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good baned
1 critique
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0,5
Publiée le 15 décembre 2023
Hello, J'ai vu ce film au cinelux à 5frs (journée du cinéma), à Genève. Il y avait de la pub à la télé , sur la RTS, ils ont présenté le fim et ca ma vraiment donné envie, avec leur bande annonce et les critiques de presse. Je me rappelle que j'ai été trop déçu .. je m'attendait à une histoire du CERN genre; Steins gate, John Titor, un pc IBM Dans la bande annonce y avais tout.. le film y avait rien.. vide.. incompressible on c'est pas si c'est le CERN qui fait des phénomènes étranges ou si c'est juste des gars qui sont drogués dans les boit et qui ce sont perdu .. (comme moi dans la salle de ciné). En sortant de la salle, je me suis dit ; bon j'ai perdu 5frs c'est pas grave , mais j'ai perdu 1h40 (+0h20)* de ma vie.. *(+les 20 min pour écrire ces lignes .. ) puis je me suis dit aussi je pourrai faire un film avec des potes et un smartphone, faire beaucoup de pubs pour passé au ciné. je pourrai continué à critiqué car c'est facile , mais j'ai aussi appris à ne plus faire confiance au critique (médiatique). et je m'excuse au réalisateur (si il le lit), si mon commentaire vous blaiser mais c'est mon ressenti, et peut-être ca peut vous aider à harmoniser votre suite. Cordialement Goodbaned
Le début du film , nous montre une jeunesse en manque de repères , déjantée à cause d'une société de tristesse ...je reconnais que je me suis endormi ensuite car le film m'ennuyait , donc je ne le conseille pas forcément ...
L'aspect le plus fantastique de ce film est sans doute que l'on ait pu lui attribuer cinq étoiles. Que dire ? Un scénario plus sidéralement vide que le cerveau d'un candidat de télé- réalité ? Des prises de vues qui se veulent "arty", "contemplatives"... pour au final passer pour un pastiche de film d'auteur moldo-slovaque sous- titré en ukrainien et diffusé en 3ème partie de soirée sur Arte ? Des "acteurs" avec le charisme d'une carie dentaire (mention spéciale au "premier rôle" tellement tronche à claques que même le dalaï-lama lui mettrait une balayette) ? Ah ouais y'a la bande-son pas dégueulasse... mais SCOOP : ça ne fait PAS un film. Peut-être à revoir avec un gros stock de chlorophylle qui fait rire sous la main - ou après une lobotomie.
"Les particules » se joue dans la région où se situe Le CERN, l’accélérateur de particules. J’ai bien compris la métaphore, la matière composée de particules, d’atomes, le corps humain composé d’atomes, patin couffin. Mais franchement, tout ça manque d’énergie. Tout ce petit monde, soit l’équipe du film et le scénario, aurait dû passer dans l’accélérateur de particules. Non seulement ça manque d’énergie mais c’est passablement soporifique.
Mon dieu, quelle horreur ce film. Un certain jeune cinéma français semble se complaire à réaliser des films sans queue ni tête, suivis par une certaine critique qui plutôt que de confesser n'avoir rien compris préfère louer le génie de ces réalisateurs. Il nous faut donc résister à l'ennui et à l'endormissement pour subir une suite de scènes sans grand rapport les unes avec les autres. Normal : on est dans la tête d'un ado en souffrance ! A fuir !!!
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18 103 critiques
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0,5
Publiée le 22 août 2020
Sommes-nous censés ressentir quelque chose pour Thomas Daloz ? Ou l'un des autres personnages ? Peut-être mais cela n'est certainement pas apparu dans Les Particules. L'apathie des personnages correspondait à mon apathie pour ce film. Toute tentative de créer du suspense ou une atmosphère échoue avec de longs plans persistants constituant l'essentiel de ce film. Cela aurait fait un bien meilleur court métrage sans les nombreux longs plans de dix secondes de visages sans expression ou de paysages avec au mieux un cadrage médiocre. Une fable moderne dans laquelle se produisent des événements de zone crépusculaire autour du CERN : une expérience scientifique ratée ou une consommation excessive de champignons hallucinogènes ? Franchement je ne sais pas mais j'imagine qu'il faut faire regarder cette performance cinématographique pour comprendre ou même s'imprégner de cette ambiance psychédélique et mystérieuse pleine d'adolescents apathiques et aux visages boutonneux. Absolument rien ne se passe dans ce film du début à la fin c'est juste une perte de temps et tous le film est comme son acteur principal totalement ennuyeux...
Si vous voulez gagner 1h30, passez votre chemin... Je ne comprends pas comment un tel film puisse être réalisé et diffusé alors que certains réalisateurs n'arrivent pas à se faire connaitre et / ou se faire diffuser alors qu'ils ont très certainement, pour certains, des pépites dans leurs tiroirs... En clair, il ne se passe rien du début à la fin... Le subterfuge de masquer le manque de budget pour des effets spéciaux par une espèce musique angoisse donne le ton au "film" pardon à l’œuvre... Bref un film pseudo intello à éviter.
Une succession d'images et de déprime. Le réalisateur veut nous mettre en immersion du sentiment de malaise que porte les ados, mais l'impression qu'il nous reste est un film sous acide avec une bande son inégale et des longueurs...longueurs...longueurs.
j'ai eu beaucoup de mal à visionner ce film,car il ne s'adresse pas au grand public. L'ambiance est malsaine et le casting a trié sur le volet des jeunes acteurs, mais surtout de veritables tetes à claques, on a envie de les secouer! c'est bien entendu voulu par le réalisateur,et je ne suis pas étonné que ce long metrage soit considéré comme une réussite par de nombreuses presses, c'est ça la quinzaine des realisateurs à Cannes... il n'a pas du y avoir de grosses recettes dans les salles !
Et voilà 1 h 30 de perdue. Mais que ce film est creux !! Je me suis forcé à attendre la fin dans l'espoir d'être surpris...mais rien !! Il n'y a rien à ajouter;ce film est un des plus nul qu'il m'a été donné de voir. Dommage qu'on ne puisse pas donner une note négative qui serait abyssale.
« Les particules » est un film qui donnerait presque envie d’inventer une nouvelle catégorie de classification, avec deux options : FILM (pour film à visée cinématographique = 7e art) et PRODUIT (pour un film de plus, qui ressemble à tant d'autres, et qui n’a aucune dimension artistique). On se rendrait vite compte qu’il y aurait peut-être seulement 20 % des films qui appartiendrait à la première catégorie, « Les particules » en ferait partie, et c’est donc d’emblée son énorme qualité. De là, ce que disent certaines critiques est vrai : son discours global est un peu fumeux, on ne sait pas ce que le film veux dire, puisqu’il flirte avec le fantastique sans que jamais ses intentions soit claires. Et c’est certes un défaut, mais qui reste secondaire, car je sais que je garderai longtemps des images et sensations en tête, ce qui est loin d’être souvent le cas. Moralité, d’autres critiques ont raison : un cinéaste est né avec cette première œuvre.
« Les particules » est le second film de Blaise Harrison. L’action se déroule au pays de Gex à la frontière franco-suisse et (même si ce n’est pas tout à fait exact sur le plan géographique) il abrite à 100 m sous terre le LHC du CERN, le plus grand accélérateur de particules au monde qui permet de lancer des hadrons quasiment à la vitesse de la lumière et d’étudier les phénomènes qui résultent de leur collision dans des conditions proches du big-bang. Or ce LHC semble via l’espace-temps interagir sur des adolescents esseulés, sans parent réellement présent, et introvertis : PA (pour Pierre Alexandre) qui s’ennuie en classe de terminale S mais aime la musique, saxophoniste dans l’harmonie du village et d’un petit groupe de copains dans lequel il est toutefois le souffre-douleur de Mérou, et Roshine qui pour une raison médicale non précisée doit recevoir toutes les 4 h une injection de ?. PA sera le premier à constater des éléments bizarres qu’il semble pouvoir en partie contrôler et vont lui permettre d’« éliminer » ce fameux Mérou. PA se confie à Roshine qui ressent les mêmes effets mais là les effets seront autres avec après la phrase magique - « je t’aime » - prononcée par Roshine une dématérialisation des 2 jeunes et une sublimation de leur amour. Le film est peut-être un peu trop lent et banal en termes d’images (je ne parle pas bien sûr des effets spéciaux) mais c’est à mon avis voulu pour souligner la vie quotidienne mélancolique de ces 2 adolescents qui – il faut le noter - sont des acteurs inconnus. Ce film original qui frise avec le fantastique et le poétique, est soutenu par une très bonne bande son … On attend donc avec impatience le prochain film de Blaise Harrison.
Ce filme est tellement long et incompréhensible que les 3 personnes derrière moi ce sont endormis au DÉBUT du filme ,sans parler du nombre dantesque de faux-raccord dont l'évidence est telle que même un enfant de 5 ans aurait pu les voir