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    Junk Head
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    Gregory Lahmy
    Gregory Lahmy

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 août 2024
    Longtemps que je n’avais pas vu quelque chose d’aussi original et emballant à la fois. Je me suis régalé !
    À voir absolument. Ça ne ressemble à rien d’autre.
    En plus la BO est top !
    Artriste
    Artriste

    123 abonnés 2 024 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2024
    Film d'animation japonais, produit, écrit et réalisé par Takahide Hori, qui occupe littéralement tous les postes pour son premier long-métrage, Junk Head est un projet des plus déroutant et atypique. L'histoire se déroule dans un monde futuriste lointain où les humains ont atteint une importante longévité mais perdu leur fertilité, et nous fait suivre un explorateur cyborg qui pénètre dans le monde souterrain où vivent des espèces créées artificiellement, dans le dessein de découvrir les secrets de leur reproduction. Ce scénario original nous plonge dès ses premières secondes dans un univers très particulier qui va s'intensifier tout du long de sa durée d'un peu plus d'une heure et demie. L'intrigue n'est pas forcément celle attendue en lisant le synopsis mais elle s'avère intéressante à visionner. Elle nous plonge dans les entrailles de la terre où règne un monde sans pitié peuplé de prédateurs sanguinaires sans états d'âme. La vision dystopique du futur fait froid dans le dos. C'est dans ces conditions extrêmement dangereuses qu'évolue notre petit héro qui va avoir bien du mal à remplir sa mission au gré de rencontres toutes plus loufoques les unes que les autres. Car malgré un univers cauchemardesque, le ton comporte énormément d'humour qui fonctionne à merveille. Dommage tout de même que le métrage ne traite pas son sujet en profondeur et à plus grande échelle. L'ensemble est porté par des personnages tous plus singuliers les uns que les autres. Ces derniers sont tous appréciables et entretiennent des rapports entre entraide, malveillance et méchanceté, qui procurent énormément d'amusement. Leurs échanges sont très drôles, notamment à la faveur de dialogues particulièrement inspirés. Des répliques exprimées dans une langue incompréhensible inventée pour l'occasion. Mais là où l'œuvre se démarque véritablement de toutes les autres, c'est dans sa forme. En effet, la technique d'animation en volume, couplée à une direction artistique très spéciale, lui confère un cachet esthétique unique. L'aspect organique des personnages et des créatures offre un rendu plus qu'étrange. Leurs corps et leurs têtes sont toutes plus spéciales les unes que les autres. Les environnements sont eux hélas beaucoup plus sommaires et ont un fort aspect redondant. Ce visuel sans précédent, aux couleurs assez ternes afin de coller avec son propos, est accompagné par un b.o. aux compositions electro, voir carrément techno, se mariant très bien avec la réalisation dynamique et décomplexée multipliant les angles de caméra sans être toujours pertinente dans sa mise en scène. Reste une fin au goût d'inachevé venant mettre un terme à Junk Head, qui, en conclusion, est un film méritant grandement d'être découvert pour honorer tout ce travail colossal imposant le respect, fruit d'un seul créateur autodidacte talentueux.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 441 abonnés 4 465 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 avril 2024
    Fan d’animation image par image j’ai logiquement jeté un œil à Junk Head, d’autant que l’univers dystopique futuriste me plaisait bien à priori. Eh bien, mon verdict c’est que c’est très bien. Côté bémol, je dirais un rythme un peu inégal, avec le sentiment quand même, à un moment, que le héros parcourt beaucoup de couloir et fait un peu du surplace. De même, la fin n’est pas tout à fait à la hauteur de l’ambition de départ. Ce sont de petites approximations, qui viennent probablement du fait que le réalisateur a tout fait sur son projet et que c’est son premier long métrage d’animation. Forcément, pas facile d’être parfait dans tout. Mais le résultat est impressionnant. Visuellement, l’ambiance est dantesque. L’univers minéral proposé est inquiétant, angoissant, fascinant, triste et en même temps il invite à la découverte. Le travail sur les décors est remarquable, et les créatures sont également excellentes. Certaines rappelleront Aliens, Resident Evil, tout en ayant leur propre personnalité. L’animation est très propre, d’une fluidité de chaque instant et elle est portée aussi par une caméra et des idées de mise en scène ultra-dynamiques qui ne laisseront pas indifférents les fans de Sam Raimi notamment ! On sent également la patte japonaise dans la manière de filmer les combats avec des ralentis, des arrêts sur image, des mouvements de caméra très mangas par moment. Le tout est mâtinée d’un gore intelligemment employé, mais cela doit inviter à éloigner les jeunes spectateurs.
    Le film est sérieux, sombre, d’une poésie noire envoutant, mais n’oublie pas également d’être drôle par moment. Malgré ses petites baisses de rythme, lesquelles apparaissent surtout dans le segment central du film, avec la nécessité de remettre en place un univers après avoir quitté le précédent, le scénario est riche, intelligent, passionnant souvent, et est emmené par une galerie de personnages hauts en couleur et richement travaillé. De petits flash backs fort malins sont glissés tout au long du film pour les épaissir comme il se doit, en particulier le héros, très attrayant. A noter également une bande son particulière. Elle arrive souvent brutalement, et toujours très rock et punchie, elle vient donner un coup de fouet aux séquences d’action lorsque le reste du film est généralement très silencieux.
    Franchement, je crois que depuis Taxandria je n’ai pas été aussi convaincu par l’originalité d’un film d’animation. Même si le film aurait mérité une écriture meilleure, notamment pour déboucher sur une fin plus convaincante, il n’en reste pas moins une prouesse à découvrir impérativement. 4.5
    TUTUR29
    TUTUR29

    35 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mars 2024
    Petite déception que ce Junk Head ! J’ai beaucoup accroché au début mais au final, je le suis vite lassé de cet univers très répétitif visuellement et bourré de péripéties qui s’enchaînent sans nous laisser respirer et sans apporter de réflexion malgré un pitch de base qui pourrait ressembler à de l’excellente science fiction. Dommage car la mise en scène est excellente et il y a un certain humour absurde que j’aime beaucoup. Je ne dirais pas que c’est mauvais, mais ça ne m’a pas emballé non plus.
    Xavier VIRELY
    Xavier VIRELY

    5 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 février 2024
    On sent une vision et la passion derrière cette oeuvre qui a dû demander énormément de travail.

    Je n'ai néanmoins pas adhéré aux choix esthétiques, ni au choix des langues, telles des borborygmes assez sommaires, ni encore aux enjeux.

    Pas vraiment sensible à l'humour pince-sans-rire d'un côté ou au côté faussement mignon des bruitages, je pense malgré cela qu'il pourra plaire à certains.

    Un film à tester !
    Triskeriaki
    Triskeriaki

    5 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2023
    Junk Head est un véritable bijou de Stop-motion. Après avoir vu les Wallace & Gromit, je suis heureux de voir que la science-fiction s'insère dans cette discipline exigeante.

    Junk Head est une histoire sombre et dystopique, suivant un cyborg qui enquête sur la génétique des créatures d'un monde souterrain. C'est triste, gore, malsain, dérangeant, des registres assez inattendus pour un film d'animation (mais il n'est pas le seul et Lee Hardcastle fait aussi des court-métrages glauques).

    Les langues fictives, parfois proches du japonais, sont pénibles à entendre pendant 1h40, basées sur des susurrements et des raclements de gorge. Le film a donc le parti pris de montrer des sous-titres obligatoires, mais je suis étonné de voir une vulgaire police de caractères compromettre l'esthétique de 7 années de travail par une équipe extrêmement réduite (globalement il était seul pour tout, avec quelques amis pour les voix).

    Malgré tout l'histoire est touchante et se focalise sur l'identité du héros cyborg qui n'arrête pas de changer de corps et d'être rafistolé au fil de sa dégringolade dans ce souterrain infini. Il trouve quelques amis en cours de route, mais ça reste un monde dangereux, cruel, d'une grande pauvreté, où ceux qui ne se font pas manger se font exploiter pendant des siècles (car la longévité a augmenté).

    Les références cinématographiques sont nombreuses, en particulier Cronenberg qui a du beaucoup l'inspirer. Les dizaines de ponts qui relient deux grandes falaises rappelle aussi la BD les démons d'Alexia. L'esthétique est surprenante de richesse pour un film créé dans un si petit atelier. L'architecture brutaliste et gigantesque fait écho à ce monde impitoyable.

    C'est brillant d'originalité et d'effort, mais ce n'est pas pour tout le monde, ne serait-ce que pour les voix à supporter, mais aussi l'atmosphère dérangeante.
    Dark0Whale
    Dark0Whale

    11 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 juillet 2023
    Ne connaissant pas le monde du stop motion, ce film est une expérience cinématographique vraiment à part, je ne pense pas avoir vu quelques choses s'y rapprochant.

    L'univers est glauque à souhait, avec une profondeur que l'on souhaiterait explorer/découvrir encore plus.
    Cependant, le scénario sans réel profondeur, et étant un peu long au début nuit à la qualité du film. Il faut attendre la fin du premier tiers du film pour vraiment entrer de ce dernier.

    La technique est le point important du film. Le Stop motion possède son rythme, et son imagerie particulière au regard de la production à effet spéciaux actuel. Je trouve les décors, les personnages, et l'imagerie, la réalisation et la mise en scène du film vraiment intéressant et éloigné des carcans actuels. Cependant, étant une production japonaise, ce que j'apprécie pas forcément habituellement, il est possible que cette imagerie soit typique de ce type de production.

    Pour finir, la production de ce film réalisé par 2/3 personnes durant 7 ans inspire le respect

    Pour son univers, et pour sa technique, c'est une expérience à découvrir tout en sachant qu'il est important d'être dans le bon état d'esprit pour le regarder.
    Ce film va me marqué durant un bon bout de temps, et j'espère qu'un deuxième film verra le jour.
    moket
    moket

    541 abonnés 4 349 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 avril 2023
    Le travail est indéniable, l'esthétique originale et réussie, mais le film est ennuyeux, la faute à un scénario qui manque de clarté et à des dialogues réduits à des borborygmes insupportables.
    Justepourlefun
    Justepourlefun

    25 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 avril 2023
    En route pour l'aventure, dans les sous-sols de la planète Terre, dans lesquels évoluent de mystérieuses créatures mutantes anciennement humaines...

    Après un premier court-métrage sur le même sujet, Takahide Hori, autodidacte, s'est attelé à ce colossal projet en stop-motion (animation image par image) : 7 ans et des milliers de prises de vue après, Junk Head est né (2021). On y retrouve ce mélange très particulier d'émotion, de perversion, d'humour et de militantisme japonais, toujours très contenu et parfois même perturbant. Les enfants ne sont absolument pas la cible visée : Junk Head peut se révéler très adulte dans son déroulement, avec quelques scènes Gore ou symboliquement sexuelles... Les amateurs de culture japonaise seront comblés ! L'univers proposé est assez déroutant. De ce point de vue, c'est une réussite fabuleuse.

    Maintenant, il y a deux points (assez conséquents) qui, personnellement, me chiffonnent : le stop motion... Oui, c'est un type d'animation particulier (souvenez-vous Shaun le mouton) avec lequel j'ai un peu de mal. Ensuite, le scénario est un peu décousu et linéaire, les objectifs du début ne sont pas suivis, la plupart des personnages manquent de consistance, la morale de fin est assez légère et on se pose encore tout un tas de questions en quittant ce film... Dommage ! Cela dit, Junk Head reste original et envoie quelque chose de très adulte pour un format qui s'adresse bien souvent aux enfants 😉 !
    Roub E.
    Roub E.

    985 abonnés 5 023 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 février 2023
    Je n’aurais pas grand chose à en dire, le projet est fou, l’envie de faire et de créer déborde de partout à l’écran. L’envie de donner forme à un monde crée de toute pièce (et très référencé dans le même temps) est le pourquoi il faut voir ce film. Mais malheureusement la narration le plombe totalement. Car oui malgré des images qui m’ont interpellé je me suis franchement ennuyé. Junk Head est un geste fou de cinéma mais un geste trop désordonné.
    Fabien S.
    Fabien S.

    562 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 janvier 2023
    Un très bon film d'animation japonais de science-fiction en stop motion très futuriste avec un robot .
    Vinz1
    Vinz1

    186 abonnés 2 449 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juin 2023
    « Junk head » est un film d’animation réalisé en stop motion en intégralité qui est également original pour son script se déroulant dans un futur lointain et narrant les mésaventures d'un humanoïde high-tech chargé d'aller chercher le secret de la reproduction dans les entrailles de la Terre peuplée de créatures horribles. Si ce métrage fait preuve d’originalité quant à son bestiaire, que certaines situations sont farfelues à souhait et que les émotions des personnages sont assez bien retranscrites, le côté répétitif de l’ensemble (le robot passe son temps à se promener dans des tunnels souterrains où il rencontre plein de créatures étranges) prend vraiment le pas sur tout le reste et laisse place à un certain ennui. Tout comme on sera déçu par une fin un peu terne. On aurait peut-être alors souhaité avoir un court-métrage au lieu d’un long pour savourer cette œuvre tout de même bien singulière !
    Robinsnake37
    Robinsnake37

    2 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2022
    Après 7 ans de travail de 2010 à 2017 récompensés par un succès au box-office japonais, puis enfin sa sortie en France en 2022 dans tous les cinémas indépendants, « Junk Head » de Takahide Hori a le plaisir de se trouver dans ma vidéothèque en Blu-Ray (je n’avais pas eu l’occasion de le voir au cinéma) pour 1h40 de pure folie !

    « Junk Head » nous conte l’histoire d’une humanité quasi-immortelle qui n’arrive plus à se reproduire, un homme appelé Parton est donc envoyé dans les sous-sols de la Terre pour trouver de l’aide auprès de mutants créés par les hommes, il ne s’attend pas à découvrir le monde souterrain bien plus dangereux qu’il n’y parait…

    Autant le dire tout de suite, « Junk Head » est un bijou sacré d’animation stop-motion qui vous ravira par ses mouvements fluides, ses idées créatives et ses visuels époustouflants.
    Côté scénario, j’ai trouvé qu’il partait un peu dans tous les sens à la moitié du film mais pour heureusement revenir à son objectif de départ sans trop de soucis.
    Les personnages sont tous plus originaux les uns que les autres et certains sont mêmes drôlement attachants. Le design des monstres est vraiment bien réfléchi et nous fait penser tour à tour à « Alien », « Les Gardiens de la Galaxie », ou encore « Dune » pour les vers géants.

    De plus, il faut souligner que Takahide Hori a quasiment tout fait entièrement seul : les personnages, les décors, la réalisation, le doublage, la musique, le montage.
    Après, je dois reconnaitre que sur 1h40 il y a peut-être 10 ou 15 minutes de trop, en effet au bout d’un moment ça ralentit, ça prend bien son temps, ce n’est pas que c’est ennuyant, mais on aimerait que ça aille plus vite, qu’il y ait plus d’action.

    Il y aussi la fin qui vient comme un cheveu sur la soupe et n’apporte pas de finalité à la quête de Parton, mais après quelques recherches, j’ai appris que « Junk Head » est le premier volet d’une trilogie, l’aventure de Parton et de ses amis n’est donc pas terminée !

    Finalement, je comprends les raisons de son échec en France : c’est trop spécial. Les japonais sont habitués et adorent ce genre d’univers psychédélique, futuriste et un peu horrifique à la fois. Mais c’est dommage de ne pas lui laisser sa chance car il le mérite amplement.

    Au final « Junk Head » est un film qui vaut le coup d’œil, ne serait-ce que pour les visuels qui vous marqueront la rétine.
    jules sabas
    jules sabas

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 août 2022
    Une claque !
    Un film très spécial (en stop potion et surtout, pas de paroles mais seulement des bruitages) mais quel travail de Takahide Hori ! Il a tout fait : la réalisation, le scénario, le son, le montage, la photo, ....
    Un film qui fait réfléchir, qui amuse, qui émeut...
    Franchement, si l'occasion se présente, foncez le voir !
    Un très beau film, vraiment !
    Tiphaine R
    Tiphaine R

    11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juillet 2022
    A l'origine, Junk Head est un moyen métrage de 30 minutes dans un univers post-apocalyptique, réalisé seul par le passionné de stop-motion Takahide Hori, un décorateur d’intérieur japonais. Il a tant fait parler de lui en récoltant de nombreux prix internationaux dont celui du meilleur film d'animation au festival de Clermont-Ferrand que le film est devenu un long métrage. Dans un environnement toujours aussi halluciné avec un nouveau montage, la version longue a notamment reçu le prix Satoshi Kon du festival FanTasia de Montréal.

    Dans un futur indéterminé, les humains sont devenus quasi-immortels et exploitent des clones pour exécuter les tâches les plus ingrates dans un monde souterrain. Mais les manipulations génétiques d'où est issue leur immortalité ont condamné les humains à l'infertilité et à leur déclin inévitable. Envoyé en mission pour percer les secrets de la reproduction, un humanoïde s'enfonce dans la ville souterraine. Junk head semble débuter là où Les crimes du futur de Cronenberg se termine.

    Amateurs d'objets filmiques singuliers et déroutants, vous ne devriez pas être déçus. Petite pépite cyberpunk, Junk Head est composé de 140 000 plans patiemment tournés pendant 7 ans par Takahide Hori. On vous conseille d'ailleurs de rester jusqu'au générique de fin qui montre un making of accéléré du film.

    Dans le monde souterrain, décor glauque peuplé de créatures prédatrices, Parton devra se faire des alliés pour aller au bout de sa mission. Son périple labyrinthique sera le prétexte aux rencontres toutes plus délirantes les unes que les autres. Au beau milieu d'une faune socialement très hiérarchisée où chaque groupe en domine brutalement un autre, Parton l’humanoïde est un personnage qui incarne une profonde empathie en contraste majeur avec une post-humanité dominatrice et dominée par son ego.

    Cerise sur le sundae, le film est d'ores et déjà annoncé comme le premier volet d'une trilogie qui sera sans nul doute très attendue par les amateurs de science-fiction déjantée.

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