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Votre avis sur Le Cercle des neiges ?
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Ambiance immersive : Le cadre hivernal est magnifiquement capturé, créant une atmosphère mystérieuse et oppressante. Les paysages enneigés ne sont pas juste un décor mais renforcent les thèmes de solitude et d'isolement.
Un survival âpre et éprouvant qui fait rejaillir nos instincts primaires pour survivre face à une nature très hostile, mais le trop plein de personnages freine l'émotion.
"Le Cercle des Neiges" est une œuvre cinématographique qui explore les tréfonds de l'âme humaine et la force de la survie. Sous la direction de Juan Antonio Bayona, ce film s'appuie sur une histoire vraie pour livrer une expérience intense et viscérale. Il s'agit de la cinquième adaptation du drame du vol Fuerza Aérea Uruguaya 571, mais cette version parvient à offrir une perspective nouvelle et profondément émotive.
Bayona excelle dans la création d'une atmosphère claustrophobe et glaciale, nous plongeant dans la Cordillère des Andes aux côtés des survivants. La reconstitution méticuleuse de l'accident et des conditions extrêmes, renforcée par une photographie époustouflante de Pedro Luque, capte l'immensité terrifiante des montagnes enneigées. Les décors naturels et les répliques d’avion sont si réalistes qu’ils ajoutent une couche supplémentaire de crédibilité et d’immersion.
Le scénario, coécrit par Bayona, Bernat Vilaplana, Jaime Marques et Nicolás Casariego, réussit à équilibrer les moments de désespoir avec des instants d'humanité et de solidarité. Les dialogues sont poignants, bien que parfois dramatisés à l'excès. La progression narrative maintient un rythme soutenu, malgré quelques longueurs dans la deuxième moitié du film.
Les performances des acteurs, principalement originaires d’Uruguay et d’Argentine, sont remarquables. Matías Recalt incarne avec justesse Roberto Canessa, offrant une prestation qui allie la vulnérabilité et la détermination. De même, Enzo Vogrincic (Numa Turcatti) et Agustín Pardella (Nando Parrado) apportent une profondeur émotionnelle à leurs personnages, nous faisant ressentir leur combat intérieur et leur lutte pour la survie.
La bande sonore, signée Michael Giacchino, accompagne habilement les scènes sans jamais les dominer. Elle souligne les moments de tension et d'émotion avec une subtilité qui rehausse l'impact des images.
Cependant, malgré ses nombreuses qualités, "Le Cercle des Neiges" n'est pas exempt de défauts. La narration parfois trop linéaire et prévisible empêche le film de maintenir une tension constante. De plus, certaines scènes, bien qu'émotionnellement chargées, auraient gagné à être plus concises pour éviter un sentiment de redondance.
L'un des points forts du film réside dans sa capacité à provoquer une réflexion sur les limites de l'endurance humaine et la moralité en situation de survie. Les choix difficiles des personnages, notamment le recours à l'anthropophagie, sont traités avec un respect et une gravité qui suscitent l'empathie plutôt que le jugement.
"Le Cercle des Neiges" se distingue également par son engagement à rester fidèle à la réalité historique, tout en injectant suffisamment de drame pour captiver le spectateur. La mise en scène de Bayona, alliée à des performances solides et à une production de haute qualité, en fait un film mémorable, bien qu'il lui manque ce petit supplément d'âme pour le propulser au rang de chef-d'œuvre.
En conclusion, "Le Cercle des Neiges" est un film puissant qui réussit à capturer l'essence d'une tragédie humaine. Il offre une expérience cinématographique à la fois bouleversante et réfléchie, malgré quelques imperfections narratives. Une réalisation impressionnante qui mérite d'être vue pour son exploration profonde de l'esprit humain face à l'adversité.
Bayona excelle dans la création d'une atmosphère claustrophobe et glaciale, nous plongeant dans la Cordillère des Andes aux côtés des survivants. La reconstitution méticuleuse de l'accident et des conditions extrêmes, renforcée par une photographie époustouflante de Pedro Luque, capte l'immensité terrifiante des montagnes enneigées. Les décors naturels et les répliques d’avion sont si réalistes qu’ils ajoutent une couche supplémentaire de crédibilité et d’immersion.
Le scénario, coécrit par Bayona, Bernat Vilaplana, Jaime Marques et Nicolás Casariego, réussit à équilibrer les moments de désespoir avec des instants d'humanité et de solidarité. Les dialogues sont poignants, bien que parfois dramatisés à l'excès. La progression narrative maintient un rythme soutenu, malgré quelques longueurs dans la deuxième moitié du film.
Les performances des acteurs, principalement originaires d’Uruguay et d’Argentine, sont remarquables. Matías Recalt incarne avec justesse Roberto Canessa, offrant une prestation qui allie la vulnérabilité et la détermination. De même, Enzo Vogrincic (Numa Turcatti) et Agustín Pardella (Nando Parrado) apportent une profondeur émotionnelle à leurs personnages, nous faisant ressentir leur combat intérieur et leur lutte pour la survie.
La bande sonore, signée Michael Giacchino, accompagne habilement les scènes sans jamais les dominer. Elle souligne les moments de tension et d'émotion avec une subtilité qui rehausse l'impact des images.
Cependant, malgré ses nombreuses qualités, "Le Cercle des Neiges" n'est pas exempt de défauts. La narration parfois trop linéaire et prévisible empêche le film de maintenir une tension constante. De plus, certaines scènes, bien qu'émotionnellement chargées, auraient gagné à être plus concises pour éviter un sentiment de redondance.
L'un des points forts du film réside dans sa capacité à provoquer une réflexion sur les limites de l'endurance humaine et la moralité en situation de survie. Les choix difficiles des personnages, notamment le recours à l'anthropophagie, sont traités avec un respect et une gravité qui suscitent l'empathie plutôt que le jugement.
"Le Cercle des Neiges" se distingue également par son engagement à rester fidèle à la réalité historique, tout en injectant suffisamment de drame pour captiver le spectateur. La mise en scène de Bayona, alliée à des performances solides et à une production de haute qualité, en fait un film mémorable, bien qu'il lui manque ce petit supplément d'âme pour le propulser au rang de chef-d'œuvre.
En conclusion, "Le Cercle des Neiges" est un film puissant qui réussit à capturer l'essence d'une tragédie humaine. Il offre une expérience cinématographique à la fois bouleversante et réfléchie, malgré quelques imperfections narratives. Une réalisation impressionnante qui mérite d'être vue pour son exploration profonde de l'esprit humain face à l'adversité.
Le cinquième long-métrage du réalisateur espagnol Juan Antonio Bayona, sorti en 2023, reprend le célèbre fait divers du crash d’un avion dans la cordillère des Andes survenu en 1972 et dont seize passagers ont survécu malgré des conditions effroyables. Avec une matière première aussi vertigineuse, l’histoire reste bien évidemment captivante. Néanmoins, en relatant scrupuleusement les faits d’un point de vue collectif, le cinéaste ne parvient pas pleinement à restituer la dimension personnelle des états d’âme de ces rescapés. On appréciera toutefois le caractère sobre du propos évitant toute morbidité ostentatoire. Bref, un film mémorable sur une tragédie humaine hors du commun.
Film relatant un fait assez connu du grand public : le crash d'un avion transportant 45 passagers et membres d'équipage dans la cordillère des Andes.
Si vous connaissez l'histoire, vous savez donc de quelle manière les quelques survivants ont survécu. Sinon vous le découvrirez dans ce film qui nous plonge dans cet enfer glacé.
La proximité avec laquelle nous suivons cette histoire en est réellement dérangeante. Le froid, la faim, la mort, la peine, le dilemme moral, la souffrance,... On vit tout cela à travers l'écran, et cela nous bouleverse d'autant plus que la réalisation et les acteurs sont criants de vérité.
Le film fait presque 2 h30 et on le ressent, non pas parce que le film est mauvais, mais parce que, comme les protagonistes, on n'en peut plus de voir le bout de ce calvaire...
Si le film se voulait être un témoignage le plus fidèle et le plus réaliste possible, c'est une franche réussite.
Si vous avez les nerfs assez solides, alors je ne saurai que trop vous le recommander, car c'est aussi une belle leçon d'humanité.
Si vous connaissez l'histoire, vous savez donc de quelle manière les quelques survivants ont survécu. Sinon vous le découvrirez dans ce film qui nous plonge dans cet enfer glacé.
La proximité avec laquelle nous suivons cette histoire en est réellement dérangeante. Le froid, la faim, la mort, la peine, le dilemme moral, la souffrance,... On vit tout cela à travers l'écran, et cela nous bouleverse d'autant plus que la réalisation et les acteurs sont criants de vérité.
Le film fait presque 2 h30 et on le ressent, non pas parce que le film est mauvais, mais parce que, comme les protagonistes, on n'en peut plus de voir le bout de ce calvaire...
Si le film se voulait être un témoignage le plus fidèle et le plus réaliste possible, c'est une franche réussite.
Si vous avez les nerfs assez solides, alors je ne saurai que trop vous le recommander, car c'est aussi une belle leçon d'humanité.
J'ai mieux aimé le premier film "Les survivants" celui-ci est bien mais trop long. Cette histoire me bouleversera toujours. C'est incroyable et marquant ce qu'ils ont pu vivre !
Etant donné les critiques élogieuses du public et de la presse, je m’attendais a un film exceptionnel, mais malheureusement si l’histoire qui elle est exceptionnelle, le film ne l’est pas.
Beaucoup trop de longueurs, en effet, et malgré tout le respect que l’on doit à ses survivants, je m'ennuyé a plusieurs moments.
L’événement est tellement incroyable que l’on regarde quand même sans désintérêt, la scène quand l'avion s'écrase est vraiment excellente mais le film aurait beaucoup gagné en qualité avec des passages en moins et vraiment montré quand ils mangent les morts pour survivre.
Beaucoup trop de longueurs, en effet, et malgré tout le respect que l’on doit à ses survivants, je m'ennuyé a plusieurs moments.
L’événement est tellement incroyable que l’on regarde quand même sans désintérêt, la scène quand l'avion s'écrase est vraiment excellente mais le film aurait beaucoup gagné en qualité avec des passages en moins et vraiment montré quand ils mangent les morts pour survivre.
Une histoire fascinante, qui fait tout de suite de l'oeil au cinéma. L'accident d'avion est super bien fait, et le décor choisi est juste parfait. Pas tire-larme, mais tellement touchant. Un film où il ne se passe rien et en même temps tout.
Malgré connaître l’intrigue et le dénouement, on est rapidement pris par le film et par quels moyens les survivants vont encore agir en équipe pour s’en sortir. Le film est captivant et les séances de cannibalisme sont discrètes pour ne pas déranger sans pour autant masquer la vérité.
Un film plutôt bon, connaissant déjà l'histoire tragique de cet avion, je trouve le film vraiment représentatif. J'ai eu l'impression de regarder un cauchemar constant. J'aurais peut-être aimé que le côté perte de l'esprit dû au fait de manger des proches soit plus appuyé. Les couleurs et la texture étaient vraiment super, en coalition avec l'histoire !
Sorti en 2024 sur Netflix, Le cercle des neiges est inspiré de la tragédie du vol Fuerza Aérea Uruguaya 571 qui en 1972 s’abîma au cœur de la Cordillère des Andes,
spoiler:
tuant 17 personnes sur le coup, 12 autres dans les semaines suivantes – la recherche de survivants ayant été rapidement abandonnée – et qui vit 16 rescapés secourus plus de deux mois après l’accident.
Ce qui constitue l’un des plus célèbres (et incroyable) fait divers du XXème siècle prît une tournure morale et métaphysique insoupçonnée lorsque les survivants racontèrent spoiler: avoir dû consommer des restes de cadavres humains pour se nourrir et ainsi rester en vie.
Le film du cinéaste espagnol Juan Antonio Bayona revient sur cet épisode marquant de manière efficace et intelligente, quoique sans grande surprise, tirant de cette matière un excellent survival. Des paysages époustouflants de beauté.
Ce qui constitue l’un des plus célèbres (et incroyable) fait divers du XXème siècle prît une tournure morale et métaphysique insoupçonnée lorsque les survivants racontèrent spoiler: avoir dû consommer des restes de cadavres humains pour se nourrir et ainsi rester en vie.
Le film du cinéaste espagnol Juan Antonio Bayona revient sur cet épisode marquant de manière efficace et intelligente, quoique sans grande surprise, tirant de cette matière un excellent survival. Des paysages époustouflants de beauté.
Le "Cercle des Neiges" est une totale copie du film "les survivants" (1993), scène par scène, sujet raconté sous le même angle, seuls les visages des protagonistes changent.
Même les progrès sur ces trente années en matière d'effets spéciaux, qui auraient pu apporter une plus-value visuelle, sont inexistants à l'écran.
Pourtant ce scénario totalement véridique de survie dans les altitudes des Andes reste si extraordinaire qu'un remake Netflix en 2024 permettra à un nouveau public de connaitre cette histoire et à coup sûr d'être à son tour captivé par le sort de ces rescapés uruguayens d'un crash d'avion.
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Même les progrès sur ces trente années en matière d'effets spéciaux, qui auraient pu apporter une plus-value visuelle, sont inexistants à l'écran.
Pourtant ce scénario totalement véridique de survie dans les altitudes des Andes reste si extraordinaire qu'un remake Netflix en 2024 permettra à un nouveau public de connaitre cette histoire et à coup sûr d'être à son tour captivé par le sort de ces rescapés uruguayens d'un crash d'avion.
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Ça n'avait rien d'évident, le calvaire de naufragés du vol 571 a duré 72 jours et le retranscrire en 2 heures ½ constitue une gageure. Mais force est de constater que le réalisateur s'en tire très bien. Le contraste entre la beauté de la Cordilière et la tragédie des passagers est saisissant. Déjà en 1930 Henri Guillaumet naufragé de l'aéropostale dans la Cordilière déclarait "Ce que j'ai fait, je te le jure, jamais aucune bête ne l'aurait fait »" 41 ans plus tard l'histoire s'est répété en pire et Bayona a choisi de n'en sélectionner que les moments forts, privilégiant les rapports humains au mélodrame. Alors bien sûr on peut toujours ergoter, ça parle un peu de Dieu, mais on n'en fait pas toute une tartine non plus, et puis ça fait partie de l'histoire. On pourra aussi regretter quelques trop long dialogues, mais que voulez-vous en 72 jours il faut bien que les gens parlent. Il y a beaucoup de protagoniste à ce point qu'on a parfois du mal à les distinguer les uns des autres d’où sans doute un certain déficit d'empathie, mais lorsque arrive la conclusion, le réalisateur parvient à nous faire partager la joie des rescapés et j'ai trouvé ça très fort
Christoblog
Pas grand-chose à dire de positif ou de négatif à propos de ce film de Juan Antonio Bayona, qui met ici en oeuvre le même savoir-faire pour filmer les catastrophes que dans The impossible.
Le film est une reconstitution assez efficace de la fameuse histoire bien connue de l'équipe de rugby uruguayenne échouée dans la cordillère des Andes en 1972. On attend pendant une bonne partie du film les premières scènes de cannibalisme, qui sont traitées avec pudeur et intelligence.
Quelques séquences parviennent à être réellement spectaculaires (celle de l'avalanche par exemple) et globalement le film vaut surtout pour ses extraordinaires décors naturels. Pour le reste, c'est du très classique et les destins individuels des différents passagers ne nous émeuvent pas beaucoup.
Le film est une reconstitution assez efficace de la fameuse histoire bien connue de l'équipe de rugby uruguayenne échouée dans la cordillère des Andes en 1972. On attend pendant une bonne partie du film les premières scènes de cannibalisme, qui sont traitées avec pudeur et intelligence.
Quelques séquences parviennent à être réellement spectaculaires (celle de l'avalanche par exemple) et globalement le film vaut surtout pour ses extraordinaires décors naturels. Pour le reste, c'est du très classique et les destins individuels des différents passagers ne nous émeuvent pas beaucoup.
Bayona nous offre une photographie grandiose des Andes. La montagne est filmée avec toute l'immensité et l'hostilité qu'elle mérite. Un groupe de survivants tentent d'y résister.
Le film est prenant mais vite berçant. J'avoue être moyennement attaché aux films de survie et malgré les belles intentions de celui-ci j'ai quand même du mal à rentrer pleinement dedans.
Le film est prenant mais vite berçant. J'avoue être moyennement attaché aux films de survie et malgré les belles intentions de celui-ci j'ai quand même du mal à rentrer pleinement dedans.
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