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    Black Christmas
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    98 critiques spectateurs

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    After D
    After D

    8 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 janvier 2020
    Un monument de nullité, qui se veut féministe mais se vautre dans l'excès de slogans et de caricatures sexistes anti-hommes; le scénario est d'une bêtise affligeante, quant au côté horrifique, on attend toujours de ressentir la moindre petite tension... Un dommage collatéral cinématographique des outrances de metoo.
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 décembre 2019
    Ce second remake du film homonyme de 1974, réalisé cette fois par Sophia Takal et sorti tout récemment, est très mauvais. Effectivement, je ne m'attendais pas à un grand film d'horreur mais je dois avouer que je ne m'attendais pas non plus à un désastre pareil. Nous reprenons la même idée de base que celle des deux premiers, à savoir une sororité se faisant harcelée au téléphone puis ensuite agressée pendant la période de Noël. Bon voilà, jusque là tout va bien ,nous sommes dans un slasher classique, comme nous le montre d'ailleurs très bien la scène d'introduction. Cette scène d'introduction fait d'ailleurs du bien car ce genre de slasher se font de plus en plus rares au cinéma, je m'étais donc dit que le film était sur la bonne voie ! Mais finalement, plus on avance dans le film, plus ce dernier se ridiculise de plus en plus, il a même réussi à faire pire que le remake de 2006 ! D'ailleurs, l'idée de faire une second remake est déjà assez bancale, on peut tout de suite se dire qu'il y a plus d'idées à Hollywood etc. mais j'étais assez confiant envers celui-ci, les remakes ayant toujours été légion au cinéma d'horreur. Enfin bon, toute la première partie du film n'apporte pas grand-chose à l'histoire, le film fait l'apologie du féminisme de façon grotesque. Je ne suis pas contre le féministe ou le fait d'avoir des personnages féminins forts au cinéma, mais de nombreux films, et notamment d'horreur, l'ont fait avant celui-ci mais de façon beaucoup plus subtile et donc beaucoup plus marquante. Ici, à force d'enfoncer le clou (notamment avec tous les combats que mènent Kris contre, je cite, "les hommes blancs hétéros"), cela tombe dans le ridicule et puis surtout, le film n'est absolument pas le sujet à ce genre de débats. Lorsque l'on va voir un slasher, en général, on veut voir de l'action, pas un débat sur les rapports de genre. De ce fait, tout le reste du film va dans ce sens et nous avons donc évidemment une fin dénuée de sens, complètement ridicule et absurde. Nous aurions pu avoir une fin allant dans un sens féministe bien-sûr mais pas apportée de façon aussi grossière, là nous avons même presque l'effet inverse, c'est-à-dire que cela en devient tellement ridicule que ça décrédibilise complètement la cause. En dehors de cela, le scénario est bidon, tout simplement. Le film n'a pas su rester dans le genre du slasher mais est allé piocher dans du fantastique à deux ronds, ce qui enfonce encore plus le film d
    Steven R.
    Steven R.

    28 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 décembre 2019
    Quand vous faites un film féministe, prévenez les spectateurs dans votre bande annonce. J'y allais pour me détendre devant un film d'horreur lié à Noël, je suis ressorti en me sentant coupable d'être un homme blanc hétéro. Ce film est bien bien bien éclaté au sol comme il se doit. Gagnez 1h30 de votre vie en passant votre chemin.
    7fabcool7
    7fabcool7

    56 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 décembre 2019
    Film a connotation politisée, totale moralisation du spectateur en rabaissant l'homme (blanc) a une simple créature emplie de haine, ne parlons pas du scénario qui n'est là que pour justifier que c'est un film. Franchement limite navet, actrices nulles. Ca aurait du etre juste un telefilm! Allez plutot voir Countdown encore à l'affiche; un bon cran au dessus. Heureusement que le Pass ciné existe.
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 537 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 décembre 2019
    À un moment ou à un autre, le tiroir-caisse qui gouverne l'esprit de Jason Blum en matière de projets horrifiques adolescents allait forcément nous pondre un film qui se sert du cadre de Noël, cette période de l'année étant habituellement désertée par le genre en salles et donc synonyme de disette pour le pape du frisson rentable. C'est désormais chose faite avec... "Black Christmas". Oui, vous avez bien lu, encore un remake de "Black Christmas" après celui de 2006 !

    Une proposition totalement originale aurait sans doute demandé trop d'efforts d'imagination ou représenté une prise de risques importante alors autant se rattacher à un grand nom de la catégorie pour attirer le regard du public. L'autre franchise d'horreur de Noël "Douce Nuit, Sanglante Nuit" ayant refait surface trop récemment avec le "Silent Night" de Steven C. Miller en 2012, les sbires de Blumhouse ont par conséquent décidé de ressusciter l'excellent film de 1974 réalisé par Bob Clark et que beaucoup considèrent comme le précurseur du slasher quatre ans avant le fameux "Halloween" de John Carpenter. Effectivement, sur le principe même de son tueur s'en prenant aux membres d'une sororité, "Black Christmas" premier du nom possédait bon nombre d'ingrédients qui deviendraient par la suite des éléments essentiels de ce sous-genre horrifique et, même visuellement, Carpenter s'inspira de la vue subjective déjà utilisée par la caméra de Bob Clark afin de nous mettre d'entrée dans les yeux de Michael Myers. Mais il serait un peu facile de ne le réduire qu'à cela car "Black Christmas" était tellement avant-gardiste qu'il dépassait déjà le cadre réducteur d'un slasher ! Les meurtres avaient bien sûr leur importance mais le film préférait miser avant tout sur son ambiance étouffante où tout était fait pour entretenir le plus possible le mystère sur son assassin déviant et ses agissements commis au sein même de la maison de ses victimes. Plus encore, "Black Christmas" était en réalité un film d'horreur doté d'une force de frappe féministe détonante pour l'époque (et encore plus vis-à-vis de pas mal de personnages féminins de slashers qui en découleront). Par le prisme des personnalités de ses étudiantes/victimes, c'était en réalité toutes les facettes de la femme dans sa globalité qui étaient menacées par un agresseur ne les voyant que comme des objets pour assouvir ses fantasmes tordus. D'ailleurs, ce n'était pas un hasard si l'héroïne se trouvait être une jeune fille enceinte et souhaitant avorter plutôt qu'abandonner ses études face à la pression de son petit ami. Devenant un frein à cette émancipation féminine, ce dernier devenait ainsi un suspect dans la logique d'un film où, lorsqu'ils n'étaient pas considérés comme inutiles (les policiers) ou oppresseurs (le père d'une victime agacé du mode de vie de sa fille), les hommes étaient tout simplement vus comme un danger pour des femmes cherchant à embrasser leur liberté.
    Bref, vous l'aurez compris,"Black Christmas" était un long-métrage plutôt brillant, au discours tout aussi engagé que visionnaire et qui a trop souvent été éludé dans l'ombre de "Halloween", on ne peut donc que vous encourager à le redécouvrir aujourd'hui.
    Bon, on s'étendra un peu moins sur le premier remake de 2006. Le film écrit et réalisé par Glen Morgan était cette fois un slasher pur jus, sympathique et souvent mésestimé (à nos yeux, évidemment) mais, en choisissant d'afficher explicitement le background de son tueur, "Black Christmas" 2006 privilégiait clairement une forme de fun horrifique (efficace) au détriment de la proposition bien plus ambitieuse de son modèle. Si cette première resucée faisait bien le job avec son casting de jeunes actrices en devenir (on a tout de même connu bien pire comme remake depuis), elle n'en avait pas moins un caractère incontestablement plus oubliable.

    Venons-en donc à cette cuvée 2019, un "Black Christmas" signée pour la première fois par une réalisatrice, Sophia Takal.
    Première chose, fuyez comme la peste la bande-annonce qui s'est donnée pour but absurde de dévoiler la quasi-totalité de l'intrigue (un suicide marketing dépassant l'entendement) !
    Deuxième donnée capitale, si vous êtes venus en espérant voir une relecture de l'histoire du film originel ou même du premier remake, vous risquez de tomber de haut ! Certes, des éléments du cadre ont été conservés (la sororité, Noël, etc) et quelques très rares clins d'oeil viennent nous rappeler le souvenir du long-métrage de 1974 mais c'est bel et bien tout, "Black Christmas" raconte une toute nouvelle intrigue n'ayant absolument rien à voir avec son lointain ancêtre sinon... un propos féministe cette fois véritablement exacerbé.
    Dans le fond, refaire surgir la thématique centrale du film de Bob Clark à l'ère du mouvement #MeToo et de ses conséquences n'a rien d'idiot mais, pendant plus d'une heure, "Black Christmas" 2019 ne va pour ainsi dire faire que ça en oubliant toute notion de subtilité. Sophia Takal entend nous faire comprendre que la misogynie est toujours une constante en cette fin de décennie et autant dire qu'elle ne va pas y aller avec le dos de la cuillère vu que le décorum universitaire s'y prête parfaitement.
    Que cela soit à un niveau institutionnel par l'intermédiaire d'un professeur aux idées nocives, au niveau des étudiants à cause des pratiques abjectes des fraternités ou même au stade plus intime de l'héroïne poursuivie par les séquelles d'un terrible drame, "Black Christmas" 2019 cible l'homme blanc et hétérosexuel sans discernement, et ce jusqu'à sombrer dans la caricature la plus totale. La charge est tellement excessive que les rares points de nuance louables (comme quand un représentant du "camp mâle ennemi" fera remarquer qu'un point de vue extrémiste ne peut qu'en engendrer un autre) sont balayées dans cette bourrasque féministe.
    De ce côté, "Black Christmas" 2019 ne fait donc pas dans la subtilité et en oublie même hélas d'être un film d'horreur convaincant pensant les trois-quarts du temps. Pas aidé par une interdiction PG-13 qui l'enferme de fait dans une approche bien trop sage et un rythme qui frise le footing bien baveux d'un gastéropode, le film se contente de se focaliser sur son discours en ne proposant rien d'autre que quelques meurtres hors-champ précipités ou des apparitions/jumpscares invariablement foirées. Bref, passée une heure, si l'on peut saluer des intentions louables ou une Imogen Poots dont la présence dans un tel projet nous interroge, on en vient à penser que rien ne viendra sauver le film du naufrage..

    Mais, heureusement pour lui, "Black Christmas" 2019 va tout de même nous sortir de notre torpeur lors de sa dernière partie. Attention, le film ne va pas varier d'un iota dans ce qu'il entend dénoncer, cependant, il va tout de même prendre un virage bien plus attrayant qui va lui permettre de justifier son ton jusqu'au-boutiste par quelques idées amusantes et surtout l'envie d'aller en découdre sur un autre registre. À ce stade et avec des geysers de sang en plus, "Black Christmas" 2019 aurait même pu se terminer sur un affrontement jubilatoire et délirant mais, encore une fois, le PG-13 condamne ce final à n'être qu'une simple recréation un brin meilleure que le reste...

    Sauvé de l'ennui confondant par sa dernière partie , "Black Christmas" 2019 n'en demeure pas point une variation moderne aussi loupée que dispensable et qui, de surcroît, a la mauvaise idée d'oublier toute l'intelligence avec laquelle son modèle construisait son propos féministe avant-gardiste. Autant revoir une nouvelle fois le film de Bob Clark, celui de Sophia Takal ne pourra jamais atteindre la même résonnance au fil du temps...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 mars 2020
    Black Christmas version 2019 est certainement l’un des films les plus nuls vus depuis longtemps. Pas une seconde nous ne croyons à cette histoire tarabiscotée qui mélange sororité, romance, épouvante et sectes patriarcales : il n’y a pas de trajectoire, pas de mouvement d’ensemble, si bien que nous avons l’impression de faire du sur-place pendant une heure et demie. Mal dirigés, les acteurs en font des tonnes sans personnaliser leur personnage ni insuffler un tant soit peu d’âme à ce groupe d’amies tout droit sorti des mauvaises publicités pour les call-girls de luxe, option féminisme de sous-sol (plus bas que le bas étage). Le film réalise en outre l’exploit de prétendre restaurer une des œuvres-phares du cinéma d’épouvante, qui plus est le premier slasher de l’histoire du cinéma, par le filtre du féminisme le plus nauséabond et terriblement bête qui soit : l’axiologique n’aura jamais été aussi exhibé et inepte que dans Black Christmas 2019. Le grand paradoxe, c’est que le film original de 1974, pourtant mis en scène par Bob Clark, un homme (scandale !), était bien plus féministe – dans le bon sens du terme – que cette gaudriole de Noël qui va chercher derrière les fagots Sophia Takal, inconnue aux bataillons et destinée à le rester, pour la changer en réalisatrice. Il n’y a pas de mise en scène, les plans exposent une laideur qui va crescendo, les mouvements de caméra sont dépourvus de vision artistique et reproduisent avec lâcheté les artifices usés jusqu’à la corde de ce genre de production. L’ensemble a pourtant une valeur, une seule : mettre en garde contre les dérives du féminisme tel qu’il est pratiqué ici, à savoir un féminisme tenu à l’écart de toute réflexion et qui n’a pour seule motivation que de s’opposer à la gent masculine ici diabolisée avec ridicule. Car comment est représentée ici la cause des femmes ? Le droit au godemiché comme accession à l’indépendance de la femme, le plaisir de tracter pour expulser des professeurs masculins, le refus des périphrases pour dire « faire caca ». Black Christmas 2019 est honteux à la fois pour le féminisme et pour les hommes qui, ainsi traités, apparaissent davantage comme des victimes. Un comble…
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    328 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mars 2020
    Et bin, finalement il n'était pas si nul que ça le remake de 2006 !!.....Euh, attendez, je vais reformuler : si, le remake de 2006 était nul...mais pas autant que celui-ci !!!! Wahoo, j'en reviens toujours pas de ce que je viens de voir : quelle indigestion, quel mal de crâne, quel gêne...pourtant dernièrement, Jason Blum nous avait gratifié de productions sympas ("Us", "Happy Birthdead 1&2", "Nightmare Island", "Halloween") ou carrément classes ("BlacKkKlansman", "Upgrade", "Glass", "Invisible Man") ; mais alors là, franchement, quel désastre ! Déjà, on va vite parler du statut de « nouveau » remake du "Black Christmas" de 1974 : escroquerie pure et dure puisqu'on ne retrouve du film original de Bob Clark que quelques éléments (Noël, une sororité, un tueur, des meurtres) et que de toutes façons le film lâche lors de son dernier acte l'étiquette de « slasher » pour partir dans le plus grand n'importe nawak. Ensuite, parlons-en justement du côté « slasher » : la première source de plaisir de ce genre demeure les morts ; mais ici pas un seul bon meurtre, voire rigolo, à se mettre sous la dent : tout est fait hors-champ après une quelconque apparition en mode « jumpscare » automatiquement foirée et, bien entendu, sans une seule petite effusion d'hémoglobine ; que c'est frustrant cette foutue sempiternelle dictature du PG-13 !!! Enfin on va parler de la soi-disante « originalité » du film : le féminisme. Alors soyons franc : jouer la carte de protagonistes féminines fortes à l'ère actuelle du mouvement #MeToo et de ses conséquences n'était pas du tout idiot bien au contraire...cependant on a oublié deux choses : 01) avoir des femmes fortes à l'écran n'a rien d'exceptionnel surtout dans le cinéma de genre (et notamment dans les slashers) ; et les exemples sont nombreux : les "Halloween" (remakes compris), la quadralogie "Scream", "Nikita", "Boulevard de la Mort", "Les Griffes de la Nuit", les quatre "Alien", "Souviens-toi…l’Eté Dernier", "Sucker Punch", "Urban Legend", "Le Silence des Agneaux", "Sasori, la Femme Scorpion", "Hard Candy", "Silent Hill", "Terminator 2", "Haute Tension", "Anatomie", "Mad Max Fury Road", "Cold Prey", les "Kill Bill", "Ring", "The Woman", "Lady Vengeance"….mince un sous-genre entier y est même dédié avec le « rape and revenge » ("Nude Nuns With Big Guns", "Asian School Girls", la trilogie "I Spit On Your Grave", "La Dernière Maison sur la Gauche", "L'Ange de la Vengeance", "Revenge", "Angel of Death"). Alors excusez du peu, mais pour le côté « original » ou « nouveau », on repassera !! 02) Avec une si forte envie d'encourager la prise de la parole chez les femmes victimes de violences et de les faire sortir de leur position de victimes, Sophia Takal va transformer son récit en truc totalement indigeste. En effet, pendant plus d'une heure, "Black Christmas" ne va parler que de « ça » en omettant toute notion évidente de subtilité : l'homme blanc hétérosexuel, sans aucun discernement, est un MONSTRE !! La charge est tellement excessive que l'on sombre dans la caricature la plus totale ; pire : le message provoque l'effet inverse de celui recherché et le discours insulte finalement autant les hommes que les femmes !! Et dans cette optique, on ne peut plus rien faire : le film bascule dans le nanardesque vulgaire le plus absolu (ah les belles grosses métaphores bien juteuses à n'en plus finir....sans déc, regardez même la scène post-générique : on cherche à nous dire quoi ??!! spoiler: « Le chat va revenir pour asservir toutes les chattes de la planète »
    , wahoo, subtil le message !!.....désolé, rien que d'y repenser, je me suis re-vomi dans la bouche !). Je passerais rapidement sur la musique quasi inexistante sauf lorsqu'un jumpscare la sollicite et sur les acteurs tous plus nuls les uns que les autres (et Imogen Poots : qu'est-ce qu'elle est venue faire ici ??!! Elle avait un contrôle fiscal et devait beaucoup de fric ??!!!). Bref, "Black Christmas" 2019 n'est ni un bon slasher, ni une parodie de slasher et encore moins un film féministe...c'est juste un très MAUVAIS film, avec une intrigue prévisible, des dialogues creux, une autocensure flagrante pour obtenir la classification PG-13 et un parti pris consternant....Vous voulez vraiment voir un film de genre féministe radical ? Alors regardez les films de Lucky McKee "May", "The Woman" et "All Cheerleaders Die" : là vous en aurez pour votre argent !!
    Marc T.
    Marc T.

    270 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2020
    Au vu des critiques, je m'attendais franchement à une daube intersidérale, et finalement c'est pas si mauvais que ça, même si ça ne révolutionne pas le genre. Et pour le côté féministe très appuyé ? Il ne m'a pas dérangé du tout et m'a même fait sourire à plusieurs reprises, car après tout chacun son tour, c'est rafraîchissant de voir une bande de filles badass défoncer une bande de petits péteux tout mignons tout propres. Bon après on est loin du sans-faute non plus et ça enchaine pas mal de grosses ficelles propres au genre, sans compter les quelques incohérences par ci par là. Mais on tient tout de même jusqu'au bout sans trop se forcer tellement l'action est omniprésente. Et d'ailleurs, en parlant d'action, j'ai lu que le film avait pas mal été coupé par la prod pour ne plus être interdit au moins de 16 ans et ainsi attirer plus de spectateurs ados, et franchement ça se voit car quasi pas une goutte de sang, aucune scène un peu trash, l'ensemble est trop "propret" et c'est un poil ennuyant pour un film d'horreur...
    Barroul
    Barroul

    11 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 décembre 2019
    Ce film est mauvais et décrédibilise totalement la cause féministe de par ses scènes grossières et ridicules. Le scénario est bâclé et prévisible et le côté fantastique n'apporte rien au film car il n'est pas expliqué.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 décembre 2019
    Film a connotation politisée, totale moralisation du spectateur en rabaissant l'homme (blanc) a une simple créature emplie de haine, ne parlons pas du scénario qui n'est là que pour justifier que c'est un film et pas un Thread Twitter anti-patriarcal écrit par une étudiante de première année en étude de genre ....

    Un bon navet même pas digne d’être diffusé a la télévision

    Fortement déconseillé.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    780 abonnés 1 531 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 décembre 2021
    Deuxième remake du film de Bob Clark de 1974, ce thriller horrifique ne restera pas dans les annales, loin de là !
    Comme déjà vu maintes fois au cinéma, des tueurs insaisissables et masqués vont s'en prendre à des étudiants sur un campus américain, mais pas pendant Halloween, ce sont cette fois les fêtes de Noël qui sont choisies : quelle créativité !
    Au programme : des jump scares prévisibles, des personnages peu attachants et une histoire totalement plate tournant même au ridicule dans son approche "guerre des sexes".
    Même la réalisation ne rattrape pas le niveau assez faible de ce film pour adolescents peu exigeants.
    Assez piteux !
    Site www.cinemadourg.free.fr
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 décembre 2019
    spoiler:

    Le film est vraiment nul, trop dans le clichés des féministes, trop en rapport avec le viols, qui je pense devrais être essentiel de dire. La fin est trop clichés encore
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 décembre 2019
    Black Christmas de Sophia Takal est une piètre fresque féministe horrifique qui, tant bien que mal, tente de délivrer un message impossible à saisir. L'œuvre toute entière, quant-à elle, s'appuie uniquement sur des préjugés inexistants et n'est pas à la hauteur des attentes d'un film d'épouvante digne de ce nom : les rares scènes de grande intensité psychologique ne sont que trop rares et peu probantes. On appréciera malgré tout la prestation d'Imogen Poots.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 mai 2020
    Durant tout le film je me suis demandée où était passé l'horreur..
    On sent bien le message que veut faire passer le film "oulala tous les hommes sont mauvais", un humour vraiment gênant a base de coupes menstruelles.
    Au final je ne sais pas si ce film était complètement ironique ou non, en tout cas c'est quelque chose que je n'irais pas revoir.
    Au moins il y avait un tout petit peu d'action, mais rien pour sauver les murs
    Remy S
    Remy S

    67 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 décembre 2019
    Au début ça partait bien mais la fin est capilo-tracté de facon nullissime. Jason Bloom on te dit pas merci.
    Les meilleurs films de tous les temps
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