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Un doc intéressant qui révèle un scandale tellement énorme qu'on a presque du mal à y croire, c'est fou.
pierrre s.
Intéressant (et terrifiant) sur le fond, Icare péche sur sa forme. A trop vouloir donner dans le thriller, Bryan Fogel nuit à son propre film.
Surréaliste, incroyable, fou. Le contenu est d'une authenticité surréaliste qui fait froid dans le dos.
Les gens dénigrant ce film sous prétexte qu'il raconte et "dénonce" des choses que l'on sait déjà n'en n'ont pas compris l'interêt.
Oui, le gouvernement russe est corrompu et le dopage dans le sport est monnaie courante mais ce n'est pas le propos du documentaire au final.
Au début on peut se dire que le métrage sera intéressant mais sans plus sur comment ne pas se faire repérer en se dopant mais il révèle dès son premier quart quelque chose que même le réalisateur ne s'attendait pas et qui survient d'un (heureux?) hasard. Scénario digne d'un thriller d'espionnage et personnes attachantes, on se prends au récit haletant (même si un peu sensationnaliste) et on suit les déboires de ce scientifique et de ce réalisateur et cycliste amateur face à une affaire qui les dépasses.
Le film ne veut pas dénoncer ; il veut juste raconter une affaire connue mais d'un point de vu plus humain et prenant. Certains seront déçut, d'autres non et pour ma part c'était divertissant et impressionnant de découvrir tout se complot d'un nouvel oeil et c'est pour cela que je le note aussi haut.
Oui, le gouvernement russe est corrompu et le dopage dans le sport est monnaie courante mais ce n'est pas le propos du documentaire au final.
Au début on peut se dire que le métrage sera intéressant mais sans plus sur comment ne pas se faire repérer en se dopant mais il révèle dès son premier quart quelque chose que même le réalisateur ne s'attendait pas et qui survient d'un (heureux?) hasard. Scénario digne d'un thriller d'espionnage et personnes attachantes, on se prends au récit haletant (même si un peu sensationnaliste) et on suit les déboires de ce scientifique et de ce réalisateur et cycliste amateur face à une affaire qui les dépasses.
Le film ne veut pas dénoncer ; il veut juste raconter une affaire connue mais d'un point de vu plus humain et prenant. Certains seront déçut, d'autres non et pour ma part c'était divertissant et impressionnant de découvrir tout se complot d'un nouvel oeil et c'est pour cela que je le note aussi haut.
Un vrai thriller !
Le niveau de corruption et de mensonge du système russe apparaît toujours plus dément.
Et malheureusement, l'actualité de 2022 rappelle que cela pousse le régime toujours dans une fuite en avant.
Le niveau de corruption et de mensonge du système russe apparaît toujours plus dément.
Et malheureusement, l'actualité de 2022 rappelle que cela pousse le régime toujours dans une fuite en avant.
Un film d animation parfaitement exécuté sur tous les points et une adaptation juste et recherchée de l histoire d Icare
Les images sont d une beauté touchante les musiques parfaites et le scénario et les dialogues d une justesse parfaite.
Merci pour ce film intelligent et beau et pour ce moment hors du temps
Les images sont d une beauté touchante les musiques parfaites et le scénario et les dialogues d une justesse parfaite.
Merci pour ce film intelligent et beau et pour ce moment hors du temps
J’avais coché ce documentaire dans ma liste depuis quelques semaines en pensant voir une expérience d’un amateur qui se dope de façon professionnelle sans se faire attraper. Au début, c’est vraiment ce à quoi je m’attendais avec ce protocole suivi à la lettre mais qui fait froid dans le dos. Puis brusquement, le film tourne dans un véritable thriller politique. L’ambiance change de ton et on part sur une réelle enquête, tournée en temps réel (et un joli hasard de calendrier avec cette enquête internationale sur un des principaux protagonistes du documentaire). Au final, c’est plutôt intéressant et assez édifiant de voir comment la Russie a créé ce système de dopage d’état, sans qu’elle soit vraiment inquiétée. Le documentaire est un peu long et parfois compliqué à suivre mais la vie d’un lanceur d’alerte est toujours palpitante.
Ça commence comme un super size me version dopage et ça devient un documentaire extrêmement prenant et intéressant. Le film est assez dur moralement mais il vaut le coup d'œil.
Bryan Fogel a commencé son documentaire « Icare » façon « Super Size Me » en étant son propre cobaye de dopage et s’est trouvé, embarqué, sur LE sujet du dopage d’état russe en étant au bon endroit, au bon moment et surtout avec la bonne personne. Le dopage de Lance Armstrong était celui d’une équipe, là, on est à un niveau supérieur d’organisation. Le documentaire montre bien la tension qui entoure le protagoniste principal et les décisions qu’il a à prendre face aux événements extérieurs. Quant aux dénégations officielles et au résultat final, il y a de nombreuses similitudes avec le documentaire suivant de Bryan Fogel : « The Dissident ».
Le démarrage est un peu poussif et j'ai trouvé la réalisation un peu déstructurée. Grâce au hasard du calendrier la 2nde partie est haletante et digne d'un excellent thriller.
Le documentaire ne doit son salut qu'au hasard du calendrier et un de ses personnages clés qui devient un lanceur d'alerte et un informateur privilégié, au milieu d'une tempete dont on ne voit rien puisqu'elle implique sans doute l'Etat russe et ses services secrets. Dans sa première partie le documentaire manque de rigueur et de clarté, je n'ai pas compris quel était le but initial. Après, ca devient haletant, mais sans grande révélation pour tous ceux qui ont suivi l'affaire à l'époque.
Yves G.
Documentariste et cycliste amateur, Bryan Fogel avait décidé de mener une enquête sur le dopage sportif en utilisant son propre corps comme cobaye. Un peu comme Morgan Spurlock dans "Super Size Me", qui mesura les effets de la malbouffe en se nourrissant uniquement de McBurgers. Pour mener à bien son enquête, le cycliste est entré un contact avec Gregory Rodchenkov, un chimiste russe qui dirigeait à l'époque le laboratoire de Moscou référent de l'Agence mondiale antidopage. Avec sa complicité active, Bryan Fogel a suivi un programme anabolisant censé développer ses performances.
Quand la Russie est suspectée par le Comité international olympique de mener un programme à large échelle de dopage, Rodchenkov, craignant de servir de bouc-émissaire, décide de quitter Moscou, de se réfugier aux États-Unis et d'y raconter au New York Times la nature exacte de ses activités. Bryan Fogel l'aide dans sa fuite et filme ses révélations.
"Icarus" est un documentaire étonnant qui n'a pas volé son Oscar en 2018. Il filme de l'intérieur, en temps réel, l'exfiltration d'un lanceur d'alerte russe et la façon dont il dévoile les secrets en sa possession. On pense à Snowden, ou à manning, sauf que les films ou les documentaires qui leur ont été consacrés ("Citizen Four", "Snowden", "XY Chelsea"…) ont été tournés après coup. Icarus en revanche a été tourné sur le vif. Et, quand on n'en connaît pas le dénouement, on suit avec angoisse les rebondissements de son histoire.
Le défaut de ce documentaire repose dans la complexité de son dispositif et, du coup, dans son inhabituelle longueur (plus de deux heures). Au lieu d'aller droit au but, "Icarus" emprunte un long chemin de traverse en documentant la façon dont Bryan Fogel est entré en contact avec Gregory Rodchenko, non pas pour enquêter sur le dopage dans le sport russe de haut niveau, mais pour répliquer le protocole suivi par Lance Armstrong pour gagner frauduleusement sept Tours de France consécutifs. On y passe trois bons quarts d'heure et on y perd de vue ce qui constitue en fait le cœur d'"Icarus" : des révélations dévastatrices sur l'un des plus grands scandales de l'histoire du sport.
Quand la Russie est suspectée par le Comité international olympique de mener un programme à large échelle de dopage, Rodchenkov, craignant de servir de bouc-émissaire, décide de quitter Moscou, de se réfugier aux États-Unis et d'y raconter au New York Times la nature exacte de ses activités. Bryan Fogel l'aide dans sa fuite et filme ses révélations.
"Icarus" est un documentaire étonnant qui n'a pas volé son Oscar en 2018. Il filme de l'intérieur, en temps réel, l'exfiltration d'un lanceur d'alerte russe et la façon dont il dévoile les secrets en sa possession. On pense à Snowden, ou à manning, sauf que les films ou les documentaires qui leur ont été consacrés ("Citizen Four", "Snowden", "XY Chelsea"…) ont été tournés après coup. Icarus en revanche a été tourné sur le vif. Et, quand on n'en connaît pas le dénouement, on suit avec angoisse les rebondissements de son histoire.
Le défaut de ce documentaire repose dans la complexité de son dispositif et, du coup, dans son inhabituelle longueur (plus de deux heures). Au lieu d'aller droit au but, "Icarus" emprunte un long chemin de traverse en documentant la façon dont Bryan Fogel est entré en contact avec Gregory Rodchenko, non pas pour enquêter sur le dopage dans le sport russe de haut niveau, mais pour répliquer le protocole suivi par Lance Armstrong pour gagner frauduleusement sept Tours de France consécutifs. On y passe trois bons quarts d'heure et on y perd de vue ce qui constitue en fait le cœur d'"Icarus" : des révélations dévastatrices sur l'un des plus grands scandales de l'histoire du sport.
Guillaume
Entrez dans les coulisses d'un des plus grands scandales de l'Histoire du sport.
Tous les ingrédients d'un bon polar sont réunis : argent, compromission, politiques corrompus... La réalité dépasse la fiction.
À la foi captivant et effarant. Orwell ne l'aurait pas renié.
Tous les ingrédients d'un bon polar sont réunis : argent, compromission, politiques corrompus... La réalité dépasse la fiction.
À la foi captivant et effarant. Orwell ne l'aurait pas renié.
Un film documentaire intéressant et bien réalisé qui nous plonge dans le milieu intriguant du dopage. J'ai trouvé originale la manière avec laquelle l'histoire passe du genre documentaire à un thriller. Je trouve tout de même que le montage est un peu exagéré.
Le gouvernement russe est corrompu ?! Non, quelle surprise ! Ce document ne dénonce absolument rien et est ennuyeux à mourir. Le dopage dans le sport de haut niveau ? Pas possible.... Ce film est monté avec de pseudo image en caméra cachée et une musique qui essaie de faire monter la tension .... ridicule !
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