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(Je maintiens ma critique et ne vois pas la raison de votre censure. L'expression "enfiler des perles" n'est pas grossière. Elle fait référence à l'ennui et à l'activité classique de petites filles pour s'occuper. Si vous maintenez votre censure abusive, tant pis... Ma critique est déjà sur mon blog ).
Ce film présente tous les atouts d’un succès : une affiche pleine de sensibilité, une jeune actrice très « engagée » au regard expressif ; un sujet sortant de l’ordinaire avec le quotidien des commandos de marine entre terre et mer… Et puis, il y a Lambert Wilson au casting. Un programme donc alléchant… qui ne tient malheureusement pas ses promesses.
C’est difficile de dire du mal de ce film, tant il est pavé de bonnes intentions. La réalisatrice a voulu raconter une histoire d’amour impossible au sein de l’Armée. Il y a là sur le papier une bonne idée de scénario, puisque la grande muette est devenue mixte, et que la hiérarchie pesante y crée un environnement propice à des tentatives d’approche feutrées « à l’ancienne ». Quelques silences bien sentis sont de rares moments authentiques entre les personnages. Hélas, la réalisatrice est une femme qui semble peu connaître les milieux de la marine. Elle s’attache aux seules relations humaines, faisant de la Marine un milieu désoeuvré où chacun semble là pour saluer les couleurs, et enfiler des perles le reste du temps. Le personnage de Lambert Wilson est monolithique, et pour tout dire sans intérêt. Quant à l’histoire, elle semble proprement improbable. On se demande ce que cette jeune femme peut trouver d’excitant dans un job sans intérêt qui l’amène à rompre avec son fiancé. Comment peut-elle aussi laisser naître un béguin pour un commandant enfermé dans son bureau comme dans une forteresse inexpugnable. C’est dommage car il y a de bons moments dans ce film, du fait de la présence lumineuse de Diane Rouxel, jeune actrice que l’on espère revoir. Elle réussit à rendre un peu crédible un rôle qui ne l’est pas.
Ce film présente tous les atouts d’un succès : une affiche pleine de sensibilité, une jeune actrice très « engagée » au regard expressif ; un sujet sortant de l’ordinaire avec le quotidien des commandos de marine entre terre et mer… Et puis, il y a Lambert Wilson au casting. Un programme donc alléchant… qui ne tient malheureusement pas ses promesses.
C’est difficile de dire du mal de ce film, tant il est pavé de bonnes intentions. La réalisatrice a voulu raconter une histoire d’amour impossible au sein de l’Armée. Il y a là sur le papier une bonne idée de scénario, puisque la grande muette est devenue mixte, et que la hiérarchie pesante y crée un environnement propice à des tentatives d’approche feutrées « à l’ancienne ». Quelques silences bien sentis sont de rares moments authentiques entre les personnages. Hélas, la réalisatrice est une femme qui semble peu connaître les milieux de la marine. Elle s’attache aux seules relations humaines, faisant de la Marine un milieu désoeuvré où chacun semble là pour saluer les couleurs, et enfiler des perles le reste du temps. Le personnage de Lambert Wilson est monolithique, et pour tout dire sans intérêt. Quant à l’histoire, elle semble proprement improbable. On se demande ce que cette jeune femme peut trouver d’excitant dans un job sans intérêt qui l’amène à rompre avec son fiancé. Comment peut-elle aussi laisser naître un béguin pour un commandant enfermé dans son bureau comme dans une forteresse inexpugnable. C’est dommage car il y a de bons moments dans ce film, du fait de la présence lumineuse de Diane Rouxel, jeune actrice que l’on espère revoir. Elle réussit à rendre un peu crédible un rôle qui ne l’est pas.
dominique P.
J'ai beaucoup apprécié ce beau film de très bonne facture, très classique et parfaitement bien réalisé et interprété.
Ce flm bénéficie en outre d'une grand justesse dans son déroulement, dans la psychologie et l'émotion.
Pour moi les quelques critiques négatives sont tout simplement incompréhensibles.
L'actrice principale est parfaite et bluffante.
Ce flm bénéficie en outre d'une grand justesse dans son déroulement, dans la psychologie et l'émotion.
Pour moi les quelques critiques négatives sont tout simplement incompréhensibles.
L'actrice principale est parfaite et bluffante.
Ne pas se fier aux critiques négatives complètement injustifiées et aigries.
Ce film a de nombreux atouts et est magnifique : réalisation haut de gamme, grande justesse dans le jeu des acteurs, beaucoup d'émotions se dégagent, ambiance à la fois calme et tendue.
Même en ayant pas d'intérêt pour l'armée (ce qui est mon cas), ce film est très plaisant.
Ce film a de nombreux atouts et est magnifique : réalisation haut de gamme, grande justesse dans le jeu des acteurs, beaucoup d'émotions se dégagent, ambiance à la fois calme et tendue.
Même en ayant pas d'intérêt pour l'armée (ce qui est mon cas), ce film est très plaisant.
J'ai été voir le film car j'ai vu le nom de Diane Rouxel sur l'affiche, une jeune actrice que j'ai découvert cette année dans l'incroyable "Les Garçons Sauvages", mon film préféré pour l'instant de cette année (et qu'il faut absolument découvrir si vous ne l'avez pas encore vu).
Dans ce film, elle incarne une jeune étudiante arrivée dans la marine national un peu par hasard et dont elle va découvrir sa vocation. Son jeu est très juste, je l'ai senti très investi dans son rôle de bout en bout, ce qui fait qu'on s'attache beaucoup à son personnage même si elle peut paraître froide à certain moments.
La relation ambiguë qu'elle entretiendra avec son commandant (joué par Lambert Wilson, très bon aussi) est assez intéressant, entre fascination et ressenti amoureux, il n'y a qu'un pas.
Une belle petite surprise me concernant
Dans ce film, elle incarne une jeune étudiante arrivée dans la marine national un peu par hasard et dont elle va découvrir sa vocation. Son jeu est très juste, je l'ai senti très investi dans son rôle de bout en bout, ce qui fait qu'on s'attache beaucoup à son personnage même si elle peut paraître froide à certain moments.
La relation ambiguë qu'elle entretiendra avec son commandant (joué par Lambert Wilson, très bon aussi) est assez intéressant, entre fascination et ressenti amoureux, il n'y a qu'un pas.
Une belle petite surprise me concernant
Ce film laisse une grande place aux gestes, aux regards, au placement. En écho à la mere comédienne du personnage principal, l'écriture est théâtrale et se passe souvent de longues répliques.
C'est un véritable petit bijoux de roman, concentré sur le parcours initiatique d'une jeune fille à qui tout semble réussir, et qui va expérimenter la perception, et le ressenti des sentiments affectifs qui nous traversent en grandissant au regards de notre propre trajectoire sociale et familiale.
Il n'y a pas d'hésitation à avoir, ce film humble et court vaut le détour !
C'est un véritable petit bijoux de roman, concentré sur le parcours initiatique d'une jeune fille à qui tout semble réussir, et qui va expérimenter la perception, et le ressenti des sentiments affectifs qui nous traversent en grandissant au regards de notre propre trajectoire sociale et familiale.
Il n'y a pas d'hésitation à avoir, ce film humble et court vaut le détour !
tixou0
Laure Baer (Diane Rouxel), 23 ans, brillante étudiante (dont double master anglais-russe), un peu lasse de cursus successifs sans surprise, s'engage dans la "Royale", au grand désespoir de sa mère soixante-huitarde attardée et comédienne réputée pour théâtre intello (Josiane Balasko). La jeune "aspi" est affectée, comme "officier tradition", au secrétariat du commandant (milieu de la cinquantaine) Yann Rivière (Lambert Wilson), directeur des études (base-école de la FORFUSCO, à Lorient). Ce (ravissant) petit bout de femme (48 kg, 1,62 m) va se révéler rapidement "Volontaire", prête à subir un entraînement très physique, pour intégrer les commandos de marine - on suit donc son parcours d'endurance, de courage, d'opiniâtreté, dans une partie quasi-documentaire de ce 2e "long" comme réalisatrice de l'actrice Hélène Fillères (co-scénariste, elle s'est aussi réservé un court rôle, celui du commandant adjoint de l'équipage). Mais l'essentiel est ailleurs sans doute pour la réalisatrice, une partie, là, très romanesque - pour une sorte de
spoiler:
"Princesse de Clèves" inversée. En couple avec Philippe, un garçon de son âge, la "Miss" (comme la surnomme d'emblée le Premier maître instructeur Albertini, alias Alex Descas) esquisse un dangereux pas-de-deux avec le "Moine", ainsi appelé par le même, en vieux compagnon d'armes. Une attirance aussi forte que l'honneur qui interdit que l'on y succombe - l'austère Rivière trouvant son salut dans la fuite (il quitte la marine... quand Laure vient d'y trouver sa place, sans Philippe, et dans la seule compagnie amicale d'un autre "commando", la prenant sans ambiguïté sous son aile, puisque non attiré par les filles....).
Quelques jolies séquences, dans les deux genres abordés, mais rien de franchement emballant, au global : "Pas mal"...
Quelques jolies séquences, dans les deux genres abordés, mais rien de franchement emballant, au global : "Pas mal"...
Jamais vu un film aussi lent, aussi ennuyeux. Quelle image de la marine ! Que fait Lambert wilson, que j’aime beaucoup, dans un tel film ? Pas de scénario. Ne vous fiez pas à la critique de certaine presse.... jamais vu quelque chose d’aussi nul.
J'ai trouvé que le film est passé très rapidement, voir même que la fin était un peu expéditive. Le défaut de ce film est de rester bien trop propre sur lui, comme une tenue militaire. En voyant ce résultat, il me semble évident que le film est sponsorisé par l'armée, alors, évidemment, tout est calculé pour séduire : on suit une fille, elle est brillante, elle est tenace, elle ne pleure que quand il faut. Ce film ne tombe pas dans les grosses idées reçues sur l'armée, ni sur la victimisation de cette femme au milieu des hommes et ça c'est bien, parcontre,
spoiler:
la moindre petite rivalité est écartée très rapidement de l'histoire, l'homosexualité est pleinement acceptée, le désir de stopper ses règles est à peine effleuré, le changement de regard de la mère sur l'armée arrive comme un cheveu sur la soupe, la rupture amoureuse
n'a pas vraiment d'impact sur les personnages, elle permet simplement à spoiler: Laure de flirter avec un garçon
sans choquer le spectateur. spoiler: Même la scène de sauvetage de l'otage, un peu dramatique, est remise à plat en s'avérant n'être qu'une simulation. D'ailleurs, il était évident que ce sauvetage était un exercice, je ne comprenais donc pas pourquoi Laure paniquait !
Rien ne bouscule donc le spectateur, qui assiste impuissant à une très très légère romance, qui semble sortie de nulle part et qui en fait des caisses. Je suis sorti de la séance sans vraiment comprendre l'intérêt ni l'origine de l'amour platonique entre La Miss et Le Moine. Ce qui est embêtant est aussi la répétition des regards et les nombreuses situations de face à face entre les deux personnages ( au début, on se dit que c'est une bonne idée), parce que, finalement, le rapport de force reste souvent le même : je pense que la scène de la voiture aurait pu être plus intense, gênante, perturbante, si la réal n'avait pas décidé de la recouvrir avec une musique. Très généralement, la musique, dans un film est un moyen d'émouvoir facilement le spectateur. Dans ce film, je l'ai trouvé injustifiée et mal venue. Diane Rouxel semble être une superbe actrice, c'est dommage que son rôle ne soit pas plus pointu. On ne sait pas pourquoi l'armée devient une vocation pour elle, ni d'où elle sort sa ténacité et puis, le temps du récit est bien trop rapide. En terme de plans et de mise en scène, il y a des choses pas mal. L'espace est bien utilisé et filmé à des échelles et des vitesses variées. Tout le jeu de la vitre entre les deux personnages est bien trouvé, ainsi que l'utilisation des murs et des portes qui occupent un rôle à part entière. Il y a aussi beaucoup de flous et de profondeurs de champ qui renforcent cette notion de distance et de solitude. La place du miroir et de la projection de soi-même est aussi super bien pensée (rien que dans la deuxième scène, Laure est confrontée à une militaire qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau). En résumé, les images sont réussies, mais le fond du propos manque de justesse et de profondeur, c'est dommage.
n'a pas vraiment d'impact sur les personnages, elle permet simplement à spoiler: Laure de flirter avec un garçon
sans choquer le spectateur. spoiler: Même la scène de sauvetage de l'otage, un peu dramatique, est remise à plat en s'avérant n'être qu'une simulation. D'ailleurs, il était évident que ce sauvetage était un exercice, je ne comprenais donc pas pourquoi Laure paniquait !
Rien ne bouscule donc le spectateur, qui assiste impuissant à une très très légère romance, qui semble sortie de nulle part et qui en fait des caisses. Je suis sorti de la séance sans vraiment comprendre l'intérêt ni l'origine de l'amour platonique entre La Miss et Le Moine. Ce qui est embêtant est aussi la répétition des regards et les nombreuses situations de face à face entre les deux personnages ( au début, on se dit que c'est une bonne idée), parce que, finalement, le rapport de force reste souvent le même : je pense que la scène de la voiture aurait pu être plus intense, gênante, perturbante, si la réal n'avait pas décidé de la recouvrir avec une musique. Très généralement, la musique, dans un film est un moyen d'émouvoir facilement le spectateur. Dans ce film, je l'ai trouvé injustifiée et mal venue. Diane Rouxel semble être une superbe actrice, c'est dommage que son rôle ne soit pas plus pointu. On ne sait pas pourquoi l'armée devient une vocation pour elle, ni d'où elle sort sa ténacité et puis, le temps du récit est bien trop rapide. En terme de plans et de mise en scène, il y a des choses pas mal. L'espace est bien utilisé et filmé à des échelles et des vitesses variées. Tout le jeu de la vitre entre les deux personnages est bien trouvé, ainsi que l'utilisation des murs et des portes qui occupent un rôle à part entière. Il y a aussi beaucoup de flous et de profondeurs de champ qui renforcent cette notion de distance et de solitude. La place du miroir et de la projection de soi-même est aussi super bien pensée (rien que dans la deuxième scène, Laure est confrontée à une militaire qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau). En résumé, les images sont réussies, mais le fond du propos manque de justesse et de profondeur, c'est dommage.
Je ne suis pas fan de l'armée mais j'ai été enchantée par ce film.
Diane Rouxel a un jeu extraordinaire, elle a beaucoup de talent.
Cela fait plaisir de voir de temps en temps des films de cette qualité là.
Bravo.
Diane Rouxel a un jeu extraordinaire, elle a beaucoup de talent.
Cela fait plaisir de voir de temps en temps des films de cette qualité là.
Bravo.
Hélène Fillières s'intéresse au parcours d'une jeune femme assez frêle qui veut intégrer la Marine Nationale et qui va devoir faire ses preuves face au rigide commandant campé par Lambert Wilson. Diane Rouxel est plus convaincante dans sa relation avec son supérieur que dans les épreuves physiques truffées d'incohérences. Le film tarde à vraiment décoller et le féminisme voulu par la réalisatrice ne saute pas aux yeux. L'ensemble n'est pas déplaisant même s'il avait gagné à retranscrire de façon plus brute les brimades subies par les femmes dans l'Armée.
Pathétique ... Des invraisemblances , des incohérences , des clichés ! Des citations reprises dans des reportages sur les commandos marine , Un capitaine de frégate qui se fait tutoyer et chambrer par un 1er maitre devant un éléve officier , le meme capitaine de frégate ( directeur des études ) qui passe sont temps à regarder par la fenêtre , une candidate du s "STAC " qui rate ses épreuves et qui gagne quand meme le beret vert .. mdr ..... Et une josiane Balasko qui " cachetonne " , NUL !
Film qui ressemble à un documentaire. Ou à un film de promotion qui ne fait ne fait pas du tout la promotion de l’armée.
C’est lent et limite très chiant.
Les acteurs jouent bien ça sauve le film.
On ne comprend pas quel est le pb de Lambert Wilson qui est désespéré tout le temps.
Mais on ne peut pas dire non plus que c’est pas bien...
C’est lent et limite très chiant.
Les acteurs jouent bien ça sauve le film.
On ne comprend pas quel est le pb de Lambert Wilson qui est désespéré tout le temps.
Mais on ne peut pas dire non plus que c’est pas bien...
pour etre gentil on vas dire que c 'est OUIOUI au pays de la marine je n 'ai absolument pas compris le but de ce film
Un film sur deux marins et non sur la marine. Ambiance militaire bien rendue, 2 excellents acteurs qui font passer par les yeux ce qu'ils ne disent pas, une histoire impossible toujours suggérée et sur une ligne jamais franchie, même si les entraînements des bérets verts sont lights.... le film m'a beaucoup plu.
selenie
Si on pense bien que la jeune Diane Rouxel s'est entrainé un peu pour son rôle il n'en demeure pas moins qu'il faut un minimum de vraisemblance. Comment peut-on croire que cette jeune femme puisse réussir sans soucis particulier à devenir bérets verts ?! Aussi invraisemblable qu'incohérent... Gâchis est sans doute un terme trop violent, le film garde des qualités certaines, du talent de ses interprètes à la photographie en passant par la sincérité de fond, mais il y a trop d'incohérences et de maladresses pour convaincre. D'ores et déjà une des grandes déceptions de l'année.
Site : Selenie
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