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Un visiteur
4,0
Publiée le 11 avril 2019
Voilà un film qui résume très bien ce qui se passe dans les cités si après sa une famille veut aller s"installer la bas ils savent exactement ce qui va arriver. Les mecs qui utilisent les filles comme des objets et abusé de leur confiance, la feignantise de l'argent facile plutôt que aller travailler. Ils violent des filles sans le moins scrupulent nil regrets normale que après les frères devienne trop protecteur. Jespere que un jours le gouvernement se bougera pour protéger ces filles et les aider à avoir une vie normale et mettra les mecs en prison.
Filmer les banlieues n’est jamais évident car les clichés fourmillent (les tournantes, l’argent facile, la drogue, le machisme ambiant, les grands frères plus que protecteurs, les règlements de compte, le rêve classique d’aller aux States, etc.) mais Genestal ne s’en sort pas trop mal, même si parfois les ficelles sont un peu grosses et que certaines scènes semblent peu vraisemblables. Les acteurs sont bons et la fin intéressante, c’est bien là l’essentiel finalement.
Voilà un film sur la banlieue qui laisse une grande place aux filles. Dès le début le sujet des viols collectifs est abordé. La violence est omniprésente, elle s'intègre dans tous les rapports sociaux, et particulièrement les rapports amoureux, depuis les premières attirances jusqu'aux ruptures et même la vengeance. On comprend grâce à ce film comment toutes sortes de filles peuvent être attirés par le petit caïd du quartier, mâle dominant de cet écosystème. Un film féministe-choc où les filles peuvent être aussi violentes et fortes que les hommes.
ce film est a chier autant j'ai adoré ma 6t va cracké, la haine et raî
autant ce film ma fait rire du debut a la fin j'ai toujour vécu dans une cité j'y suis née... et je peut vous dire que ce film n'est qu'une vile caricature condensé de clicher douteux rien n'est reel tout est surjouer et caricatural ce film m'inspire qu'une chose de la peine...
l'auteur de ce film n'est qu'un crétin complet qui n'a absolument pas saisie la subtilité de la vie en cité et ces contradiction n'est pas Mathieu Kassovitz qui veut....
Un film wesh whesh où le casting a été réalisé dans un ban====. Pour le genre la B.O est absente et les acteurs sont tous moches sauf la petite turc du début qui en prend cher dans le squat des bronzés et tout cela gratuitement bien sur. Amateurs du genre, passez votre chemin. -----Août 2012-----
Un western urbain pour orchestrer la vengeance des femmes… Tourné dans des cités de la banlieue parisienne, la Squale aligne les murs sans concessions : les murs de béton et les murs entre les jeunes, car le machisme et la violence dominent. De l'agression verbale à l'acte lui-même perpétré à la "tournante", le viol est permanent. Désirée, une jeune noire, se rebelle contre tout et contre tous : sa mère, l'école, les autres jeunes – ce qui ne l'empêchera pas de vouloir séduire le caïd local. Mais pour se venger de sa barbarie, elle attisera la haine des mâles entre eux jusqu'à l'issue fatale. Merci du conseil : la vengeance comme plat de résistance féminine ! C'est toute l'ambiguïté des films qui prennent la rage comme sujet : ils sont à la fois message d'alerte et désespérés. Et forcément racoleurs. Ici aussi, violence, abus sexuels, diatribes agressives et jargon branché ont des allures de déjà-vu et pourtant, les personnages (fort bien interprétés) ont une épaisseur qui sauve le film du voyeurisme et de la complaisance. Le choix de la fiction-témoignage est assumé et on imagine les discussions qu'il peut déclencher chez les principaux intéressés. Mais c'est aussi cette volonté démonstrative de coller ensemble tous les éléments qui serviront le sujet qui l'empêche de vraiment décoller.
DE LA MERDE! Voilà ce que j'en dis! Rien, mais alors rien d'authentique ne ressort de ce film taillé sur mesure pour les phénomènes de sociétés et les discours politiques fabriqués de toutes pièces par les médias, sur commande de l'Elysée (quelques mois plus tard, surgissait, à l'apogée de la polémique sur le scandale des tournantes, le collectif mi putes mi soumises mené par l'opportuniste Fadela Amara dont on sait avec le recul ce qu'elle était vraiment...) Réalisé par un ex prof de sarcelles (pour le postulat du discours en phase avec la réalité) qui visiblement avait une vue imprenable sur les caves de cités depuis les fenêtres de sa classe, le film dépeint l'histoire d'une racaille au féminin dont le soucis majeur est visiblement de passer à la casserole sans salir sa réputation de caïd (ben ouais quoi, nous aussi on a le droit de baiser, mortelle la revendication sociale!) Caricaturale dans sa forme (la mise en scène hyper fantasmée d'un viol collectif avec un regard faussement pudique qui volera en éclat quand genestal filmera le cul de son actrice principale soudainement decomplexé!)sur fond de denonciation d'une pratique barbare (issue des coutumes musulmane bien sûr !) censé être une nouveauté dans les banlieues (alors qu'une étude sociologique sérieuse démonte cet argument en deux deux, les cas de viols collectifs faisant partis des rituels initiatiques des jeunes hommes au moyen age en France, sic !) avec pour couronner le tout un plagiat en bonne et du forme du film "Fresh" de Boaz Yakin narrant l'histoire d'un gamin réussissant à faire tomber 2 parrains de la drogue à New York pour l'amour de sa soeur junkie (je vous avais dis que le mec il avait une superbe vue depuis sa classe!) Dangereux (le réalisateur se déresponsabilise des émulatrices potentielles qui n'auraient pas compris son film) politiquement très orienté (pas à gauche en tout cas) intellectuellement malhonnête, la squale est un film dégueulasse sur tous les plans et dont le réalisateur mériterait de se faire introduire comme l'un de ses personnages pour avoir osé nous chier cette merde!
Une plongée dans la cité sous l'angle féminin mais bien moins impressionnante et réussie que "la haine". Le film sonne creux, la violence est trop démonstrative. Ces jeunes filles, cherchant à se faire une place au sein d'une bande, sont antipathiques. Reste la terrible musique de Cut Killer, Le son de la rue.
De tous les films sur les djeuns des banlieues, « La Squale » est sans doute le plus authentique. Premièrement, grâce à l’excellence du jeu des jeunes acteurs. Celui de Denis Lavant est bien moins crédible. Deuxièmement, toutes les répliques du film font mouche. Mais, la raison principale de la réussite vient du fait que c’est le film le moins complaisant vis-à-vis des causes des problèmes flinguant les « quartiers sensibles ». Le comportement asocial et violent de Toussaint, le bad mother fucker de la cité, trouve sa source dans son éducation d’enfant roi à qui on n’a jamais dit non. Cette éducation où les pères sont absents, et où les mères passent tout à leurs petits mâles et font de leurs filles des femmes soumises, Fabrice Génestal nous la montre très adroitement. Il nous montre aussi que ce n’est pas de simples problèmes de délinquance qui minent la cité mais bel et bien des problèmes de criminalité. Mélanger délinquance et criminalité relève de l’opportunisme idéologique. L’instruction ou toutes solutions visant à échapper au chômage, Toussaint et les autres dileurs n’en ont cure. Ils n’ont pas l’intention de s’assagir car, la came, ça rapporte. Il est dommage que la promotion du film ait été si peu efficace, à l’opposé de celle « La Haine », dont le propos est pourtant bien moins authentique et objectif.