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Comme des rois est le troisième film de Xabi Molia, Il met en scène un Kad Merad en tant que père de famille qui hésite pas a mettre son fils dans de drôle de pétrin pour de l'argent. De l'argent il leur en manque, jusqu'ou sont il prêt a aller?
Ma note est 3/5, nous sommes dans des périodes ou la pauvreté augment non stop, ce film montre ce qu'un père est obligé de faire pour survivre, meme a mettre son fils dans les ennuies.
Film interessant, cependant il manque cruellement de suspense et de rythme à mon sens. Il se laisse cependant bien regardé
Ma note est 3/5, nous sommes dans des périodes ou la pauvreté augment non stop, ce film montre ce qu'un père est obligé de faire pour survivre, meme a mettre son fils dans les ennuies.
Film interessant, cependant il manque cruellement de suspense et de rythme à mon sens. Il se laisse cependant bien regardé
Il serait trop sévère de condamner ce film au simple statut de navet, car il traite de sujets actuels en prenant appui sur Kad Merad et Mottet Klein, qui livre une prestation plus qu'honorable. Ce qui me gêne est plutôt le format de ce film: trop court pour que le spectateur se plonge véritablement dans l'histoire (1h20, c'est très peu), une fin (ouverte?) précipitée, des acteurs "bof" comme seconds rôles ainsi que certaines scènes mal coupées. Néanmoins, l'intrigue est sauvée grâce à l'émotion du duo et l'évolution de la relation père-fils au fil du film.
Un film étonnant qui s'intéresse à la filiation père-fils, avec un excellent Kad Merad aux multiples facettes. Il fait ce qu'il peut pour que sa famille s'en sorte, et notamment des petites arnaques, des petits larcins, en entraînant son fils pour le former. Mais ce dernier ne veut pas de cette vie et reve de devenir acteur. Les acteurs ne surjouent pas, ce film ne fait pas dans le misérabilisme et ça le rend très crédible, et très touchant. Alors, compte tenu des notes assez moyennes du public, j'imagine que les gens auraient aimé une autre fin... mais soyons honnête, celle-ci est tellement plus vraie, plus crédible.
Comme des rois est une sorte de comédie dramatique impliquant un père d'une cinquantaine d'années et son fils adulte d'une vingtaine d'années. A la fois au chômage et endettés qui tentent désespérément de s'en sortir financièrement. Ils ne reculent devant rien y compris escroquer les personnes âgées par des ventes de vin factices ou des vols de tonnelier sur les routes ferroviaires. C'est aussi un film social axé sur les problèmes du monde moderne. Des personnages touchants dans lesquels nous pouvons facilement nous reconnaître. Avec un Kad Merad à son mieux question interprétation...
L'histoire un peu convenue d'un fils qui veut échapper aux galères de son père pour prendre sa liberté. C'est plutôt bien écrit, c'est bien joué, mais l'impression de déjà-vu est belle et bien là. Pourtant le duo Kacey Mottet-Klein/Kad Merad fonctionne bien. Ils sont tous les deux parfaitement dans leur rôle. Kad Merad est impeccable dans ce registre, sans en faire des tonnes.
L'ensemble ressemble tout de même un peu trop à un téléfilm pépère vu sur France 3.
L'ensemble ressemble tout de même un peu trop à un téléfilm pépère vu sur France 3.
Caine78
De Xabi Molia, je n'avais rien vu depuis le touchant « 8 fois debout », c'est donc avec plaisir que j'ai saisi l'occasion de voir « Comme des rois », où l'on retrouve à pas mal d'égards les thèmes du réalisateur : l'entraide, les galères, les relations humaines, avec toujours (et sans doute encore plus ici) cette dimension sociale abordant sans détour la situation dramatique dans laquelle sont plongées nombre de personnes actuellement. Il le fait avec de l'humour, sans lourdeurs, offrant une sorte d' « éloge de la débrouille » plaisant, n'idéalisant jamais ses personnages, ce qui les rend plus attachants, authentiques, ce qui n'était pourtant pas gagné avec celui du père. J'aime bien cette logique, honnête, quitte à les enfoncer à plusieurs reprises. La passion du théâtre est également assez bien intégrée, offrant une échappatoire crédible à la tristesse du quotidien. Dommage que la forme soit aussi quelconque et qu'au final, rien de bien surprenant dans l'évolution du récit et des différents enjeux, si ce n'est peut-être le dénouement, au demeurant logique, cohérent. Mais les acteurs font preuve d'une belle énergie, et si les seconds rôles (notamment féminins) ne sont clairement pas assez exploités, Kad Merad, sans réellement changer de registre, se montre très à son avantage, bien épaulé par Kacey Mottet-Klein, que je n'avais jamais vu aussi convaincant. Très limité dans sa forme, donc, mais habile dans son écriture et sa description sans apitoiement d'une France en souffrance constante : de quoi valoir le coup d'œil.
Ce film est vraiment poignant par son côté social. Il dénonce une « France d’en bas » souvent abandonnée et laissée à elle-même. C’est d’ailleurs un paysage très varié qui nous est offert que ce soit la cité où habite la famille ou les quartiers plus huppés où vont se passer les méfaits. COMME DES ROIS nous montre bien que le concept d’égalité est biaisé au départ. On commence dans la vie avec un bonus ou un malus selon notre milieu et dans le second cas, on doit courir pour le compenser. Ce qui est ironique c’est que dans la série BARON NOIR, Kad Merad est aussi un escroc mais de l’autre côté de la barrière, celui des nantis. Ici, on voit qu’il veut s’en sortir, on le sent, mais il n’arrive qu’à faire ses petits larcins. Il s’enferme dans un engrenage malsain et entraine dedans son fils. C’est là que se jouera la seconde corde sensible du film, la relation père-fils. J’ai découvert à l’occasion le jeune Kacey Mottet Klein qui est vraiment impressionnant. Sa relation avec Kad Merad est saisissante. On ressent vraiment la tourmente de cette famille qui pourrait être détruite par les ennuis financiers mais qui veut rester unis malgré tout. On va donc suivre leur parcours avec attention comme il pourrait être celui de milliers de famille en France qui font passer l’instinct de survie avant tout. COMME DES ROIS est donc un récit social et familiale touchant.
Un joli film attachant mais très noir, désespéré et désespérant, malgré l’humanité et la tendresse qu’il distille tout du long. Kacey Mottet-Klein est une vraie révélation et Kad Merad, très sobre et très émouvant, confirme son immense talent.Un film social qui traite avec finesse de la complexité humaine.
Difficile de comprendre cet enthousiasme de la part de la presse. Le film n'est pas désagréable, mais assez anecdotique. On n'a rien à reprocher au film. Les acteurs sont bons, on s'attache plutôt aux personnages mais cela ne décolle jamais vraiment et on a l'impression de voir un téléfilm assez plan-plan.
Film mi-comédie dramatique, sur fond de galères sociales, mi-comédie légère (surtout à cause de la présence de Kad Merad le spécialiste du genre, et avec les scènes sensées être humoristiques sur les différentes arnaques - même si dans la réalité ce style d'escroc existe). A naviguer entre les deux, sans trop d'émotion, on n'arrive ni à compatir aux déboires de ce père et de son fils, ni à s'enthousiasmer pour leur inventivité. A voir à la télévision.
Un film bien écrit, dialogues subtils aidant, les acteurs se donnent magnifiquement la réplique. Le film nous contes les combines d'un père et de son fils, pour subvenir au besoin de la famille. Le fils essayant de prendre la poudre d'escampette, pour se destiner a une autre vie. Mais tout n'étant pas si simple, et ayant besoin d'argent pour se payer son école tant désiré, il y a toujours une certaine aimantation pour l'argent facile et vite pris. Une vraie tendresse pour ce film. Vraiment pas mal.
Aucune note positive ni espoir dans ce film, pas assez prenant. Fin décevante. Très déçu de l'histoire des personnages.
Une comédie sociale bien menée à travers l’histoire d’une famille désargentée qui survit grâce aux petites arnaques que concocte le père de famille. Kad Merad est quasi-parfait dans ce registre même s’il a tendance parfois à surjouer jusqu’au ridicule. Le script engendre rire et émotion et oscille entre comédie et drame. Le tout est plutôt bien filmé avec de jolis plans de zones industrielles, de cités bourgeoises, de paysages ferroviaires et décors péri-urbains. Au final, on se sent touché par la disgrâce du père, par la précarité du fils qui voit ses rêves s’envoler sans que le scénario tombe dans le misérabilisme ou l’angélisme. A voir.
Cinéphiles 44
Kad Merad et Kacey Mottet Klein sont père et fils. Empêtrés dans des arnaques en porte-à-porte pour joindre les deux bouts, le fils rêve d’une autre vie, loin de son père. Entre comédie et drame social, « Comme des Rois » présente un duo convaincant mais qui effleure trop rapidement les seconds rôles. L’histoire se veut réaliste et tourne principalement autour de la notion de famille. Le reste semble un peu long car manque d’épaisseur.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Ce film est frais, agréable, drôle et touchant. Les acteurs sont bons (notamment le jeune Mottet-Klein qui est une sacrée révélation et un immense acteur en devenir à mon avis), le rôle de Kad m'a beaucoup amusé et je n'ai pas vu la soirée passer. Un bon moment de divertissement en somme.
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