Votre avis sur Summerland ?
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The Singing Club, The Dig, Saint Maud, Ammonite, Summerland ... Autant de films britanniques qui n'ont pas trouvé le chemin des écrans français, mais qui sont heureusement visibles sur une plateforme où une chaîne de télévision. Pourquoi Dream Horse et Fisherman's Friends ont-ils échappé à la malédiction, avec une sortie en salles ? Mystère de la sistribution car ils ne sont pas meilleurs (surtout comparé au superbe Ammonite) mais s'affichent principalement comme des Feel Good Movies, avec des enjeux dramatiques réduits, ceci pouvant expliquer cela. Summerland est une histoire très romanesque, qui part du portrait d'une jeune femme acariâtre et égocentrique pour terminer dans un apaisement convenu, après quelques drames en guise d'épreuves douloureuses mais finalement salutaires. Le film abuse des flashbacks et verse progressivement dans un excès de sentimentalité, le but étant d'atteindre les glandes lacrymales du spectateur. Mission accomplie non sans style, malgré quelques scènes pesantes et une vision historique aléatoire, en cette période du Blitz londonien. Gemma Arterton a beau faire, elle n'arrive pas à être totalement antipathique et le revirement total du caractère de son rôle fait partie des quelques couleuvres qu'il faut avaler. Nonobstant, on peut se laisser aller et admirer les paysages de la campagne anglaise où étonnamment, il ne pleut jamais.
Comment ne pas se laisser emporter dans ce summerland ? En effet, ce film émouvant et poétique mêle rêve et tendresse, amour et perte. Les acteurs sont géniaux, les paysages magnifiques.
Alice est une écrivaine qui mène sa vie comme elle l'entend sans se soucier du regard des autres et de ce qu'ils peuvent dire sur elle. La jeune femme parait antipathique et ne fait rien pour améliorer son image auprès des autres habitants du village. Alors que la Seconde Guerre mondiale fait rage, certains enfants, qui fuient la guerre, sont accueillis par les habitants. Alice fait partie des personnes forcées d'en accueillir, ce qui ne la ravit pas. Peu à peu, Alice s'ouvre au petit Frank, ce qui nous permet de comprendre pourquoi elle est si renfermée sur elle-même. "Summerland" a tout du mélodrame, un film plein de bons sentiments qui parvient tout de même à être touchant grâce à des histoires et des personnages attachants. L'histoire est un peu tirée par les cheveux et quand je dis ça je pense surtout à la révélation qui est un peu grosse, mais on va dire que ça colle avec le genre et que c'est ce qui participe à rendre certaines histoires magiques. Ce n’est pas le film le plus subtil au monde, mais "Summerland" est charmant et incarné par une bonne Gemma Arterton. En somme, c'est pas mal.
Pour ma part, très ennuyeux. Evènements de circonstance pour tramer un scénario assez vide au final. Reste l'immersion dans l'époque mais bien trop "sage" et bienveillant. 1.5/5 ! (maxi).
Un film d'une grande tendresse et qui fait du bien, abordant avec pudeur le choc de la perte d'un père, l'homosexualité féminine totalement bannie pendant la dernière guerre, le tout avec des paysages anglais de toute beauté. Sans doute un peu larmoyant, mais positif et très bien joué. J'ajoute que j'adore Gemma Arterton que j'avais découverte avec Fabrice Luchini dans Gemma Bovery. Un bon moment de cinéma.
Belle photographie, belles musiques, beaux sentiments,...
Le film cultive un paradoxe difficile à avaler : elle n'aime pas du tout les enfants au début mais c'est la première à secourir cet enfant parce qu'elle connait bien sa mère (liens saphiques).
Le film est un tantinet désuet. Regardez cette fin avec ce petit avion hommage au père avec une bougie et photo planant sur la mer...
Le film cultive un paradoxe difficile à avaler : elle n'aime pas du tout les enfants au début mais c'est la première à secourir cet enfant parce qu'elle connait bien sa mère (liens saphiques).
Le film est un tantinet désuet. Regardez cette fin avec ce petit avion hommage au père avec une bougie et photo planant sur la mer...
Très beau film, on nous emmène dans le Kent magnifiée. Un film d un rythme assez lent mais néanmoins qui distille son intrigue assez habilement. Des acteurs qui passent très bien l émotion. Une réussite cette histoire d amitié et d'amour qui passe simplement son message, avec une certaine sensibilité.
Un drame romanesque au scénario assez convenu, pas très crédible et tirant sur l’émotion, que ne parvient pas à faire oublier la lumineuse Gemma Aterton et les superbes décors de la campagne anglaise où apparemment il fait toujours beau ! 1,75
Sous les traits de G. Arterton (et P. Wilton) un portrait d'une romancière libre, indépendante, moderne, devant cohabiter avec un enfant. Ils vont apprendre à se découvrir et s'accepter, avec finalement un certain lien. D'ailleurs, le récit se déroule alors que des flashbacks nous relatent en parallèle une belle mais triste histoire d'amour passée. Alors que plus loin la guerre fait rage, sous une jolie lumière du bord de mer, cette chronique parle d'insouciance, d'imaginaire débordant, de regrets aussi. Les 30 dernières minutes sont particulièrement intenses en émotions.
Joli surprise que ce fllm anglais sans prétention arrive à faire passer un bon moment à son spectateur
Dans ce Kent magnifié par la caméra de Jessica Swale on suit donc cette écrivaine quelque peu ermite et irascible étant obligé d'accueillir un enfant refugié/déporté de Londres pour sa sécurité pendant la seconde guerre mondiale
L'histoire en elle même est intéressante même si elle reste relativement banale . Mais la force de ce film réside surtout dans l'interprétation de son héroïne principale ( Gemma Arterton) que j'ai trouvé très juste. Elle porte littéralement le film sur ses épaules car les seconds rôles ne peuvent pas en dire autant.
La réalisation est aussi soignés avec de magnifiques plan du Kent , une photographie tout en poésie mais aussi quelques prise de risques comme ce plan séquence dans Londres pour retrouver Franck.
Le scénario est malheureusement trop "beau" pour être crédible mais c'est aussi un atout du film , essayer de nous faire rêver sur de l'imaginaire
Dans ce Kent magnifié par la caméra de Jessica Swale on suit donc cette écrivaine quelque peu ermite et irascible étant obligé d'accueillir un enfant refugié/déporté de Londres pour sa sécurité pendant la seconde guerre mondiale
L'histoire en elle même est intéressante même si elle reste relativement banale . Mais la force de ce film réside surtout dans l'interprétation de son héroïne principale ( Gemma Arterton) que j'ai trouvé très juste. Elle porte littéralement le film sur ses épaules car les seconds rôles ne peuvent pas en dire autant.
La réalisation est aussi soignés avec de magnifiques plan du Kent , une photographie tout en poésie mais aussi quelques prise de risques comme ce plan séquence dans Londres pour retrouver Franck.
Le scénario est malheureusement trop "beau" pour être crédible mais c'est aussi un atout du film , essayer de nous faire rêver sur de l'imaginaire
Film à l'eau de rose très académique dans sa forme et dans son scénario. Il évoque la parentalité, l'amour, la perte, le deuil, l'espoir... Gemma Arterton et Gugu Mbatha-Raw sont d'une justesse bouleversante, certes, mais le film tourne en rond et cherche absolument à faire pleurer dans les chaumières en sortant les musiques au piano et au violon, déjà entendues des centaines de fois.
Le récit n'est pas toujours probable mais l'ensemble joli et bien joué et la mise en scène soignée convaint.
Le pitch du film est assez tentant. Un contexte historique propice à l'émotion, une histoire qui ne laisse pas indifférent. Mais le film ne décolle jamais et le scénario finalement très peu crédible.
Certes, l'intrigue du film est assez classique et les paysages de la campagne et de la côte anglaise sont idéalisés. Cependant, beaucoup d'émotions mais aussi de l'humour participent au charme de ce film où rayonne Gemma Arterton, toujours impeccable et juste. On pense au "Vieil homme et l'enfant" de Claude Berri, au "Grand chemin" de Jean-Loup Hubert et l'on se prend d'affection pour ses personnages très attachants. Un joli moment de cinéma.
Grotesque, triste exemple de l'ignorance moderne où on ceux qui ecrivent des films d'epoques sont incapable d'en apprehender la mentalité et ne peuvent s'empecher d'y projeter leur idées et sensibilité moderne. Un ridicule exemple d'anachronismes et d'ignorance historique.