AlloCiné
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Votre avis sur Patti Cake$ ?
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Eh bien que dire de bien de ce Patti Cake$. J'étais vraiment content quand ce fut fini donc je suppose que ce serait la seule bonne chose à dire a ce sujet. C'est un film débordant de clichés, d'écriture paresseuse et de médiocre à mauvais jeu d'acteurs. Les dialogues utilisés par les personnages sont vraiment ennuyeux et les mots et les phrases sont simplistes et beaucoup d'entre elles dégoûtantes. Il existe de bien meilleures façons de passer votre temps précieux...
Superbe, j'ai généralement un coeur de pierre devant les films mais celui-ci m'a fait couler plus d'une larme
j'ai décroché au moment où elle perd son job à cause d'un client qu'elle doit servir un coktail à un type qui la critique plus bas que terre. dommage c'était pourtant intéressant. 2 étoiles pour l'actrice principale qui se bat sang et ongles poir devenir une chanteuse de rap qui joue superbement bien
Époustouflant ! Patti n'a pas une vie des plus facile dans cette banlieue pauvre... Mère dépressive, mamie malade, problèmes financiers... elle bosse dur et essaye de s'en sortir. elle s'accroche et veut rêver en grand' rêver en RAP. pas facile de percer dans ce milieu quand on est une jeune fille ronde et blanche. l'actrice qui joue Patti est bluffante et touchante !
Je rejoins le commentaire d'un autre utilisateur. C'est un 8 MILE au féminin mais très feel good.
Je ne suis pas fan de rap mais le flow est bon.
Les paroles sont percutantes les acteurs sont top.
On suit les aventures de Patty Cake et de son pote Jhery qui vivent dans le New jersey.
Parents divorcé, mère chanteuse ratée et alcoolique pour pouvoir vivre sa vie et subvenir au besoin de sa mère.Patty est serveuse mais Patty est aussi une rapeuse douée elle forme un groupe avec son pote Jhery puis elle fait la rencontre d'un mysterieux Basterds ;)
Ce film mérite d'être vu il est vraiment fun.
Je ne suis pas fan de rap mais le flow est bon.
Les paroles sont percutantes les acteurs sont top.
On suit les aventures de Patty Cake et de son pote Jhery qui vivent dans le New jersey.
Parents divorcé, mère chanteuse ratée et alcoolique pour pouvoir vivre sa vie et subvenir au besoin de sa mère.Patty est serveuse mais Patty est aussi une rapeuse douée elle forme un groupe avec son pote Jhery puis elle fait la rencontre d'un mysterieux Basterds ;)
Ce film mérite d'être vu il est vraiment fun.
Me dites pas que c'est encore l'histoire d'une grosse moche qui va devenir célèbre? Bon je dois arriver à 100 caractères pour valider ce commentaire alors voila je crois que c'est fait allez salut!
bsalvert
Une impression de déjà vu de la petite provinciale qui se rêve talentueuse dans cette terre de tous les possibles.
PLV : un jeu d'actrice impressionnant
PLV : un jeu d'actrice impressionnant
Si Patti Cake$ est un film « de rap », faisant écho à 8 Mile de Curtis Hanson avec Eminem (2002), il se joue des stéréotypes souvent machistes du genre. Son héroïne a un flow incroyable, une bonne dose de sarcasme et de la persévérance à revendre. Il faut bien ça pour percer dans le milieu du hip-hop quand on est une fille sans connexions et avec très peu de moyens.
Venez savourez ce « feel good movie » et sa bande originale très réussie qui mêle hip-hop, rock et pop !
Venez savourez ce « feel good movie » et sa bande originale très réussie qui mêle hip-hop, rock et pop !
"Patti cakes "est un film léger et divertissant qui permet de passer un bon moment. Bien que le thème principal soit le "hip hop", on reste loin de l'univers sombre auquel on l'associe.
Cinememories
Musique peu aguichante, le rap, comme ses nombreux artistes, ne parviennent pas à inverser la tendance. Le discours aura beau transcender l’expérience personnelle, mais la vulgarité est le principal facteur qui face défaut à la leçon qu’on doit en tirer. La crédibilité se perd et on ne retient qu’une longue ligne de texte au premier degré, ressemblant davantage à une plainte ou une agression qu’une forme de solidarité. Il a pourtant quelque chose de noble dedans et Geremy Jasper nous le montre dans un parcours atypique d’une jeune blanche, aussi bien rêveuse que talentueuse. Avec la multi-casquette le plaçant derrière la caméra, le scénario et les compositions, Japer véhicule, avec les plus grands soins, tout le respect et l’amour d’un genre musical, parfois incompris.
On s’installe dans le New Jersey, où Patricia Dombrowski (Danielle Macdonald) vit dans la médiocrité et l’instabilité. On y trouve un aspect d’américain de classe moyenne, mais on est encore en-dessous de ce pallier. La personnalité de Patti révèle alors plusieurs craintes pendant son ascension. De plus, le scénario n’a pas de quoi briller et se contente d’une linéarité sans forcer. Là où on se permet un peu de liberté, c’est dans le flow qui ne se calcule pas ou alors le bluff est très subtil. Quelque part, elle explore son talent avec modération jusqu’à entrevoir un soupçon de vengeance dans le ton. Mais sans trop tomber dans le pathos, il est permis à l’artifice d’exister.
Au cœur de la fresque sociale se forme un groupe improbable, où Jheri (Siddharth Dhananjay) amorce le décalage humoristique. Avec lui, le discours est léger, tout comme chaque rencontre que Patti fera. On admet alors une distance entre l’artifice et le concret. Les codes sont simples et sont respectés sans caprice et sans gêne pour un visionnage intuitif. La tendresse se saisit de plusieurs scènes où la rappeuse combat avec ses mots. La justesse y est, le flow y est et la victoire y est. De ce fait, la détermination de Patti sera récompensée. Barb, sa mère pour qui la vie la plonge dans le décor de son brin de chanteuse, reste conservatrice sur les bords. Et au moment où elle comprend les ambitions de sa fille, la vérité éclate et les rassemble aussi bien sur scène que dans un amour familial puissant.
Le réalisateur de clips a fini par développer un message plus que commercial avec « Patti Cake$ », hormis quelques passages reflétant l’état d’esprit de la chanteuse. Pour une première réalisation, il y a du courage et de l’effort. Cependant, le tout baigne parfois dans un superflu qui ne capte pas toujours les bons sentiments. Le récit se veut sensible autour de Patti, mais peine parfois à se raccorder à l’esthétique qu’on impose. On tourne aussi en rond dans l’évolution des personnages, mais on finit par saisir le pourquoi du comment. Le réalisateur se transpose en ses personnages pour qui il affectionne autant de bonne volonté que son œuvre propose de légèreté. Toutefois, rien n’empêche de se laisse entrainer dans le mouvement de la révolte, un instant fort bien géré et qui mérite le meilleur des soutiens pour l’avenir.
On s’installe dans le New Jersey, où Patricia Dombrowski (Danielle Macdonald) vit dans la médiocrité et l’instabilité. On y trouve un aspect d’américain de classe moyenne, mais on est encore en-dessous de ce pallier. La personnalité de Patti révèle alors plusieurs craintes pendant son ascension. De plus, le scénario n’a pas de quoi briller et se contente d’une linéarité sans forcer. Là où on se permet un peu de liberté, c’est dans le flow qui ne se calcule pas ou alors le bluff est très subtil. Quelque part, elle explore son talent avec modération jusqu’à entrevoir un soupçon de vengeance dans le ton. Mais sans trop tomber dans le pathos, il est permis à l’artifice d’exister.
Au cœur de la fresque sociale se forme un groupe improbable, où Jheri (Siddharth Dhananjay) amorce le décalage humoristique. Avec lui, le discours est léger, tout comme chaque rencontre que Patti fera. On admet alors une distance entre l’artifice et le concret. Les codes sont simples et sont respectés sans caprice et sans gêne pour un visionnage intuitif. La tendresse se saisit de plusieurs scènes où la rappeuse combat avec ses mots. La justesse y est, le flow y est et la victoire y est. De ce fait, la détermination de Patti sera récompensée. Barb, sa mère pour qui la vie la plonge dans le décor de son brin de chanteuse, reste conservatrice sur les bords. Et au moment où elle comprend les ambitions de sa fille, la vérité éclate et les rassemble aussi bien sur scène que dans un amour familial puissant.
Le réalisateur de clips a fini par développer un message plus que commercial avec « Patti Cake$ », hormis quelques passages reflétant l’état d’esprit de la chanteuse. Pour une première réalisation, il y a du courage et de l’effort. Cependant, le tout baigne parfois dans un superflu qui ne capte pas toujours les bons sentiments. Le récit se veut sensible autour de Patti, mais peine parfois à se raccorder à l’esthétique qu’on impose. On tourne aussi en rond dans l’évolution des personnages, mais on finit par saisir le pourquoi du comment. Le réalisateur se transpose en ses personnages pour qui il affectionne autant de bonne volonté que son œuvre propose de légèreté. Toutefois, rien n’empêche de se laisse entrainer dans le mouvement de la révolte, un instant fort bien géré et qui mérite le meilleur des soutiens pour l’avenir.
Patti cakes a un certain charme, celui du courage, de la persévérance envers et contre tout pour arriver à atteindre son but. mais l'ensemble n'aborde qu'en surface toutes les épreuves, les paliers à franchir et l'aspect psychologique des galères. en outre, ce scénario n'apporte rien de bien nouveau.
framboise32
Le film parle du passage de l’adolescence à l’age adulte. De la difficulté à s’affirmer, de poursuivre ses rêves. L’histoire de cette jeune femme est rythmée par le rap. Aucune mièvrerie dans cette quête, pas de violence physique, pas de drogue. Même si le scénario n’a rien d’original, le film ne manque pas de charme
La comédienne Danielle MacDonald interprète le rôle de Patti Cake$. La jeune femme n’avait jamais chanté le rap de sa vie. Géremy Jasper l’a choisie. Le réalisateur a expliqué avoir donné à ses personnages le visage des femmes du quartier dans lequel il a vécu. Et la jeune actrice ressemblait à une de ces jeunes femmes. Danielle MacDonald a d perdre son accent australien et apprendre à rapper. Elle est très convaincante dans son role.
Patti Cake$ est un film « good movie ». Le portrait de cette jeune femme est vaut le coup d’être vu. On se laisse prendre
La comédienne Danielle MacDonald interprète le rôle de Patti Cake$. La jeune femme n’avait jamais chanté le rap de sa vie. Géremy Jasper l’a choisie. Le réalisateur a expliqué avoir donné à ses personnages le visage des femmes du quartier dans lequel il a vécu. Et la jeune actrice ressemblait à une de ces jeunes femmes. Danielle MacDonald a d perdre son accent australien et apprendre à rapper. Elle est très convaincante dans son role.
Patti Cake$ est un film « good movie ». Le portrait de cette jeune femme est vaut le coup d’être vu. On se laisse prendre
Patti Cakes nous fait entrer dans un monde que l"on connaît mal, celui du rap. mêlant poésie et discrimination, ce film est un petit bijou sans prétention qui nous a donné des frissons.
être une femme dans le monde du rap, blanche et grosse de surcoît... le parcours impossible d'une jeune barman qui se raccroche à ses rêves et qui se bat sans pour eux, sans pathos et sans illusion, flanquée de ses acolytes aussi loufoques qu'elle.
être une femme dans le monde du rap, blanche et grosse de surcoît... le parcours impossible d'une jeune barman qui se raccroche à ses rêves et qui se bat sans pour eux, sans pathos et sans illusion, flanquée de ses acolytes aussi loufoques qu'elle.
Vinz1
Voici un petit film indépendant sur une jeunesse qui essaie de percer dans le milieu du rap. Sauf qu’ici on est dans le New Jersey et que notre « rappeur » en herbe est une fille, obèse qui plus est ! Pas facile alors de se faire une place et des amis, surtout quand on a plusieurs petits jobs pour aider la famille dont le père est parti et la mère au chômage ! Plus qu’un métrage sur le courage et l’abnégation de son principal protagoniste, "Patty Cake$"est une véritable chronique sociale de la vie dans la grande banlieue de New York et ça n'a rien de reluisant. Si la BO du film est bien foutue (particulièrement le titre P.B.N.J.), c’est surtout le casting qui est superbe avec notamment Patti (Danielle Macdonald) et Jheri (Siddharth Dhananjay),des personnages attachants qui ne baissent jamais les bras.
Film bouleversant d'émotion même si cette émotion passe par des paroles crues qui expriment toute la violence d'un monde qui marginalise jeunes, éthnies, gros, vieux, pauvres....on se sent entraînés par ce rap et musique pop. L'interprète principale est géniale
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