AlloCiné
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Votre avis sur Un talent en or massif ?
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Franchement, un très bon film !!! J'ai beaucoup aimé, le film a de l'action, de l'humour, de l'émotion. Bref, un cocktail vraiment super qui en fait un divertissement puissant. Les acteurs sont excellents, Nicolas Cage est super bon dans l'interprétation de son personnage, le scénario et les dialogues sont très bien écrits et les décors sont très beaux. Aucune longueur, aucun temps morts. Je n'ai pas du tout été déçu de ce film, bien au contraire. Bref, je vous conseillerais d'aller voir ce film. Il vaut le coup !!!
Scénario sans intérêt, très mauvais film, retour complètement raté de Nicolas Cage... De belles images de Mallorque, that's all!
Je ne suis pas du tout objectif : si il y a bien un manque de budget visible (effets spéciaux, cascades...et ce deepfake tellement moche...), ce film, à condition d'avoir été fan un jour de Nicolas Cage, est un plaisir de chaque minute ! A voir et revoir, pour rire et prendre du plaisir !
Très bon film sur Nicolas Cage.
On va pas dire original mais assez touchant, avec des références aux personnages des films de Nick Cage bien poussés et utiles au scénario.
Je pense pas que ce film fera un carton au box-office… mais c’est pourtant un film a conseiller bien qu’il soit loin d’être excellent.
Parfois des choses peu réaliste, ou encore des personnages pas forcément avec grande utilité…
Mais c’est à conseiller.
Bref
7,5/10
On va pas dire original mais assez touchant, avec des références aux personnages des films de Nick Cage bien poussés et utiles au scénario.
Je pense pas que ce film fera un carton au box-office… mais c’est pourtant un film a conseiller bien qu’il soit loin d’être excellent.
Parfois des choses peu réaliste, ou encore des personnages pas forcément avec grande utilité…
Mais c’est à conseiller.
Bref
7,5/10
Un film presque culte qui redore l'image de Nicolas Cage. Ici Nicolas Cage joue son propre rôle et donc il y'a énormément d'autoderision et c'est très drôle, c'est un film sincère que nous offre l'acteur et le producteur ! Son duo avec Pedro Pascal est énorme et marche super bien, c'est un duo que je n'aurai jamais pensé voir sur le grand écran mais etonnemant cela marche !. Aussi il y'a pleins de références à ces films Volte Face, ROCK... Il y aussi des scènes d'actions plutôt cool.
Nicolas Cage ne se prend pas au sérieux, mais il essaye de se donner un image quand même. Un scénario faussement original, quelques passages rigolos sans plus, rien de transcendant ici.
Si vous n'aimez pas Nicolas Cage, ce film aura sans doute tendance à vous agacer! Quoique... L'acteur joue ici son propre rôle avec une autodérision assez jouissive. C'est une comédie d'aventure assez déjantée où l'acteur, au bout du rouleau, se voit proposer un rôle (le dernier de sa carrière) par un réalisateur qui lui voue une admiration sans limite (Pedro Pascal). On y trouve une multitude de références à la filmographie de l'acteur qui à travers son double imaginaire voit sans doute les années passer. Il y a un certain côté narcissique ans ce film mais le cinéaste Tom Gormican met tout en oeuvre pour ne pas avoir peur de ridiculiser l'acteur en nous faisant rire de plus belle et en le rendant attachant.
Un film génial où je le suis bidonnée du début à la fin ! Le scénario est vraiment super, et les 2 acteurs brillants ! Une vraie parodie. Enfin une bonne, très bonne comédie !!
Voila bien longtemps que je n'ai pas supporté un tel navet. Histoire sans sens et réalisation ridicule.....
Fêtons le cinéma
Il est dommage que le processus de déconstruction de l’acteur par lui-même, puisque Nicolas Cage se voit constamment raccordé aux rôles qu’il a tenus dans les blockbusters à succès, ne bénéficie ni d’un scénario intelligent qui dise quelque chose de l’industrie hollywoodienne et de son impact sur un public de fans incapables du moindre jugement critique, ni d’une mise en scène digne des films cités, comme s’il suffisait de multiplier les références, depuis Das Cabinet des Dr. Caligari (Robert Wiene, 1920) jusqu’à Paddington 2 (Paul King, 2017), pour faire du cinéma. Dit autrement, The Unbearable Weight of Massive Talent est aussi bête que les personnages qu’il montre au point de se complaire dans la médiocrité des scenarii qui désormais occupent l’acteur américain.
Une poignée de scènes absurdes font sourire, comme ce discours pompeux que tient Javi à Cage sur le comédien astral qui illumine un quotidien morose alors même qu’il se trouve devant un décor estival baigné de soleil… Notons que le dispositif n’est pas sans rappeler Le Jouet (Francis Veber, 1976), avec cette location d’un homme-bouffon contre de l’argent, la virulence en moins. Le comique et ses différents registres demeurent eux aussi au ras des pâquerettes, uniquement axé sur le décalage des situations et ce second degré insupportable qui parasite le divertissement contemporain. Si Nicolas Cage amuse par son autodérision, le film lasse et dévoile très vite ses limites.
Une poignée de scènes absurdes font sourire, comme ce discours pompeux que tient Javi à Cage sur le comédien astral qui illumine un quotidien morose alors même qu’il se trouve devant un décor estival baigné de soleil… Notons que le dispositif n’est pas sans rappeler Le Jouet (Francis Veber, 1976), avec cette location d’un homme-bouffon contre de l’argent, la virulence en moins. Le comique et ses différents registres demeurent eux aussi au ras des pâquerettes, uniquement axé sur le décalage des situations et ce second degré insupportable qui parasite le divertissement contemporain. Si Nicolas Cage amuse par son autodérision, le film lasse et dévoile très vite ses limites.
Ce film est un navet. C'est la première fois en 20 ans de cinéma que je sors avant la fin. Film lent, pas drôle et scénario bidon. Bref à oublier rapidement.
pierrre s.
Le film est plutôt sympa à suivre et revoir Nicolas Cage sur grand écran c'est cool. On regrette quand même que le film n'aille pas au delà de l'aspect parodie.
Exceptionnel, Nicholas Cage dans toute sa splendeur. Il nous offre une palette d’émotions incroyables. Aucune longueur dans ce film. La salle était hilare par moment !
ConFucAmuS
Il y a Kick-Ass, Mandy ou un petit rôle dans le Snowden d'Oliver Stone, mais paumés au milieu d'une trentaine de productions anonymes enchaînées à un rythme stakhanoviste par Nicolas Cage. L'arithmétique est sans appel pour l'artiste : le ratio sur la décennie 2010 n'est pas fameux. Comme si ça ne suffisait pas, le comédien s'est retrouvé au centre d'un phénomène culturel typique d'une ère où la moindre bizarrerie est détournée en mèmes/gifs jusqu'à ce que la source originale soit réduite à une blague. Et le truc avec les réseaux sociaux, c'est que les plus courtes ont tendance à vous coller aux basques pendant longtemps. Pour Cage, c'est regarder sa carrière restreinte à une poignée de moments excités alors qu'il s'efforce d'éponger ses dettes. 2020, décennie de la mise au point ? Après l'étonnant Pig, l'acteur a déniché le projet idéal pour remettre les points sur les i avec Un talent en or massif. Il joue son propre rôle, Nick Cage, has-been à en pleurer, tellement à la rue question boulot qu'il doit se résoudre à jouer les invités prestigieux pour un admirateur fortuné et impliqué dans un enlèvement. On la sent bien, cette odeur de gros délire ? Juste de loin.
Désolé de jouer les trouble-fête mais Tom Gormican et Kevin Etten n'avaient manifestement pas grand chose à faire de Nicolas Cage. Ceux qui s'attendent à un film juste méta devraient s'en contenter. Pour ceux qui s'attendaient à plus, il faudra se contenter d'une comédie dont le résumé est dix fois plus excitant que le déroulé. En fin de compte, l'intrigue ne s'aventurera pas hors du simple barouf référentiel afin de brocarder cette culture du vide en boucle. Tout au plus effleurera t-il la ligne jaune le temps de moments où Cage tente de rejouer (pathétiquement) certaines envolées lyriques en famille. On ne croit pas plus à cette histoire d'infiltration chez le cartel qu'à cette fausse mise à nu, tellement surfaite qu'elle finit pas devenir ennuyeuse. Heureusement, quelques petites idées éparses font mouche : le double survolté, ce final en mode Michael Bay aussi ridicule que l'original.
Un talent en or massif avait un potentiel fou, le genre de propositions qu'on signe des deux mains. Qu'en reste t-il ? Sans surprise, un Nicolas Cage charmant et drôle, inspiré dans l'exercice maso. Au delà, Pedro Pascal remonte légèrement la pente après la cataclysmique Bulle signée Apatow (qui porte très bien son nom). Et puis ? Rien. Mise en scène approximative, montage au hachoir, gags répétitifs, seconds-rôles globalement insipides. En somme, un moment qu'on oubliera bien plus vite que les mèmes dont l'acteur est devenu l'un des emblèmes mondial.
Désolé de jouer les trouble-fête mais Tom Gormican et Kevin Etten n'avaient manifestement pas grand chose à faire de Nicolas Cage. Ceux qui s'attendent à un film juste méta devraient s'en contenter. Pour ceux qui s'attendaient à plus, il faudra se contenter d'une comédie dont le résumé est dix fois plus excitant que le déroulé. En fin de compte, l'intrigue ne s'aventurera pas hors du simple barouf référentiel afin de brocarder cette culture du vide en boucle. Tout au plus effleurera t-il la ligne jaune le temps de moments où Cage tente de rejouer (pathétiquement) certaines envolées lyriques en famille. On ne croit pas plus à cette histoire d'infiltration chez le cartel qu'à cette fausse mise à nu, tellement surfaite qu'elle finit pas devenir ennuyeuse. Heureusement, quelques petites idées éparses font mouche : le double survolté, ce final en mode Michael Bay aussi ridicule que l'original.
Un talent en or massif avait un potentiel fou, le genre de propositions qu'on signe des deux mains. Qu'en reste t-il ? Sans surprise, un Nicolas Cage charmant et drôle, inspiré dans l'exercice maso. Au delà, Pedro Pascal remonte légèrement la pente après la cataclysmique Bulle signée Apatow (qui porte très bien son nom). Et puis ? Rien. Mise en scène approximative, montage au hachoir, gags répétitifs, seconds-rôles globalement insipides. En somme, un moment qu'on oubliera bien plus vite que les mèmes dont l'acteur est devenu l'un des emblèmes mondial.
Quand est sorti en 2013 l'étonnant film Joe, on s'est dit que la traversée du désert de Nicolas Cage prenait fin. 9 ans et une pléiade de direct-to-video plus tard, la filmographie de l'acteur a continué à jouer avec les nerfs de ses fans. Si bien que voir un film de Nicolas Cage sortir sur grand écran et se payer de bonnes critiques est une habitude que l'on croyait perdue à tout jamais avec nos souvenirs de jeunesse. L'idée est géniale : Nicolas Cage joue son propre rôle. Ou du moins une version un peu fantasmée que l'on s'imagine de l'acteur. Ce qui lui permet d'être en roue libre et grimaçant le plus naturellement du monde. L'acteur est en quête d'un second souffle dans sa carrière et de reconnexion avec sa famille. Le parallèle avec la vraie carrière de Cage rend le tout drôle et passionnant, surtout pour ceux qui suivaient amoureusement sa carrière dans les 90s et ont vu son déclin. Ce film nous rappelle que le talent de l'acteur est intact et confirme ce que savions déjà : Cage sait tout jouer pour peu qu'un zest de folie ne soit jamais loin. Maintenant combien de séries Z faudra-t-il ingurgiter avant de retrouver Cage dans un film que lui seul rendra unique et fou ? Pas trop espérons.
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