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Ciné-13
117 abonnés
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1,0
Publiée le 9 février 2022
Beaucoup de séquences inutiles, ennuyeuses, sans intérêt. Documentaire à la gloire de LISSNER. Pourquoi montrer ces gamins de CM2 qui renaclent? Pourquoi le chorégraphe a démissionné? A combien les places pour la Damnation de Faust? Les séquences prises sur le vif lors des répétitions, des discussions sont illustrées en fond sonore par des extraits d'opéra et de concerts qui n'ont rien à voir. Et dernière chose, l'absence de sous-titrages mentionnant le nom des interprètes, des oeuvres se fait cruellement sentir. Inachevé! Bâclé!
On semble loin de la musique pure. Mais on remarque comment toutes ces personnes sont réelles et existent. Quand on est spectateur on ne voit rien que du sublime et de la beauté mais ce reportage nous montre des gens comme tout le monde qui ont de la chance de travailler dans un endroit prestigieux qui est fascinant !!! Passionnant reportage.
ion, ni image choc ou d émotion tournage au kilométré sans état d âme sans supplément d âme. Franchement en dehors de l aspect documentaire indéniable ... Je trouvé très cliché les grèves, les brulots sur la place de la Bastille même si c est une composante de la vie française.. Franchement pour les amoureux de nos 2 théâtres Garnier et Bastille il faut le voir... Pour le film ... c est franchement bof ! j aurais auimé un film de type dans les yeux des bleus de canal plus une vraie émotion a la gloire de cette culture universelle...que cette eau tiedasseni cosmopolite nis universaliste mais plutôt une salle des pas perdus ou je me suis ennuyé. Désolé
Le monde de l'opéra est le lieu ou il faut sans cesse faire mieux pour attirer le plus de public possible, représentation après représentation. Pour ceux qui y participent, chanteurs, danseurs, et musiciens, il y a le désir d'aller toujours au meilleur. La direction a ainsi toutes les cartes dont elle doit sortir un spectacle qui doit enchanter tout un public, plus moins exigeant. On suit ainsi le travail de toutes ces personnes qui vont tout faire pour nous emporter. Que ce soit le jeune chanteur qui vient de la profonde Russie ou la danseuses étoile. Ils sont là, pour eux, rendre le meilleur, et pour nous
Découverte intéressante de Bastille, on peut voir quelques répétitions et préparatifs, accéder aux loges, suivre les discussions de le Direction. Bémol selon moi, le documentaire est surtout axé sur l'Opéra, trop peu sur la Danse...Je reste sur ma faim.
Merveilleux film où on est porté par la musique et l'exigence d'excellence de tous les protagonistes depuis les grandes divas, ténors et barytons en passant par un jeune chanteur russe, les danseurs, metteurs en scène mais aussi les mille corps de métier qui contribuent tous peu ou prou à la naissance d'un spectacle. Le montage, les plans, les angles de visions sont pertinents et montrent l'art à son sommet. Un grand bravo ! A voir absolument
moi j'ai trouvé ce documentaire magnifique, .. tout simplement magnifique ... .. on entre dans le sujet avec une grande douceur, on vit chaque moment , on est dans l'opéra... vraiment super .. merci de ce moment ..
Ce documentaire nous ouvre les portes de l'Opéra de Paris. Le réalisateur est un témoin discret de l'effervescence des lieux. Tous les métiers sont présentés, des techniciens au directeur. Ce qui ressort de ce film, c'est la passion qui les unit tous. Une séquence particulièrement émouvante: les petits violons. Ces enfants scolarisés en banlieue qui ont suivis des cours de violons ou violoncelle tout au long de l'année. Une preuve, si l'en fallait, que toutes les cultures sont accessibles à chacun.
Un merveilleux documentaire en immersion profonde sur les scènes et dans les coulisses de l’Opéra, avec les managers, les étoiles et toutes les équipes – jusqu’à celles de ménage – qui les font briller. C’est profondément humain, c’est passionnant, parfois cocasse et montre fidèlement la somme de travail, de toutes et tous, qu’exige la perfection de l’Art. La mise en scène, très habile, est très réussie, balançant entre réalisme et subjectivisme. L’absence de commentaires est un bonheur : il ne nuit pas à notre compréhension et aide à notre immersion complète.
Le réalisateur du doc' "Cleveland contre Wall Street" s’intéresse à un univers qu'il ne connaissait pas du tout initialement et a donc filmé pdt près d' 1 an les coulisses de l'Opéra Bastille . Seul les tragiques événements de novembre 2015 et les manifestations contre la loi Travail permettent un repère chronologique.Bron n'oublie pas de se focaliser sur qq personnages en fil rouge de ce documentaire comme le jeune baryton Russe auditionné au début et vu dans sa plongée dans le grand bain à la fin . C'est très intéressant évidemment car on passe des coulisses de la création (en arrivant à saisir l'instantané de l'après performance et la fatigue liée) aux aspects gestionnaires (et ces réunions autours de la question de l'évolution des prix néfaste pour le rapprochement avec le grand public ).Cette image flatteuse d'une institution soucieuse de ne pas se réserver à une élite bourgeoise est aussi montrée par le travail avec des gamins d' une ZEP apprenant à jouer d' un instrument .
Un documentaire qui ne ressemble pas à un documentaire. On suit l'activité de l'Opera et de tous ceux qui font vivre cette institution sans jamais être envahi de commentaires insipides. Sans oublier la musique et la danse.
La qualité de ce documentaire n'est pas à remettre en question. Tous les aspects sont montrés, aussi bien du côté de l'administratif que du créatif (bien que la musique est bien plus mise en avant que la danse). L'absence de voix off nous permet de nous plonger sans barrière au sein des événements auprès de "personnages" très attachants. Il y a de l'humour, du drame, du spectacle... Toutefois il semble que ce documentaire ne soit pas conçu pour les novices. Personne n'a pensé à ceux qui n'ont jamais été à l'opéra, qui ne savent pas le programme de l'année dernière et qui ne connaissent pas leurs classiques. Ainsi aucune indication ne présente les personnes que nous rencontrons au fur et à mesure si ce n'est le directeur, Millepied et Micha. Tous resteront donc des anonymes pour moi, même quand ils sont clairement célèbres. De même si vous n'avez pas révisé vos opéras vous ne saurez jamais quelles œuvres vous ont enchanté quelques minutes (excepté Les Maîtres chanteurs grâce à quelques sous-titres suite à la traduction de phrases en anglais). Il faudra donc bien vous accrocher à la fin du documentaire pour saisir à la volée toutes ces informations dans le générique de fin...
Jean-Stéphane Bron réalise un documentaire qui s'apparente à un vrai film. Qu'est-ce qu'une maison d'opéra ? Comment dirige-t-on les hommes qui participent à l'élaboration des spectacles, sans oublier la pleïade de métiers invisibles des spectateurs (femmes de ménage, blanchisseuses, surveillants, ...) ? Deux personnages ont un relief particulier et sont plus suivis que les autres : le directeur, Stéphane Lissner et un jeune chanteur russe venu du fin fond de l'Oural. L'habileté de Stéphane Lissner est mise en avant : il arrive à négocier pour éviter les grèves, incite le metteur en scène à faire un geste pour le choeur qui se rebelle, a déjà tout prévu pour remplacer Benjamin Millepied, le directeur de la danse, qui va démissionner suite au conflit avec le corps de ballet. On l'entend préparer la présentation de la saison. Bron saisit le moment croustillant où l'équipe de Lissner précise que l'opéra de Paris est allé au-delà des exigences de l'Etat sur le nombre de nouveaux spectacles et où celui-ci dit explicitement qu'il vaut mieux ne pas le dire publiquement. Lissner sait bien sûr que la caméra tourne. De même il convoque une réunion où il demande à son staff de réfléchir à baisser drastiquement les prix et fait dire par son second que ce n'est pas possible. Habile communication du directeur (car les prix n'ont pas du tout baissé dans la réalité). Le jeune chanteur russe est attachant dans ce passage de témoin avec Brynn Terfel, son aîné dans la même tessiture. Séquence insolite avec un véritable taureau d'une tonne qui est introduit pour une représentation de Moïse et Aaron. Séquence émotion avec les attentats de Charlie et la minute de silence. Bron montre non seulement l'allocution du président sur scène mais aussi la minute de silence chez les surveillants. Séquence panique avec le désistement deux jours avant d'un chanteur.
Plutôt décevant d'observer que Stéphane Lissner,directeur du prestigieux Opéra de Paris est capable de dire pendant le tournage: "ce n'est pas pareil QUE...", faute de français plutôt commune mais qu'on n'aimerait justement ne pas entendre ici.... Quel était l'intérêt du film? Nous parler des problèmes:syndicats, budgets... ou nous montrer ce qu'il y a de grandiose, ce qui va nous porter sur un nuage le temps d'une représentation,cette recherche de la perfection chez une danseuse, un chanteur....? Quant au taureau !Une telle bête qui reste tranquille dans une boite de verre, il a dû être bien drogué! C'est sûr, pas facile de rester dans des coûts raisonnables avec des fantaisies de ce genre . J'ai assisté à des spectacles de rue gratuits et magnifiques qui m'ont permis de m'envoler un instant.... Ce ne fut pas le cas de "l'Opéra".