Dans cette comédie estivale, le réalisateur Guillaume Brac relate l'histoire de Félix, un jeune homme qui décide de suivre une fille qu'il a rencontrée une nuit à Paris, sur son lieu de vacances. C'est lent mais cela sied bien au moment présent. Malheureusement, malgré un jeu simple mais authentique des comédiens, l'ambiance résultant des relations perturbées par des conflits verbaux est lourde à suivre.
Deux heures de perdues de ma vie. L’histoire est inintéressant et les blagues pas drôle. La fin m’a vraiment déçu, on ne sait même pas avec qui, il sort, et le titre ne correspond pas du tout au film. J’ai failli m’endormir
Personnellement j'ai trouvé que le scénario n'était pas très original et je me suis un peu ennuyée malheureusement... Tout est très subtil mais pour moi ça faisait trop un film d'auteur français avec très peu d'éléments dramatique ou de reliefs.
Je ne vais pas faire le pitch car il a déjà été fait. Je tenais à dire ce que j'avais pensé de ce film pour vous éviter de perdre votre temps à le regarder. Il est mauvais ! Les personnages sont bêtes, pas attachants et pas crédibles. L'histoire est longue et dénuée d'intérêt. Je ne comprends pas les critiques dithyrambiques sur ce film. Les personnes qui l'ont bien évalué m'ont fait perdre 1h30 de vie. Après l'avoir visionné, j'ai vérifié si je ne m'étais pas trompé de film tellement "à l'abordage" n'a rien. Il ne fait pas rire. Attention, je ne dis pas que je n'ai pas aimé les blagues je dis il n'y a pas de blagues. L'histoire est molle et pas crédible sans relief. C'est mal joué. Bref, ce film c'est le néant. Passez votre chemin
Super bromcom dans un camping en Ardèche, très drôle, tendre et solaire. Les acteurs sont super, ça joue super bien chacun avec son tempo bien à lui, Salif vraiment au top, il crève l'écran. Génial de filmer les écoutes, ça sonne très vrai et vivant. Un petit côté Samuel pour la nostalgie et l'insouciance des vacances très joliment retranscrite ! Vraiment un super film
C'est vraiment une petite pépite ce film. Je m'attendais à rien et je ressors comblé. Les acteurs sont bons dans l'ensemble et l'histoire tient la route
spoiler: Super film ! Je recommande, aux plus grands comme aux plus jeunes ! La mise en scène, le décor, les personnages... Et la petite note d'amour qui illustre amoureusement le tout... tout est parfait dans ce long-métrage ! ...très drôle les petits moments de délires, notamment avec Edouard (a.k.a Chaton)
Félix le beau black a rencontré Alma la jolie rousse sur les quais de la Seine. Et après une nuit enlacés dans un parc, il décide de la rejoindre sans la prévenir, sur son lieu de vacances dans la Drôme. Mais il n'est pas spécialement attendu. Je suis encore en profond décalage avec la critique (et avec le public). ''A l'abordage'' serait un ode à la diversité et à la tolérance. Pourtant Félix, le personnage principal m'est parfaitement antipathique : intrusif, égocentrique, agressif, jaloux, tous les attributs d'un futur pervers narcissique, étonnamment similaire au personnage de V Macaigne dans ''Tonnerre'', érotomane poursuivant Solène Rigot de son hystérie possessive. Et que dire de presque tous les personnages non racisés. Un pauvre fils à papa ridiculisé dès ses premières scènes, ''chaton'' harcelé par sa maman, un maître-nageur avantageux qui se répand sur ses voyages au Maroc ou au Mexique, un climato-anxieux qui se shoote pour oublier l'apocalypse - une belle panoplie de caricatures. Guillaume Brac me rattrapera par la manche avec le copain Chérif (magnifique Salif Cissé) avançant délicatement ses pions en babysitter d'occasion auprès d'une jeune maman esseulée et j'ai retrouvé la patte indulgente d''Un monde sans femme'', sa bienveillance pour tous les galériens de l'amour.
Projet mené avec les élèves du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris, À l’abordage prend la forme d’une comédie de mœurs légère et estivale qui nous réserve quelques belles séquences de rires ou de sourires. Cette histoire d’un trio improbable qui va cohabiter dans un camping de la Drôme a des airs de marivaudage à la Éric Rohmer, mis à jour par les codes et les préoccupations de l’époque – ici, au moins deux des trois « galériens », comme ils se nomment eux-mêmes, sont issus de la diversité. Réalisé avec une économie de moyens évidente, un petit film très mignon.
J'ai passé un moment très agréable, léger et plein de sincérité dans le jeu des acteurs. Une belle nostalgie de mon côté. Et une envie d'y croire encore, croire en ses folies de partir loin sur un coup de tête, sur un coup de foudre et de laisser les événements mener la barque.