Un peu mieux que "ma 6T va cracker", à niveau égal que "Chaos", ce film est malgré tout à ranger dans la même catégorie : celui d'un réalisateur issu des quartiers populaires et leur mettant la corde au cou par souci de rentabilité commerciale. Les cités ne sont pas aussi violentes et surtout tous les habitants ne sont pas des caïds comme on pourrait le croire dans le film...Nulle part n'est montré les solidarités multiraciales, juste de l'anémie et de la déviance sociale, ce qui est plus un discours de sociologue narrant plus un espace perçu que vécu que celui d'une personne ayant grandi dans une cité.
Un film wesh whesh où le casting a été réalisé dans un ban====. Pour le genre la B.O est absente et les acteurs sont tous moches sauf la petite turc du début qui en prend cher dans le squat des bronzés et tout cela gratuitement bien sur. Amateurs du genre, passez votre chemin. -----Août 2012-----
Filmer les banlieues n’est jamais évident car les clichés fourmillent (les tournantes, l’argent facile, la drogue, le machisme ambiant, les grands frères plus que protecteurs, les règlements de compte, le rêve classique d’aller aux States, etc.) mais Genestal ne s’en sort pas trop mal, même si parfois les ficelles sont un peu grosses et que certaines scènes semblent peu vraisemblables. Les acteurs sont bons et la fin intéressante, c’est bien là l’essentiel finalement.
C'est pas vraiment le genre de film qui va réconcilier la banlieue avec les braves gens. Aucun personnage ne possède un bon fond. De plus, ça ne tient pas debout, les émotions sont complètement faussées (ou mal jouées?). Dommage car de bonnes idées malgré tout.
DE LA MERDE!voilà ce que j'en dit!Rien,mais alors rien d'authentique ne ressort de se film taillé sur mesure pour les phenomenes de sociétés et les discours politiques fabriqué de toutes pieces par les medias,sur commande de l'elysée (quelques mois plus tard,surgissait,à l'apogé de la polemique sur le scandale des tournantes,le collectif mi putes mi soumises mené par l'opportuniste fadela amara).Realisé par un ex prof de sarcelles (pour le postultat du discours en phase avec la realité)qui visiblement avait une vue imprenable sur les caves de cités depuis la fenetre de sa classe,le film depeint l'histoire d'une racaille au feminin dont le soucis majeur est visiblement de passer à la casserole sans salir sa reputation de caid (ben ouais quoi,nous aussi on a le droit de baiser,mortel la revendication sociale!).Caricaturale dans sa forme (la mise en scene hyper fantasmé d'un viol collectif avec un regard faussement pudique qui volera en eclat quand genestal filmera le cul de son actrice principale soudainement decomplexé!)sur fond de denonciation d'une pratique barbare (issu des coutumes musulmane bien sur!)censé etre une nouveauté dans les banlieues (alors qu'une etude sociologique serieuse demonte cet argument en deux deux,les cas de viols collectifs faisant partis des rituels initiatique des jeunes hommes au moyen age en france(sic)!)avec pour couronner le tout un plagiat en bonne et du forme du film "fresh" de boaz yakin narrant l'histoire d'un gamin reussissant à faire tomber les parrains de la drogue à new york pour l'amour de sa soeur junkie (je vous avait dis que le mec il avait une superbe vue depuis sa classe!).Dangereux (le realisateur se deresponsabilise des emulatrices potentielles qui n'auraient pas compris son film),politiquement tres orienté (pas à gauche en tout cas)intellectuellement malhonnete,la squale est un film degeullasse dont le realisateur meriterait de se faire introduire comme l'un de ses personnages pour avoir osé nous chier cette merde!
Un western urbain pour orchestrer la vengeance des femmes… Tourné dans des cités de la banlieue parisienne, la Squale aligne les murs sans concessions : les murs de béton et les murs entre les jeunes, car le machisme et la violence dominent. De l'agression verbale à l'acte lui-même perpétré à la "tournante", le viol est permanent. Désirée, une jeune noire, se rebelle contre tout et contre tous : sa mère, l'école, les autres jeunes – ce qui ne l'empêchera pas de vouloir séduire le caïd local. Mais pour se venger de sa barbarie, elle attisera la haine des mâles entre eux jusqu'à l'issue fatale. Merci du conseil : la vengeance comme plat de résistance féminine ! C'est toute l'ambiguïté des films qui prennent la rage comme sujet : ils sont à la fois message d'alerte et désespérés. Et forcément racoleurs. Ici aussi, violence, abus sexuels, diatribes agressives et jargon branché ont des allures de déjà-vu et pourtant, les personnages (fort bien interprétés) ont une épaisseur qui sauve le film du voyeurisme et de la complaisance. Le choix de la fiction-témoignage est assumé et on imagine les discussions qu'il peut déclencher chez les principaux intéressés. Mais c'est aussi cette volonté démonstrative de coller ensemble tous les éléments qui serviront le sujet qui l'empêche de vraiment décoller.
Une plongée dans la cité sous l'angle féminin mais bien moins impressionnante et réussie que "la haine". Le film sonne creux, la violence est trop démonstrative. Ces jeunes filles, cherchant à se faire une place au sein d'une bande, sont antipathiques. Reste la terrible musique de Cut Killer, Le son de la rue.
De tous les films sur les djeuns des banlieues, « La Squale » est sans doute le plus authentique. Premièrement, grâce à l’excellence du jeu des jeunes acteurs. Celui de Denis Lavant est bien moins crédible. Deuxièmement, toutes les répliques du film font mouche. Mais, la raison principale de la réussite vient du fait que c’est le film le moins complaisant vis-à-vis des causes des problèmes flinguant les « quartiers sensibles ». Le comportement asocial et violent de Toussaint, le bad mother fucker de la cité, trouve sa source dans son éducation d’enfant roi à qui on n’a jamais dit non. Cette éducation où les pères sont absents, et où les mères passent tout à leurs petits mâles et font de leurs filles des femmes soumises, Fabrice Génestal nous la montre très adroitement. Il nous montre aussi que ce n’est pas de simples problèmes de délinquance qui minent la cité mais bel et bien des problèmes de criminalité. Mélanger délinquance et criminalité relève de l’opportunisme idéologique. L’instruction ou toutes solutions visant à échapper au chômage, Toussaint et les autres dileurs n’en ont cure. Ils n’ont pas l’intention de s’assagir car, la came, ça rapporte. Il est dommage que la promotion du film ait été si peu efficace, à l’opposé de celle « La Haine », dont le propos est pourtant bien moins authentique et objectif.
Un film qui met bien en avant la pauvre situation des jeunes femmes au sein de banlieues chaudes. Le tout est trop monotone pour pouvoir nous emballer comme il se devrait.
DE LA MERDE! Voilà ce que j'en dis! Rien, mais alors rien d'authentique ne ressort de ce film taillé sur mesure pour les phénomènes de sociétés et les discours politiques fabriqués de toutes pièces par les médias, sur commande de l'Elysée (quelques mois plus tard, surgissait, à l'apogée de la polémique sur le scandale des tournantes, le collectif mi putes mi soumises mené par l'opportuniste Fadela Amara dont on sait avec le recul ce qu'elle était vraiment...) Réalisé par un ex prof de sarcelles (pour le postulat du discours en phase avec la réalité) qui visiblement avait une vue imprenable sur les caves de cités depuis les fenêtres de sa classe, le film dépeint l'histoire d'une racaille au féminin dont le soucis majeur est visiblement de passer à la casserole sans salir sa réputation de caïd (ben ouais quoi, nous aussi on a le droit de baiser, mortelle la revendication sociale!) Caricaturale dans sa forme (la mise en scène hyper fantasmée d'un viol collectif avec un regard faussement pudique qui volera en éclat quand genestal filmera le cul de son actrice principale soudainement decomplexé!)sur fond de denonciation d'une pratique barbare (issue des coutumes musulmane bien sûr !) censé être une nouveauté dans les banlieues (alors qu'une étude sociologique sérieuse démonte cet argument en deux deux, les cas de viols collectifs faisant partis des rituels initiatiques des jeunes hommes au moyen age en France, sic !) avec pour couronner le tout un plagiat en bonne et du forme du film "Fresh" de Boaz Yakin narrant l'histoire d'un gamin réussissant à faire tomber 2 parrains de la drogue à New York pour l'amour de sa soeur junkie (je vous avais dis que le mec il avait une superbe vue depuis sa classe!) Dangereux (le réalisateur se déresponsabilise des émulatrices potentielles qui n'auraient pas compris son film) politiquement très orienté (pas à gauche en tout cas) intellectuellement malhonnête, la squale est un film dégueulasse sur tous les plans et dont le réalisateur mériterait de se faire introduire comme l'un de ses personnages pour avoir osé nous chier cette merde!