AlloCiné
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Votre avis sur Spider-Man : Across The Spider-Verse ?
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J’attendais énormément ce film mais j’avais peur d’être déçu pendant le visionnage comme cela me fait avec la plupart des films Marvel. Finalement, je trouve que cette suite est un chef-d'œuvre. Le scénario est une pépite prenante et l’animation est bluffante et irréprochable.
Par où commencer ? L’histoire est vraiment cohérente et paraît crédible. Le film est long mais superbement bien rythmé avec beaucoup d’innovation scénaristique ; c’est prenant et rempli d’originalité ; chaque seconde, chaque minute est indispensable ; le récit prend le temps de développer tous ses personnages. Il n’y en a pas un qui est plus attachant qu’un autre ou une autre. Ils ont tous une bonne évolution, une personnalité bien distincte, haute en couleur ou non. Les références à l’univers des héros n’empêchent pas d’apprécier le film à sa juste valeur. La narration est très efficace, on va droit au but sans pour autant bâcler le scénario ; j’avais aucune envie de sortir de la salle, je n’avais pas envie que le film se termine.
Quant à la réalisation, c'est une leçon d'animation originale. Chaque plan est merveilleux ; la qualité visuelle est extraordinaire ; concrètement, la direction photographique est à couper le souffle. Les plans sont de réels tableaux. Tout est génialement millimétré et choisi scrupuleusement : que ce soit dans les choix d’animation pour tels ou tels univers, dans les couleurs, les décors ou la musique qui est extraordinaire. Il y a des références visuels de partout sans pour autant que ce soit du fan service inutile ; il n’y a pas d’information contingente. L’intégralité des choix artistiques est cohérents vis-à-vis de l’histoire et de la mise en image.
J’ai tout simplement hâte de visionner la suite ; je conseille carrément ce film. Le scénario et la réalisation se complètent et se marient parfaitement ensemble ; c’est une valse visuelle de deux heures qui passent à la vitesse de la lumière.
Par où commencer ? L’histoire est vraiment cohérente et paraît crédible. Le film est long mais superbement bien rythmé avec beaucoup d’innovation scénaristique ; c’est prenant et rempli d’originalité ; chaque seconde, chaque minute est indispensable ; le récit prend le temps de développer tous ses personnages. Il n’y en a pas un qui est plus attachant qu’un autre ou une autre. Ils ont tous une bonne évolution, une personnalité bien distincte, haute en couleur ou non. Les références à l’univers des héros n’empêchent pas d’apprécier le film à sa juste valeur. La narration est très efficace, on va droit au but sans pour autant bâcler le scénario ; j’avais aucune envie de sortir de la salle, je n’avais pas envie que le film se termine.
Quant à la réalisation, c'est une leçon d'animation originale. Chaque plan est merveilleux ; la qualité visuelle est extraordinaire ; concrètement, la direction photographique est à couper le souffle. Les plans sont de réels tableaux. Tout est génialement millimétré et choisi scrupuleusement : que ce soit dans les choix d’animation pour tels ou tels univers, dans les couleurs, les décors ou la musique qui est extraordinaire. Il y a des références visuels de partout sans pour autant que ce soit du fan service inutile ; il n’y a pas d’information contingente. L’intégralité des choix artistiques est cohérents vis-à-vis de l’histoire et de la mise en image.
J’ai tout simplement hâte de visionner la suite ; je conseille carrément ce film. Le scénario et la réalisation se complètent et se marient parfaitement ensemble ; c’est une valse visuelle de deux heures qui passent à la vitesse de la lumière.
Quelle claque ! Ce film n’a presque aucun défaut ! Les soundtracks , le rythme , les combats sont juste fous. Super film d’animation qui faut aller voir. Franchement celui-là va titiller les oscars , une pure réussite !
Je l'attendais depuis longtemps et c'est une vraie dinguerie ! Voilà un film d'animation qui ne manque pas de créativité ! Un scénario au top et un énorme travail sur le plan visuel. Hallucinant et de toute beauté ! Une réussite !
C'était une de mes grosses attentes depuis quelques années vu comment j'avais peté un cable sur le 1er à l'époque.
Et Across the Spider-Verse pousse les possibles encore plus loin : plus long, plus dense, plus fou, plus virtuose...
C'est un festival de mise en scène, de son prologue émotionnel émulant des planches à la Bendis, jusque dans ses scènes d'action absolument ahurissantes de Mumbattan à Nueva York (Syd Mead style)...
Et cela va encore plus loin avec certes parfois une certaine course à l'easter egg (+ que le 1er) mais qui ne détachent jamais le récit de son coeur : Miles Morales !
Gagnant en maturité, cette nouvelle histoire poursuit une certaine quête identitaire en tant qu'ado et super-héros, vers des priportions plus folles mais aussi + de gravitas.
Les nemesis (que je spoilerai pas) dont d'ailleurs bien trouvés, jouant à la fois sur les conséquences d'actes héroïques, mais aussi sur ce qui pourrait arriver.
Alors le défaut sera sans doute qu'il s'agit d'une 1e moitié d'histoire (à la Retour vers le Futur 2 ou Pirates des Caraibes 2) avec un sacré cliffhanger, mais aussi le sentiment que certains persos sont mis en place pour les exploiter ensuite.
Car oui c'est la foire aux Spider-men, et si Gwen est admirablement traitée (tout comme sa relation avec Miles), Peter B. ou Jesdica Drew restent plus en retrait (en attendant l'an prochain). Gros kiff ceci dit sur Jobart Brown/Dpider-Punk, où le timbre de Daniel Kaluuya vole souvent la vedette.
L'humour fonctionne tjs autant (merci Phil Lord & Chris Miller), et la BO de Pemberton est déjà la soundtrack de l'année : virtuose et métamorphe, comme le film.
Bref je veux pas trop en dire non plus mais en attendant Bryond the Spider-Verse, on tient quand même une pépite d'animation, et le nec plus ultra du comic book movie.
Du jamais vu tout simplement
Et Across the Spider-Verse pousse les possibles encore plus loin : plus long, plus dense, plus fou, plus virtuose...
C'est un festival de mise en scène, de son prologue émotionnel émulant des planches à la Bendis, jusque dans ses scènes d'action absolument ahurissantes de Mumbattan à Nueva York (Syd Mead style)...
Et cela va encore plus loin avec certes parfois une certaine course à l'easter egg (+ que le 1er) mais qui ne détachent jamais le récit de son coeur : Miles Morales !
Gagnant en maturité, cette nouvelle histoire poursuit une certaine quête identitaire en tant qu'ado et super-héros, vers des priportions plus folles mais aussi + de gravitas.
Les nemesis (que je spoilerai pas) dont d'ailleurs bien trouvés, jouant à la fois sur les conséquences d'actes héroïques, mais aussi sur ce qui pourrait arriver.
Alors le défaut sera sans doute qu'il s'agit d'une 1e moitié d'histoire (à la Retour vers le Futur 2 ou Pirates des Caraibes 2) avec un sacré cliffhanger, mais aussi le sentiment que certains persos sont mis en place pour les exploiter ensuite.
Car oui c'est la foire aux Spider-men, et si Gwen est admirablement traitée (tout comme sa relation avec Miles), Peter B. ou Jesdica Drew restent plus en retrait (en attendant l'an prochain). Gros kiff ceci dit sur Jobart Brown/Dpider-Punk, où le timbre de Daniel Kaluuya vole souvent la vedette.
L'humour fonctionne tjs autant (merci Phil Lord & Chris Miller), et la BO de Pemberton est déjà la soundtrack de l'année : virtuose et métamorphe, comme le film.
Bref je veux pas trop en dire non plus mais en attendant Bryond the Spider-Verse, on tient quand même une pépite d'animation, et le nec plus ultra du comic book movie.
Du jamais vu tout simplement
Alors que l'histoire m'ai peu marqué (bien qu'elle ne soit pas à jeter), ce film est d'une BEAUTÉ. Il n'est pas un chef d'oeuvre comme on pourrait appliquer cette adjectif à ''Les Évadés'' mais le dessin et l'animation est si SUBLIME qu'il marquera comme le 1er opus, l'histoire de cet art comme s'il était une série de tableaux contemporains. Le 1er possédait sa cultissime scène du saut de la foie, scène que j'attendais de retrouver dans ce 2nd opus. Or je n'en ai pas vu pour la simple et bonne raison est que le film entier EST la nouvelle version de cette scène d'anthologie. Le film est comme une longue introduction pour sa suite direct teasé à la fin, une fin qui nous donne envie d'insulter les scénaristes tellement que le suspense est insoutenable. Une réussite en tout point qui met tout le monde d'accord pour ce Second Volet.
Cinq pour la beauté de l'animation, une bombe artistique dans la culture pop, scénario foutraque et difficile à suivre mais visuellement vertigineux à souhait. De vrai montagne russe dans les rebondissements et l'actions. Malgré la durée on ne s'ennuie pas une seconde. Vivement la suite de ce volet.
Là où le Premier était vraiment une révélation, avec une réelle innovation dans l'animation, avec un scénario à la hauteur où en 117 mins on était conquis. Ici c'est un mal de tête au bout de 140 mins d'animation boursouflées, psychedeliques, totalement indigestes, quand on ne tombe pas dans un pathos prepubère interminable sur l'adolescence, avec des dialogues sans fins dont on se fiche éperdument sur les prises de décisions, la relation parents etc....
Malgré quelques passages de haute volée, non là on sent que l'équipe pousse tous les curseurs du 1er opus à fond, ce qui rend ce second bien trop puéril, avec un manque d'humilité à tous les niveaux... Globalement c'est raté.
Malgré quelques passages de haute volée, non là on sent que l'équipe pousse tous les curseurs du 1er opus à fond, ce qui rend ce second bien trop puéril, avec un manque d'humilité à tous les niveaux... Globalement c'est raté.
C'est toujours aussi dingue visuellement, le mélange histoires de supers-heros et de familles marche à merveille et est très prenant tout le long, sans aucun temps mort ! une nouvelle réussite !
“Spider-Man: Across the Spider-Verse” offre une réalisation brillante qui pousse les limites de l’animation. Les effets spéciaux sont époustouflants et captivent le public dès les premières minutes. L’histoire du film est tout simplement incroyable, avec des rebondissements inattendus qui vous laisseront sans voix. Le ton sombre et triste du récit ajoute une profondeur émotionnelle qui se distingue des autres films de super-héros.
L’introduction du multivers est une réussite, et sa gestion est particulièrement bien exécutée. Les différentes versions de Spider-Man provenant de réalités alternatives sont habilement tissées dans l’intrigue, ce qui crée un mélange unique d’action, de suspense et d’émotion. De plus, le film parvient à surpasser son prédécesseur en offrant une expérience encore plus captivante.
Le développement des personnages est un aspect fort du film. Les protagonistes évoluent de manière significative, et leurs motivations et relations sont explorées en profondeur. Cela permet au public de s’attacher davantage à eux et d’investir émotionnellement dans leur parcours.
Cependant, une légère frustration demeure. Malgré toutes les révélations et les moments forts, le film laisse le spectateur sur sa faim en termes de résolution finale. Cela pourrait être interprété comme une manière habile de préparer le terrain pour une suite, mais cela peut également laisser certains spectateurs insatisfaits.
Dans l’ensemble, “Spider-Man: Across the Spider-Verse” est un chef-d’œuvre de l’animation et du genre super-héroïque. Sa réalisation innovante, ses effets spéciaux époustouflants, son histoire captivante et sombre
Hâte de voir la partie 2
L’introduction du multivers est une réussite, et sa gestion est particulièrement bien exécutée. Les différentes versions de Spider-Man provenant de réalités alternatives sont habilement tissées dans l’intrigue, ce qui crée un mélange unique d’action, de suspense et d’émotion. De plus, le film parvient à surpasser son prédécesseur en offrant une expérience encore plus captivante.
Le développement des personnages est un aspect fort du film. Les protagonistes évoluent de manière significative, et leurs motivations et relations sont explorées en profondeur. Cela permet au public de s’attacher davantage à eux et d’investir émotionnellement dans leur parcours.
Cependant, une légère frustration demeure. Malgré toutes les révélations et les moments forts, le film laisse le spectateur sur sa faim en termes de résolution finale. Cela pourrait être interprété comme une manière habile de préparer le terrain pour une suite, mais cela peut également laisser certains spectateurs insatisfaits.
Dans l’ensemble, “Spider-Man: Across the Spider-Verse” est un chef-d’œuvre de l’animation et du genre super-héroïque. Sa réalisation innovante, ses effets spéciaux époustouflants, son histoire captivante et sombre
Hâte de voir la partie 2
«Mon histoire, c'est à moi de l'écrire.»
En décembre 2018 débarqua dans nos salles un film qui allait durablement bousculer les codes du genre de l'animation : «Spider-Man : Into the Spider-Verse».
Véritable claque visuelle (mélange d'animation traditionnelle, d'images de synthèse et de pop-art) centrée cette fois-ci non pas sur Peter Parker mais sur Miles Morales, on n'avait pas vu aussi fun, touchant et réussi depuis la saga de Sam Raimi. Du grand art, sur la forme comme sur le fond, et très justement récompensé par un Oscar du Meilleur Film d'Animation.
Près de 5 ans après ce coup de maître, cette suite très attendue, et 1er volet d'un diptyque, est-elle à la hauteur de son prédécesseur ? En très grande partie, oui.
D'un point de vue visuel d'abord, ce «Across the Spider-Verse» est une nouvelle fois un vrai régal pour les yeux, poussant les curseurs encore plus loin que ce qu'avait déjà entrepris le 1er volet, en y intégrant une variété encore plus dense d'animations, et ce parfois dans la même séquence, rendant l'ensemble toujours plus dingue, mais toujours aussi lisible.
Le point d'orgue en revient au chapitre "Nueva-York", maestria de mise en scène virtuose et de rythmique visuelle, et véritable délectation pour tout fan de Spider-Man qui se respecte.
Et tout comme pour son prédécesseur, une œuvre urbaine qui soigne tout particulièrement sa forme, sans pour autant en négliger son histoire et ses personnages.
Alors que c'est le multivers, activé par le Caïd, qui venait à Miles dans le 1er volet, spoiler: c'est cette fois au tour de ce dernier d'être propulsé dans le "Spider-Verse", d'y faire la rencontre de Miguel O'Hara (alias Spider-Man 2099) et sa Spider-Society, et de faire face à un lourd dilemme pour que cet équilibre fragile du multivers puisse être conservé à tout prix. Histoire de choix et de fatalité, d'erreurs et de conséquences, ce nouveau volet illustre très bien toute la problématique qui fait d'un super-héros ce qu'il est, et en particulier ce questionnement : sauver un être aimé ou sauver le monde tout entier ? «Être Spider-Man, c'est faire des sacrifices» dira Miguel à Miles. Mais quel est celui qui lui coûtera le plus ?
Certes, on pourrait reprocher à ce film une durée un peu étirée (2h20), à l'intérieur de laquelle l'intrigue principale se laisse un peu désirer, ainsi que l'usage d'un humour parfois un peu trop présent, notamment dans les séquences plus sérieuses, qui sont un peu parasité par celui-ci.
Mais le kiff ressenti lors de sa projection reste malgré tout bien présent, et nous prouve une nouvelle fois que cette saga animée est ce que Marvel nous a offert de mieux au cinéma ces dernières années.
Une seule chose à faire maintenant, surtout au vu de sa fin en mode cliffhanger : patienter jusqu'au 3 avril 2024 avec la sortie de la 2nde et dernière partie, «Beyond the Spider-Verse», pour voir comment se concluront les aventures de Miles Morales et du Spider-Verse, et se faire alors un avis global sur cette saga.
En décembre 2018 débarqua dans nos salles un film qui allait durablement bousculer les codes du genre de l'animation : «Spider-Man : Into the Spider-Verse».
Véritable claque visuelle (mélange d'animation traditionnelle, d'images de synthèse et de pop-art) centrée cette fois-ci non pas sur Peter Parker mais sur Miles Morales, on n'avait pas vu aussi fun, touchant et réussi depuis la saga de Sam Raimi. Du grand art, sur la forme comme sur le fond, et très justement récompensé par un Oscar du Meilleur Film d'Animation.
Près de 5 ans après ce coup de maître, cette suite très attendue, et 1er volet d'un diptyque, est-elle à la hauteur de son prédécesseur ? En très grande partie, oui.
D'un point de vue visuel d'abord, ce «Across the Spider-Verse» est une nouvelle fois un vrai régal pour les yeux, poussant les curseurs encore plus loin que ce qu'avait déjà entrepris le 1er volet, en y intégrant une variété encore plus dense d'animations, et ce parfois dans la même séquence, rendant l'ensemble toujours plus dingue, mais toujours aussi lisible.
Le point d'orgue en revient au chapitre "Nueva-York", maestria de mise en scène virtuose et de rythmique visuelle, et véritable délectation pour tout fan de Spider-Man qui se respecte.
Et tout comme pour son prédécesseur, une œuvre urbaine qui soigne tout particulièrement sa forme, sans pour autant en négliger son histoire et ses personnages.
Alors que c'est le multivers, activé par le Caïd, qui venait à Miles dans le 1er volet, spoiler: c'est cette fois au tour de ce dernier d'être propulsé dans le "Spider-Verse", d'y faire la rencontre de Miguel O'Hara (alias Spider-Man 2099) et sa Spider-Society, et de faire face à un lourd dilemme pour que cet équilibre fragile du multivers puisse être conservé à tout prix. Histoire de choix et de fatalité, d'erreurs et de conséquences, ce nouveau volet illustre très bien toute la problématique qui fait d'un super-héros ce qu'il est, et en particulier ce questionnement : sauver un être aimé ou sauver le monde tout entier ? «Être Spider-Man, c'est faire des sacrifices» dira Miguel à Miles. Mais quel est celui qui lui coûtera le plus ?
Certes, on pourrait reprocher à ce film une durée un peu étirée (2h20), à l'intérieur de laquelle l'intrigue principale se laisse un peu désirer, ainsi que l'usage d'un humour parfois un peu trop présent, notamment dans les séquences plus sérieuses, qui sont un peu parasité par celui-ci.
Mais le kiff ressenti lors de sa projection reste malgré tout bien présent, et nous prouve une nouvelle fois que cette saga animée est ce que Marvel nous a offert de mieux au cinéma ces dernières années.
Une seule chose à faire maintenant, surtout au vu de sa fin en mode cliffhanger : patienter jusqu'au 3 avril 2024 avec la sortie de la 2nde et dernière partie, «Beyond the Spider-Verse», pour voir comment se concluront les aventures de Miles Morales et du Spider-Verse, et se faire alors un avis global sur cette saga.
ned123
J'ai vu un film... enfin un dessin animé... Enfin un animé... Enfin , genre un manga, mais pas vraiment ça...
Il y a un bouillonnement d'idées, un foisonnement de moyens qui vire à l'idée qq peu brouillonne... Au-delà de cette idée d'univers quantique où chaque monde a son Spiderman, et il y a autant de Spidermen qu'il y a de mondes, on vit une déferlante de sons, de couleurs, de bam, de pffff, de grrr et de son gutturaux...
Alors bien sûr, il ne faut pas être épileptiques pour apprécier le truc... Il y a aussi quelques longueurs qui sont censés ralentir un peu la cadence, mais qui au final sont... des longueurs...
Bilan, l'enjeu narratif n'est pas toujours très clair, et l'action nous perd un peu trop dans les méandres...
Quant à la motivation du méchant, elle est très... très... faible...
Or, on sait bien, n'est pas Thanos qui veut, ni Dark Vador,ni Norman Bates...
Après, tout simplement, on peut aussi se dire que "je suis trop vieux pour ces conneries" (tiré de quelle saga ?:)
Il y a un bouillonnement d'idées, un foisonnement de moyens qui vire à l'idée qq peu brouillonne... Au-delà de cette idée d'univers quantique où chaque monde a son Spiderman, et il y a autant de Spidermen qu'il y a de mondes, on vit une déferlante de sons, de couleurs, de bam, de pffff, de grrr et de son gutturaux...
Alors bien sûr, il ne faut pas être épileptiques pour apprécier le truc... Il y a aussi quelques longueurs qui sont censés ralentir un peu la cadence, mais qui au final sont... des longueurs...
Bilan, l'enjeu narratif n'est pas toujours très clair, et l'action nous perd un peu trop dans les méandres...
Quant à la motivation du méchant, elle est très... très... faible...
Or, on sait bien, n'est pas Thanos qui veut, ni Dark Vador,ni Norman Bates...
Après, tout simplement, on peut aussi se dire que "je suis trop vieux pour ces conneries" (tiré de quelle saga ?:)
Bon, je ne vais pas être tendre et je sens que mon commentaire ne va pas être apprécié, mais… c'est mon avis ! 🤷♂️ J'avais bien aimé le premier. Il était frais, péchu, mais humble dans sa simplicité. Ici, ils poussent tous les curseurs ad nauseam.
Il y a trop d'animations psychédéliques, tout le temps, partout, à filer la migraine. Paradoxalement, quand le film va pas à toute berzingue, il est lent, MAIS LENT ! Limite soporifique. Le rythme est complètement bâtard, entre des scènes d'action hyper intenses, et des scènes d'expositions interminables…
Les nouveaux "Spider-Men" introduits sont oubliables au possible. D'ailleurs, pour revenir à ce que je disais, là aussi ils ont poussé les curseurs, en incluant tous les Spider-Man de la création (on les voit dans les trailers), et ça n'a aucun intérêt, à part faire mal aux yeux et à la tête.
Reste la fin, qui m'a fait entrevoir une lueur d'espoir. Je me suis dit qu'ENFIN, le film allait décoller, pour finir sur un "À Suivre". Sérieusement, tout ça pour ça ? Le film dure 2h20, et on a l'impression que ce n'est qu'un gigantesque prologue vers le vrai film. Si je devais définir le film en un mot : "déception".
Il y a trop d'animations psychédéliques, tout le temps, partout, à filer la migraine. Paradoxalement, quand le film va pas à toute berzingue, il est lent, MAIS LENT ! Limite soporifique. Le rythme est complètement bâtard, entre des scènes d'action hyper intenses, et des scènes d'expositions interminables…
Les nouveaux "Spider-Men" introduits sont oubliables au possible. D'ailleurs, pour revenir à ce que je disais, là aussi ils ont poussé les curseurs, en incluant tous les Spider-Man de la création (on les voit dans les trailers), et ça n'a aucun intérêt, à part faire mal aux yeux et à la tête.
Reste la fin, qui m'a fait entrevoir une lueur d'espoir. Je me suis dit qu'ENFIN, le film allait décoller, pour finir sur un "À Suivre". Sérieusement, tout ça pour ça ? Le film dure 2h20, et on a l'impression que ce n'est qu'un gigantesque prologue vers le vrai film. Si je devais définir le film en un mot : "déception".
Alice025
Ce second opus très attendu arrive à surpasser le premier dont la barre était déjà très haute ! C'est un véritable spectacle haut en couleur avec un mélange de plusieurs styles de graphisme extrêmement bien travaillé. Encore plus ambitieux, le rendu est magnifique et bluffant, on se prend une véritable claque visuelle.
Mais ce film est également réussi de part son scénario et ses personnages. Il y a un vrai développement humain sur les protagonistes, tiraillés entre leurs doutes, leurs choix et leurs émotions, personne n'est mis de côté. L'histoire est dynamique, on se retrouve propulsé dans le Multivers dont la richesse et les idées sont infinies. Les enjeux sont de taille, les combats impressionnants, les références nombreuses, en bref c'est un véritable plaisir pour nous, spectateurs.
Seule frustration, voir le générique de fin arriver et devoir s'armer de patience pour voir la suite... Enjoy !
http://cinephile-critique.over-blog.com
Mais ce film est également réussi de part son scénario et ses personnages. Il y a un vrai développement humain sur les protagonistes, tiraillés entre leurs doutes, leurs choix et leurs émotions, personne n'est mis de côté. L'histoire est dynamique, on se retrouve propulsé dans le Multivers dont la richesse et les idées sont infinies. Les enjeux sont de taille, les combats impressionnants, les références nombreuses, en bref c'est un véritable plaisir pour nous, spectateurs.
Seule frustration, voir le générique de fin arriver et devoir s'armer de patience pour voir la suite... Enjoy !
http://cinephile-critique.over-blog.com
Ufuk K
"Spider-Man : Across the Spider-Verse" acclamé par la critique est une suite toujours aussi distrayante. En effet même si l'effet de surprise a disparu par rapport à l'original (sortie en 2018), que l'ensemble comporte des longueurs (2h21) et que la conclusion est frustrante, le film a des qualités evidente comme son graphisme sublime visuellement, le scénario comporte des idées innovantes et originales, des personnages qui sortent de l'ordinaire et une bande sonore sympathique.
ConFucAmuS
Le film d'animation Spider-Man arrivait comme un cheveu sur la soupe fin 2018, son retour fait parmi des séances incontournables de l'année 2023. Ça traite encore du multivers ? Pas de problème, avec lui ça ressemble à quelque chose. Pas comme son homologue live, l'abrutissant No Way Home (au hasard, bien sûr). Alors oui, on y va de bon cœur ! Et on est de plus en plus nombreux, la réputation d'Into the Spider-Verse a bien profité de quatre ans pour se renforcer. À l'époque, Les réalisateurs Bob Persichetti, Peter Ramsey & Rodney Rothman avaient orchestré le Greatest Hits de Spider-Man en un seul film. Le trio a laissé la place à Joaquim Dos Santos, Kemp Powers et Justin K. Thompson a donc la lourde tâche de réitérer l'exploit, voire de faire encore mieux. Dans la grande tradition des suites inflationnistes, Across the Spider-Verse pousse tous les potards au maximum. Bigger, Longer, Stronger.
Généralement, l'épisode central amène à un croisement : responsabilités, sacrifice, choix décisifs. Les scénaristes Phil Lord, Christopher Miller et David Callaham n'ambitionnent pas de révolutionner la formule type d'un numéro 2, juste de la chambouler un peu. Ce qui les pousse à donner plus de place à Gwen Stacy (au point de voler la vedette à Miles Morales), à aborder l'adolescence à travers les parents, puis proposer un antagoniste tout frais et raccord avec le concept de dimensions parallèles puis de confronter le héros à une remise en question déterminante pour lui et ses proches. Le volet pivot offre également son lot de nouveaux personnages excitants, je pense à The Spot, Miguel O'Hara ou encore Hobie, chacun renvoyant à sa manière au dilemme assaillant Morales. L'humour est toujours très présent (peut-être même un peu trop), avec quelques échos à Into the Spider-Verse et quelques clins d'œils sympathiques à la franchise Spider-Man. Esthétiquement, Across the Spider-Verse fait presque aussi fort que son prédécesseur avec des styles propres à chaque univers. De l'aquarelle pour Stacy à l'expressionnisme chez le méchant avec une touche S.F du côté du Spider-Man 2099 et un incursion punk (Miguel et Hobie, gros coups de cœur) tout en conservant les fondamentaux Comics chez Miles. De quoi flatter la rétine, voire atteindre l'orgasme visuel dans une dernière partie où tous les enjeux se rejoignent...pour nous laisser sur un cliffhanger.
C'est la différence entre le chapitre 1 et 2, et sûrement la raison de ma préférence pour le précédent. Into The Spider-Verse racontait tout Spider-Man - origines, thématiques, héritage culturel - en deux heures et on pouvait en rester là. Celui-ci amorce beaucoup de belles choses mais donne finalement l'impression de temporiser afin de faire monter la sauce...sans boucler grand chose si ce n'est pour Gwen mais à la va-vite. Pourquoi pas un film d'animation de 3 heures ? Il y a le public, il y a l'envie et la durée n'est pas un problème (on a bien enduré 3 plombes de vide sur Avengers Endgame !). La décision de couper en deux cette histoire semble difficilement justifiable autrement que par nécessité mercantile. Enfin à titre personnel, j'ai beaucoup de mal avec le hip-hop industriel qui parsème la première moitié de l'œuvre, là où le premier arrivait à une bande son plus variée entre rap, hip-hop et compositions de Daniel Pemberton. Faut-il attendre la deuxième partie pour juger Across the Spider-Verse ? Non, encore une fois un long-métrage se tient pour ce qu'il est. En somme, une véritable orfèvrerie conjuguant humour, action et surprises...qui à la manœuvre commerciale dans son dernier tiers. Bien sûr qu'on ira voir le numéro 3, mais c'est un peu frustrant.
Généralement, l'épisode central amène à un croisement : responsabilités, sacrifice, choix décisifs. Les scénaristes Phil Lord, Christopher Miller et David Callaham n'ambitionnent pas de révolutionner la formule type d'un numéro 2, juste de la chambouler un peu. Ce qui les pousse à donner plus de place à Gwen Stacy (au point de voler la vedette à Miles Morales), à aborder l'adolescence à travers les parents, puis proposer un antagoniste tout frais et raccord avec le concept de dimensions parallèles puis de confronter le héros à une remise en question déterminante pour lui et ses proches. Le volet pivot offre également son lot de nouveaux personnages excitants, je pense à The Spot, Miguel O'Hara ou encore Hobie, chacun renvoyant à sa manière au dilemme assaillant Morales. L'humour est toujours très présent (peut-être même un peu trop), avec quelques échos à Into the Spider-Verse et quelques clins d'œils sympathiques à la franchise Spider-Man. Esthétiquement, Across the Spider-Verse fait presque aussi fort que son prédécesseur avec des styles propres à chaque univers. De l'aquarelle pour Stacy à l'expressionnisme chez le méchant avec une touche S.F du côté du Spider-Man 2099 et un incursion punk (Miguel et Hobie, gros coups de cœur) tout en conservant les fondamentaux Comics chez Miles. De quoi flatter la rétine, voire atteindre l'orgasme visuel dans une dernière partie où tous les enjeux se rejoignent...pour nous laisser sur un cliffhanger.
C'est la différence entre le chapitre 1 et 2, et sûrement la raison de ma préférence pour le précédent. Into The Spider-Verse racontait tout Spider-Man - origines, thématiques, héritage culturel - en deux heures et on pouvait en rester là. Celui-ci amorce beaucoup de belles choses mais donne finalement l'impression de temporiser afin de faire monter la sauce...sans boucler grand chose si ce n'est pour Gwen mais à la va-vite. Pourquoi pas un film d'animation de 3 heures ? Il y a le public, il y a l'envie et la durée n'est pas un problème (on a bien enduré 3 plombes de vide sur Avengers Endgame !). La décision de couper en deux cette histoire semble difficilement justifiable autrement que par nécessité mercantile. Enfin à titre personnel, j'ai beaucoup de mal avec le hip-hop industriel qui parsème la première moitié de l'œuvre, là où le premier arrivait à une bande son plus variée entre rap, hip-hop et compositions de Daniel Pemberton. Faut-il attendre la deuxième partie pour juger Across the Spider-Verse ? Non, encore une fois un long-métrage se tient pour ce qu'il est. En somme, une véritable orfèvrerie conjuguant humour, action et surprises...qui à la manœuvre commerciale dans son dernier tiers. Bien sûr qu'on ira voir le numéro 3, mais c'est un peu frustrant.
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