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Thị Hà My Nguyễn
2 critiques
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4,0
Publiée le 27 septembre 2024
"After Blue" de Bertrand Mandico est un film visuellement saisissant qui explore l'identité, la sexualité et la liberté dans un décor dystopique. Son récit surréaliste remet en question les normes conventionnelles et invite à la réflexion sur le désir et la fluidité de l'identité.
je mets la note de 1/10 à ce film ce film qui est une bizarrerie de fantaisie ! on est à la limite du hentaï ou peut-être déjà dans le genre mais à la française ! AfterBlue ressemble à ce genre de film qui est un prétexte pour nous balancer des scènes érotiques ou sensuelles avec l'argument "c'est de l'art, c'est beau c'est super" alors qu'en fait c'est un bordel pas possible, un foure-tout sans sens, sans direction artistique !
Dès le départ déjà le film est cassé par le choix du nom du personnage "quête bouche" (kate bush), le mauvais jeu de mot semi-blague en dessous du slip qu'on pourrait sortir en seconde ou terminal quand on a bu une bière de trop.
Pour faire simple, vous prenez l'histoire sans fin , vous mélangez tous les ingrédients sans jamais les remettre dans le bon ordre et vous obtenez ce film ! Musicalement ya rien à entendre ou découvrir de positif Visuellement c'est sombre Niveau FX c'est trop du genre fan-film ou "pas de pitié pour les croissants" ça ne va intéresser que les pervers et mateurs des années 80 ! (car côté hentaï low-cost)
Ce second métrage du Bertrand Mendico est beau, hypogisant, énigmatique. Deuxième volet d'une trilogie autour de la décontraction dans un monde où le sexe faible est devenu l'unique en tout cas pour ce film.
Après le singulier mais sympathique « Les garçons sauvages », le réalisateur de clips Bertrand Mandico nous propose un film complètement vain, sorte de western kitsch, sonnant creux aux effets spéciaux surannés rappelant vaguement ceux de « Barbarella », « La bête », de Walerian Borowczyk ou encore « Flash Gordon » qui eux, au moins, étaient un minimum divertissants et proposaient un message ! Ici, c’est excessif et à part être de la masturbation intellectuelle voire physique pour certains protagonistes, on ne voit pas où le réalisateur a voulu en venir ! A moins qu’en donnant des noms de marques (Gucci, Channel, Yves Saint-Laurent) aux armes et au robot, il n’ait voulu critiquer la société de consommation, on ne voit pas ! Non, vraiment c’est très laid et futile et ceux qui, comme moi, ont eu le courage de le visionner jusqu’au bout, devraient se voir décerner une médaille car il faut quand même se taper ce spectacle indigeste pendant plus de deux heures !
On ne dit pas c’est nul mais plutôt je n’aime pas. Et bien je n’ai vraiment pas aimé cet After Blue. Je n’ai vraiment pas compris ou cela voulait aller (et si cela avait vraiment un sens d’ailleurs). Et même comme simple œuvre esthétique cela m’a laissé totalement indifférent. Il faut vraiment être amateur des éclairages Spotlight, des paillettes et des symboles phalliques pour trouver cela beau. Comme effet de mise en scène on a le droit à deux heures de fondus enchaînés. En revanche je ne peux que féliciter les différentes actrices qui arrivent à insuffler un peu de vie à un spectacle totalement factice et m’as tu vu. Non je ne dirais pas que c’est nul, mais je n’y retournerai pas.
Un western futuriste au féminin, troublant et envoûtant par moment, mais au service d'un récit soporifique et indigeste, avec cette pauvre Kate Bush citée 1000 fois. 2,25
After Blue m'a fait vivre un truc méta : j'ai bien aimé parce que je n'ai pas aimé du tout. Ca se veut un croisement entre La Montagne Sacré de Jodorowsky, les films grotesques mais très bien réalisés à la Lucio Fulci, l'esprit Métal Hurlant ( c'est vrai que dans les 1ers les planches de Moebius ou de Druillet étaient très belles à regarder mais le scenario assez inexistant ). Dedans on glisse des trucs lesbiens queer bien dans l'air du temps, sur une histoire sans queue ni tête avec des dialogues genre marabout bout d'ficelle. C'est vraiment étonnant, formellement c'est complétement nul, visuellement il y a des choses sympas. J'ai bien aimé les décors en carton qui m'ont fait penser à l'Histoire sans Fin, Dark Crystal ( ou La Planète des Zombies ). Je suis impatient de voir Conan la Barbare. Effectivement ceux de Richard Fleischer, intensément mauvais ( le Destructeur et l'affreux Kalidor ), peuvent correspondre à l'esprit ( à la différence des bd de John Buscema et du film de Milius )...C'est triste que le cinéma auquel son film se réfère n'existe plus. Parce que c'est pas un film, c'est plus un objet d'art contemporain. C'est à vous de trouver un fond si vous arrivez à supporter la forme.
Quel calvaire ! je me demande comment j'ai pu tenir plus de 2 heures devant ce prétention film nul ! J'avais déjà détesté les Garçons Sauvages. After Blue reprend les mêmes recettes : scénario fourre-tout sans queue ni tête, filles nues et images surréalistes à grands coups d'effets numériques. On ne m'y reprendra plus.
Un réalisateur sans argent et sans talent. Décors et costumes identiques aux films de serie Z des années 60. Dialogues pompeux. Scénarios très léger. Femmes à poils (seins nus). Aucune transpositon aux problématiques actuelles. Aimer metal hurlant, vouloir faire pareil mais sans en comprendre le sel et surtout sans talent. En plus fauché... Pauvre France...
Décors de carton pâte qu'on aurait refusés dans les années cinquante, images vaguement psychédéliques du même niveau, costumes ridicules qui semblent sortir tout droit d'une friperie, dialogues ampoulés qui sonnent archi faux, tout est minable dans ce film. Un mystère : comment des critiques de grands médias peuvent-ils l'encenser ?
Après les obscènes “Garçons sauvages”, Bertrand Mandico revient avec une science-fiction psychédélique et sexuelle. “After Blue (Paradis sale)” est un western sur fond de “Dune” de Frank Herbert. Sur une planète sauvage, les hommes ont disparus. L’adolescente Roxy et sa mère sont bannies de leur communauté après avoir délivré une criminelle ensevelie sous les sables. Les voici désormais à arpenter leur planète étrange et tenter de survivre face aux dangers lesbiens qui les entourent. Dans une ambiance baroque parfois appréciable, Mandico en oubli la construction d’une histoire intéressante. Son paradis sale manque cruellement de matière autre que plastique. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Intrigué (et dubitatif) par "Les garçons sauvages" de B. Mandico je retente l'expérience avec "After Blue" et me retrouve dans ce même univers glauque et poisseux et son obsession de la sexualité (féminine). En ajoutant les effets spéciaux dignes d'un Méliès de pacotille (l'humour en moins), les dialogues indigents et le jeu théâtral des acteurs… on tient enfin notre nouveau Jean Rollin.
ce n'est pas un film, c'est une bouillie indigeste d'images troubles et qui se veulent psychédéliques, avec des dialogues insipides et des actrices qui le sont tout autant, sans parler des décors et des costumes. Les effets kitch c'est bien, mais trop c'est trop.
La nouvelle folie de Bertrand Mandico se déroule sur une planète où seules les femmes peuvent survivre. Elles y ont trouvé refuge, car la Terre était "pourrie" et qu'il a donc fallu chercher ailleurs. Une vie en harmonie en l'absence des hommes ? Ce n'est pas pour tout de suite. Roxy, une adolescente, libère une femme enterrée jusqu'au cou sauf que cette dernière est une criminelle connue sous le nom de Kate Bush. Pour réparer son erreur, Roxy part avec sa mère à sa poursuite à travers des paysages surréalistes dans un univers visuellement impressionnant. "After Blue" mélange les genres, un western d'un nouveau genre, une sorte de film sur le passage à l'âge adulte avec un voyage initiatique à l'ambiance fantasmagorique, érotique et poétique. Si "Les Garçons sauvages" m'a laissé un vrai bon souvenir, "After Blue" m'a moins convaincu. Au-delà de cet univers très dense, j'ai trouvé cette épopée prévisible, redondante et surtout linéaire. On a beau être plongé dans un univers qui ne ressemble à aucun autre, je trouve qu'on en fait vite le tour. Il n'y a pas de rebondissements, pas vraiment d'enjeux à part cette traque et c'est bien dommage. On peut également dire que le film est trop long pour un tel scénario avec un récit inutilement alourdi. Au final, un film décevant bien loin du premier long-métrage du réalisateur.
Sous acides le film a du être conçu.. et réalisé. Pour les dialogues on passera évidemment tellement c est debile. Reste des plans esthético-erotiques qui se baladent dans ce futur lointain sur cette planète lointaine... enfin bon on est aussi très loin du film à effets spéciaux de science-fiction aussi, mais plutôt de l ovni au budget réduit.... avec des décors faits par des enfants...