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Votre avis sur Le Temps des secrets ?
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Pourquoi être si difficile pour cette nouvelle adaptation ? Surtout que celle-ci dégage tout l'esprit de "Marcel Pagnol".... et dans le prolongement des magnifiques réalisations d'Yves Robert, Christophe Barratier - après les "choristes", nous délivre une copie pleine de saveur, de senteurs et d'authenticité comme pourrait le dire Daniel Auteuil !! Même maison que dans la Gloire de mon père ou le château de ma mère, on n'est donc pas complètement perdu.
Pour le reste, la mise en scène porte un coup de projecteur sur les bons moments d'insouciance, de naïveté, de romance naissante dans ce passage de l'enfante à l'adolescence. Les deux personnages féminins ( Mélanie Doutey, Anne Charrier) apportent une fraîcheur moderne, certes en avance sur leur temps....assez originales, tandis que Guillaume de Tonquedec ou François Xavier Demaison, complètement en symbiose aux profils historiques. Les scènes de repas festifs en extérieur, y compris aux lampions sont magiques de vérité. Quant aux deux jeunes acteurs - Lucie et Leo (Isabelle et Marcel) sont juste merveilleux et nous procurent un très bon divertissement à travers leur sentiments évocateurs et cette magnifique "Provence".....!!**
Pour le reste, la mise en scène porte un coup de projecteur sur les bons moments d'insouciance, de naïveté, de romance naissante dans ce passage de l'enfante à l'adolescence. Les deux personnages féminins ( Mélanie Doutey, Anne Charrier) apportent une fraîcheur moderne, certes en avance sur leur temps....assez originales, tandis que Guillaume de Tonquedec ou François Xavier Demaison, complètement en symbiose aux profils historiques. Les scènes de repas festifs en extérieur, y compris aux lampions sont magiques de vérité. Quant aux deux jeunes acteurs - Lucie et Leo (Isabelle et Marcel) sont juste merveilleux et nous procurent un très bon divertissement à travers leur sentiments évocateurs et cette magnifique "Provence".....!!**
Que d'émotions !
Les premiers mots qui me viennent sont : charme, nostalgie, fraîcheur, innocence, sensibilité.
La trilogie de Marcel Pagnol ("La Gloire de mon père", "Le Château de ma mère" et "Le Temps des secrets") est un vieux souvenir d'école pour ma part, j'avoue avoir eu envie de les relire après être sorti de cette séance.
Tout sonne juste, les années 1905-1906 du jeune Marcel Pagnol né en 1895 vont être synonymes pour lui de premiers émois amoureux.
Passer de l'enfance à l'adolescence est toujours un souvenir particulier pour chacun d'entre nous, Christophe Barratier ("Les Choristes" (2004), "L'Outsider" (2016), "Envole-moi" (2021)) nous fait voyager dans la Provence du début du 20ème siècle avec une brochette de comédiens superbement choisis.
La bande-son signée Philippe Rombi est un vrai bonheur auditif à ajouter à cet ensemble très réussi.
Du cinéma soigné et enchanteur !
Site CINEMADOURG.free.fr
Les premiers mots qui me viennent sont : charme, nostalgie, fraîcheur, innocence, sensibilité.
La trilogie de Marcel Pagnol ("La Gloire de mon père", "Le Château de ma mère" et "Le Temps des secrets") est un vieux souvenir d'école pour ma part, j'avoue avoir eu envie de les relire après être sorti de cette séance.
Tout sonne juste, les années 1905-1906 du jeune Marcel Pagnol né en 1895 vont être synonymes pour lui de premiers émois amoureux.
Passer de l'enfance à l'adolescence est toujours un souvenir particulier pour chacun d'entre nous, Christophe Barratier ("Les Choristes" (2004), "L'Outsider" (2016), "Envole-moi" (2021)) nous fait voyager dans la Provence du début du 20ème siècle avec une brochette de comédiens superbement choisis.
La bande-son signée Philippe Rombi est un vrai bonheur auditif à ajouter à cet ensemble très réussi.
Du cinéma soigné et enchanteur !
Site CINEMADOURG.free.fr
Au temps de l'insouciance succède celui des secrets, dit le synopsis. "C'est plat, lisse et vieillot" selon un critique de Télérama, qui ne peut-être qu'un robot sans imagination ni moelle épinière. Ce film est en effet une épreuve pour le cœur et pour les nerfs, pour ceux qui ont vécu le temps des secrets, ou à qui on a raconté ce qu'il était ーplus que celui, simplet, du garçon de douze ans qui va rentrer en 6ème. C'est le temps des mensonges, des petits et des grands, qui vont la plupart du temps avec celui des honneurs et des déshonneurs, chez les enfants comme chez les adultes. L'instruction civique vs les évangiles en 1905. La bourgeoisie voire la noblesse vs payans et chevriers. C'est le temps d'un paradis perdu. Le temps des passions qui précéde les cataclysmes du 20ème siècle (qui peut-être les préludent), et celui d'idées en avance sur leur temps (sur les femmes, sur la chasse, sur l'égalité sociale). Donc, bravo à l'auteur pour avoir rappelé que le présent et le futur se lisent aussi dans le passé. Et... pour l'exploit technique consistant à faire que le spectateur comprend tout se qui se dit, qualité rarissime dans le cinéma français aujourd'hui. Inutile d'ajouter que les paysages nous envahissent de tendresse, du début à la fin. A.G.
le retour en image des oeuvres de marcel pagnol ce film est basé sur le troisiéme tome des souvenirs d enfance de pagnol
apres les films de la gloire de mon pere et le chateau de ma mere , ce film est une adapation fidéle de pagnol avec l accord des ayants droits bien sur l accent marseillais est respecter ce qui est trés important pour un pagnol la maison qui est filmer dans le temps des secrets est la meme que dans la gloire de mon pere et du chateau de ma pere , des effets spéciaux réussi pour le funiculaire de notre dame de la garde et aussi pour le quartier du panier au debut du film
avec dans ce film une magnifique musique signé par philippe rombi
par le realisateur des choristes
ce film est un chef d'oeuvre qui sens bon la provence un film qui fait du bien
apres les films de la gloire de mon pere et le chateau de ma mere , ce film est une adapation fidéle de pagnol avec l accord des ayants droits bien sur l accent marseillais est respecter ce qui est trés important pour un pagnol la maison qui est filmer dans le temps des secrets est la meme que dans la gloire de mon pere et du chateau de ma pere , des effets spéciaux réussi pour le funiculaire de notre dame de la garde et aussi pour le quartier du panier au debut du film
avec dans ce film une magnifique musique signé par philippe rombi
par le realisateur des choristes
ce film est un chef d'oeuvre qui sens bon la provence un film qui fait du bien
Ce film nous replonge agréablement dans l’univers de l’enfance de Marcel PAGNOL. Grace à une superbe réalisation de Chistophe BARRATIER et au jeu convaincant de ses acteurs qui s’intègrent parfaitement dans cet univers, la magie opère. Ce film est une bonne adaptation de l’œuvre qui plaira à un très large public.
Bernard CORIC
Bernard CORIC
Tellement déçue. Je me faisais une joie d'aller voir ce film et de faire découvrir à mon compagnon l'enchantement de Pagnol. Plat, les acteurs qui jouent faux. Aucune émotion dans le jeu des acteurs. Bon heureusement il y a la beauté des paysages sauf que la lavande n'a rien à faire ici mais bon. Bref je reste sur ma faim et je suis triste de ne pas avoir rêvé comme me fond toujours les livres de Pagnol.
Toutes mes félicitations au directeur de la photo les images sont magnifiques même si ce n'est pas un grand film celui-ci fait beaucoup de bien part les temps qui cours on a besoin de se changer les idées Marcel Pagnol grand monsieur et les acteurs ont pris plaisir à jouer ça ce voit à l'écran
Grâce aux compétences incontestées de Christophe Barratier, que d’émouvants souvenirs nostalgiques reviennent à la mémoire de Marcel Pagnol, ici à l’honneur, introduisant et concluant cette merveilleuse adaptation poétique ! Ce dernier doit être fier de cette fidèle réalisation respectueuse de son œuvre originale où chante l’accent du Sud comme celui harmonieux des cigales. Fier de cet immense amour porté à sa Provence tant chérie. Fier du casting crédible, de la magistrale interprétation si bien retranscrite pour l’écran… et plus particulièrement fier de sa réplique enfant : le rôle tenu avec grande justesse par ce petit au regard intense, aussi touchant qu’attachant, Léo Campion. Ce 3ieme opus honore les mémoires autobiographiques des sentiments Pagnolesques et les fortes valeurs éducatives qui ont marquées son enfance : une rencontre printanière à ne surtout pas manquer.
j ai adoré l histoire et les acteurs un plaire de revivez les moment du petit Marcel pagnol et de répartir dans les belle collines
On est vraiment loin, très loin des œuvres d' Yves Robert !
Quelle déception en voyant ce film...
À part les magnifiques paysages de la Provence, il n'y a rien de provençal dans ce film. Même pas l'accent !!!
Aucune émotion dans tous ces visages de parisiens...
Je ne conseillerai donc pas d'aller voir ce film.
Quelle déception en voyant ce film...
À part les magnifiques paysages de la Provence, il n'y a rien de provençal dans ce film. Même pas l'accent !!!
Aucune émotion dans tous ces visages de parisiens...
Je ne conseillerai donc pas d'aller voir ce film.
martial7178
Le jeune Marcel Pagnol décrit ses vacances dans les collines du Garlaban, et ses premiers émois sentimentaux après sa rencontre avec Isabelle Cassignol, fille d'un prétendu grand poète en vacances à La Treille. En octobre, Marcel entre dans l'enseignement secondaire au lycée Thiers de Marseille.
Dès la première scène, on voit les belles collines de la Provence, on entend le chant des cigales et on est aussitôt plongé à la fois dans cette belle région, mais aussi dans l'univers de Pagnol auquel le réalisateur, Christophe Barratier, est fidèle dans la retranscription. On suit avec plaisir et délice les aventures du jeune Marcel, qui découvre ses premiers émois amoureux, se rend compte que l'amitié n'a pas de prix et prend aussi conscience du fait que les apparences sont parfois trompeuses.
Les acteurs adultes sont excellents dans leurs rôles respectifs, mais on s'attache surtout au talent des plus jeunes acteurs, notamment Léo Campion qui campe le jeune Marcel Pagnol et Baptiste Negrel qui joue le rôle de Lily, l'ami d'enfance de Pagnol, mort sur le front en 1918, deux jeunes acteurs formidables de sincérité et de tempérament et qui portent littéralement le film. Ils sont voués à une belle carrière, s'ils conservent cette vérité de jeu époustouflante.
La musique, signée Philippe Rombi, est très belle, mais est hélas omniprésente pendant tout le film, ce qui devient un véritable défaut des films actuels. Trop de musique dans un film tue la musique.
On ne peut évidemment s'empêcher, en visionnant ce film, de penser aux deux jolis films réalisés par Yves Robert il y a une trentaine d'années, sur les deux premiers tomes des souvenirs d'enfance de Pagnol, ce volet en constituant le troisième et dernier tome.
Et on se rend compte que, décidément, par son verbe, sa brillante simplicité et ses valeurs humanistes, l'œuvre de Pagnol est intemporelle.
Dès la première scène, on voit les belles collines de la Provence, on entend le chant des cigales et on est aussitôt plongé à la fois dans cette belle région, mais aussi dans l'univers de Pagnol auquel le réalisateur, Christophe Barratier, est fidèle dans la retranscription. On suit avec plaisir et délice les aventures du jeune Marcel, qui découvre ses premiers émois amoureux, se rend compte que l'amitié n'a pas de prix et prend aussi conscience du fait que les apparences sont parfois trompeuses.
Les acteurs adultes sont excellents dans leurs rôles respectifs, mais on s'attache surtout au talent des plus jeunes acteurs, notamment Léo Campion qui campe le jeune Marcel Pagnol et Baptiste Negrel qui joue le rôle de Lily, l'ami d'enfance de Pagnol, mort sur le front en 1918, deux jeunes acteurs formidables de sincérité et de tempérament et qui portent littéralement le film. Ils sont voués à une belle carrière, s'ils conservent cette vérité de jeu époustouflante.
La musique, signée Philippe Rombi, est très belle, mais est hélas omniprésente pendant tout le film, ce qui devient un véritable défaut des films actuels. Trop de musique dans un film tue la musique.
On ne peut évidemment s'empêcher, en visionnant ce film, de penser aux deux jolis films réalisés par Yves Robert il y a une trentaine d'années, sur les deux premiers tomes des souvenirs d'enfance de Pagnol, ce volet en constituant le troisième et dernier tome.
Et on se rend compte que, décidément, par son verbe, sa brillante simplicité et ses valeurs humanistes, l'œuvre de Pagnol est intemporelle.
Je comprends pas.....Ils sont au courant que ce film est déjà sorti dans les années 90 signé Yves Robert? Cette version est une copie conforme et bien bien inférieure au travail effectué par Yves Robert.
pauvre Pagnol qui se retourne dans sa tombe.... non seulement le scenario s'eloigne énormément de l'oeuvre (ce qui est parfois pardonnable), mais il est pollué d'anachronismes culturels sur les rapports hommes/femme , le feminisme etc. qui denaturent complètement la représentation historique. On est face à un desastre dans lequel se fourvoient de bons acteurs. Le sc
enario frole souvent le grotesque quand il cherche à s'ecarter de l'oeuvre. C'en est à pleurer.
enario frole souvent le grotesque quand il cherche à s'ecarter de l'oeuvre. C'en est à pleurer.
"Gentillet" mais quelle déception. Les accents sonnent faux, les acteurs ne sont pas à leur place... de belles images c'est tout.
Comme toujours, pour les suites (c’est le 3ème opus), certains aimeront d’autres non, car il voudront comparer avec les deux autres films. Mais ce ne sont pas les mêmes acteurs, d’où forcément un autre regard. Moi j’ai bien aimé et je conseille d’aller le voir. Un beau voyage dans l’arrière pays marseillais et une jolie histoire
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