs et actrices sont très mauvais, mise en scènes affreuse. tout est a jeter a la poubelle.
Vu le 23/01/2022. Lorsque j'ai craqué sur Monica Bellucci (c'était en 2002 je crois) un de mes collègues de boulot qui était également fan de la dame m'avait dit de regarder ce film. Près de 20 ans plus tard, comme il est passé sur Arte j'ai pu le voir. Au final, j'en ressors très mitigé. Le film est intéressant dans le sens où il relate les premiers émois d'adolescents du jeune Renato Amoroso (il porte bien son nom celui-là) joué par Giuseppe Sulfaro qui tombe amoureux de la jeune et magnifique veuve de guerre, la sensuelle Malena Scordia qui met en émoi toute la ville (fictive) de Castelcuto. C’est vrai que comparé à tous les personnages féminins du film, Malena, c’est le Graal. Et forcément, la jalousie, la haine, la rancœur sur fond de guerre mondiale prend progressivement le dessus surtout quand la belle est obligé de vendre ses charmes pour survivre voire aller faire un peu de collaboration avec les nazis. La scène où Malena se fait lyncher par un troupeau de femmes haineuses est assez dure à supporter surtout quand on voit la placidité de tous ces hommes qui l'ont désiré et qui ne lèvent pas le petit doigt pour l'aider. La Sicile apparait dans ce film comme un lieu où les hommes ne pensent qu'au sexe (Renato et ses amis en sont la parfaite illustration), où les femmes se font des films et jalousent la belle italienne, où les hommes sont des laches et des pervers et les femmes de féroces matrones qui se réjouissent dans la médisance et le colportage de fausses rumeurs. Je suis pas sur que Tornatore est bien rendu service à cette ile en faisant ce film Dommage pour moi car je n'ai vu que la version américaine alors la version "directors'cut" en italien comporte des scènes supplémentaires très érotiques qui mettent en valeur le corps parfait de la belle italienne Dans l'ensemble un film correct qui vaut par l'interprétation sublime de Bellucci, pour le reste, on a l'impression de voir inlassablement les mêmes scènes où Malena se balade en ville et attire tous les regards des habitants de la ville le désir chez les hommes veules, la jalousie chez les femmes haineuses, pas très glorieux donc
Bonsoir. Je souhaite m’exprimer à propos du film Maléna. Je suis extrêmement déçu de l’histoire de ce film, je m’attendais à mieux ! Et je souhaite aussi m’exprimer sur une des scènes de Maléna. « Spoiler » Dans l’une des dernières scènes, quand les femmes du village viennent traîner Maléna hors du bar par pure JALOUSIE, cela m’a beaucoup choqué ! Toute cette haine à l’encontre de Maléna et personnes ne l’aide c’est abérrant. Et je ne parle même pas des autres scènes de violences sexuelles qui sont apparu à deux reprises . En conclusion le film ne répond pas à mes attentes et est très décevant (ne perdez pas votre temps à regarder ce film) de plus ce film devrait être déconseillé au moins de 16 ans ! Sur ce bonsoir.
C'est l'histoire d'une terrible solitude, celle de la trop belle Malena dans la Sicile d'une époque tourmentée et violente.., une femme suivie, regardée, jalousee ou admirée par tout un village et pourtant très seule.. tout le temps.. C'est l'histoire aussi de ce jeune garçon qui découvre les premiers émois amoureux.. Mais c'est surtout une histoire , implacable, impitoyable, celle de gens qui montrent la nature humaine dans ce qu'elle a de plus laid.. Et c'est ce qui est filmé et réalisé d'une façon époustouflante dans ce film.. la beauté extrême et la laideur qui ne la supporte pas.. Un film à voir et à revoir..
Le film est bien réalisé et a du charme mais voir une femme se faire insulter par les hommes, les gamins, le village. Tous la déteste autant qu'ils se bra**es en la voyant c'est assez vicieux. À la fois ce que beaucoup de femmes vivent sans être des bimbos. C'est malheureux car ça n'a pas changé. Les hommes se permettent, les femmes subissent. Ça m'a surtout révolté 3/5
Désirée par les hommes, décriée par leurs épouses, une femme devient malgré elle la cible de tous les commérages dans un village sicilien au printemps 1940. Bien qu’élément central du film, l’éveil des sens du jeune garçon prend beaucoup de place alors que l’aspect tragique qui entoure la belle Malena, plus porteur à mon goût, aurait mérité plus de sollicitude de la part de Guiseppe Tornatore. Le résultat est un peu plat, cliché et souvent répétitif. Reste que dans le rôle-titre, Monica Bellucci est magnifique et la scène où elle est publiquement violentée est vraiment terrible.
J’ai découvert Giuseppe Tornatore à travers son chef d’œuvre Cinema Paradiso, un film exceptionnel de justesse, d’humanité et de sensibilité. Mais peu de réalisateurs sont capables de multiplier les chefs d’œuvre à l’instar d’un Stanley Kubrick et je dois avouer que j’ai été déçu par Malena. Non pas que je sois insensible aux charmes de Monica Bellucci mais c’est plutôt cette impression diffuse que tout sonne faux dans cette fable dramatique. Monica Bellucci est belle certes mais cela ne suffit pas à en faire une très grande actrice, ce qu’elle n’est pas. Elle n’est pas mauvaise, loin de là, mais on voit qu’elle joue et son jeu manque de naturel à mon goût. Elle a la chaleur de chair et de sang d’une italienne mais son jeu est froid et ne véhicule aucune émotion. Rester impassible avec des yeux de biche sur fond de robe ajustée au corps ne suffit pas pour créer l’émotion. La réaction brusque de son père est incongrue et semble plaquée comme pour amener du rythme à une histoire qui n’en a pas. Le passage de la Malena réservée à la Malena qui assume pleinement sa féminité tombe également comme un cheveu sur la soupe même si on en comprend les raisons sous-jacentes. Je veux bien qu’on soit en Italie mais les acteurs ont tendance à surjouer, à en faire des tonnes pour créer cette fascination qui devrait s’imposer d’elle-même, être suggérée plus que démontrée avec de grande emphases verbales. Restent deux points intéressants. Tout d’abord, la dénonciation de l’esprit de village reclus sur lui-même, calomnieux, conformiste à souhait, ne supportant pas la différence et capable des pires horreurs sous couvert de la religion. Puis il y a cette histoire racontée à travers les yeux d'un adolescent aux montées d’hormone incontrôlables comme un film d’ariane qui nous accompagne pendant tout le film. L’idée est bonne mais là encore, la mayonnaise a du mal à prendre, la magie n’opère pas vraiment et on a du mal à y voir autre chose que la seule expression des tourments hormonaux d’un adolescent en pleine puberté.
Grosse déception ! Je pourrais reprendre à mon compte, mot pour mot, la critique du Monde : "le regard que portent les jeunes gens sur Malena (Monica Bellucci) se fait envahissant, obscène, tout comme celui du metteur en scène, incapable d'élever son actrice au-dessus de la condition d'objet, jusqu'à un finale qui, voulant virer à la tragédie, sombre dans l'abjection.". Certes, la musique de Morricone, la photographie, la plastique de Monica, tout ça est très joli… mais sali par tout le reste. Le texte de Bellucci doit tenir sur une page A4 et je dois avouer que mon esprit taquin m'a conforté dans mon opinion : une très belle mais piètre actrice. À la place de Tornatore, j'aurais poussé le parti-pris jusqu'à une absence totale de dialogues ( sauf la toute dernière scène ?) , enfermant encore plus Bellucci dans son rôle de femme-objet, propice à tous les fantasmes et autres supputations. Très exacerbé dans le jeu, j'ai retrouvé dans ce film tout ce que je n'aime pas dans le cinéma italien, comme si Tornatore avait voulu rendre hommage à certains films des années 50-70 : cela n'a pas aidé à ce que je rentre dans cette histoire. Quoi qu'il en soit, je vais vite me projeter Un été 42 : Jennifer O Neil est au moins aussi belle, la musique de Legrand est légendaire… et la tonalité du film de Mulligan correspond plus à ce que j'ai envie de voir sur les premiers émois d'un adolescent.
Beaucoup de sensualité et d´humour. Monica est toujours aussi désirable et joue le rôle à la perfection, par petites touches érotiques , mais sans vulgarité . Son talent n´a d´égal que sa beauté. Comme les hommes du village sicilien, qui n´aimerait pas l´avoir comme maîtresse. C'est un film attachant qui démontre, s´il en était besoin, la médiocrité et la mesquinerie des gens ordinaires. Belle leçon de vie...