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weihnachtsmann
1 188 abonnés
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4,0
Publiée le 16 août 2024
Un film puissant et introspectif. La réalisatrice avec ses films explore les limites physiques et humaines. Ici les deux sont liés par la force du lien des sœurs et la ligne bleue que l’amour ne franchit pas. Le film est dur à la fin car la peur empêche toute émotion.
Le scénario manque un poil de rebondissement avec une fin plutôt énigmatique, mais c 'est superbement bien interprété et c 'est même assez incroyable la ressemblance physique entre Blanchoud et Tedeshi qui font un duo mére fille incroyablement vrai.
Portrait aussi fascinant qu’éprouvant d’une relation mère/fille dysfonctionnelle, entre amour et haine, portée par le duo formidable Valéria Bruni Tedeschi/Stéphanie Blanchoud. 3,25
Bon je sais que c'est un peu ridicule mais si l'on pouvait apprendre aux acteurs ce que c'est qu'être asthmatique et surtout comment l'on utilise l'inhalateur (Ventoline pour être précis) car chaque film chaque série c'est vraiment n'importe quoi. Il fallait que ça sorte désolé.
On se demande encore quelles étaient les intentions d'Ursula Meier avec ce drame complètement bancal au message incompréhensible, où règnent un hermétisme et un flottement constant tant sur la forme que sur le fond.
J'ai beaucoup aimé toute la première partie, après on s'ennuie et bien sûr il comme 95% des films français et francophones il n'y a pas de fin et on laisse le spectateur se débrouiller comme d'habitude histoire de ne pas prendre parti et aussi par manque d'imagination... MAIS Je mets un 20/20 à "Stéphanie Blanchoud" Mais quelle découverte ! Quelle actrice merveilleuse !! Elle est juste parfaite, touchante, elle joue juste et elle est d'une beauté incroyable. Je veux encore pleins de films d'elle !!! SVP les réalisateurs faites là tourner très souvent merci.
"La ligne" est un film qui tient son nom de la distance d'éloignement de 100 mètres prononcée à l'encontre de Margaret après une supposée énième altercation avec sa mère. On peut y découvrir une actrice bouleversante par ses silences pesants, sa voix magnifique, mais surtout par sa violence toujours prête à exploser, Stéphanie Blanchard. Malgré tout, à travers son rapport avec ses soeurs et notamment la plus petite, elle émet simplement le désir d'être aimée. Ce long-métrage est éprouvant psychologiquement avec Valeria Bruni Tedeschi imbuvable dans le rôle de la mère égocentrique qui force un peu le trait sur son le côté exécrable. L'ensemble est bon mais remuant.
Faisant suite aux très réussis Home et L'Enfant d'en haut, sortis il y a plus de dix ans, La Ligne est le très attendu 3ème long métrage de fiction d'Ursula Meier. La réalisatrice ancre, une fois de plus, son histoire dans un environnement pesant, entouré de montagnes oppressantes, et choisit d'aborder cette fois-ci, la question de la toxicité parentale, . Malgré une scène d'ouverture magnifique, au ralenti sur fond de Vivaldi, et plusieurs moments où la justesse du jeu des acteurs (India Hair et Valéria Bruni-Tedeschi en tête) vient saisir le spectateur, le film peine à convaincre sur la longueur, à cause, sans doute, d'un point de vue unique qui empêche de saisir tous les enjeux de cette relation conflictuelle mère/fille. @stephanie_blanchoud, en jeune fille écorchée vive, est impressionnante.
Le film commence en ralenti avec une violente discute entre deux femmes. Il s'agit d'une fille et de sa mère. Suite à cette agression, la fille de 35 ans doit se soumettre à une mesure d'éloignement. Cette distance ne fait qu'accentuer son désir d'être auprès de sa famille. "La Ligne" est un drame qui met en scène beaucoup de douleurs mais finalement assez peu d'empathie. Le film montre en effet que chaque famille a ses failles, mais l'émotion n'est jamais remarquable.
Une mère déjantée et égocentrique avec ses 3 filles si différentes : le dysfonctionnement familial est total. Le film démarre sur une impressionnante scène de dispute au ralenti sur du Vivaldi chanté par Jaroussky. La grande soeur Margaret est de nature violente face à cette mère fantasque; elle protège sa petite soeur Marion avec qui elle gardera un lien privilégié tout au long du film. L'incommunicabilité de ces êtres sera surligné par cette obligation d'éloignement. Et la 3ème soeur qui inlassablement tentera la médiation donnera naissance à 2 jumelles. Obligée de rester derrière la ligne bleue peinte par Marion, c'est une situation misérable et pathétique qui arrivera à nous tenir attentifs jusqu'à la fin. Et la scène finale entre la mère et la fille vous bouleversera sans nul doute. Très beau film d'auteur assez aride tout de même!
"La ligne" s'ouvre sur une grosse et violente dispute familiale impliquant Christina et sa fille Margaret. À la suite de cette scène jouée sur un air d'opéra comme si on était au théâtre, cette dernière n'a plus le droit d'approcher à moins de 100 mètres de sa mère. Le début d'une reconstruction individuelle et familiale à distance. "Ursula Meier" présente une famille bien toxique, mais le truc c'est qu'il s'agit justement d'une famille, donc on ne peut pas supprimer certaines personnes de notre vie d'un claquement de doigts. Entre l'impulsivité de l'une et l'hystérie de l'autre, on n'a pas affaire à la famille la plus attachante au monde. Cependant, leurs regrets et douleurs les rendent quand même attendrissantes d'une certaine manière. Ce n'est quand même pas facile de s'intéresser à des gens aussi peu sympathiques et cela fait défaut au film. Il y a des qualités, de jolis moments et de bonnes actrices, mais je suis resté sur ma faim.
Une interdiction d'approcher le domicile familiale entre une mère et sa fille suite a un conflit matérialisée par une ligne peinte a ne pas franchir. Comment vivre avec cela dans le cadre d'un stricte respect de la décision de justice quand on a une sœur que l'on souhaiterai continuer a voir, quand on a de l'affection pour sa famille. un travail de reconquête de reconstruction.
Un film qui laisse une impression de ne pas avoir été poussé jusqu'au bout. L'impression que l'on pouvait obtenir quelque chose de plus fort.
Un jeu d'acteur digne d'un spectacle de fin d'année pour certains acteurs, une bande son fait en studio, un scénario bancale, voilà ce que j'ai vu ou plutôt enduré.
L’histoire d’une relation compliquée entre une mère et sa fille… jusqu’au jour où Margaret dérape et agresse sa maman. Soumise à une mesure d’éloignement, elle se retrouve à une distance de 100 mètres de sa famille, matérialisée au sol par une ligne dessinée par sa petite sœur. C’est happant sans faire d’étincelles. Et on se demande un peu à quoi le film sert… Heureusement, le casting est plutôt réussi.
"La ligne" ne me séduisait pas vraiment sur le papier...
Après avoir agressé violemment sa mère, Margaret, 35 ans et un long passé de violences aussi bien infligées que subies, doit se soumettre à une mesure stricte d'éloignement en attendant son jugement : elle n'a plus le droit, pour une durée de trois mois, de rentrer en contact avec sa mère, ni de s'approcher à moins de 100 mètres de la maison familiale. Cette distance qui la sépare de son foyer ne fait qu'exacerber son désir de se rapprocher des siens.
En salle, mes réserves se sont malheureusement confirmées puisque j'ai eu l'impression de perdre mon temps entre une Valéria Bruni hystérique (mais on ne sait pas trop pourquoi sauf qu'elle est un perchée depuis qu'elle a du abandonner sa carrière de soliste classique) sa fille qui hurle et tape tout ce qui bouge et la petite soeur de celle ci qui se prend pour Bernadette Soubirou.