Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
chamoidor
16 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 25 juin 2023
Catastrophique, je crois que je n'ai jamais eu autant envie de quitter la salle de cinéma que lors de la diffusion de ce film. Des scènes d'actions confuses qui se multiplient sans pause avec des dialogues qui se veulent drôles mais qui sont totalement puérils entre les personnages... Au secours, je ne comprends pas que l'on puisse aimer ce film. Et pourtant mon ado a beaucoup aimé sauf la fin, ce qui a généré entre nous une incompréhension mutuelle sur le ressenti de ce film.
L'animation est top et l'univers visuel hyper inventif, mais l'abus de multiverse rend l'action et l'intrigue quelquefois illisibles. Un spectacle hallucinant et joyeusement foutraque, pas tout à fait aussi réussi que le précédent.
Je ne me souvenais plus de l'animé précédent "Spider-man : nouvelle génération", aussi j'ai eu un peu de mal à rentrer dans cette suite, d'autant que le début est extrêmement décousu. Si l'idée de changer de style de dessins est originale, je n'ai pas accroché à certains. Globalement l'histoire est assez prenante et fait passer un agréable moment.
C’est assez génialement fait, la bande son est aussi très bien mais je reste un peu sur ma faim, c’est peut être un peu trop… ou peut être que ça manque aussi un peu de simplicité !
Avec ce second volet, Spiderman en mode dessin animé et urbain s’envole loin très loin. Certes les effets visuels sont plus poussés et le jeu de l’animation est encore plus impressionnant mais l’histoire et la galerie des personnages rendent le film de haut niveau.
Miles envoie du lourd avec tout ce qu’il faut pour que nous restons accrocher devant ce super film d’animation. Une belle réussite.
Renversant ! La suite du film d’animation à Oscar de 2018 était très attendue ! J’avais passé un bon moment devant « New generation » mais le film ne m’avait pas marqué plus que ça. Je reste conscient qu’il a offert un rafraichissement dans les productions super-héroïques au cinéma. J’ai eu malgré tout envie de voir rapidement la suite au cinéma notamment pour profiter du visuel sur grand écran. Il est vrai que l’animation de ces films est atypique et plaisant. Dans « Across the Spider-Verse », nous allons plus loin dans le spider-verse et ainsi profiter de plus de styles d’animation. Comme pour le film précèdent, ça peut paraître étrange au début mais on s’y fait et le rendu visuel est fluide et vraiment impressionnant.
Ce sont 3 nouveaux réalisateurs qui prennent en charge ce deuxième opus. Et l’équipe est allée à fond dans le délire ! Déjà, le film débute avec une intro étonnante mais prenante et qui fait dire aux spectateurs que ça commence bien. A vrai dire, le film passe très vite. On ne voit clairement pas passer les 2h20, sachant qu’il s’agit là du film d’animation hollywoodien le plus long de tous les temps. Nous sommes plongés facilement dans la richesse du multivers. Il y a un fil conducteur pour l’histoire qui est plutôt simple à suivre. En revanche, ça peut être compliqué si on s’attarde sur la cohérence des dimensions, du traitement des nombreux personnages ou encore des passionnants détails cachés. Le rythme est totalement effréné. On enchaine des séquences avec beaucoup de dynamisme, d’intensité mais il y a également des scènes plus posées, de dialogue, qui sont les bienvenues.
De plus, le long métrage de Sony se veut plus profond et mature que son prédécesseur. Il conserve pour autant son humour encore très efficace je trouve. Je dirais d’ailleurs que « Across » est plus émouvant que « Into the Spider-Verse ». Il faut dire que les personnages sont bien écrits, que les relations entre beaucoup d’entre eux sont poussées et travaillées (comme celles en lien avec les parents de Miles), et on est face à des scènes qui peuvent être aussi bien épiques, que drôles, ou encore touchantes. Les répliques sont de mêmes bien réfléchies.
Pour zoomer sur les personnages, Morales reste le plus agréable à suivre je pense. J’ai cependant été agréablement surpris de voir que Gwen a une grande importance dans ce film, bien plus que dans le film de 2018 c’est sûr. Aussi, j’ai bien aimé la version Spider-Man 2099 qui fait un bad gay des plus intéressants et dont on comprend très bien les motivations. La Tâche est assez basique par contre.
Bref, c’est une ptite dinguerie. À l’instar du récent « Fast X », « Spider-Man : Across the Spider-Verse » est le premier volet d’un film conçu en 2 parties. Sa fin peut ainsi être vue comme frustrante puisqu’il faut désormais patienter pour savoir comment le plus gros de l’intrigue va se résoudre. En tout cas, cette série de films aura été bien construite et, si le fameux « Beyond the Spider-Verse » est lui aussi à la hauteur, ce sera une très grande trilogie de cinéma.
Après un premier film en 2018 acclamé par la critique, la bande des Spider-Men reviennent dans une animation de haute volée ! Le travail sur le visuel est toujours aussi impressionnant, chaque univers à sa touche, chaque moment à son émotion en couleur, le travail dans le détail est vraiment à souligner. Le scénario est toujours aussi travaillé, il n'avance pas très vite mais pourtant on a l'impression que tout va à une vitesse folle, tant tout est très nerveux et virevoltant. On en est même fatigué à la fin de la séance, on en prend plein les yeux, peut-être trop ! Il faut tout de même avouer la petite déception à la fin, c'est devant le générique qu'on a découvert que l'histoire était loin d'être fini, mais qu'elle se terminerait dans une seconde partie qu'on n'est pas près de voir avant plusieurs années ! C'est frustrant, surtout après 2h21 de films. Les personnages mettent du temps à se développer, sûrement pour exploiter tout leur potentiel dans cette suite... bref, Spider-Man Across The Spider-verse est aussi bluffant que frustrant. La suite elle, semble extrêmement prometteuse. Rendez-vous dans quelques années !
Ce Spider-Man version Sony reste, comme son prédécesseur, une pépite visuelle. Doté d'une histoire et d'un univers riche, tous les éléments sont présents pour continuer cette belle lancée. Car oui, ce second volet reprend la suite du premier Spider-Man. Et il la reprend de bien belle façon, tournant autour de Miles Morales, mais le laissant presque spectateur. Tout le contexte créé, le scénario abouti et réfléchi donnent un moment encore une fois unique. Rythmé, intelligent, qui peut être naïf et léger par moment comme lourd et dramatique à d'autres. Ce film réussit à condenser tout ça dans Acros the spider-verse et le moment passé devant cette histoire reste du divertissement pur.
Toutefois, cette extase est coupée nette par une fin abrégée. Rien ne prédisait que le film était finalement en deux parties et cette interruption brutale passe moyennement... heureusement que tout le reste faisait un sans faute.
Miles Morales est bien une anomalie, une altération positive dans l'univers Marvel et la grande réussite de Sony sur ce terrain de jeu. Graphiquement de plus en plus chargé avec une profondeur de champ parfois conceptuelle et expressive, par le biais d'aberrations chromatiques et de pointillisme, dessinant un univers immensément riche en stratification pourtant discutable tant il semble encombré. Dans ce grand manège du multivers, l'espoir de renouveler avec la folie récréative du premier volet paraît très vite impensable, comme une longue file d'attente qui semble s'étirée à mesure qu'on avance. Jusqu'à la déferlante vague au sein du spiderverse, qui sacre son héros et fait vibrer le spectateur, le film ne respire pas à l'image de son prédécesseur beaucoup plus dans l'euphorie récréative. Pourtant ce manège sophistiqué prend des risques et ne transige pas, alternant toujours de grandes lignes droites et de belles envolées.
Autant l’épisode précédent était une révolution notamment grâce au style graphique à la limite du psychédélique et à la bande-son originale très orientée hip-hop, autant là, l’énième utilisation du thème du multivers semble un peu poussive, d’autant que ça parle tout de même beaucoup plus dans la première partie alors que les scènes s’enchaînent non-stop dans la seconde. De plus, le design est parfois gênant visuellement (cf. le Vautour et Hobie) et le super méchant est un peu relégué au second plan devant une avalanche de séquences d’action certes bien faites, mais frôlant l’overdose ! Pas mal donc, mais inégal quant à la gestion narration/animation !
Ce film se positionne comme le meilleur film d'animation du moment, dépassant les exploits élevées de son prédécesseur. Sur le plan technique, le film impressionne par sa réalisation ingénieuse et l'utilisation de technologies innovantes pour une direction artistique remarquable.
L'histoire moderne du film, combinant habilement émotions et action, offre une expérience cinématographique jouissive. En explorant de nouvelles dimensions du personnage de Spider-Man, cette suite réussit à captiver le public tout en rendant hommage à l'univers du super-héros.
Il s'impose comme un incontournable du cinéma d'animation actuel, offrant une expérience visuelle et narrative exceptionnelle qui saura séduire les spectateurs de tous horizons. Une recommandation sans réserve pour ce qui se fait de mieux dans le genre à l'heure actuelle.
Comme j’avais déjà utilisé « révolutionnaire » pour qualifier le 1er opus, je risque d’être à court pour décrire cette folle expérience visuelle. La technique est prodigieuse, poussant l’avant-gardisme en termes d’animation dans des contrées inconnues, mixant l’esprit « Comics » dans un foisonnement vertigineux d’idées et d’action. C’est audacieux, délirant, parfois euphorisant, foutraque par endroits et baigné dans une B.O de grande qualité. On en prend plein les yeux et les oreilles, une échappée foraine, une croisière sensorielle en pleine tempête. Pour peu que notre suspension de crédibilité nous fasse adhérer au concept de multivers (Spider-Verse pardon), les petits retournements scénaristiques vers la fin peuvent apparaître astucieux. Reste une sérieuse réserve : pas le moindre enjeu ne se trouve résolu à la fin, cela se concluant même par un cliffhanger. C’est tout de même assez fâcheux car un film, même s’il appelle une suite, se doit d’être un minimum auto suffisant, de boucler ne serait-ce qu’un petit arc narratif. Reste que cette saga est de très loin ce qui se fait de mieux dans le monde super-héroïque actuellement (la concurrence étant en décomposition avancée, en slip et sans collants) et qu’au niveau purement technique ce film fera une nouvelle fois date dans le domaine de l’animation.
bientôt 5 ans après le précédent opus ayant changé le spectre des films de super-héros en donnant enfin du (vrai) sang-neuf à la mythologie Spider-Man, Miles Morales revient avec une histoire plus dense et finalement plus profonde que le précédent.
Reprenant certains des personnages marquants du premier film, ce second opus se concentre plus sur la relation entre Spider-Gwen & Miles Morales les deux laissant derrière eux un lourd fardeau et faisant face à une situation difficile. Leur situation ainsi que leurs relations, que ce soit personnelles et inter-dimensionnelles spoiler: (n'étant pas dans le même univers, chaque univers n'ayant qu'un seul super-héros araignée) sont au point mort et finalement plus dramatiques qu'il n'y parait.
Tout cela pour dire qu'il s'agit du point de départ à un récit tentaculaire se déroulant sur plusieurs trames confrontant les héros à des antagonistes surprenants et prennant leur temps pour se révéler tels qu'ils sont réellement.
Derrière ce scénario fouillé et une signification profonde spoiler: (notamment concernant le Spiderverse finalement assez limitant, se rapprochant d'une sorte de causalité/destin qui limite énormément les actions de tous les héros des différentes dimensions) l'animation et la réalisation sont toujours incroyables. L'animation changeant de style très souvent sans oublier de varier les palettes de couleur ainsi que les perspectives n'oublie pas d'être en osmose avec une réalisation virtuose et dynamique donnant toujours l'impression d'être constamment en mouvement avec des personnages ultra rapides.
spoiler: Une audace de mise en scène constamment présente se multipliant à l'approche des révélations liées au Spiderverse qui multiplie les prises de risque stylistique.
Au final, cette suite de Into The Spiderverse arrive à être plus folle et fournie que son aîné et constitue une suite qui surprend sans cesse bien qu'il finisse un peu par se perdre dans sa myriade d'intrigues (toutes importantes cependant) ne sachant pas toujours comment conclure un récit trop dense pour ne tenir que dans un film de 2h15, une durée déjà anormalement longue pour un film d'animation mais qui est clairement plus une qualité qu'un défaut ici.
Époustouflant. Tout est réussi. Je ne sais même pas quoi écrire tellement j'ai été agréablement surpris, tellement j'ai pris une claque, tellement j'ai revu mon avis sur les films d'animation pure comme celui-ci. Je me suis rendu compte de toutes les possibilités que ce style de film peut permettre en comparaison des films avec des vrais acteurs. C'est la première fois qu'un film me montre tout le potentiel de l'animation pure. Je ne suis pas un spécialiste du genre, que je connais même assez mal, mais pour ma part, il y aura un avant et un après Spider-Man across the Spider-verse. Bravo.
On tient peut être, objectivement l'un des meilleurs films de l'année ! Un exploit également de faire un 2e film, mieux que le 1er. Décidément, les deux films d animations Spiderman font partie des meilleurs films Spiderman! L'animation est encore exceptionnelle et a évolué : le film est beau ! Même la réalisation est incroyable : certains plans sont de véritables fonds d'écrans ! Mais selon moi, la où sa coince c'est au millieu du film. Quand on commence à rentrer dans le vis du sujet, tout devient flou et détestable. Fort heureusement, le debut du film et sa fin sont exceptionnelles !