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    La Mort en direct
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    albancharpigny
    albancharpigny

    13 abonnés 339 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 septembre 2024
    Un casting excellent pour l’époque, une idée génial avant gardiste sur un futur réaliste mais le tout est maltraité par une mise en scène mollassonne, des monologues interminables et des longueurs sans fins. Vraiment déçu et dommage.
    Alasky
    Alasky

    345 abonnés 3 359 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juin 2024
    Le sujet est bien traité, bien mené à la caméra, Romy et Harvey sont très bons, cependant j'ai trouvé ce film beaucoup trop long pour que je puisse le qualifier de captivant. Beaucoup de longueurs, qui m'ont perdue.
    Hotinhere
    Hotinhere

    545 abonnés 4 943 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Un film visionnaire qui dénonce (avant l’heure des télé-réalités) le voyeurisme à la télévision et la course au sensationnel, mais au service d’un scénario bancal et peu captivant, en dépit d'un casting séduisant.
    aldelannoy
    aldelannoy

    38 abonnés 342 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juillet 2022
    L'un des moins médiocres films de Bertrand Tavernier (qui a fait quelques très bons films dont l'Appât, Que la fête commence ou Coup de torchon). Il y a plusieurs excellentes idées scénaristiques : une caméra greffée en tant qu’œil sur un homme - idée dont les conséquences en terme de cinéma pourraient ouvrir sur une réflexion qui donne le vertige -, une femme va mourir dans un monde dans lequel la mort n'est plus qu'accidentelle - l'idée de ce monde sans mort "naturelle" ni de maladie ouvre un nouvel immense champ de réflexions -, l'ordinateur qui crée quasi tout seul des romans - pourquoi pas plutôt des scénarios de cinéma -, enfin la préfiguration de la télé-réalité et de son indiscrétion est encore une idée des plus intéressantes. Mais le scénariste des Trois jours du condor et de The Interpreter n'a pas aidé à développer ces idées et bien d'autres ne manquant pas d'intérêt qui ne sont que caressées dans ce film. Le résultat donne une histoire faiblarde. Le réalisateur semble surtout s'être plu à filmer Romy Schneider, à l'anglais avec accent français, et Harvey Keitel dans un monde de science-fiction dont le décor est semblable au monde réel, ce qui n'est pas du tout dérangeant.
    Patjob
    Patjob

    34 abonnés 589 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juillet 2022
    Une idée de départ excellente, une science-fiction sans effets spéciaux, visionnaire de la future téléréalité, un cadre original, entre les grandes étendues sauvages d’Ecosse et des images saisissantes de Glasgow, le fond et la forme semblaient réunis pour un grand film, à « l’américaine », avec style nerveux et musique prégnante (aux accents parfois Mahlériens). Bertrand Tavernier, très grand spécialiste du cinéma Américain, semble s’être fait plaisir à le tourner, en dirigeant des acteurs de référence et en démontrant une technique certaine, comme dans cet impressionnant plan séquence qui suit la fuite de Katherine. Malheureusement le scénario est négligé, et les comportements des personnages, celui de Katherine en particulier, manquent de crédibilité et de cohérence. Dès lors il est difficile de s’accrocher au film, qui reste un objet distant, laissant de grands regrets lorsque l’on pense à ce qu’il aurait pu être.
    kingbee49
    kingbee49

    38 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 avril 2022
    Un film d'anticipation ambitieux par son thème visionnaire (le voyeurisme et la télé réalité) mais qui ne tient pas ses promesses. La faute à un gros manque de rythme et aussi à l'incapacité de Tavernier à créer de vraies péripéties haletantes pendant deux heures...Sans doute absorbé par les magnifiques paysages écossais ou l'atmosphère de Glasgow, le metteur en scène de "Coup de torchon" peine à traiter vraiment son sujet. Mais il faut dire que dés que Romy Schneider est à l 'écran, c'est un autre film qui commence. Car, oui, l'actrice concentre tous les regards dans cette course presque romantique avec Harvey Keitel. Elle semble d'ailleurs plutôt à l'aise devant la caméra de Tavernier : belle, épanouie, gracieuse, elle est au somment de son art, juste avant d'être happer par les drames de sa vie privée. Alors, oui, le sujet du film fait le lien avec l'actrice, ce qui crée rétrospectivement une forme d'adhésion. A côté d'elle, Harvey Keitel fait le job, sans plus. Harry Dean Stanton aussi. Mais Max Von Sydow, qui arrive à la conclusion, est sans doute le personnage le plus attachant. A noter que la musique est signé Antoine Duhamel, qui recycle ici un style de cordes déjà entendues dans "Pierrot le Fou", était-ce bien nécessaire ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 avril 2022
    C'est certainement un film à mettre dans la bibliothèque pour plein de raisons. D'abord, les acteurs, ces monstres du cinéma. Ensuite, l'histoire, le tournage et les décors. Glasgow dans les années 1980 c'est une ville surprenante. L'histoire est basée sur un roman de SF, mais la SF de bonne qualité sans les effets spéciaux. Une caméra est impacté dans l'oeil d'un caméraman qui doit suivre la déchéance et la mort d'une femme. Celle-ci se croit atteinte d'une maladie incurable à une époque où plus personne ne meurt de maladie. Les sentiments, les liens, vont faire passer la curiosité malsaine en une histoire romantique qui se termine mal. C'est les reality show avant l'heure. On a vu que depuis, la télé va beaucoup plus loin...
    stans007
    stans007

    23 abonnés 1 307 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 février 2022
    Malgré un scénario à priori intéressant, dans un futur où les ségrégations sociales se sont accentuées et où on vit par télé interposée, et les paysages d’Ecosse ou le port de Glasglow magnifiquement photographiés, ce film que j’ai vu en version anglaise suinte l’ennui et manque de rythme. Ours d’or à Berlin et cinq nominations aux César : quelque chose a du m’échapper !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 480 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 février 2021
    De grands acteurs Romy Schneider, Harvey Keitel et une grande idée. Mais en fin de compte ce film ne fait pas son travail. Dans un avenir qui ressemble à l'Écosse de 1979 une émission de télévision veut faire la chronique des derniers jours d'une femme mourante car la mort est désormais rare parmi tous les gens (sauf les personnes âgées) grâce à la médecine moderne. A part les caméras sur les yeux de Harvey Kietel et un ordinateur que l'héroïne utilise pour écrire des romans on ne voit pas grand chose du futur à l'écran. Pourquoi un réalisateur français tourne-t-il au Royaume-Uni avec des acteurs américains et autrichiens. Le film prend son temps en gros la première moitié pour arriver à Kietel qui filme la femme en fuite. L'idée est en avance sur son temps avec la télé-réalité et la manipulation des médias. Mais le rythme est lent les visuels sont sombres et incolores. Et la conclusion ne m'a pas du tout satisfait c'est un raté...
    Ricco92
    Ricco92

    217 abonnés 2 147 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 décembre 2020
    Premier film tourné en anglais par Bertrand Tavernier avec des stars internationales (Harvey Keitel, Harry Dean Stanton, Max von Sydow et Romy Schneider même si cette dernière pouvait être considérée comme étant française d’adoption), La Mort en direct bénéficie d’un excellent concept qui préfigure la télé-réalité d’aujourd’hui et d’idées géniales spoiler: (la caméra-œil pour citer Dziga Vertov, la volonté d’empoisonner puis de sauver Katherine pour faire de l’audience…)
    . Hélas, le réalisateur applique un traitement lent et bavard dans l’ensemble et choisit de conserver un environnement contemporain rentrant en contradiction avec le principe futuriste du récit et les évolutions scientifiques présentées (presque toutes les maladies mortelles peuvent être guéries ; une fois de plus la caméra-œil…). Ainsi, on peut regretter l’excellente œuvre d’anticipation qu’aurait pu être La Mort en direct et s’ennuyer un peu devant le résultat décevant que nous offre le cinéaste français.
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 décembre 2020
    « La mort en direct » (1980) est « le » film de science-fiction de Bertrand Tavernier qui – bien qu’avant la télé-réalité n’ose les pires choses -– raconte la mort en direct de Katherine Mortenhoe (Romy Schneider) filmée par l’œil-caméra de Roddy (Harvey Keitel,) pour le producteur de la télé NTV, Vincent Fireman (Harry Dean Stanton). L’idée est excellente mais le film pâti d’une lenteur à son démarrage et quand l’histoire s’installe, les émotions et la relation psychologique entre les 2 principaux protagonistes ne sont pas assez creusées. On a par exemple du mal à comprendre pourquoi Katherine suit Roddy et on finit par tourner en rond dans la fuite des 2 personnages jusqu’à ce qu’ils retrouvent l’ancien mari de Katherine interprété par le grand Max von Sydow, dans une scène qui magnifie la fin de ce film de 2 h 08 !
    Max Rss
    Max Rss

    196 abonnés 1 762 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juin 2019
    Romy Schneider, Harvey Keitel, Harry Dean Stanton et Max Von Sydow, le tout, devant la caméra de Bertrand Tavernier ! Comment (re)passer à côté de ça ? Alors, cette "Mort en direct" est-elle réellement une anticipation de ce que l'on appelle la télé-réalité ? Quand on voit ce film de nos jours, on est de suite tenté de répondre oui, c'est automatique, étant donné que le phénomène pollue les écrans de télé un peu partout. Mais, à l'époque, en 1979, je pense que personne n'a pu prédire pareille chose. Je crois que rien ne poussait à penser qu'un jour ça existerait. Moi, je pense qu'il s'agit d'un film simplement futuriste comme il s'en faisait à l'époque mais qui, encore une fois, trouve davantage d'écho de nos jours. En revanche, ce qui est certain, c'est que l'on a un questionnement à propos de la Mort et de son inéluctabilité. Bon, Tavernier, on le connaît. On sait quel regard il porte sur ses sujets. On sait que ce regard est très clinique et surtout froid. Et là, on ne déroge pas à la règle. Et, comme pour intensifier cela, on a mis les décors au diapason. Il n'y a qu'à voir la ville de Glasgow : sale, délabrée, grise, tout pour plaire quoi. Et, quand nos deux personnages principaux s'éloignent pour aller respirer l'air de la campagne, on tombe dans un environnement humide et brumeux. C'est vrai qu'il propose la matière suffisante pour faire travailler nos neurones ce film. Mais, il est tout de même assez compliqué de s'y intéresser pleinement. Tavernier a opté pour un rythme lent. Là n'est pas le souci. Le souci est que, à plusieurs reprises, le film comporte des longueurs qui le plombent nettement. Et ça, ajouté au rythme volontairement voulu, c'est un cocktail qui passe mal. Et, à ce titre, les vingt dernières minutes sont vraiment chiantes et n'apportent pas grand chose. Reste ensuite le trio, au sein duquel Dean Stanton est incontestablement le meilleur. Dans tous les cas, il faudra y venir à cette "Mort en direct", mais elle n'est assurément pas le film tout indiqué pour celles et ceux qui souhaiteraient découvrir le travail de Tavernier.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    119 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 février 2019
    Entre True Woman Show en plein air et dispute orwellesque des droits à l’image, La Mort en Direct a de quoi impressionner. Plaçant la morale au centre des préoccupations d’un monde si parfait qu’il en a des airs de post-apocalypse, il devrait, en toute logique, carburer au dilemme. Doit-il seulement aux décors 100% made in Scotland d’être mis au ban de son potentiel ?

    Le film parle d’authenticité, parce que le vrai nous manque dans cet univers où tout est aseptisé comme dans Brazil et où l’on court après des pilules comme si elles remplaçaient la trotteuse des montres. Il y a un côté très 80s dans cette manière de représenter l’enfermement du monde sur lui-même par un prolongement du quotidien, comme dans le déni de l’explosion moderniste. Mais cet aspect rétro ne suffit pas à expliquer l’autarcie placée comme fondement du scénario : il manque quelque chose à ce monde, des connexions ; le luxe du plaisir télévisuel et la décadence du loisir, transformant l’agonie de Katherine Mortenhoe en thème de série télévisée, ne font pas tout. Roddy le caméraman-voyeur va s’en rendre compte, d’ailleurs.

    À travers des personnages au caractère bien affirmé mais mal développés au-delà de leurs points forts et faibles, on avance en pointillés, on est en manque de métaphore. Les blancs des dialogues s’étendent comme des blancs dans la trame même de l’histoire, si bien qu’on est balloté par une vie que le régisseur peine à nous faire passer pour aussi exceptionnelle qu’elle doit l’être dans l’œil du téléspectateur, celui qui, dans l’histoire, se délecte qu’une personne meure. Katherine, mourante, supposément en fuite, nous fait caresser la dimension banlieusarde de la cité, aspect qui ajoute au moins à l’immersion sans devoir être ostensible comme le reste, mais sans non plus ériger l’ennemi au rang monstrueux qu’il mérite, ni justifier la montée chez Roddy d’un regret si profond qu’il va tout changer.

    Les sentiments sont là, mais abstraits, éthérés, comme si on avait oublié de les arc-bouter et de les mettre en forme. C’est un « crève ou marche » lymphatique et presque mièvre, plein d’idée et en toute confiance dans son Scotlywood, mais plat comme les Lowlands.

    septiemeartetdemi.com
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 février 2019
    Un immense film de Bertrand Tavernier, porté par un formidable duo d'acteur,s Harvey Keitel et Romy Schneider, au sommet de leur art.
    Les dialogues et le scénario, écrits d'après un roman de science fiction, sont excellents. Les thèmes traités dans le film, notre difficile face à face avec la mort, la toute puissance de l'image, les dérives de la télé réalité, l'homme robot, le pouvoir du cinéma, la liberté humaine : c'est un film d'anticipation qui dépeignait en 1980 le monde dans lequel nous vivons aujourd'hui, avec une immense poésie, sur fond de ciels brouillés et de lochs écossais. Magnifique. J'envie ceux qui ne l'ont pas encore vu et qui vont le découvrir.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    61 abonnés 766 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2018
    Nouvelle présentation en Cinéclub à un public âgé. Une partie de celui-ci n'adhère pas au cynisme des médias poussé à l'extrême de filmer la mort: ah si Romy pouvait s'en sortir! La mise en route est un peu longue mais l'intrigue bien présentée. Le traitement des abus de la téléréalité reste prémonitoire et la vision de Tavernier parfaitement lucide. Il manque l'étincelle de génie pour en faire un film inoubliable, comme souvent chez lui. Tavernier a du repenser à celle qu'il a filmé en train d'embrasser son fils David dans ce film. Deux ans plus tard, les deux avaient disparus. Quand la fiction devient réalité... Novembre 2018. // Découverte de ce film de 1980, en compagnie de Max Von Sydow lui-même, qui ne quitte plus le Festival Lumière, Tavernier et Fremaux le suivent à la trace. Il reste avec le public pour revoir sa prestation durant le seul dernier quart d’heure de Death Watch, dans le rôle de l’ancien mari (destiné initialement à Noiret). Suis resté avec l’impression que Tavernier ne tire pas de ses acteurs exceptionnels, le meilleur de ce qu’ils pourraient faire, tout en restant excellents. Reste un scénario qui aujourd'hui n'est plus d'anticipation, glaçant portrait du cynisme des magnats de la téléréalité. La science-fiction de la caméra implantée dans les yeux n’est pas une chimère, juste une question éthique de plus à affronter: on le fait ou pas? Tourné dans une Ecosse aux paysages âpres et chatoyants de couleur, aux friches industrielles chargées d’histoire et aux banlieues laissées à l’abandon, La mort en direct ne fait pas dans le banal. Romy a vraiment accepté de jouer beaucoup de rôles éprouvants, et de face à face avec la mort. Son acceptation d’une fin proche après la révolte initiale , ne peut que rappeler des cas personnels vécus autour de soi. Cinéma vo octobre 2012.
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