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    Je danserai si je veux
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    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2024
    Avec "Je danserai si je veux", la cinéaste palestinienne Maysaloun Hamoud nous dresse le portrait de trois femmes arabes en Israël en buttent à une société traditionnelle et patriarcale. Un sujet intéressant mais pas forcément bien traité dans le cas présent.


    "Je danserai si je veux" souffre d'une écriture trop convenue que cela soit dans son scénario et dans ses personnages. Il en découle une histoire prévisible, un propos caricatural et un manque global d'émotions. Ce long métrage n'en est pas mauvais pour autant. Pas d'ennui, des actrices qui campent bien leurs rôles mais le reste est bien trop basique pour que ce film se démarque un minimum.


    Sympathique mais anecdotique malgré des thématiques fortes.
    Sandy06
    Sandy06

    6 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 mai 2024
    Bel hommage à trois femmes du quotidien, belles et rebelles...le reflet d'une communauté de femmes arabes victimes de discriminations raciales et sexistes. Passionnant !
    Jj-geno-30
    Jj-geno-30

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2024
    j'ai aimer ce film , malgré tout ses défauts , et ils sont très nombreux, donc je le conseille j'ai passé un bon moment ,
    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2021
    Chronique à la fois touchante et pleine d'espoir de trois jeunes femmes musulmanes vivant à Tel Aviv, en quête d'émancipation face à la dictature patriarcale.
    mx13
    mx13

    243 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 novembre 2020
    Le destin de plusieurs jeunes palestiniennes retracé dans ce long métrage assez terrible mais quelque peu ennuyant et dénué d émotions. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 561 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 novembre 2020
    Les trois jeunes femmes arabes au centre du film vivent dans la ville cosmopolite de Tel Aviv une ville libérale et permissive à tous égards. En Israël on l'appelle parfois la bulle en raison des différences de style de vie par rapport au reste du pays l'écart entre la vie à Tel Aviv et le reste d'Israël qui est aussi grand que l'écart entre la vie à Paris et le reste de la France. Ces différences sont encore plus accentuées pour les personnes issues de la société des secteurs arabes qui sont beaucoup plus traditionnels que les juifs et c'est encore plus nettes pour les femmes. Leila (Mouna Hawa), Salma (Sana Jammelieh) et Nour (Shaden Kanboura) ont chacune une histoire de vie différente essayant de faire face différemment aux problèmes sociaux, professionnels et émotionnels mais à la fin elles partageront le même sort d'être écartées et discriminées pour plusieurs raisons. Appartenir à la minorité arabe, être simplement des femmes, essayer d'adopter un style de vie et d'exercer des professions et faire leurs propres choix dans leur vie personnelle. De telles histoires ne peuvent pas avoir une fin heureuse et la scène finale est presque un gel sur le désespoir même si nous savons que leur combat continue. J'ai aimé la solidarité des trois femmes, la façon directe et presque brutale de raconter leurs histoires, la façon dont les trois comédiennes entrent semblent vivre dans leurs rôles. J'ai moins aimé l'approche schématique de la présentation des autres personnages, mauvais (pour la plupart) ou bons. La scénariste et réalisatrice Maysaloun Hamoud semble avoir emprunté de nombreux stéréotypes des films israéliens et son approche en décrivant les familles arabes comme super-conservatrices et la grande ville comme un enfer vivant peuplé de tabac, d'alcool et de drogues et situations complexes même si elle peut être statistiquement proche de la réalité. Je danserai si je veux aurait pu être un bien meilleur film à mon avis si ces simplifications excessives avaient été évitées...
    Bénédicte B
    Bénédicte B

    292 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 août 2019
    Un film caricatural et simpliste, sur la base d'un scénario naïf et maladroit, tant au niveau de sa construction que de ses dialogues, ses actions. En Israël / Palestine, le poids des valeurs religieuses et familiales est lourd ? Soit, c'est plus que possible, mais ce ne n'est pas une raison pour faire un film à cette image : la lourdeur ! Et il y a finalement quelque chose de très hypocrite dans le fait que la critique l'encense, car s'il se passait ailleurs qu'en Israël / Palestine, il y a fort à parier qu'il n'aurait même pas été produit. Autrement dit, on peut constater une fois de plus que la critique est snob et condescendante, généralement. C'est très énervant.
    Philipchik
    Philipchik

    7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juin 2018
    Dans la forme, ça manque de maîtrise. Mais je suppose que c'est le fond qui a fait connaître ce film. Quel est le propos? Pour une femme arabe à Tel Aviv, qu'elle soit "libérée" ou "religieuse", musulmane ou chrétienne, hétéro ou homo, elle vit dans un monde où les hommes (frustrés et frustres) les briment, les "chosifient" ou les utilisent. Le film n'offre d'ailleurs aucune ouverture et la fin est déprimante. Oui et alors? L'intérêt serait que ce film en fasse prendre conscience à la population (va-t-elle en faire son profit?).... Deux remarques : pour qui connaît un peu Israël, qu'est-ce que ça doit être dans le reste du pays (Tel Aviv est sans conteste la ville la plus simple pour vivre une différence et les jeunes femmes de l'histoire sont bien éduquées) et pourquoi n'évoque-t-on pas les femmes juives (si si, il y en a en Israël). Bon, voila ce qu'est un monde théocratique avec 3 abominables religions monothéistes qui nous polluent depuis des siècles. On le savait déjà. Ce film m'évoque "La petite Véra" dans la fin des années 80 qui montrait la société soviétique dans son quotidien. Un film qui crache une vérité de société. Rien que pour ça, c'est à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 mai 2018
    je regrette de l'avoir vu en version française car le doublage n'est pas fantastique. ce film m'a parrut plus intéressant par son thème que par sa réalisation où ses acteurs. je ne sais pas si ce qui me choque le plus dans ce genre de film est la façon dont sont traitées les femmes dans certains pays où la façon dont les femmes traitent leurs propres filles dans ces pays. sans être le film de l'année c'est un film qui mérite d'être vu.
    conrad7893
    conrad7893

    300 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2018
    Film qui dresse le portrait de 3 jeunes femmes palestiniennes dans TEL AVIV. Elles veulent mener leurs vies comme elles l'entendent. Un film qui traite de l'émancipation des femmes .
    Un sujet déjà traité mais ce film reste intéressant et moderne.
    Bravo à l'interprétation des 3 actrices.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 mai 2018
    La réalisatrice palestinienne dresse le portrait de trois femmes qui font leur bout de chemin vers leur féminité et l’affirmation de soi. En plein cœur de Tel Aviv, ville prise entre traditions patriarcales et modernité, ces trois femmes respirent l’envie de vivre et de libertés. Belle chacune à leur manière, elles représentent trois facettes différentes d’être femme, d’assumer sa sexualité, ses désirs et son corps.

    Maysaloun Hamoud réalise un film énergique et moderne où chaque réflexion sonne juste sans jamais tomber dans le cliché ni l’acharnement intempestif. "Je danserai si je veux" est une belle histoire d’émancipation portée par trois merveilleuses actrices.

    de chroniques sur mon blog : plumeetpellicule.wordpress.com
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2018
    Je suis toujours friand des films issus d’Israël, chaque film est un enseignement sur une tranche de vie de ce petit pays encerclé de pays hostiles. De « Jaffa » à « La visite de la fanfare », de «Cupcakes » à « Mon Trésor », de « Le procès de Viviane Amsalem » à « Désengagement », de « Kadosh » à « Les citronniers ». Ca ne parle pas nécessairement que de la communauté juive, ça concerne aussi la communauté musulmane et par voie de conséquence la société israélienne dans sa globalité.  « Je danserai si je veux » concerne la communauté palestinienne quelle soit musulmane ou chrétienne. « Je danserai si je veux », on doit entendre : « Je veux vivre ma vie comme je l’entends, moi palestinienne ! ». Je lui préfère le titre anglais traduit de l’arabe, « In Between ». Le récit : trois jeunes palestiniennes vivent en colocation à Tel Aviv et tentent de vivre loin des conventions inhérentes à leurs origines. Trois portraits de jeunes femmes que d’aucuns qualifieront de classique : deux femmes libérées dont une lesbienne et une femme attachée à sa religion. Sa tenue vestimentaire l’atteste. Est-ce elle qui détonne ou les deux jeunes femmes « libérées » ? Le récit est classique, c’est vrai. On l’a vu mille fois et sous toutes ses formes. Seulement, le récit nous est conté par une réalisatrice palestinienne. Ce déjà-vu-mille-fois se situe dans une communauté palestinienne. Ce n’est pas anodin. Et d’un autre côté, on ne devrait pas s’en formaliser, cette tranche de vie rassure car elle ressemble à d’autres milliers de tranches de vie dans le monde. « In Between » ne signifie pas trouver sa place entre la communauté juive et la communauté musulmane dans l'Etat d'Israël ; cela signifie comment une palestinienne peut revendiquer son droit à vivre librement, comme femme libre ou libérée, loin de toutes contraintes religieuses dans son monde musulman. Une religion faite pour les hommes, appliquée par les hommes. Le choix de Tel Aviv n’est pas un hasard pour la réalisatrice, Tel Aviv est une ville ouverte, dite tolérante et paisible, aux accents occidentaux, où la jeunesse de la société israélienne semble s’épanouir parce qu’elle s'efforce de s'éloigner des conflits liés à l’Etat d’Israël. Une ville universitaire, culturelle où la jeunesse féminine peut s’émanciper. Une enclave dans un pays où les religions pèsent leur poids. On peut regretter de ne pas avoir vu plus largement Tel Aviv. Ici, le récit se cantonne dans un quartier appelé « yéménite », un nom qui en dit assez sur les habitants de ce quartier. J’imagine. Il est regrettable aussi de ne pas voir ces trois jeunes filles baignées dans cette ville au milieu d’une jeunesse certainement hétéroclite. Mais est-ce utile ? Leur comportement parlent pour elles. Ce déjà-vu-mille-fois version palestinienne peut être considéré comme une certaine forme de courage. Il n’est pas dit que ce film soit si bien perçu que ça dans la communauté musulmane ou chrétienne de la Cisjordanie. Ouvert ne signifie pas pour autant accepter ou être accepté. Les parents de Salma qui découvrent son homosexualité sont indignés et rejettent leur fille. A ce propos, la séquence est hors champs et forte. On voit la mère dans l’encadrement d’une porte et on devine son trouble à la vue de sa fille et de sa copine. La mère disparaît et aussitôt on entend un baiser sonore. Ce film n’est ni radical ni simpliste. Il aurait été facile de nous présenter que des femmes libérées, mais la réalisatrice nous greffe à ces deux jeunes femmes, une religieuse, Nour, qui, elle aussi, finit par s’interroger sur sa condition féminine face à la tradition religieuse. Elle paraît aussi revendiquer à sa manière de vouloir vivre sa vie comme elle l'entend. Le dernier plan du film l'exprime. De toute manière, depuis le temps que les intellectuels musulmans le réclament, tant que les hauts responsables de cette religion musulmane refuseront de revoir les textes, de les revisiter, de les adapter pour être raccord avec des sociétés progressistes, les femmes auront toujours un mal fou à vivre sereinement leur liberté. Tous les êtres qui veulent s’affranchir du poids de la religion seront assis entre deux chaises et devront, tout en assumant leur rébellion, affronter les regards accusateurs. Ce sera une lutte de tous les instants comme Laila qui refuse tous compromis, qui fuit tous signes liés à la tradition religieuse. Aussi infimes soient-ils. Elle n’hésitera pas à rejeter son amoureux qu’elle croyait comme elle ; la faiblesse de cet homme qui pense qu’il faut se ranger à la raison pour bien paraître aux yeux de la religion est un discours inacceptable. « Je danserai si je veux » : c’est ne rien céder au nom de sa liberté. A voir en V.O, évidemment.
    Roub E.
    Roub E.

    955 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 avril 2018
    Pas grand chose à en dire, ce n’est pas mon style et cela ne m’a pas convaincu. Le portrait de ces trois femmes qui ne peuvent être elles mêmes que cela soit à cause de la religion, de la famille, des conventions et certes bien écrit mais j’ai eu du mal à croire et à m’impliquer dans l’ensemble. Bravo aux trois actrice mais c’est à peu près tout ce que je retiendrais.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    288 abonnés 3 115 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2018
    Portraits de 3 femmes arabes (une traditionnelle, une rebelle et une lesbienne) vivant en Israel !! Alors certes l'esprit est louable car il dénonce le machisme ambiant dans les pays arabes mais malheureusement je n'ai pas réussi à chavirer plus que cela !! Le film est trop long à démarrer, les situations, les parcours et les psychologies ne sont pas assez creusés et à part deux ou trois scènes un peu choc (l'agression sexuelle de Nour, la colère des parents de Salma), le film est un peu trop lisse et survolé (et surtout j'ai eu l'impression de déjà en avoir vu dix des comme ça !!) Dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 janvier 2018
    Son nom original est « Bar Bahar », expression arabe que démontre la situation de n’être pas à l’aise entre deux réalités. Cette filme, réalisé et écrit par Maysaloun Hamoud, réalisatrice palestinienne de nationalité israélienne, raconte la vie de trois jeunes filles arabes venant de villages du nord d’Israël qui partagent colocation à Tel Aviv. Alors la filme montre tellement bien d’une coté la complexe identité d’être un citoyen arabe d’Israël qui habite dans sa principale ville, apparemment d’esprit modern, ouvert et tolérant, et, de l’outre coté, le fait d’être femme dans le monde arabe, et en particulier, le cas des palestiniens habitant dedans Israël.

    Ce pour ça que le titre de la filme est très appropriée, parce que ces femmes sont trappées entre l’ambiance traditionnel étouffant de leurs foyers dans le village et la vie dans une grande ville que, même si las permettre de se libérer des oppressions atour d’elles, ne les accueille chaleureusement par cause de leur identité arabe. C’est en fin cette sentiment de ne pas appartenir ni à un coté, ni à l’outre, qui est partagé par nombreux jeunes pas nécessairement arabes à Tel Aviv, mais dans beaucoup de cultures et pays dans le monde. J’adore le cinéma plutôt social et engagé, et c’est pour cette raison que j’ai beaucoup profité de cette filme-ci. C’est une histoire qui parle de la situation de manque de liberté de la femme et la violence quotidienne que souffre, qui posse en question la tradition et qui, sur tout, nous rappelle une situation qui est, aujourd’hui, plus la règle que l’exception.
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