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    Doubles Vies
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    2,0
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    185 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 19 janvier 2019
    Un film bavard ou les personnages parlent de manière à peine audible. Ça pourrait ressembler à du Woody Allen mais sans le goût et la finesse. Les personnages n'ont aucune profondeur et comme l'histoire est proche du néant : le film est très lourd :-(
    Est ce du cinéma intello? est ce du cinéma cynique? je ne sais pas ...
    Déjà dans le film Sils Maria j'avais été déçu mais là ... dur ... dur
    Comment juliette Binoche a t elle pu s'égarer deux fois à la suite ???
    Arectos
    Arectos

    10 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2019
    Après des mois de revendications gilets jaunes à la télé et dans les médias. Après "Le Grand Bain" et "Les Invisibles", films miroirs d'une France déclassée, appauvrie et triste, enfin un bon film sur une élites française ! Concret, libre, ce petit milieu disserte sur les phénomènes de société, le futur de l'Édition dans leurs salons, à Paris, en banlieue ou en vacances au bord de mer... Un film sur une bourgeoisie française, une élite intellectuelle assez jeune qui vit ses passions amoureuses, ses adultères et qui s'interroge sur la question du couple et l'expérimente. Canet est d'une belle justesse (et pour une fois, son personnage ne m'a pas agacé, ce qui me fait dire qu'il à plusieurs curseurs dans son jeu, infime, c'est un magnifique acteur mais il n'a pas vraiment de beaux rôles depuis trop longtemps), Binoche plus belle que jamais, hyper à l'aise dans le naturel d'une comédienne de série télé (contre-emploi savoureux...), cette femme est une comédienne ou cette comédienne est une femme, indissociable ! Macaigne est beau dans ce rôle très masculin, fragile et ultra attachant. Hamzawi m'a épaté en trouvant sa place, elle apporte ici toute sa détresse intérieure, elle est super touchante. Si vous aimez les acteurs, les actrices, les dialogues ciselés, courez voir ce film, il n'en feront pas un livre audio !!!
    dejihem
    dejihem

    140 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 janvier 2019
    Olivier Assayas a fait des bons films jusqu'aux Destinées sentimentales (2000). Son influence en tant qu'ancien critique des Cahiers du Cinéma et juré à Cannes lui permit de réaliser des films d'une préciosité susceptible de le couper du public.
    Déconnecté de la vie réelle, il fantasme sur les actrices (Sills Maria en est le parfait exemple).
    Le plus incompréhensible est qu'il réussit à continuer à tourner malgré l'insuccès de tous ses films après 2000.
    Il y a quelque chose qui cloche.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 19 janvier 2019
    D’un ennui profond, vraiment. Seule Nora sort son épingle du jeu. Le reste n’est qu’une succession de dialogues insipides et sans saveur. Amoureux de la toile passez votre chemin.
    nicolas t.
    nicolas t.

    59 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 janvier 2019
    Assayas s'essaye à la comédie à la Woody Allen et ça ne lui réussit pas.
    Le film est poussif avec des dialogues accumulant les banalités et clichés
    sur le monde contemporain. Ca se veut ironique ou grinçant, c'est juste
    pas drôle et laborieux. Filmé comme une sitcom sur les bobos parisiens et leur déboires
    sentimentaux, le vaudeville est bien faible.
    Les acteurs font ce qu'ils peuvent pour se sortir de leur caricature. Canet
    ne semble pas plus à l'aise ici que chez son copain GillesLelouche. Binoche encore une fois surjoue.
    Le couple Nora Hamzawi et Vincent Mac Caigne s'en sortent mieux.
    Quant à la jeune Christia Theret, on ne comprend pas la moitié de ses dialogues.
    Mais ce n'est au fond pas si grave...
    modeinetout
    modeinetout

    7 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 janvier 2019
    Un casting qui m’a donne envie de voir le film et finalement je ne suis pas rentrée dans l’histoire. J’ai eu l’impression d’avoir tout vu du film durant les 30 premières minutes et la suite ne fût que répétition
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    Très cinéma qualité France, très champ co
    ntre - champ, très parisien, très bavard, très bien monté, très Rohmer, très.....bien !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 18 janvier 2019
    Le film passe à coté du thème. Il raconte la double vie d'un auteur, qui raconte sa propre vie, au travers de personnages plus ou moins fictifs, le tout en décrivant son quotidien et celui de son entourage. Sur la forme, c'est tellement cliché qu'on ne peut y croire. Les dialogues sont pompeux, difficiles à suivre. Sur le fond, le thème secondaire, la crise du livre et de son évolution vers le numérique est traité de façon trop présente, trop prétentieuse, qu'il en cache le thème principal. Les relations entre les personnages, qui auraient pu être traitées plus en profondeur, sur le thème des relations humaines sont rapidement réduite en de simples coucheries à droite à gauche, rien de bien palpitant.
    J'ai à plusieurs reprises hésité à quitter la salle. Certains passages sont tellement nuls que cela en devient gênant pour les acteurs par ailleurs plutôt bons sur d'autres films.
    Christoblog
    Christoblog

    835 abonnés 1 684 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    Le dernier Olivier Assayas mêle de façon assez grossière une réflexion lourdingue (et déjà datée) sur la révolution numérique et des histoires quelconques de coucheries entre bobos.

    Sur le premier sujet le film se contente d'enfiler les poncifs tout au long de séquences verbeuses et de longs exposés didactiques qui sonnent particulièrement faux. Cela donne des débats de haute volée dans le genre : "Une liseuse ne remplace pas la bonne odeur du papier ", suivi de : "Oui, mais on peut partir avec plus de livres en vacances". Passionnant.

    Les interactions entre les personnages sont absolument inintéressantes. On retrouve une jeune fille bisexuelle et carriériste qui semble le clone de Kristen Stewart, jouée par une Christa Théret transparente, un Vincent Macaigne égal à lui-même en écrivain raté et une Juliette Binoche en roue libre. Guillaume Canet est un tout petit peu plus intéressant que d'habitude, mais c'est surtout le personnage jouée par l'excellente Nora Hamzawi qui empêche le film d'être complètement nul.

    En ce qui concerne le cadre, on navigue dans un univers bourgeois bon chic bon genre sans caractère : propriétés cossues, villa de bord de mer et appartements parisiens platement filmés. La mise en scène est paresseuse.

    Tout cela sent l'entre-soi chichiteux, le rance et le roussi.

    N'est pas Alain Resnais qui veut. Le marivaudage sonne ici triste et même pas cruel.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    Olala... Quelle déception ! Mal joué, mal écrit.. Pas drôle, pseudo réflexif sur l'avenir de l'édition et du papier.... Très difficile de tenir jusqu'au bout.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 janvier 2019
    Je cherche encore le sens de ce film...mise à part une accumulation de répliques pompeuses et de sujet pseudo intellectuels il n’y a rien!pas de passion, pas d’humour, c’est dommage d’utiliser des acteurs aussi talentueux pour un scénario comme celui ci...
    Danielle C.
    Danielle C.

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 janvier 2019
    Film prétentieux, succession in
    terminable de poncifs sur le numérique accumules par une petite bande de germano-pratins se croyant penseurs géniaux. Espérons que la réflexion sur l'avenir du livre par les éditeurs soit d'un meilleur niveau...
    Le tout adossé à une intrigue amoureuse se voulant marivaudage..chassés croisés sans intérêt..
    Bravo pour les décors...qui collent bien aux personnages !
    Danielle C.
    PL L
    PL L

    5 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    Pour ceux qui ne veulent pas lire plus, c'est mauvais et même très mauvais et encore plus dans la période actuelle que notre pays vis.

    Je suis parisien et pourtant quel malaise face à ce nombrilisme exacerbé d'une caste (et je pèse mes mots) d’intellectuels qui se regardent parler et penser...

    Le jeux des acteurs est vraiment très mauvais à un point qu'on a plus l'impression d'être face aux répétitions filmées...

    Bref pas bon
    PaulGe G
    PaulGe G

    112 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    un groupe de bobos plus snobs que snobs philosophent sur le devenir de l'édition entremêlé d'histoire de "fesses" plus que d'amour c'est tellement excessif que ça en devient risible mais pas de drôlerie , ça ne sert a rien qu'a ennuyer le spectateur, la seule chose que l'on retient c'est que maintenant pour faire "bien" on ne mange plus a table, mais l'assiette dans la main
    poet75
    poet75

    276 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2019
    L’arrivée du numérique qui s’est rapidement imposé dans bien des domaines, bouleversant les habitudes et les repères de plus d’un responsable, valait bien de faire l’objet d’une fiction de cinéma, d’autant plus que le septième art est l’un des secteurs les plus bouleversés par ce phénomène. Mais c’est le monde de l’édition de livres que Olivier Assayas a davantage privilégié dans son film, mettant en scène Alain (Guillaume Canet), le directeur d’une vénérable maison d’éditions, et Léonard (Vincent Macaigne), un écrivain qui s’est spécialisé dans l’autofiction. Autour de ces deux-là gravitent des personnages investis dans d’autres secteurs, en particulier une actrice (jouée par Juliette Binoche) devenue célèbre pour le rôle qu’elle interprète dans une série policière et une attachée parlementaire (jouée par Nora Hamzawi). Sans oublier une séduisante experte de la transition numérique (jouée par Christa Théret).
    Tout l’art d’Olivier Assayas est d’avoir réussi à placer tous ces personnages dans des controverses et des débats au sujet du numérique et des problèmes d’édition en général sans jamais verser ni dans la redondance ni dans des discussions oiseuses paraissant déjà complètement dépassées au moment même où elles sont prononcées. Il y a un peu de cela quand même, il faut le reconnaître, et, peut-être que d’ici peu de temps, le film paraîtra avoir pris un gros coup de vieux. Il perdurera néanmoins comme témoin d’une époque de doutes et de remises en question. Entre tel personnage qui ne jure que par l’édition sur papier, se refusant de lire quoi que ce soit sur une tablette ou une liseuse, et tel autre qui, au contraire, trouve que rien ne vaut, de nos jours, l’écriture de livres numériques, de blogs, voire de tweets, il y a de la place pour de multiples opinions. Les données elles-mêmes varient à la vitesse grand V : ainsi au début du film est-il affirmé par un des personnages que l’édition de livres numériques met en péril l’édition sur papier alors que, lors d’une scène suivante, quelqu’un affirme le contraire.
    Quoi qu’il en soit de ces discussions sans fin, c’est le rythme imposé au film qui le rend assez captivant. Les répliques fusent sans arrêt, donnant à certaines scènes un ton, une couleur, un tempo qui font songer à quelques-unes des meilleures « screwball comedies » de l’âge d’or du cinéma hollywoodien. Cette comparaison est d’autant plus pertinente que, si le film d’Olivier Assayas prend pour sujet celui de l’arrivée du numérique dans le monde de l’édition, il le fait en l’entrelaçant de marivaudages des plus divertissants. Car, bien sûr, entre les divers personnages du film, s’opère aussi un joli jeu de séductions et de tromperies, un jeu d’autant plus piquant, d’autant plus hasardeux, que l’un d’eux, Léonard, est un écrivain qui ne sait écrire que de l’autofiction. Autrement dit, chacune de ses aventures galantes a de grandes chances d’être racontée en long et en large dans son prochain ouvrage. Et même s’il prend soin d’utiliser des pseudonymes, évidemment, personne n’est dupe, personne ne s’y trompe, les allusions aux personnes réelles demeurent on ne peut plus claires. Or, et c’est la jolie pirouette finale de « Doubles Vies » (que, bien sûr, je me garde de révéler), ce Léonard lui-même, écrivain qui ne sait pondre que ce genre de livres plutôt douteux, même lui est capable de devenir l’auteur d’un chef d’œuvre (à condition que ce ne soit pas de son domaine, celui de l’écriture !).
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