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    La Douleur
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    2,8
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    197 critiques spectateurs

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    jean rene  M.
    jean rene M.

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2018
    Film impressionant et très émouvant.
    L humanité est dans chaque plan.
    Les acteurs sont magnifiques.
    Du cinéma rare, décidément entre la villa de GUEDIGUIAN et à douleur c’est un beau début d année ! Pourquoi ces films n étaient ps à Cannes ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 janvier 2018
    Pourtant intéressé par le sujet et l'oeuvre de Duras, j'aurais aimé me sentir touchée par ce que traverse le personnage. Or, à part un profond ennui, une cruelle indifférence, rien malheureusement ne transpire de ce film et c'est bien dommage. On se sent totalement à distance, indifférent. J'aurais pourtant souhaité, d'un point de vue moral, ne pas m'ennuyer devant un film évoquant la déportation : si l'enjeu était d'éveiller la conscience du spectateur du 21ème siècle à cette tragédie, malheureusement le film fait plutôt l'effet inverse : La première partie, décrivant les rapports ambigus entre Duras et un collabo est la plus réussie, certainement aussi grâce à la présence sublime de Benoit Magimel, qui par ses regards, ses silences, amène une inattendue dimension cinématographique au film. Du coup celui qui devait être "le salaud du film" semble bien plus intéresser le réalisateur que les autres personnages. Mais au lieu de traiter de l'ambivalence du désir de Marguerite pour cet homme, sujet très durassien par ailleurs, le réalisateur détruit ce qu'il a semé et évacue Magimel au bout d'une heure de film.
    Nous sombrons alors dans un récit plat et interminable sur l'attente, une attente qui n'arrive ni à captiver ni à émouvoir malgré la tentative du réalisateur de ramasser son récit autour d'une voix off exaspérante. La reconstitution historique est aussi peu convaincante, malgré quelques posters et croix gammées posés par ci par là. On a plutôt l'impression d'être devant sa télé un dimanche soir. Il est étrange que toutes les critiques soient presque unanimes pour désigner comme chef d'oeuvre un film maniéré, guindé, peu en phase avec la sensualité qui se dégage de l'univers de Duras. Aucun érotisme, aucun frisson. On ne comprend pas l'ambivalence de sentiments que ressent le personnage entre son mari qu'elle attend et son supposé amant. Pas une seule scène d'amour, un chaste baiser au bout de deux heures et voilà qu'on apprend à la fin du film qu'elle veut quitter son mari pour cet amant, d'ailleurs absolument fadasse, incarné ou plutôt désincarné par Benjamain Biolay, qui décidément n'est pas un très bon acteur ... Ainsi ce qui aurait dû être au coeur du film semble du coup totalement incohérent. Ajouté à ces incohérences et à la platitude narrative du film, une impression de redondance entre le texte déclamé à la Delphine Seyrig et les images floues, faussement artistiques, finit de nous achever.

    En conclusion, il semble que le réalisateur n'ait pas eu le courage ou le talent de se libérer du poids de Duras pour trouver sa propre voix. Peut-être fallait-il une femme pour réaliser ce film ? Je suis d'autant plus étonnée que j'avais lu dans le cadre de mon travail une belle adaptation écrite par une femme,( je crois me souvenir que c'était de Karin Albou la réalisatrice de La Petite Jérusalem) qui m'avait bouleversée, et qui évitait tous les écueils présents dans ce film. Je ne comprends pas pourquoi c'est ce film désincarné et maniéré qui a été fait à la place de l'autre. Il aurait certainement été plus vivant et captivant.
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 janvier 2018
    Très curieux film que « La douleur » de Emmanuel Finkiel dont le succès me semble lié au fait qu’il soit basé sur le livre éponyme de Marguerite Duras … et donc forcément un chef-d’œuvre pour les critiques professionnels !
    L’histoire est clairement annoncée dans la bande annonce et ensuite on nous impose un peu plus de 2 h de ce que je qualifierai de « masturbation intellectuelle ». Marguerite (Mélanie Thierry) souffre que son mari Robert (forcément grand résistant) ait été pris dans une rafle, souffre de savoir s’il est ou non déporté, souffre de savoir si elle doit ou non se rapprocher de Pierre Rabier (Benoît Magimel) le flic collabo forcément ambigu, souffre - puisque nous sommes en juin 1944 - de savoir si son mari va rentrer ou non des camps de concentration puis souffre de le voir car elle n’est plus amoureuse de lui et désire un enfant de son amant Dionys ! Tout cela se déroule dans un Paris très « intello » qui ne semble pas trop souffrir de la guerre … à en juger ne serait-ce que par le nombre de cigarettes consommées durant tout le film … sans oublier également le nombre de fois où le téléphone sonne pour bien souligner l’angoisse de l’attente ! Pour faire plus vrai, on affiche les portraits de Hitler, de Pétain puis de de Gaulle (qui au passage est quand même égratigné) d’une part, et on y insère d’autre part la présence d’une voisine qui repasse en chantant en Yiddish alors que sa fille a été déportée et gazée dès son arrivée dans les camps puisque Juive et invalide à la suite d’une tuberculose osseuse. De façon très surprenante Marguerite et ses comparses sont en effet parfaitement au courant en temps réel de tout ce qui se passe sur le front et dans les camps alors que toute l’horreur de l’histoire nazie n’a été révélée que bien après la fin de la guerre.
    Certes Mélanie Thierry a un joli minois … mais que ce film est long et truffé de longs passages du livre en voix off monotone à souhait, pour in fine ne rien dire ! Pour ma part, ce film n’est que partiellement « sauvé » par la qualité de la photo et de la lumière ainsi que celle de ses décors et costumes … sinon bonjour l’ennui !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 janvier 2018
    Problème de sommeil , vous aimez trop la vie , un conseil allez voir ce film
    c'est une déprime totale , c'est lent , mou , lugubre , mauvais .
    je n'ai pas accroché du tout , et je n'étais pas le seul dans la salle
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    78 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 janvier 2018
    Un insupportable et interminable pensum  boursouflé et prétentieux. Et qui sonne faux d'un bout à l'autre! Vous me direz: la parole de Marguerite Duras sonne faux, de toutes façons. Non, à la lecture, cette étrange langue avec sa syntaxe hachée et ses redites produit une sorte de fascination hypnotique qui fait que, même si on n'est pas très fanatique de Marguerite Duras, on salue en elle l'Auteur, le créateur d'univers. Difficile de rester indifférent au Vice-consul ou au Ravissement de Lol V. Stein.....  Qu'en reste t-il ici? Rien.

          Une première erreur est le choix de Mélanie Thierry. Je l'aime beaucoup, cette excellente actrice! Mais elle est pleine, athlétique, terrienne, quand la Marguerite d'alors était un petit bout de femme fragile, maigrelette -ça ne colle pas!

           Donc, Robert Antelme, le mari de Marguerite, résistant dans le réseau Morland (i.e Mitterand, bien interprété par Grégoire Leprince-Ringuet) est arrêté par la police française au service de la Gestapo. Elle cherche désespérément à le retrouver, puis quand elle apprend qu'il est parti en camp de concentration, sombre dans le désespoir, ne sort plus, ne mange plus, ne se lave plus (même son amant trouve qu'elle pue, c'est dire!). C'est que, eh oui, la presque-veuve inconsolable est en même temps la maîtresse du meilleur ami (forcément) d'Antelme, Dyonis Mascolo (Benjamin Biolay aussi inintéressant en tant qu'acteur qu'en tant que chanteur....). Bizarrement Emmanuel Finkiel floute cet aspect de la biographie (c'est vrai qu'il est très gênant....). Dyonis apparaît plus comme une sorte de grand frère protecteur que comme celui avec qui Marguerite veut désormais vivre et avoir un enfant.... Et là, comme je n'hésite jamais à faire de la psychanalyse de sous-préfecture, j'ai une théorie: si la douleur de Marguerite n'était autre qu'une révolte de son Surmoi contre un sentiment diffus, honteux, souterrain, réprimé chuchotant que la disparition d'Antelme serait en fait une façon commode de régler les problèmes de sa vie sentimentale... Ah, elle deviendrait sublime, forcément sublime, la Marguerite! Mais dans le film, on s'en tient à d'interminables plans sur la nuque de Mélanie regardant au loin à travers les vitres, sur le nez de Mélanie rougi par les larmes...

            Marguerite est entrée en relation avec Pierre Rabier, l'inspecteur qui a arrêté Antelme, et qui joue avec elle au chat et à la souris. Benoit Magimel, excellent, est presque le seul élément intéressant du film. Forci (on est loin du marmot du Long fleuve tranquille mais il ne faudrait pas non plus qu'il vire Depardieu!), il impose sa présence inquiétante.... jusqu'à ce qu'il disparaisse du scénario. C'est un salaud assumé, on peut supposer qu'il a choisi le camp de la collaboration non point tant par idéologie que parce qu'il s'imaginait que ce serait le camp des vainqueurs. Mais son désir pour Marguerite (et son amour de la littérature) est une des rares choses qui sonne vrai dans le film. Car oui, le salaud rêve d'ouvrir une librairie, et chez cette femme qu'il s'imagine pouvoir acheter, c'est au moins autant l'écrivain que la jolie femme (elle était jolie à ce moment là...) qu'il désire.

            La fin évoque l'insupportable attente des familles de déportés et cela, oui, est très émouvant. Ces camps se libérant, petit à petit. Ces retours, si lents, et jamais programmés. Pourquoi X... est il revenu, et pas Y...., alors qu'ils sont partis en même temps, et au même endroit? Et ceux qui revenaient,méconnaissables. Terrible.

           Mais une séquence intéressante et un personnage ne font pas un film.
    Vale R.
    Vale R.

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2018
    Magnifique film sur le retour des survivants plutôt que sur la résistance et aussi surtout amour au delà de tout !!! Les acteurs sont vraiment superbes et surtout Mélanie Thierry époustouflante entre sa volonté de fidélité envers son mari à le faire libérer coûte que coûte malgré une union déjà en déliquescence ; plus que dans les longs monologues intellectuels, c'est dans son regard qu'on sonde tous ses affres. Cette douleur est aussi douleureuse que belle puisque Marguerite Duras la sublimera en l'écrivant. Son mari finira par revenir et survivre à cause de volonté et l'envie de revoir sa femme et sauver encore son mariage. Comme quoi la force du mental peut être plus forte que les souffrances physiques. Un très beau film certes lent ; mais cette lenteur est indispensable pour comprendre cette douleur infinie et qui s'éternise. Un film à voir.�
    Cinephille
    Cinephille

    155 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2018
    Bien sûr ça se passe sous l'Occupation, bien sûr la guerre est là toujours. Mais ce n'est pas cela que le propos du livre/film. Il s'agit d'amour, de désamour, de désir, de fidélité, de loyauté. Il s'agit des relations qui se tissent entre Marguerite et trois hommes : son mari, son collègue/amant et l'agent français de la Gestapo. Et ce triangle aurait pu se passer dans d'autres temps, d'autres milieux. C'est avec une grande satisfaction qu'on retrouve Benoit Magimel dans un grand rôle, rôle dans lequel il est magistral. Il montre toute la complexité de ce collabo, et à travers lui, celle de chaque être humain. Il donne à voir le coté odieux du bonhomme mais aussi le coté touchant de cet être épris de culture et subjugué par celle qui est par ailleurs une proie destinée à attraper de plus grosses proies. Melanie Thierry est également très bien, là aussi ça fait plaisir de la voir dans un rôle de cette ampleur. Même si l'inimitable voix de Duras n'est pas là, par moment on a l'impression de la voir. Mention spéciale pour Shulamit Adar, absolument poignante en Madame Katz. Sans une once de pathos, toute en retenue, elle résume la Shoah à elle seule et nous attrape aux tripes. La réalisation est au niveau de la direction d'acteurs. Dommage que l'écueil du changement incessant de tenues pour Mélanie Thierry n'ait pas été évité. Cette élégance, ces robes, ces tailleurs, ces chaussures, rien de tout cela n'est compatible avec le manque de tout de 1944.
    ATON2512
    ATON2512

    58 abonnés 1 124 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 janvier 2018
    De Emmanuel Finkiel (2018) . Un film sur la un pan de la jeunesse de Mme DURAS ?
    Un film ou un livre filmé . Certes plus tôt bien interprétté notamment par Mélanie THIERRY et aussi Benoît MAGIMEL en personnage trouble. Pour autant on s'ennuie . C'est long et extremement bavard avec des lectures en off carrément du livre ! C'est dommage car l'émotion crée par la perte , la souffrance de ne jamais revoir un être cher comme la relation amoureuse que l'héroine vit en plus de la perte d'un être cher ... Rien ne passe à l'écran ! On ressens plus le film à la lecture en off du livre ! , Même le jeu de Benjamin BIOLAY ne transpire rien ! Bavard et plat ! et donc long !
    Seule compensation (peut être) la description et transcription de cette époque douloureuse et leine de contradiction et de sentiments collectifs contraires notamment ce refus presqu'inconscient et naturel de ne pas vouloir regarder l'horreur indicible au travers des revenants des camps !
    Marcel D
    Marcel D

    104 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 janvier 2018
    Ce film avait tout ce qu'il fallait pour que je ne l'aime pas : la lourdeur du film sur la guerre, le rythme pas très appuyé associé à un format dépassant les deux heures, un récit plombant... Sauf que j'ai été happé dès le début, et que la magie a fonctionné jusqu'à la fin ! Mélanie Thierry est magique, c'est loin d'être mon actrice préférée dans l'absolu, mais dans ce film, elle est juste parfaite ! Comment dissocier l'Amour de l'être aimé ? Peut-on isoler la Douleur du manque et la personne perdue ? De la finesse, de la profondeur, de la subtilité non manichéenne... Non ce n'est pas un film sur la guerre, c'est un film sur la vie.
    PLR
    PLR

    464 abonnés 1 556 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2018
    Une adaptation cinématographique du roman éponyme qui reste très littéraire par sa mise en scène. Le personnage principal (Marguerite Duras) raconte en voix off. A l'image, ce qu'elle vit, ce qu'elle ressent. Une juste et belle rencontre de l'écrit et du grand écran dans la tradition des grandes adaptations qui marquent leur temps. C'est de la littérature mais c'est aussi de l'Histoire. Seul sans doute un public averti et cultivé se souviendra que dans le groupe de résistants, Jacques Morland c'est François Mitterrand. Quelques passages lents, avec fond musical en rapport, permettent au spectateur de faire une pause pour intégrer la puissance du récit sur ces années sombres. Comme dans un livre, quand on s'arrête sur un passage avant de passer à la page suivante.
    Loïck G.
    Loïck G.

    334 abonnés 1 668 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2018
    Pour reprendre en images les mots de Marguerite Duras, le point de vue d’Emmanuel Finkiel tient de l’honnêteté plus que de la fidélité. Il use abondamment (un peu trop à la longue) de la voix off que porte Mélanie Thierry avec un brio qui lui suffirait à ne jamais se montrer. Et pourtant sur « scène » la comédienne transfigure la romancière dont est adaptée l’œuvre éponyme sur le retour d’un mari des camps de concentration. L’attente, puis le doute et la douleur se conjuguent avec un brio quasi indéfinissable de la part d’un réalisateur qui avait déjà transcendé l’attitude d’une ordure (« Je ne suis pas un salaud ») et qui cette fois donne à son cadre et à la lumière toute la portée nécessaire pour retranscrire les sentiments d’une écriture et d’une âme à jamais soudées. L’interprétation de Mélanie Thierry participe en tout premier lieu à la réussite de cette retranscription imagée de l’œuvre durassienne, aux côtés d’un Benoit Magimel, excellent, bien que collabo…
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2018
    S'il y a un auteur impossible à mettre en scène au cinéma, c'est bien Duras qui de surcroît était une réalisatrice tout aussi géniale que la romancière. "La Douleur" n'est pas non plus le livre le plus facile à transposer au cinéma, sans tomber dans la fiction romantico-historique. La grande réussite du film s'incarne dans la façon dont Mélanie Thierry s'est emparée du rôle. Le risque était de jouer à la Duras. Elle joue d'abord un personnage de guerre, qui pourrait être une parmi toutes ces femmes qui attendent le retour de l'enfant ou du conjoint disparus dans les camps, les joues sont déjà rosies par l'alcool, elle fume beaucoup, elle guette. On reconnaît la Duras aux phrases immenses de beauté que l'actrice déroule en contrechamps de l'image. On reconnaît aussi la grande Duras à la reconstitution de son fameux appartement de la rue Saint Benoît, à l'ambiance guerrière des cinquièmes et sixièmes arrondissements, à la façon dont la caméra distille les objets du quotidien, si importants dans l’œuvre de la romancière. On retrouve les tasses de café, le téléphone placé à côté du canapé où elle attend de recevoir des nouvelles de son mari. Le réalisatrice recompose totalement l'ouvrage, ne s'intéressant pas tant à la reconstitution de l'homme revenu des camps, que sa relation trouble avec Rabier ou l'attente désespérée du mari. Il joue avec la temporalité narrative, il joue avec les dédoublements si caractéristiques de l'auteure, tout aussi héroïne de ses livres que théoricienne de sa propre littérature. "La Douleur" était un pari fou. Emmanuel Finkiel parvient à l'impossible.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 28 janvier 2018
    un film très lent et difficile à supporter. Encore un film sur la dernière guerre mondiale qui n'offre aucun intéret.. C'est .
    l'attente d'une femme qui souffre de ne plus voir son mari et qui,i dès qu'elle apprend qu'il va revenir de Dachau, veut demander le divorce; c'estt tout à fait incohérent.
    norman06
    norman06

    345 abonnés 1 663 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2018
    Adaptation soignée et émouvante d’un roman de Duras, le film bénéficie d’un travail technique impeccable, d’un jeu d’acteurs sans failles, d’une reconstitution saisissante de la Libération, et du beau texte de Duras en voix off. Même si on attendait plus d’audace d’Emmanuel Finkiel, le métrage est donc recommandable et reste fidèle à sa thématique de la mémoire de la Shoah et du mouvement spatial des peuples.
    fcarco
    fcarco

    3 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 janvier 2018
    Si vous n’êtes pas fan de la littérature de Dame Duras, évitez !!! Textes prétentieux lus en voix off, musique contemporaine usante, flous constants de la caméra, etc....Comme beaucoup de spectateurs dans la salle : ouf que cela se termine...malgré des interprètes à la hauteur...
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