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    La Baule-les-Pins
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    ferdinand75
    ferdinand75

    547 abonnés 3 865 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2024
    On a l’impression d’abord déjà vu ce genre de film : un été de vacances dans une station de l’atlantique, les jeunes, les premiers amours, le premier baiser , les parents qui divorcent, les voisins lourdingues, les jeux de plage. Si ce n’est qu’ici Diane Kurys nous parle de sa propre vie, de son enfance, sa mère qui prend un amant et va divorcer, et c’est vrai que c’est presque indécent , une affaire privée qui est, offerte au public. Bon si cela lui a fait du bien tant mieux. Mais pas grand intérêt, un jeu plutôt fade de l’ensemble des acteurs : Bacri fait du Bacri , idem pour Nathalie Baye . Seule Valeria Bruni Tedeschi apporte un peu de fraîcheur, avec son rôle de nounou , un peu bécasse.
    Nicolas Métrich
    Nicolas Métrich

    22 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2024
    Une bonne comédie dramatique .

    Un bon scénario , une bonne histoire dramatique familiale , triste , mais avec beaucoup d'émotions intenses et un brin d'humour ( Mais pas grand chose comme humour , c' est sourtout une comédie dramatique , pas un film comique ) .

    Des beaux paysages de la plage de la Baule les pins , de l' océan, du port du Crosic et des marais salants de Guérande .

    L' histoire se passant en 1958 , la reconstitution des maisons des années 1950 , des véhicules ( voitures et une moto ) , des années 1950 , et bien sûr , les vêtements et maillots de bain , des années 1950 .
    Francois Cha
    Francois Cha

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juillet 2024
    On retrouve avec plaisir le regard doux amer, voire cruel, de Diane Kurys pour lequel on avait déjà fondu les films précédents : le soucis du détail, la précision de la narration et les dialogues très écrits. L'idéal pour les acteurs du film, dont le plaisir à jouer crève l'écran. Ils sont tous merveilleux.
    On sent pourtant qu'elle est peut-être arrivée au bout de son autobiographie, parfois la mayonnaise ne prend pas, ou moins que sur Diabolo Menthe...
    Un détail : sur l'anthologie de Philippe Sarde, qui a composé la musique, y figure la version instrumentale de la chanson du générique final. Très bon choix, la version chantée est une horreur !
    cinéman
    cinéman

    40 abonnés 806 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 août 2024
    Comédie estivale sans grand enjeu, mais sans grande prétention non plus, qui offre le plaisir de retrouver Jean-Pierre Bacri, Nathalie Baye, Richard Berry, Zabou ou Emmanuelle Boidron (toute petite) en 1990, alors que l'histoire se déroule en 1958. Cela raconte les hauts et les bas d'un été en bord de mer, avec beaucoup d'enfants. C'est pas vraiment drôle ni vraiment dramatique, mais davantage réaliste, et on éprouve un peu le sentiment agréable de prendre des vacances en même temps qu'eux.
    Michaël
    Michaël

    6 abonnés 349 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mars 2024
    Un été à la Baule, le quotidien d'une famille de deux (presque) sœurs, avec l'une d'entre elles dans la tourmente d'un divorce.

    Je me demande si ce film d'adultes n'a pas été tourné pour nous montrer le quotidien d'enfants en vacances. Ou si ce film d'enfants n'a pas été tourné pour nous montrer le quotidien d'adultes en vacances. Ou probablement un peu des deux.

    Pas énormément d'action, les scènes les plus dynamiques étant du fait (encore) de Jean-Pierre Bacri. Je l'adore, je ne suis pas objectif, et je pense qu'il excelle une fois de plus dans ce film. Son jeu est parfait.

    Pour ce qui est des enfants, les petites jouant Frédérique et Sophie sont époustouflantes. Je trouve étrange qu'elles n'aient pas davantage percé par la suite.

    Vincent Lindon, dont le visage est nettement moins buriné que maintenant, a un petit rôle mais il brille déjà de par son charisme incroyable.

    A noter la présence d'un Didier Bénureau avec une voix normale. Etrange !
    Luka New
    Luka New

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 novembre 2023
    En tant que spectateur, "La Baule-les-Pins" m'a laissé avec une impression mitigée. Le film semble souffrir d'une certaine vacuité, avec une narration qui peine à offrir une direction claire. Les divers éléments du scénario semblent éparpillés, sans un fil conducteur solide.
    Malheureusement, l'abondance de clichés dans le film nui à son originalité, rendant les personnages et les événements prévisibles. Les acteurs, bien que talentueux, ont parfois donné l'impression de surjouer, ce qui a compromis la crédibilité des situations.
    La plus part donnent une bonne note à ce film par nostalgie cependant, le film a réussi à capturer certaines atmosphères avec des paysages agréables. Malheureusement, ces moments visuels ne suffisent pas à compenser les lacunes du scénario et les performances des acteurs.
    En fin de compte, "La Baule-les-Pins" m'a laissé avec un sentiment d'insatisfaction, espérant trouver une expérience cinématographique plus engageante.
    maxime ...
    maxime ...

    238 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2023
    La Baule-Les-Pins est de ces longs métrages que j'ai vu plus jeune, qui m'a de par la même occasion, laissé une trace ! J'avais de mémoire conserver quelques brides, de certaines scènes, de ses plus difficiles à dire vrai ... Une fois de plus les revoir m'a remémoré le pourquoi.

    Avant ça, Diane Kurys, on le sent puise dans un fragment de souvenir, y incorpore une fragilité d'enfant que l'on capte, ou qu'il nous capte, mais dont on suit la trajectoire avec une particularité si propre de ce passage d'une vie. Dès la première scène, cette petite colère de jeune fille qui ouvre dans sa course une porte qui transite d'un bruit de circonstance pour un silence d'adulte, ou la larme qui roule sur la joue du père, comme de la posture, en retrait de la mère, attestent d'une autre teinte qu'il faut reconnaitre, est assez incroyable. Première séquence de Diane Kurys, qui en un ce simple moment, raconte déjà un décor, un cadre, des protagonistes à la dérive ...

    De ces vacances à La Baule ( sublime station du même coup ), en cette date précise de 58, on redécouvre une fuite, une poursuite du temps. Qu'un départ sur un quai de gare et de ses non dits offusque à pareil époque nettement plus qu'à ce jour. Encore que ... Il y'a dans le regard sur cette situation de famille un petit manège qui va se goupiller tel un orchestre mélancolique mais aussi joyeux, en atteste ses farces, de suite visible à l'arrivée sous les directives locatives, que l'on verra toutes explosées au cours du séjour. Le coup des suppos aux poissons reste quand même un summum !

    La brèves présentation des visages qui composent le paysage, se veut sous à la taille des petites, dans un temps du moins. Le récit se narre avec quelques sorties de rang, néanmoins c'est par le biais des yeux - et du journal - de la fille ainée que l'on s'assure de ne rien raté. Très vite, enfin à l'arrivée de Léna ( la mère ), le changement de cap se confond avec celui de cette dernière. L'histoire d'amour passionnelle de cette femme avec cet homme plus jeune, hors de sa classe, virevolte là encore sous les analyses de l'époque, mais brille surtout dans le sentiment qui traverse le film de cette flamme qui vibre entre eux. Le rêve d'Amérique, promesse de tout, deviens solennellement adieu pourtant ...

    La ballade nocturne des petits, et moins petits, est d'ailleurs lourde de répercussion sur le sort de cette relation qui s'achemine de pars leurs conduites. La mission qui les égarent est une aventure que l'on approuve tant il y'a une indifférence au danger, au répercussion, que l'on évoque mais que l'on balaie avec une chanson, dans une communion de groupe qui fait un bien fou. Le passage qui suit, entre filles, ou cette mère confie à ses deux petites ses intentions et bouleversements futurs, ou les larmes communient les unes aux autres n'ont quand à elles, plus rien de gaieté ! La scène de Diane Kurys est toutefois, je me répète décidément, mais oui, il y'a de l'incroyable dans ce geste de tendresse pure et à la fois rude.

    Les rires reviennent, dans cet autre virée tardive, punitives, à l'encontre de ces adultes qui brisent les joies et entraves au lien de cette famille pas touts à faits ordinaire. Il faut voir la découverte du bassin par le proprio et la nurse, de la vérité qui éclate en bas et des éclats du haut pour bien cerné l'idée de base, qui est d'utilisé les contrastes. Car une fois de plus; les sous textes redeviennent primordiale à l'arrivé du père ...

    Les bras chargés d'attentions, de cadeaux, il démontre au fil de ses présents une autre offrande cette fois plus représentative du fond dévasté de sa situation. Chantage, manipulation, sur sa fille, sa belle-famille, sur la nurse qu'il embobine par question anodine et fausse bienveillance avant de maintenir sa prise avec véhémence, par menace donc. La confrontation lors du retour de sa femme, de la mère de ses enfants, de celle qui le quitte, ne perd pas de temps pour faire volé en éclats l'apparence qu'il dissimule. La violence, une colère matérielle d'abord, lorsqu'il pulvérise la voiture de sa femme. Puis physique, dans cette scène qui m'avais extrêmement choqué il y'a plus de 20 ans maintenant ...

    La dispute signe un pic en terme d'atmosphère destructrice !

    La fin des vacances qui se boutique ensuite se dessine par échelons. Par une décroissance quotidienne qui raconte un autre départ. Ce dernier s'acte dans une ultime discussion, avec une larme, encore. Une séparation sur une lettre qui promet des retrouvailles.

    J'insiste, au moment de finir cette critique sur le classique de sa compo qui donne une splendeur d'ensemble au déroulé de ce film. Ces interprètes, adultes comme enfants, ont la collégiale remarquable de par la même occas'. Un film dur qui trouve une place pour de la comédie, qui s'inscrit dans un souvenir ancien et dorénavant bien plus récent. 1958 est loin pour moi, pourtant il me parle au-delà de son époque dans ce qu'il a dans le ventre, dans le rapport qui en fait par une réalisatrice qui restitue ses instants tel une parenthèse qui pèse toujours sur la joie de l'instant ...
    Stigma_max
    Stigma_max

    4 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    Le Pouliguen, j'y ai passé toutes mes vacances d'ado alors forcément j'aime. Je l'ai vu 3 ou 4 fois avec grand plaisir.
    Bacri formidable.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    75 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2022
    Petite chronique de vacances estivales empreinte de nostalgie, sur fond de carte postale de La Baule, censée se dérouler en 1958 ce qui n'est pas si évident que ça.
    Le scénario, une forme d'exutoire pour la réalisatrice Diane Kurys, ne fait aucune vague, empilant trop de saynètes sans enjeux au détriment d'un volet dramatique bien plus réussi mais trop survolé.
    Le casting adulte est d'ailleurs bien plus à l'aise que les enfants, souvent livrés à eux-mêmes, et sauve le film du naufrage, particulièrement Bacri, en grande forme, déjà dans son rôle phare d'éternal ronchon.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    313 abonnés 2 968 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 septembre 2021
    Une chronique familiale, sur l'insouciance de l'enfance et une sur un divorce annoncé au cœur des années 50. D. Kurys réalise alors un drame empreint de nostalgie estivale, réaliste, avec des comédiens criants de vérité.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    154 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 août 2021
    "La Baule-les-Pins", comédie dramatique française réalisée par Diane Kurys en 1990. Coproduit par Alexandre Arcady.
    Un beau film avec une belle distribution : Jean-Pierre Bacri, Nathalie Baye, Zabou Breitman, Richard Berry, Vincent Lindon, Julie Bataille, Valeria Bruni Tedeschi et Didier Bénureau. Musique de Philippe Sarde.
    Une histoire familiale vue à travers les yeux d'enfants en vacances sur la côte bretonne pendant l'été 1958.
    La plage, la location de famille, les clubs pour enfants, la douceur de la vie dans la France des années 50, la violence des drames familiaux, entre douceur et violence. Une belle réalisation et de bons acteurs.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2024
    Inspiré du vécu de sa propre enfance, Diane Kurys nous plonge dans l’ambiance estivale de vacances à la Baule-les-Pins à la fin des années 1950. Ce film, sorti en 1990, respire la nostalgie et c’est là sa plus grande qualité. A travers les yeux d’une petite fille, on suit une histoire dramatique (le divorce de ses parents) accompagnée de ses premiers émois amoureux, des bêtises de ses cousins. Les différents acteurs adultes (Nathalie Baye, Richard Berry, Zabou Breitman, Jean-Pierre Bacri, Vincent Lindon, etc.) offrent une prestation juste et sensible. Bref, un long-métrage attachant.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2021
    Fortement inspiré de la propre vie de Diane Kurys et de la séparation de ses parents dans les années 50, La Baule-les-Pins est un film de vacances qui se déroule au cœur du mois d’août sur la côte atlantique. Mais sous ses airs d’œuvre d’été, douce et ensoleillée, ce long-métrage sorti en 1990 et se déroulant en 1958 est bien plus grave qu’il y paraît de prime abord. Porté aussi bien par des acteurs confirmés que par de tout jeunes comédiens – tous superbes – ce film sur l’enfance est d’abord et surtout tout une chronique sur la fin de l’enfance, matérialisée par le surgissement soudain de la violence des adultes, et en particulier de celles des hommes. spoiler: Dans une scène particulièrement dure qui vient bousculer l’ambiance douce-amère du film, la brutalité dont fait preuve le mari (Richard Berry) à l’encontre de sa femme (Nathalie Baye) lorsque celle-ci lui annonce qu’elle le quitte est proprement glaçante.
    Une séquence de violence conjugale qui fait tristement écho à l’actualité. À la fois rétro et diablement contemporain.
    stans007
    stans007

    23 abonnés 1 312 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2021
    Drame familial de la séparation (où le père s’en prend plein la poire), qu’on situe d’entrée à la fin des années 50 grâce à la chanson Twilight Time du générique chantée par les Platters. C’est surtout un prétexte à une intrusion convaincante dans le monde de l’enfance et de la pré-adolescence, cher à la metteure en scène. Bien qu’un peu brouillon, l’ensemble est attachant, alternant scènes amusantes (le jurement) et dures (disputes des parents, abandon du chien confié à la gouvernante, son rôle ingrat...).
    rocky6
    rocky6

    30 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2021
    Diane Kuris signe une jolie chronique familiale à la fois tendre et un peu triste. On y suit les vacances de deux familles à la Baule à la fin des années 50. Une des familles est en crise en raison du divorce imminent des parents. Le casting est épatant et on éprouve beaucoup de sympathie pour les personnages.
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