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    Sibyl
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    marco9494
    marco9494

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mai 2019
    Tout ce qui m 'est insupportable au cinema ....Un cinema de bobo parisien égotiste pour bobos parisien égotiste ... Rien d'intéressant sur un plan cinéma , encore moins sur l 'homme et ses contractions terribles , bref c'est tout petit , ...les deux jours précédents , j 'avais revu "taxi driver" et "los ovidados" alors forcément ....les cahiers du cinema ont étaient très élogieux , j aurais du me méfier ... Mais si vous avez besoin d'un soutien psychologique à la moindre petite émotion , courrez s 'y ... vous allez vous régaler !!
    nicolas t.
    nicolas t.

    59 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 mai 2019
    Film très ambitieux, mais assez raté, tant la barque est chargée.
    La réalisatrice aimerait être un mix de Woody Allen et Bergman.
    Hélas, elle n'en a pas les épaules, avec son scénario psy foutraque, un montage hâché de flash backs lourdingues,
    et une mise en scène chic et clinquante. Mélange de tons qui ne fonctionne pas, un peu de comédie, de drame,de psy,
    de loufoquerie, de cul devant cheminée....
    Mais le gros problème reste l'actrice principale, qui n'émeut pas malgré une succession de scènes pour la mettre en valeur entre larmes, cris, sexe etc.....
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 mai 2019
    J'aime beaucoup Virgine Efira, mais en dehors de son jeu, tout est long, insipide et sans substance.
    A éviter.
    Laurent A.
    Laurent A.

    41 abonnés 387 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mai 2019
    Le rôle interprété par Virginie Efira est crédible et fonctionne bien pendant la première partie du film, elle y est plutôt convaincante mais à mon sens tout dérape lorsque la psy. interprétée par cette actrice déboule sur le lieu de tournage d'un film qui sert de psychodrame à sa patiente paumée et qui essaie de la manipuler en lui faisant porter le chapeau de ses choix de vie, le film comporte des longueurs et des scènes loufoques et incompréhensibles comme la scène de la gifle qui est vraiment indigeste, à cela s'ajoute une bande son sirupeuse et une histoire tordue comme l'esprit de la psy que l'on aurait espéré plus éclairée pour une femme de son rang... La fin est pourtant belle et on comprend qu'il s'agit d'une déconstruction pour mieux repartir sur de nouvelles bases, les deux protagonistes étant des catalyseurs mutuels mais l'ensemble est emporté par un film qui n'a pas de charme et est une vraie désolation pour un film de cinéma, c'est à oublier, ou peut-être à voir à la télé par curiosité un jour de pluie devant un bon goûter (sans les enfants, je précise).
    Sylvain M.
    Sylvain M.

    12 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mai 2019
    Décevant. Les émotions manquent de subtilité, sont trop brutales. En particulier chez Adèle Exarchopoulos, dont le jeu manque de finesse. La réalisation montre des choix étranges, le scénario est parfois sibyllin. Dommage !
    Ufuk K
    Ufuk K

    527 abonnés 1 491 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mai 2019
    " Sybil " en compétition au dernier festival de cannes est un thriller dramatique qui m'a laissé de glace. En effet en dépit d'un casting 5 étoiles et un scénario très maîtrise , l'histoire se regarde sans déplaisir mais ne parvient jamais à décoller réellement ne comprenant pas le message que le réalisatrice a voulu faire passer.
    martin14
    martin14

    7 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mai 2019
    Bienvenue dans le monde de l'absurde. Un film creux, un ratage de première !! Les personnages sont incroyablement faux avec une Adèle qui peurniche du début à presque la fin, une Virginie totalement dans son rôle de psy névrosée alcoolique obsédée qui vous sert une séance de sexe tous les quarts d'heures et dont on se demande de ce que ça vient faire là. Ajoutez à cela la réalisatrice complètement hystérique .OU SONT LES BONS FILMS EN CE MOMENT DANS LES SALLES !!!! Au secours
    velocio
    velocio

    1 326 abonnés 3 169 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mai 2019
    Il y a 6 ans, le premier long métrage de Justin Triet, "La bataille de Solférino", était présenté dans la sélection ACID. Une réalisatrice très prometteuse, un film plein d’énergie et de fraîcheur, à la fois délirant et très maîtrisé, un film amalgamant intelligemment petite histoire et grande histoire. 3 ans plus tard, Son deuxième long métrage, "Victoria", était promu film d'ouverture de la Semaine de la Critique : plus de moyens, moins de fraîcheur, moins de spontanéité, déjà une certaine déception. Avec "Sibyl", cette fois ci dans la compétition officielle, toujours plus de moyens et là, la déception est immense : ce film sur la manipulation à plusieurs niveaux n'arrive pas à décoller et apparait totalement artificiel, tant dans les rapports humains qu'il met en scène que dans les professions qu'il cherche à dépeindre : psychanalyse, édition, cinéma. On sent que ça voudrait être drôle, ce n'est que pathétique. Les meilleurs moments : la chanson "Blue Veins" interprétée par The Raconteurs et "Sharadoba" par Roy Orbison. C'est maigre !
    Maryline L.
    Maryline L.

    5 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 janvier 2022
    Si je devais définir ce film comme un langage, je dirais que c'est du " charabia ". La réalisatrice semble avoir utilisé un bric à brac de situations sans lien entre elles et, peu crédibles, afin de permettre à certains de ses acteurs de nous livrer leurs performances. Virginie E sait faire autre chose que des comédies, elle sait se mettre à poil ( au sens plein du terme ), elle sait avoir un air profond ou triste. Adèle E sait jouer la paumée, elle sait pleurer et se mettre très en colère! Gaspar U peut chanter comme un crooner italien! Des personnages fantômes, tel le mari ou les enfants de l'héroïne, se trouvent là par hasard, comme des éléments extérieurs à l' " histoire ". La deuxième partie du film bascule dans un grand n'importe quoi où l'héroïne, ėcrivaine- psychanalyste ou psychanalyste- écrivaine, à partir d'une relation, dont on ne parvient pas à savoir ce qu'elle est, se transforme en doublure dans un film, puis de metteur en scène! Et là, on touche, vraiment, au grotesque! Outre l'ennui qui nous habite durant la projection, on se demande à quoi se référe la critique, lorsqu'elle parle de profondeur, d'intelligence et d'inconscient!
    lancelo25
    lancelo25

    34 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mai 2019
    Film après film, Justine Triet affine son talent de mélange de plusieurs histoires (publique/privée/intime), personnages, humeurs (douceur/hystérie), niveaux de regards (film, film dans le film, réalité dans le film, fantasme de la réalité dans le film), cependant, elle ne maitrise toujours pas cet art car elle veut trop en faire, trop en dire, trop ajouter de niveaux de compréhension que le film en devient indigeste. En effet, avec un montage très (trop) découpé et des effets de miroir dignes d’un palais des glaces, le film perd sa colonne vertébrale, sa ligne directrice, sa crédibilité et donc l’intérêt du spectateur. Les deux actrices principales sont irréprochables (bien qu’Adèle Exarchopoulos ait quelques tics de retenue de respiration pour accentuer ses scènes de détresse), le sex-appeal des acteurs incontestable (Hamy, Schneider), les paysages de Stomboli à couper le souffle mais cela ne suffit pas à faire un grand film. Si la réalisatrice arrive un jour à dompter son chaos intérieur, je la crois capable d’accoucher d’un chef-d’œuvre, mais malheureusement on en est encore un peu loin. On sent néanmoins sa volonté de créer une intimité presque vénéneuse avec son actrice fétiche puisque la réalisatrice (incarnée par Sandra Hüller dans son film), donne à Virginie Efira le rôle de chef d’orchestre (du film dans le film) en remplacement de Sandra Hüller, qu’elle fait jouer à Virginie Efira et son compagnon (dans la vraie vie) des scènes de sexe et une scène de rupture (une manipulation visiblement consentie).
    Les 4 femmes du film sont des manipulatrices conscientes ou inconscientes : la psychanalyste (Virginie Efira) franchie toutes les règles de déontologie avec sa patiente, la patiente (Adèle Exarchopoulos) veut faire porter à sa psychanalyste la responsabilité de ses choix, la sœur de la psychanalyste (Laure Calamy) manipule les enfants de sa sœur (Virginie Efira) pour la culpabiliser et lui faire croire qu’elle est une mauvaise mère, la réalisatrice (Sandra Hüller) manipule ses acteurs.
    Le tissage tentaculaire de cette toile scénaristique montre toute la complexité de la réalisatrice à montrer des hommes beaux et insipides qui ne sont que des faire-valoir des intrigues qui se jouent entre les femmes.
    Léna H
    Léna H

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2019
    Le film est complexe, avec plusieurs sujets entrelacés et offrant différentes lectures. Manipulations, instabilité psychique, dépendance à l’autre, transgression du psy avec ses patients, fragilité permanente de l’alcoolique, mais aussi comment vient l’inspiration artistique et tout ce qu’on est prêt à faire pour porter, sauver, terminer son oeuvre au détriment de soi-même (ici un livre mais aussi un film)... J’ai personnellement eu un peu de mal à rentrer dedans, mais une fois que j’ai accroché aux trois histoires (le passé, le présent de Sybil et la vie de Margot) j’ai été portée par le récit de cette création et de cette vie qui semblent sans cesse suspendues à un fil. Virginie Efira, Adèle Exarchopoulos, Niels Schneider, Laure Calamy sont parfaits !
    Albus D
    Albus D

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mai 2019
    Un film raté.
    Pas abominable, probablement pas pétri de mauvaises intentions, simplement raté.
    [Spoiler]
    L'histoire de la psy qui s'entiche de sa patiente, colonne vertébrale du film, est trop faible pour soutenir l'ensemble : on ne croit pas à l'intérêt dévorant de Sibyl pour la banale Margot. On tente d'introduire, pour étayer cette trame, de nouveaux éléments (Margot manipulerait Sibyl, Igor manipule Sibyl, etc.) qui sont abandonnés en cours de route.
    Et sur cette base trop maigre, on empile ensuite jusqu'à l'écoeurement les arcs secondaires : l'histoire d'amour passée de Sibyl, sa fille, son alcoolisme, sa sœur, la mort de sa mère, etc.
    Et là intervient le principal défaut du film. Par prétention cannoise sans doute, la réalisatrice a proposé un montage bancal, qui alterne très maladroitement entre le passé de Sibyl et l'histoire de Margot. Quelle lourdeur ! Les deux scènes mises en parallèle n'ont soit aucun rapport, soit ce rapport est tellement évident qu'on n'avait pas besoin de le souligner (Sibyl/Igor, Sibyl/Gabriel).
    D'ailleurs, grossière erreur de montage avec la scène où on passe d'un plan Skype (fixe donc) à une caméra mobile... Et non ce n'est pas une "intention de réalisation". C'est soit une simple bourde, soit un parti pris esthétique complètement gratuit et mal rendu.
    Dans la suite de l'histoire, Sibyl se retrouve à jouer un rôle extravagant sur le tournage, pendant que Margot fait ce qu'Adèle Exarchopoulos sait faire de mieux : produire des fluides par les orifices de son visage.
    Et après le retour à Paris et la projection du film dans le film, l'histoire n'a plus de sens, et le métrage se poursuit gratuitement dans le vague (buffet, alcool, taxi, sortie du livre, fête foraine, réconciliation, sobriété, etc.) sans savoir où s'arrêter et s'arrêtant d'ailleurs au hasard. J'ai vu le film il n'y a pas 12h et je ne me souviens plus sur quelle scène random il se termine.
    Virginie Efira s'en sort correctement, nonobstant des scènes de cul totalement gratuites, Adèle Exarchopoulos pleure, Gaspard Ulliel est sans charme, d'autant qu'on ne comprend pas son personnage. Les paysages ne sont pas foufous, malgré un volcan en éruption et la mer.
    Je ne comprends pas qu'on ait pu accorder à ce film des prétentions cannoises...
    poet75
    poet75

    278 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2019
    Quel talent ! Sans minimiser ni la réalisation ni les divers autres rôles de ce film, on ne peut que faire l’éloge, pour commencer, de la prestation de Virginie Efira dans le rôle-titre. Elle incarne un personnage superbement complexe avec un savoir-faire et une aisance qui tiennent du prodige. On a envie de dire qu’elle le compose comme si avait été écrit pour elle une partition musicale et qu’elle devait jouer, tour à tour, plusieurs instruments sans jamais briser l’harmonie ni interrompre l’élan.
    Bien sûr, la réalisatrice, Justine Triet, dont j’avais déjà grandement apprécié les deux précédents films, est pour beaucoup dans une telle réussite. Elle a imaginé et mis en scène une histoire assez alambiquée tout en parvenant à la rendre fluide et évidente à l’écran. Grâce à un découpage judicieux et à des dialogues parfaitement écrits qui lui donnent un dynamisme très approprié, le film captive du début à la fin.
    Pour le dire succinctement, Sibyl (jouée donc par Virginie Efira) est une psychanalyste, mère de deux enfants, qui se targue d’écrire un roman et qui, pour ce faire, propose à la plupart de ses patients de poursuivre leur thérapie avec quelqu’un d’autre. Elle pense ainsi pouvoir se consacrer à la rédaction d’une fiction, « ivresse sans danger », explique-t-elle, elle qui est parvenue à se défaire d’une dépendance à l’alcool grâce au soutien des Alcooliques Anonymes.
    Or, la vérité, c’est que c’est sa vie elle-même qui se teinte des couleurs d’un roman. Vérité et mensonge s’entremêlent précisément dans une histoire où chaque personnage se révèle comme étant à la fois manipulateur et manipulé. Le comble du romanesque survient lorsqu’une jeune actrice prénommée Margot (Adèle Exarchopoulos) oblige quasiment Sibyl à lui venir en aide. Enceinte d’Igor (Gaspard Ulliel), un des acteurs du film qu’elle est en train de tourner, acteur qui est aussi le compagnon de Mika (Sandra Hüller), la réalisatrice, Margot ne connaît personne d’autre qui soit en mesure de l’aider à prendre de bonnes décisions.
    Voilà donc la psychanalyste en mal de fiction romanesque embarquée dans une aventure à laquelle elle ne s’attendait pas. « Embarquée » est d’autant plus le mot qui convient que le tournage du film se déroule du côté de Stromboli. Quant au roman que Sibyl se flattait d’écrire, le voilà en quelque sorte qui s’inscrit sous ses yeux, dans la réalité. Elle n’a pas besoin de chercher ailleurs : le « mentir-vrai » dont parlait Aragon se déploie devant elle et en elle. Nous sommes les personnages de nos propres romans, nous est-il dit, occupés à nous accommoder pour le mieux de nos existences labyrinthiques. On saura gré à Justine Triet d’avoir préservé, tout en déroulant un récit attrayant, la multiplicité des facettes des personnages qu’elle a imaginés, avec une mention particulière à celui qui est joué par Virginie Efira. Amoureuse, psychanalyste, mère de famille, écrivain, alcoolique repentie : elle parvient à composer avec tous ces aspects sans jamais se départir ni de son énergie ni de son naturel ! Quel talent, oui vraiment !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 mai 2019
    Une film absolument atroce tant à regarder qu’a ecouter. Un scénario presque inexistant qui ne présente pas le moindre intérêt pour le divertissement, l’analyse ou la réflexion. Des acteurs qui jouent des rôles indéfinis et qui proposent des interprétations ne faisant aucunement avancer une histoire décousue et peu convaincante. Des jeux scéniques peu judicieux et des musiques ne motivant les scènes du film. Des moments de sexe brut qui crée la gêne chez le spectateur. Virginie Efira dans un rôle décevant. Un film ou la parole n’existe pas puisque les différents personnages se contentent de gémir des sons désagréables et de surjouer des comportem’ts dénués de sens , n’apportant rien au déroulé du film. Lequel est infondé. Mis à part la possibilité de découvrir avec enthousiasme les magnifiques paysages de l’ile de Stromboli. Ce film ne correspond qu’a 1 h 40 de contre sens et de malaise injustifié.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 mai 2019
    Le film est court 100 mn. Et c’est déjà très long... pas vraiment d’histoire. Son ex lui revient en tête si on peut dire...
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