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dominique P.
849 abonnés
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3,5
Publiée le 5 octobre 2018
Voilà une petite histoire fantastique qui se passe aux USA en 1955. Cela parle de magie, de surnaturel. Je m'attendais à mieux, à plus amusant, à plus drôle, à plus spectaculaire cependant l'ensemble est quand même divertissant et sympa.
Ce film réalisé par Eli Roth est un honnête divertissement pour toute la famille... L'histoire nous embarque dans un univers de mages et de tics tacs d'horloge... C'est bien fait, bien joué, manque juste un scénario plus écrit et une fin moins expéditive...
J’étais assez intrigué de découvrir le film « La prophétie de l’horloge ». La bande annonce avait l’air amusante mais c’est surtout la présence d’Eli Roth derrière la caméra qui a suscité ma curiosité. Sans le détester, je ne suis pas spécialement fan pour autant de ce cinéaste mais après des films comme « Hostel », « Cabin fever » ou « Knock knock », j’étais curieux de voir le résultat sur un film dit tout public.
Dès le début, j’ai été pris par ce scénario écrit par Eric Kripke, d’après le roman « La pendule d’Halloween » de John Bellairs. Mélangeant de façon assez habile la comédie et le fantastique, on est devant un divertissement de plutôt bonne facture pour ce genre. Habitué à plus de légèreté, on retrouve vite la patte du réalisateur lorsque l’épouvante pointe le bout de son nez et c’est peut-être ça qui le différencie un peu de la concurrence. Pour un public adulte, cela reste gentil mais pour un public plus jeune, il y a quand même quelques passages qui doivent bien donner la chair de poule. Du coup, tout le monde en a pour son compte avec cette histoire facile d’accès qui donne même envie de découvrir la saga littéraire d’origine. Plusieurs éléments sont prévisible mais je me suis en tout cas laissé prendre au jeu de cet univers. Si vers la fin, le film accuse quelques lenteurs, j’ai vraiment beaucoup aimé cette recette qui nous fait passer du rire à l’épouvante sans créer de grandes cassures dans le récit.
Devant la caméra, le trio principal fonctionne très bien. J’avais quelques craintes concernant Jack Black (Jonathan Barnavelt) car je ne suis pas toujours fan de son humour mais l’acteur évolue comme un poisson dans l’eau dans ce monde. Il cabotine comme toujours et a tendance à être dans l’excès sur ses mimiques de visages mais je l’ai trouvé plutôt canalisé dans son interprétation dans l’ensemble. Son personnage en devient même très sympathique au même titre que celui de Cate Blanchett (Florence Zimmerman) qui apporte beaucoup de fraîcheur. Pétillante, la comédienne semble s’amuser et prendre du plaisir. J’ai apprécié la tendresse qu’elle dégage vis à vis de son rôle. Pour les compléter, on retrouve le jeune Owen Vaccaro (Lewis Barnavelt). Je n’ai pas forcément été convaincu par son jeu que je trouve un poil trop juste mais ça ne gâche en rien mon plaisir. Je pense même que les jeunes spectateurs peuvent facilement s’identifier à lui, ce qui n’est pas plus mal, mais j’aurais quand même aimé voir par moment quelque chose de plus consistant, de moins simple à l’écran avec plus de caractère. Son personnage manque sans doute aussi un peu de profondeur pour le rendre davantage intéressant.
Quoiqu’il en soit, la réalisation d’Eli Roth m’a vraiment bluffé. Il n’y a rien de vraiment percutant mais j’ai beaucoup aimé ce mélange de style. On a la légèreté du divertissement familial, la magie du fantastique et juste ce qu’il faut en épouvante pour que son long métrage puisse nous happer durant notre projection. Après, tout n’est pas parfait, il y a quand même des petites maladresses mais rien de bien méchant. J’ai aimé le fait que le film soit très coloré avec quelques touches sombres mais cela n’empêche pas d’avoir quelques effets visuels pas vraiment au point à mes yeux (la scène finale avec les citrouilles me piquent encore un peu les yeux même si le côté épisode de la série « Chair de poule » peut faire sourire). Les costumes sont efficaces et un grand soin est apporté aux différents maquillages. Celui de Kyle MacLachlan (Isaac Izard) s’intègre bien dans ce film. Un énorme travail à été fait également au niveau des décors que je trouve très bon. La maison de Jonathan devient d’ailleurs un personnage à part entière qui prend vie dans tous les sens du terme. Etre décorateur pour ce genre de long métrage, ça doit être assez plaisant je pense surtout que c’est bien mis en avant avec une bonne photographie. La bande originale composée par Nathan Barr joue bien le jeu aussi même si j’aurais aimé quelques musiques un peu plus marquante. Cela manque d’un thème musical vraiment fort qui puisse marquer nos esprits.
Pour résumer, « La prophétie de l’horloge » fut pour moi une bonne surprise. On a tous les ingrédients pour s’amuser et même si tout n’est pas parfait et/ou novateur, il y a une ambiance propre à ce film qui fait que je me suis laissé prendre au jeu. C’est un film tout public avec quelques passages surprenant qui peuvent marquer les plus jeunes qui nous invite à des suites que je verrais certainement si elles devaient voir le jour. Toutes mes peurs se sont vite envolées en tout cas vis à vis de ce projet et c’est un divertissement que j’ai vraiment trouvé très bon dans son genre.
Adaptation du roman La pendule d'Halloween de John Bellairs., La prophétie de l’horloge est un curieux film fantastique dans lequel Lewis Barnavelt, un jeune orphelin de dix ans, vient vivre dans le manoir de son oncle Jonathan, interprété par Jack Black (Disjoncté, King Kong, Les voyages de Gulliver), qui semble tout aussi imprégné de magie qu’hanté par une inquiétante pendule. Sa voisine Madame Zimmerman, jouée par Cate Blanchett (Le Seigneur des Anneaux, Babel, Cendrillon), est magicienne tout comme lui et les piques qu’ils s’envoient comme s’ils étaient un vieux couple apporte un ton humoristique assez sympathique au tout.
L’intrigue repose sur les secrets cachés par la demeure, notamment avec l’histoire de l’ancien propriétaire de l’horloge Isaac Izard, joué par le charismatique Kyle MacLachlan (Dune, Twin Peaks), qui cherchait à provoquer l’Apocalypse avant d’être terrassé. L’univers fantastique rappelle assez fortement celui d’Harry Potter bien au-delà du domaine, entre les cadres animés, le lion ailé en feuillage, le grimoire renfermant une clé spéciale et les jolis effets spéciaux pour les sortilèges. Le mystère est très bien gardé grâce à des plans très suggestifs, comme celui où Jonathan regarde à travers la gueule du monstre qui ouvre un passage.
Le réalisateur Eli Roth (Hostel, Knock knock) conserve parfaitement sa patte artistique horrifique avec de nombreux éléments glauques qui montrent que ce n’est pas un film à mettre sous les yeux des enfants. On trouve ainsi des citrouilles d’Halloween au regard effrayant, des personnages fabriqués dont l’aspect et le regard font froid dans le dos, spoiler: un Isaac zombifié, les violentes convulsions de sa femme, sans oublier une ambiance parfois très sombre et pesante. Un bon film fantastique qui se démarque par sa réalisation de qualité !
Beau film , à voir en famille , effets spéciaux en tout genre , un manoir bien sûr avec une horloge diabolique , à détruire avant qu'elle remonte le temps , un méchant revenu des morts , un petit garçon orphelin héros.
un film sans réelles surprises , je peux pas dire qu'il était mauvais et je peux pas dire qu'il était génial , j'ai juste passé un bon moment au ciné , les acteurs étaient crédibles , a vrai dire on s'y attache même .l'Histoire et le scénario nous laisse quelques rebondissements surprenant même . Les effets spéciaux sont sympa et l'humour aussi . un film pour toute la famille
très bon, film original et parfois drôle ! attention cependant aux jeunes enfants, scènes parfois qui peuvent surprendre les plus petits. sinon j'ai passé un très bon moment
Mélange entre Harry Potter et Le Monde de Narnia, La Prophétie de l'horloge est un divertissement honnête, sans prises de tête, devant lequel on passe un bon moment. Réalisé par Eli Roth (habituellement metteur en scène de films d'horreur plutôt gore), le film est distrayant et est porté par un duo d'acteur qui fonctionne plutôt bien : Cate Blanchett et Jack Black. L'histoire est plaisante à suivre et les effets spéciaux ne sont pas trop mal réussis. Pour son premier film non horrifique, force est de constater qu'Eli Roth s'en sort plutôt bien et fait de La Prophétie de l'horloge un petit film sympathique.
Un univers magique réussi avec la petite touche de comédie. Mais sachant que dans le genre on parle plutôt de "Fantastique et Famille", il est peut-être dommage de ne pas préciser qu'il existe quand même des scènes qui peuvent heurter la sensibilité des spectateurs plus jeunes.
Comment dire c’est ma première critique sur un film de famille fantastique,alors déjà pour commencer, je ne me suis ennuyé et personne de la salle c’est ennuyé. Après pour moi se film et à voir pendant Halloween, car il y a plein de clin d’œil sans pour être autan horrifique. Après l’histoire se portant sur l’histoire du bien et le mal n’a rien de nouveau, mais pas mal. Il n’y a pas de moment où on n’a peur. Donc un film vraiment bien pour cette datte sinon passé
Une idée orignale , des acteurs à leur place , un film divertissant pour s ‘aerer la tête. L’action se passe dans les années 50 ce qui apporte un plus dans feerie.
histoire sympa, belles images, bons acteurs ... cependant j’ai mis 3 étoiles car je les trouvais un peu ennuyeux pour les adultes. surement plus fun pour les enfants
Un film pour petits et grands, qui souffre d'un scénario un peu faiblard, mais propose un univers sympa et la présence de l'incommensurable Cate Blanchett. Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
Il est réconfortant de se plonger dans des œuvres orientées pour le jeune public où ce dernier n’est pris ni pour un imbécile ni pour un petit être fragile : La Prophétie de l'horloge émerveille par ses trouvailles déjantées, son rythme pensé comme un vaste crescendo horrifique et ses très bons acteurs. Sans rien révolutionner, le film mêle étroitement les registres et propose un vrai spectacle pour le ravissement des yeux et des oreilles : centré autour de la thématique de la famille, il consacre la magie de l’unité au-delà des apparences souvent trompeuses d’une société aux mille reflets déformants. La vérité s’apprend dans les livres, guidée par l’adulte avisé que l’enfant remettra en cause de sorte à aboutir à un ex æquo où chacun apprend de ses erreurs, de ses peurs. Une belle réalisation, classique et efficace, qu’Eli Roth ponctue de quelques scènes fortes comme il les apprécie. La Prophétie de l'horloge prend le temps de développer ses personnages et son intrigue, donne lieu à un bon divertissement hollywoodien qui enchante sans céder à la guimauve si souvent servie aux plus jeunes. C’est déjà beaucoup.
Le film est à la fois mauvais et bon. Je m’explique. Le début est mauvais dans le sens où il est très long à démarrer. La fin est bonne car il y a de l’action.