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    La mauvaise réputation
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    4,0
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    SB88
    SB88

    23 abonnés 1 155 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juillet 2023
    Les acteurs sont justes, on accroche de suite à l'histoire et on se dit, vivement que ce monde d'hommes vienne à la raison car les femmes paient cher leurs bêtises ! La jeune actrice est très bien filmée et crédible.
    3,7/5
    maxime ...
    maxime ...

    237 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2023
    La Mauvaise Réputation ( Hva vil folk si ) nous dicte d'entré de jeu la note pour ne plus jamais la perdre. De cette toute première scène, l'on retiens deux regards, l'un intérieur, celui d'un homme mature, dans le contrôle et un autre plus jeune, d'une adolescente qui cours dans la rue qui retrouve le milieu du premier, qui dicte, exige, car on le devine avec aisance, il et elle partage une seule et même vie de famille. Les circonstances de ce contrôle sont explicites, sans paroles, dans le mouvement au rupteur de sa réalisation, dans une définitive prise de position d'une réalisatrice qui choisit la brutalité, le combat, avec une pointe de nuance toutefois, à minima, mais parfaitement juste !

    La musique, stressante au possible, confère à ses 95 minutes des allures de Thriller, s'en illustre ses canevas, qui une fois de plus nous ordonne la marche à suivre par la mesure de l'identification à cette jeune fille qui découvre la hauteur de la colère de ses ainés ...

    Pourtant, dans l'idée la convenance n'est pas le seuil absolu dans la trajectoire de ce quatuor, qui veulent au contraire au vu du parcours commun semblé à la fois s'en faire modèle mais aussi s'en extraire par le biais d'une ascension, révélatrice sur plusieurs séquences d'une manigance au règle de la chaise musicale qui détricote les aspirations émancipatoires partagés mais qui plutôt que de souder, divise.

    Iram Haq, dans la conduite de sa mise en scène fluctue vers une rythmique incisive, qui ne manque pas le train, saute de wagon en wagon dans un geste de narration par l'abrupt. La bascule qui décante vers la violence de ce père de famille, au sein du foyer, sur le petit copain de sa fille, puis sur cette dernière passe de la blague enfantine au carnage du couperet ou la furie est une prise sur le courant immédiat de cet évènement. Culpabilité, menaces et autres cris sont contenu par une tentative, en premier lieu de contrat, d'un deal, vite entériné par une vérité d'adolescente qui se cherche, qui de par une confiance aveugle se livre en pâture à une autre forme de captivité ...

    Le conseil des hommes du quartier, à ce patriarche en détresse émotionnelle qui frise la rage face à sa petite est une autre prise de vue sur l'impact qu'a le " qu'en-dira-t-on " qui s'infiltre dans le titre. Le " cercle vicieux " endigué par la répression est un manifeste de cette autorité qui panique et se livre au pire sous couvert de la morale, du principe, d'une légitimité et cadenasse la situation dans un enchevêtrement surréaliste et disproportionné. La scène de la voiture, ou prise au piège par sa mère, elle se niche dans les bras de son père et de son frère dans la combine qui la laisse dans l'interrogation la plus basique, tandis qu'eux, dans une incompréhensible teneur expectative se plonge dans un décors qu'ils admirent, commentent, dans l'indifférence de la peur du vilain petit canard de la bande fait froid dans le dos ...

    Tout le film fait d'ailleurs cohabité divers sentiment contradictoire, ou pas ... Fierté et honte sont des exemples à part entière ! La promesse faite, une nouvelle fois, dans l'habitacle de l'automobile qui la conduit vers Islamabad, ou ce père condamne à la folie et la solitude son second enfant avant d'autres paroles encore plus vindicatif est un pic en la matière. La main qui se serre sur cette dernière, dans cet aéroport est une autre entrave sur le corps au sens large de la métaphore constante de ce long-métrage. Etre femme, au sein d'une famille immigré, est un double choc générationnelle et culturelle qui coïncide avec une quête d'identité dont la suite n'a qu'encore plus d'accent.

    Le dépaysement dans ce pays qu'elle ne connais pas va de là venir encore mettre du grain à moudre dans cette machine qui s'emballera encore et encore ! Les habitudes qu'elle découvre, l'angoisse de son isolement interne et la proximité nouvelle de cette famille qu'elle apprend à connaitre, non sans jugement, raconte cette dérive de connexion entre deux mondes si proches et si lointain. La séparation avec celui qui la malmène est un paroxysme entre une analyse à froid et un sang chaud qui palpitent. Le regard, qui se croise, de ce père à a fille, et de sa fille à son père donne une scène ou l'impossibilité à communiqué, à se comprendre, les éloignent mais les rapprochent aussi dans cette fuite qui s'inverse ... La perception se brouille de par ses sentiments qui se heurtent à la réflexion et à la sensation. Bruit et silence se toisent, s'affrontent dans une enceinte qui ne laisse personne prendre le pas l'un sur l'autre au final. Un match qui sera rejoué, plus tard ...

    La fatigue du voyage, le choc de qu'elle vit, la conduit loin d'un sommeil que l'on imagine. Elle tente, d'entrée de jeu un vers un retour à ses origines, annihilées par une peur encore plus menaçante à cette heure de la nuit, dans une ville qu'elle ignore encore, avant le pire à venir ...

    Le travail et la réprimande font le sape sur sa condition initiale. Dans le temps, elle cherche à s'intégrer. Sur les toits, elle découvre le cerf-volant, dort avec un sourire, découvre l'amour. Elle se distingue dans la rigueur de la prière, de sa tache quotidienne dans la demeure qui l'accueil, selon les demandes de ces gens l'ayans poussé à bruler ses papiers, menacés à l'instar de ses parents qu'ils remplacent à la perfection. Elle se plie à l'ordre, pourtant c'est ce dernier qui la brime à nouveau !

    Avant çà, il y'a des sourires. Cette promenade en scooter avec cousin et cousine ravive un bien-être l'ayans fuit depuis un moment déjà. L'amour qu'elle partage avec son cousin, du réconfort et de la passion qui nait de leur relation tire vers un avenir plus doux, de prime abord, qui n'en ne sera rien en fin de compte. Par la force, par le chantage, cette police ruine tout espoir, toute parenthèse de joie ...

    Le retour du rejet en communion de tout son entourage, de son amoureux par la même occas', l'a ramène vers une route ou la colère et la démence s'abat à nouveau sur son innocence bafouées par d'autres ! L'humiliation par le crachat, par la falaise comme exutoire de la rage, de la terreur qui s'impose ensuite conduit vers une pente ou la soumission est obligatoire. Le code de sa conduite dictée, des règles strict qui s'y accole n'a de cesse d'accroitre la décomposition de ce visage, de sa jeunesse qui s'étiole de par le drame qu'elle subit.

    Brutal, à charge, ce film raconte dans les yeux de cette jeune femme une connivence d'acte qu'elle se mange de plein fouet, sans retenue, par la force des choses. Iram Haq, qui selon quelques trucs ici et là que j'ai pu lire s'inspire de sa propre expérience et tente par le brulot d'en finir avec cet interdit ... J'en prend ce dernier regard de Nisha à sa petite sœur, de la consolation au préalable, et de son abandon qui semble dire à la fois tant de chose dans l'autre regard croisé ensuite ! Celui qu'elle quitte, sans mots, par l'entremise de sa cascade qui l'amène à fuir dans la neige, le froid, dans la nuit, celui qui au fond la comprend peut-être le mieux dans cette famille ... Ils partagent une peine, il en va de soi, dans cet ultime instant, aussi incroyable et horrible en même temps !

    La mauvaise réputation virevolte, se bagarre avec son sujet, entraine son spectateur dans cette course furieuse et va dans le vif, avec sa peur et son relief, là est à la fois sa plus grande qualité, et son plus grand défaut. On en retiens cependant ses forces, sa remarquable prouesse à continuer, a communiquer, à bousculer les choses ...
    DarioFulci
    DarioFulci

    102 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2020
    Le sujet n'est pas nouveau, le récent "Noces" a de grandes similitudes avec cette "Mauvaise réputation": un personnage principal fort, une famille sclérosée par la religion et la pression sociale. Il n'empêche, la peur et l'étouffement sont tellement prégnants, le réalisme est si saisissant que le film nous percute en plein dans nos a priori. L'actrice principale est formidable, son angoisse, son désir de liberté sont palpables tout au long du film. Alors oui, on connaît le refrain. Mais il est indispensable de ne pas l'oublier.
    Xavier d
    Xavier d

    10 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2020
    Excellente actrice. Très belle réalisation camera à l'epaule. Une photo souvent splendide. Un scénario dramatique qui pourrait être un documentaire sur les traditions et les contradictions pakistanaises. Une belle surprise.
    Y Leca
    Y Leca

    30 abonnés 986 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2020
    Terrible témoignage des traditions et de la condition de la femme dans des pays rétrogrades et intégristes, ici le Pakistan, et qui survivent même à l'émigration de leurs citoyens dans des pays occidentaux, ici la Norvège. Une illustration du problème du séparatisme culturel et religieux qui nous menace. Terrifiant.
    tonnegrande
    tonnegrande

    8 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 septembre 2020
    Film d'1H34, que j'ai vu Arte en septembre 2020. C'est avant tout 1 film en couleur, sous-titré, qui raconte spoiler: l'histoire d'une jeune pakistanaise qui vit en Norvège et qui, un soir, sera envoyé au Pakistan, parce que son père l'a surprise en compagnie d'un garçon, dans sa chambre à elle.
    Ce film ne raconte pas le côté religieux des situations ou des événements que vivent les personnages, mais montre simplement, le poids très lourd, sur 1 famille, de la réputation, des rumeurs, des offenses réelles ou imaginées. Le personnage principal, la jeune pakistanaise ne veut pas absolument pas vivre la vie et accepter les conditions de vie que veut lui imposer sa famille. Ce qui m'a étonné dans cette histoire, c'est que ce sont les femmes qui décident de tout dans les familles. Leurs hommes ne font que subir. Je donne 4 étoiles.
    Nico 66
    Nico 66

    2 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 avril 2020
    Positif : Mise en scène toujours tendue et angoissante, au service du propos : dénoncer le poids de traditions ancestrales chez certaines cultures, qui privent la liberté et l'émancipation des jeunes femmes (ici, une Pakistanaise).
    Sa famille la prive totalement de liberté pour préserver leur réputation auprès des autres de la communauté. Il en va de même pour les jeunes garçons, qui préfèrent suivre la volonté de leur père, plutôt que dire la vérité ou suivre leur propre volonté.
    La fille est finalement emprisonnée, sans aucun choix à faire : car si elle suit sa famille, elle se prive du plaisir de la vie et donc de sa liberté; et si elle dénonce sa famille, elle sait qu'elle les déshonore. De nombreuses jeunes filles choisissent donc la soumission plutot que le déshonore. Et c'est un tabou qui perdure, car "bien gardé" par de nombreuses familles traditionnalistes.

    Dénonce le manque total de confiance que peut avoir la famille auprès de leur fille. La famille préfère ne rien entendre, voire faire confiance à quelqu'un d'extérieur (la police, que la famille sait corrompue).

    Très bien joué.

    Negatif : La réalisatrice ne veut pas provoquer ces familles-là, mais d'une part leur faire ouvrir les yeux (ok), et d'autre part montrer aux jeunes qu'il y a de l'espoir, d'autres chemins que celui de la soumission. Et c'est là le problème, car dans le film, il n'y a que peu de révolte, qui perd à chaque fois en liberté à chaque révolte. Donc elle y perd, et le film n'offre pas de possibilités d'espoir aux jeunes filles.

    Parfois un peu mou.

    On a l'impression que la réalisatrice veut nous sensibiliser, en nous montrant d'un coup des scènes terribles. Mais il n'y a pas de cheminement : elle ne suggère pas, elle nous le montre directement, pour nous attrister un peu plus.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 950 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 octobre 2019
    Un récit autobiographique choc qui dénonce le poids des traditions dans une famille émigrée pakistanaise en Norvège. Un film poignant portée par l'interprétation formidable de Maria Mozhdah, malgré quelques incohérences scénaristiques.
    Laurent D
    Laurent D

    1 abonné 111 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 octobre 2019
    Un bouleversant cri d'alarme envers certaines communautés où les codes familiaux sont totalement en décalage avec nos sociétés occidentales actuelles. Le film est prenant de bout en bout, la composition des acteurs sans fausses notes. Un film à voir absolument et à faire connaître autour de soi.
    FaRem
    FaRem

    8 598 abonnés 9 502 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2019
    "La mauvaise réputation" ou la difficulté de vivre entre deux cultures... En tant que Norvégienne d'origine pakistanaise, Iram Haq nous raconte ce qu'elle connait et même ce qu'elle a vécu. Cinq ans après "I Am Yours", un film sur une mère célibataire dans lequel on retrouvait le thème de la famille avec des relations familiales difficiles, la réalisatrice est de retour avec un film qui est tout simplement inspiré de sa propre histoire. À 14 ans, ses parents l'ont envoyé de force au Pakistan pour sauver leur honneur et l’éloigner de cette vie à l'Occidental qui ne leur plaisait pas. C'est exactement ce qui va se passer pour Nisha lorsque son père la surprend dans sa chambre avec un garçon. À travers ce film, Iram Haq nous raconte son histoire, car Nisha, c'est elle. Comme souvent avec ce genre de film qui nous plonge dans une culture que l'on ne connait pas, le choc est grand et le résultat est édifiant. De la Norvège décomplexée à la curiosité mal placée du Pakistan, on suit le quotidien de cette adolescente ou plutôt sa descente aux enfers, car ce qu'elle vit, on ne peut le souhaiter à personne... Maria Mozhdah qui incarne Nisha est tout simplement bluffante pour son premier rôle. J'ai rarement vu un visage aussi fermé exprimer tant de sentiments différents. L'inexpérience du métier apporte parfois de très belles choses comme cette authenticité pas si facile à avoir et qui est présente ici. Le récit respire l'authenticité et quand on sait que c'est la réalisatrice qui raconte son histoire, on comprend pourquoi ça sent le vécu. Cette dernière ne juge pas, aucun parti-pris, elle montre seulement une sombre réalité toujours d'actualité. Le traitement du sujet est extrêmement juste et soulève des questions intéressantes. Si le titre français n'est pas si mal pour une fois, celui en anglais est bien plus fort et révélateur. "What Will People Say" à savoir "Que diront les gens". Au-delà de ce rapport étrange à l'honneur, on remarque que tout ce qui se passe arrive par rapport aux autres. Les parents font ça, car les gens vont penser telle chose. Ils font une autre chose pour que les gens arrêtent de parler, etc. Ça revient à vivre pour les autres alors que dans tout le film, ils parlent de la famille et de l'importance d'être solidaire. Il y a beaucoup de bonnes choses dans ce film que j'ai trouvé vraiment intéressant même si ce thème-là est de plus en plus commun au cinéma. En somme, un très bon film à la fois puissant au niveau de son message, intéressant dans son traitement et remarquablement interprété par un super casting.
    dany s
    dany s

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juillet 2018
    Une histoire à travers laquelle on comprend ce que sont les poids et les chaînes des traditions et l’appartenance à une communauté . On ne vit pas la vie qu’on se choisit , mais celle dont la famille et la communauté ont décidé. Les interprètes expriment avec nuance et force leurs sentiments. Le film est captivant.
    PaulGe G
    PaulGe G

    108 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 juillet 2018
    de la difficulté d'une jeune fille musulmane a vivre sa vie de femme, de la difficulté de la famille a vivre sans le regard des autres. que ce soit en Europe ou en Asie le problème est le même et est insoluble . à la limite du supportable dans le propos ou dans l'image, la réalisatrice ne dénonce pas mais décrit la vie tres dure soumise aux lois ancestrales. une interprétation au sommet et une réalisation hyper soignée, un film dur et important.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    52 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2018
    Vu et avis le 20180710

    Film un peu convenu sur le thème, pas grande surprise et peine un peu à transmettre des émotions.

    Pour qui ne connais pas la question, le film est très bien, il explique bien ce qu il se passe plus souvent à priori qu on ne le pense.

    Pour qui connais déjà un peu le sujet, il n apporte rien de nouveau. On remarque qu au moment de la conversation par webcam avec le Canada, la mère est plus dure que le père. En effet, il semblerait que cela arrive, même si c est plus souvent les hommes de la maison.

    Pour le déjeuner en pleine campagne sur le chemin du retour. C est effectivement quelque chose qui arrive, même si dans le contexte de ce film, cela ne soit pas une option que l on peut vraiment prendre au sérieux.

    Pour le chantage des policiers pakistanais, c est une accusation pas rare.

    Etc. Donc très bien pour qui ne connais pas ces situations. Un peu classique et consensuel pour qui en a déjà entendu parler.
    Alain C.
    Alain C.

    1 abonné 34 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juillet 2018
    quoi de nouveau sous le soleil,nous vivons un nouvel épisode sur la rectitude dans toute splendeur avec des acteurs de qualité,c'est un récit qui vaut plainte avec en meme temps des élans humains,pas de ressentiment ni d'appel au secours;on raconte pour aboutir à un final qui nous fait comprendre l'amour d'un père pour sa fille et réciproquement et c'est ainsi qu'elle s'évanouit dans la nature sous les yeux d'un père résolu;il n'a rien laché,elle non plus.Bravo à la réalisatrice et aux acteurs,on en ressort pas frustré mais reconnaissants....
    floramon
    floramon

    80 abonnés 1 420 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2018
    Ce film m'a mis une vraie claque, je n'avais jamais vu un film qui m'a procuré autant d'émotion, à la fois de la tristesse, de colère, de la révolte. Ce film m'a touché en plein cœur, ils montrent ce que c'est de vivre entre deux cultures. Ce film est tout simplement un chef d'œuvre.
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