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Jorik V
1 282 abonnés
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2,5
Publiée le 11 février 2021
A la vision de ce film d’action musclé on hésite entre plaisir coupable ou sidération. Plaisir coupable parce que l’on ne s’ennuie pas une seule seconde et que le cahier des charges d’une série B musclée est en grande partie rempli. Sidération ou consternation (au choix) parce qu’il est incroyable de voir que ce genre de films puisse encore être écrit, produit et réalisé en 2021. Et surtout de voir que des acteurs de renom (enfin surtout dans le passé) choisissent de s’afficher dans de tels projets. Si ce n’est pour payer leurs impôts! Dans « Force of nature », tout semble provenir des années 90. L’histoire, les rebondissements, les méchants et leurs motivations voire même le jeu d’acteur parfois. D’ailleurs, si ce produit de pur divertissement était sorti à l’époque, il aurait certainement eu plus de louanges et serait passé moins inaperçu en faisant le bonheur des spectateurs du samedi soir et des vidéoclubs. On pense pas mal, au vu du contexte, du script et de la note d’intention de ce film très vite oubliable, à « Pluie d’enfer » avec Morgan Freeman et Christian Slater sorti à cette époque. C’était un long-métrage qui mêlait également tornade et pluies diluviennes avec de l’action cristallisée par des gangsters pour un magot. Ici ce sont des œuvres d’art détenues par un vieux nazi exilé.
On a donc un postulat qui en vaut un autre avec deux sous-genres représentés qui se croisent, celui du film catastrophe et celui du film de braquage. Sauf que le premier est totalement sous-exploité, voire totalement accessoire et décoratif, puisque la quasi-totalité de l’action se déroule en huis-clos dans les couloirs et les appartements d’un immeuble. On se demande donc si cet ouragan qui s’abat sur Porto-Rico n’est pas juste un prétexte pour masquer le peu de budget de cette série B. Tout comme la localisation semblant vouloir jouer la carte de l’exotisme pour masquer la banalité de l’ensemble. Ensuite de voir des acteurs de la trempe de Mel Gibson (dont la carrière ressemble de plus en plus à celle de Bruce Willis ou Nicolas Cage avec des films minables destinés au marché de la VOD) et Emile Hirsch (inoubliable héros de « Into the wild ») se compromettre dans des productions si mineures fait mal au cœur. Même Kate Bosworth qui avait un avenir prometteur semble venir ici pour passer le temps.
« Force of nature » aurait pu être plus réussi s’il avait vraiment emprunté le chemin du second degré, chose qu’il ne fait qu’à tâtons, comme s’il avait peur d’aller totalement dans l’humour noir, l’ironie ou toute autre astuce qui le rendrait plus cool et moins sérieux. La bête enfermée dans un des appartements (totalement sous-employée et finalement inutile), un Gibson plus en roue libre et des situations moins téléphonées aurait rendu le tout plus amusant. Il en résulte donc un film aux combats et fusillades corrects mais pas plus impressionnants que n’importe quel autre film du même genre et desquels on ne perçoit aucune envie d’innover ou de surprendre. Les personnages n’ont aucune psychologie et se contentent d’une scène chacun pour dire de briller et donner l’impression d’une minuscule consistance à leurs personnages. Cela se voit et rend lesdites scènes totalement banales et inutiles. Quant au scénario, il tient sur un ticket de métro mais bizarrement ce film n’est pas nul ou déplaisant, juste déjà-vu, daté et oubliable. Mais pour un samedi soir de détente, il y a assez d’action, de plaisir et de rythme pour faire l’affaire.
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Pour son nouveau film, Michael Polish se rend à Porto Rico, mais pour profiter du beau temps et des superbes décors naturels, car son histoire se déroule alors qu'un ouragan de catégorie 5 frappe cette île des Caraïbes. Cardillo, un policier sa nouvelle partenaire Jesse sont envoyés dans un immeuble pour faire partir les derniers récalcitrants qui refusent de quitter les lieux. Alors qu'ils discutent avec Rya, un ancien policier, un groupe de criminels armés investit les lieux à la recherche de quelque chose en particulier. "Force of Nature" est donc un huis clos avec les personnages qui doivent faire face à la menace d'hommes armés et d'un ouragan qui dévaste tout sur son passage. Un film ou plutôt DTV qui ne propose rien de nouveau et rien de divertissant non plus. L'histoire est terriblement fade et banale en plus d'être prévisible. Les personnages sont lisses et interchangeables. Mel Gibson, qui a remplacé Bruce Willis, est finalement peu présent tandis que les autres font le minimum. Bref, rien de distrayant ou de franchement passionnant dans ce film qui n'est vraiment pas terrible.
Série B à peine divertissante qui proposait pourtant un postulat de départ assez attrayant. Le tout est assez téléphoné, manque de souffle et de surprise. La présence de Mel Gibson n'y change rien.
Trois flics, un nazi, une infirmière pris d'assaut par des braqueurs sans vergogne, sous une pluie ''d'enfert''. Emile Hirsch aurait préféré manger des racines, finalement il boit la tasse. Mel Gibson, pas du tout préparé physiquement ni même lucide sur le produit final, rempile dans un nouvel Amazon Prime en papy des forces de l'ordre. Pas de Bruce Willis ni de Nicolas Cage dans les parages, papy Gibson veille au grain et ne compte plus laissé passer les occasions d'un bon nanard télévisé.
Un bon nanar sans réel intérêt... Et Franchement, je me suis ennuyée devant, tout est tellement du vu, vu et revu... capilotractée sur un seul cheveux. J'ai eu l'impression de revoir un mauvais remake de Pluie d'Enfer sans la finesse de jeu et de scenario. Rien de réellement intéressant. Quant à Gibson, on va dire qu'il est désormais dédié au syndrome "Cage", un acteur qui avait du talent... et des casseroles et qui sésormais se complait dans les pires daubes pour renflouer son compte en banque. Et pourtant, il était bon le bougre... "Etait".
Vu Force Of Nature, qu'es que c'est mauvais c'est mal joué mal Filmé Mel Gibson en placement de produit pour dire voilà on a un star dans ce Navet bref tout y est téléphoné passer votre chemin c'est un vrai nanar ⭐
Emile Hirsch et Mel Gibson en tête d'affiche ? Voilà de quoi éveiller mon intérêt. Je vais vous calmée tout de suite, c'est une arnaque. Gibson n'apparaît que très peu et le reste des personnages sont incroyablement médiocres. C'est un scénario vu et revu et il n'a pas la moindre cohérence. Les scènes d'actions sont minables, tout est cliché, tout est très premier degrés, rien ne fonctionne. Je ne comprends pas ce que Mel Gibson fait dans ce film. Il est vraiment nul.
Film sans aucune originalité, sans recherche où tout y est d'une prévisibilité affligeante. Si encore les acteurs jouaient bien, si l'histoire parvenait à nous surprendre ! Non rien ne rattrape cette abondance d'action mal filmée (en plus!). On y retrouve un condensé de clichés servant de moteur à la trame, du nazi au flic déchu, du flic à la retraite un brin aigri au type qui hait les flics en passant par la jeune recrue niaise et à l'infirmière savant tout faire. Michael Polish ose même nous emmener dans une pièce ou spoiler: un félin (du moins à priori) est spoiler: dressé à tuer l’uniforme bleu ... Sans trop comprendre pourquoi d'ailleurs ou plutôt si... pour nous amener sur un plateau un final risible...
Malgré un casting plutôt correct, avec pas mal de têtes connus (Hirsch, Zayas et Bosworth, et en tête de gondole Mel Gibson, le film s'enlise dans un bourbier sans nom. On finit le film sans retenir grand chose de très marquant (spoiler: l'animal aurait pu être bien mieux exploité ), mais pour le reste, c'est franchement capillotracté. Mel Gibson y fait de la figuration, et les petites sous intrigues n'ont que peu d’intérêt ou sont très clichés.Dispensable, à moins que vous y teniez vraiment.
un huis clot classique dont on peut deviner l'issue. rien de nouveau et rien de divertissant dans ce film qui en résumé est bien fade malgré son casting.
Loin de la catastrophe attendue ,Michael Polish signe une petite Oeuvre assez rythmée ,mais hélas sans véritable scénario . Mel Gibson grisonnant et toujours aussi convaincant ( impliqué pour un film mineur ) apporte à ses "petites "scènes (Il fait simplement une apparition ) un second souffle au métrage .Les effets spéciaux plutôt réussit ainsi que un casting crédible (Emile Hirsch Kate Bosworth en tête )permettent un visionnage agréable . Cependant Michael Polish ( n'étant pas S Craig Zahler ) ,s'éparpille dans sa mise en scène ainsi que dans la mise en place des dialogues..Il expédie son travail à grande vitesse en plombant hélas le suspens . Cependant le twist final est bien pensé . Un Mel Gibson toujours au Top pour un film qui l'est beaucoup moins .
J’ai tenu 40’. C’est difficilement regardable. Mal écrit ? En fait, non. Pas écrit, comme si le réalisateur improvisait à chaque scène . Ce qui doit expliquer la gêne des acteurs qui, habituellement, sont plutôt bons. Évidemment le vieux Mel fait le job. Et égaye un peu le truc. Mais c’est du niveau d’un club cinéma amateur d’une classe de 4 eme. Musique assourdissante et donc, fatigante. Bref un sous nanar.
Si on jette un oeil sur le montant du budget, soit 23 millions de dollars, on ne peut que constater un manque de moyen qui est forcément dommageable pour le genre. La tornade est ainsi très secondaire, peu visible que ce soit directement ou par ses conséquences dévastatrices alors même qu'elle aurait dû être un paramètre essentiel du récit ne serait-ce que pour être une sorte de troisième personnage principal qui influe directement et indirectement sur toutes les actions des autres protagonistes. Ensuite le écueils habituels du action movie basique : on a droit à celui qui reçoit une balle mais qui court après des soins express, des tueurs de sang froid qui soudain s'emmerde à faire lever les mains (ah oui pour laisser le temps aux "gentils" de s'en sortir !), ou le héros assez con pour tirer sur celui des deux tueurs qui n'est pas armé (?!)... Puis arrive le double twist (si on peut appeler ça comme ça) où on crée un semblant de fantastique avec un "monstre" placer là gratuitement et en prime un Mel Gibson venu cachetonner pour son pote producteur. Vite vu vite oublié. Site : Selenie
Confus et complaisant, ce thriller mollasson se consomme sans grand plaisir. Cette réalisation sans passion déroule, avec une paresse manifeste, son scénario faussement badass et cousu de fil blanc. Mel GIBSON signe une apparition très décevante dans ce polar sénile.