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Audrey L
Les Chemins de la dignité est un drame qui retrace la difficile lutte du premier plongeur-secouriste de la Marine américaine, dans un milieu qui justifie apparemment qu'une couleur de peau fasse nager plus ou moins bien (on sera toujours surpris par la bêtise humaine, un sujet infini...). Les performances de ce jeune homme (Cuba Gooding Jr) font rougir ses supérieurs (tiens, ne peuvent-ils plus nager, si l'on suit leur logique ?), dont un certain supérieur
spoiler:
passe peu à peu de raciste convaincu à défendeur de l'altérité
(ah, c'est beau, les drames cuculs américains...). Robert De Niro, dans ce rôle, est à l'aise, de même que son comparse plongeur (on devine souvent que le tournage a dû être très pénible), le fond moral bienpensant est forcément validé de tous, et le procès final est un léger moment de tension spoiler: où l'on compte en même temps que De Niro les douze pas
qui séparent ce pauvre homme de son métier de rêve, mais on ne le fait pas par envie (on n'est jamais pris dans le récit, du fait de sa grande facilité et prévisibilité) mais par pure colère de savoir que la Marine a vraiment recalé cet excellent plongeur par racisme arriéré. Les Chemins de la dignité est assez vulgarisé pour le grand public du dimanche soir (comprenez : si le Cap'tain dit "OK, tu seras plongeur-secouriste", il y aura un accident dans la minute, où seul le novice peut sauver tout le monde... Ah, film d'action bébête américain...). Un film très facile, qui a au moins le mérite de rendre ses palmes à ce brave bonhomme de couleur qui a donné un peu de variété visuelle aux grands poissons blancs qui barbotaient en scaphandres... Mention aux acteurs qui ont dû boire la tasse quelques fois, heureusement qu'ils avaient un bon Cuba pour respirer... Oui, on a osé.
(ah, c'est beau, les drames cuculs américains...). Robert De Niro, dans ce rôle, est à l'aise, de même que son comparse plongeur (on devine souvent que le tournage a dû être très pénible), le fond moral bienpensant est forcément validé de tous, et le procès final est un léger moment de tension spoiler: où l'on compte en même temps que De Niro les douze pas
qui séparent ce pauvre homme de son métier de rêve, mais on ne le fait pas par envie (on n'est jamais pris dans le récit, du fait de sa grande facilité et prévisibilité) mais par pure colère de savoir que la Marine a vraiment recalé cet excellent plongeur par racisme arriéré. Les Chemins de la dignité est assez vulgarisé pour le grand public du dimanche soir (comprenez : si le Cap'tain dit "OK, tu seras plongeur-secouriste", il y aura un accident dans la minute, où seul le novice peut sauver tout le monde... Ah, film d'action bébête américain...). Un film très facile, qui a au moins le mérite de rendre ses palmes à ce brave bonhomme de couleur qui a donné un peu de variété visuelle aux grands poissons blancs qui barbotaient en scaphandres... Mention aux acteurs qui ont dû boire la tasse quelques fois, heureusement qu'ils avaient un bon Cuba pour respirer... Oui, on a osé.
Oui il y a les acteurs mais ça manque de souffle et de corps . Les américains sont très forts pour le biopic mais ici il manque vraiment un plus pour nous sauver parfois de l ennuie. Le dernier quart d heure est un exemple de ce qu il aurait fallu maintenir tout le long du film .
ce film est la traduction du courage ; la résilience ; le combat. Un film contre le racisme avec un acteur se choix
Robert De Niro... quel acteur! Pareil pour Cuba Gooding Jr. pour ce role. L'histoire est simple mais la mise en scene et la realisation en font un grand film d'emotion. Tres bon film.
D’habitude je suis plutôt attiré concernant les films de guerre , ou à caractère militaire, par le côté action et le côté émotionnel également ,au cœur de l’action au sens propre , et celui ci m’émerveille depuis des années même que je l’ai en dvd, ce n’est pas seulement par le courage de Brashear à affronter toute sorte d’obstacles dont le racisme , c’est aussi un combat personnel une compétition entre ses propres limites et toute sorte d’obstacles et drames , accidents qui viennent à se présenter au long de sa vie , pour lui c’est aussi une promesse et à la fois le respect qu’il accorde à sa posture et à sa carrière toute l’importance est là aussi puisqu’il ne pourrait pas se regarder dans une glace ni voir sa famille face à un probable échec ! Il donne tout jusqu’à la fin pour lui , son père et sa famille et pour les traditions comme l’honneur, et respecter son père est le début de son parcours vers l’honneur dès le début , ne pas oublier d’où il vient et comment tout au long il utilisera le major pour y arriver à devenir scaphandrier ! Et même le major n’y peut rien face à sa détermination, ce qui lui fais obstacle est aussi l’hiérarchie ! Comme le papy qui ne connaît que les anciens mœurs de l’armée américaine et qui ne peut en aucun cas accepter Brashear pédant sa présence néanmoins en reconnaissant que le monde change et le racisme ne pourra jamais empêcher ce changement et ce film représente justement le changement et l’acceptation des hommes par le respect et la crainte à la fois de les voir repousser des obstacles et ses propres limites à un tel point qu’il (s) deviennent les meilleur(s) ! Autrement l’armée n’aurait aucun sens sans obtenir les meilleurs résultats des perles de la détermination et de l’audace !
Les acteurs sont aux summums de leur art! De Niro et Cuba Gooding Junior se renvoient parfaitement la balle. Un très beau film.
Et puis il y'a ce genre de films qu'on à plaisir à "oublier" pour mieux les redécouvrir
Une belle Histoire de courage que je n'aurai jamais ,un casting 4 étoiles... portés par la musique de Mark Isham
À voir et revoir
Une belle Histoire de courage que je n'aurai jamais ,un casting 4 étoiles... portés par la musique de Mark Isham
À voir et revoir
Un film carré et classique qui raconte l'histoire vraie du premier plongeur de couleur dans la marine américaine qui en plus finira amputé d'une jambe.
La distribution est au diapason : carrée et classique avec un De Niro qui commence sa deuxième partie de carrière (gueulard et caricatural) mais comme c'est dans le rôle d'un chef instructeur ça passe
La distribution est au diapason : carrée et classique avec un De Niro qui commence sa deuxième partie de carrière (gueulard et caricatural) mais comme c'est dans le rôle d'un chef instructeur ça passe
Les Chemins de la dignité est un excellent film militaire. Ce n'est peut-être pas un excellent film hollywoodien mais cela n'a pas d'importance. Hollywood a la réputation de sacrifier la précision pour un bon divertissement mais ce n'est pas le cas avec ce film. L'histoire elle-même a été racontée et répétée à plusieurs reprises. Mais il reste à un soldat professionnel et à un afro-américain qui rend compte de l'histoire telle qu'elle est présentée par l'équipe du film. L'histoire du travail de Brashear pour devenir un plongeur de la marine et sa vie de plongeur au-delà de son diplôme n'est pas la seule histoire présentée. Il est également raconté l'histoire vraie sur la façon dont Brashear a trouvé les troisièmes bombes à hydrogène perdues dans l'océan Atlantique au large des côtes espagnoles dans les années 1950 et comment il a sauvé la vie d'un autre marin. C'était une histoire complexe qui valait la peine d'être racontée et j'admets que deux heures et neuf minutes n'étaient pas suffisantes pour raconter toute l'histoire. Et je peux dire d'après les scènes supprimées sur le DVD que l'équipe a fait de son mieux pour raconter une histoire aussi complète que possible...
Un Chef d'Oeuvre mal jugé par la critique.
Une histoire, véridique, jouée admirablement par Cuba Gooding Jr. et le génialissime Robert de Niro.
Un scénario ciselé à merveille, grâce auquel on est pris par le film du début jusqu'à la fin.
Une histoire, véridique, jouée admirablement par Cuba Gooding Jr. et le génialissime Robert de Niro.
Un scénario ciselé à merveille, grâce auquel on est pris par le film du début jusqu'à la fin.
Un film à voir pour ceux qui , comme moi, on soif de justice et combatte le racisme. L'histoire vraie de ce jeune noir américain qui est confronté à toutes sortes de coups bas par ces pairs est à découvrir, jusqu’où la volonté d'un homme peut elle aller, cette histoire est un exemple pour nous. De Niro excelle une fois de plus dans son rôle, celui d'un gradé de la Navy, teigneux et rebelle, qui fera tout pour casser le nouveau qui veut devenir le premier scaphandrier noir de l'US Navy. La réalisation est bonne et les moyens financiers sont à la hauteur ! Bravo! Un exemple de ténacité de l’être humain.
Bourré de clichés flattant le modèle américain, ce film relate une l’histoire originale et plutôt prenante, inspirée d’une histoire vraie d'un scaphandrier noir qui s'engage dans la Navy et qui va subir l’oppression raciale. C’est bien fait, parfois touchant, le nombre d'obstacles à surmonter étant particulièrement important. La fin reste très conventionnelle avec un Cuba Gooding Jr. exceptionnel.
J'ai adoré ce film... des amis à moi l'avaient vu et avaient aimé ça mais sans plus faque j'ai eu envie de le voir à mon tour et quant à moi, ca a été le coup de cœur ! J'ai adoré voir la bravoure, la détermination et la force de caractère de ce militaire black qui a surmonté toutes les épreuves que la vie a mis en travers de son chemin pour devenir le premier plongeur noir de la NAVY ! Ca m'a fait frissonner plus d'une fois et franchement c'est beau ! Mais en plus dans ce film, on retrouve Robert De Niro en supérieur tortionnaire et ca rajoute un vrai charme à ce film déjà excellent... gros coup de cœur !
videoman29
« Les chemins de la dignité » est une véritable « perle » du cinéma Hollywoodien du début des années 2000. On y suit l'histoire semée d’embûches, mais parfaitement véridique, du premier scaphandrier noir de l'histoire Américaine. La réalisation, signée George Tillman Jr, est parfaitement fluide et on suit les péripéties de Carl Brashear avec passion et sans le moindre temps mort. On le découvre ainsi, jeune matelot, engagé à bord d'un bâtiment de guerre de l'US navy. Malgré ses ambitions, il y reste cantonné à des taches subalternes comme la plupart de ses congénères de couleur. Très vite, il va tenter de bousculer l'establishment en intégrant l'école très fermée des plongeurs scaphandriers. Évidemment, la ségrégation étant toujours bien présente à la fin des années 1940, le chemin pour y parvenir va se révéler long et tortueux. L'incroyable destin de ce jeune militaire est totalement sublimé par la prestation hors du commun de Cuba Gooding Junior. Ce superbe acteur déploie un talent à la mesure des enjeux et il faut un immense Robert De Niro pour lui donner la réplique avec la même ferveur. Le résultat donne un film poignant, mais jamais larmoyant, que même l'habituelle touche de patriotisme à l'Américaine ne parvient pas à ternir. Un must !
Il y aura toujours des esprits grincheux pour trouver "larmoyant" ce genre de film. Affligeant surtout lorsque ces "esprits" affichent peu d'années au compteur. Personnellement j'ai beaucoup aimé ce film. Justement pour son côté émotionnel, qui n'a rien de larmoyant. D'autant plus qu'il est tiré de la vie d'un personnage réel et non d'une fiction commerciale type "officier et gentleman". Oui, l'industrie américaine ait produire ce genre de spectacle. Oui, elle sait vendre ses produits. Mais elle sait aussi, souvent créer de l'émotion. N'est ce pas ce que l'on attend d'un film,d'un spectacle? On a le droit d'avoir perdu très jeune sa faculté à s'émouvoir, d'avoir égaré sa sensibilité en essayant de devenir ce que l'on ne sera jamais. Critique avisé de cinéma, par exemple, mais on peut aussi avoir l'humilité de reconnaître, que l'on ne détient pas LA vérité en matière d'analyse! Quand on se rappelle que ce pays a élu ( puis réelu!) un président noir ( Obama), on mesure mieux la portée émotionnelle contenue dans ce film. Belle évolution, n'est il pas? Oui, De Niro cabotine, oui Cuba Gooding jr fanfaronne parfois, oui Hal Holbrook joue un personnage très caricatural, mais le film en est il dévalorisé pour autant? Oui, la fin est prévisible. N'en était il pas de même pour "Officier et gentleman", tellement encensé par la critique? Vous n'aimez pas ce film, c'est votre droit. Moi, je l'aime et c'est tout autant le mien.
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