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    Je danserai si je veux
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    Jerome S.
    Jerome S.

    11 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 avril 2017
    une histoire superbe et d actualité sur 3 femmes palestiniennes a tel aviv ville de liberté confrontées a l homosexualité et la religion
    des actrices epoustouflantes une tres bonnes mise en scène et une bande son qui ne peuvent laisser indifférent
    a voir
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 avril 2017
    Un CHEF D’ŒUVRE cinématographique où la recherche et l'envie de liberté sont au centre du film.
    Trois femmes oppressées, chacune d'une manière différente, par l'Homme et la religion (vous en conviendrez).
    Un film israélo-palestinien qui pulvérise tous les clichés ! Une vraie leçon de courage et surtout d'envie de ne pas vivre opprimées ! BRAVO !

    Merci au réalisateur et au producteur !
    Anouck G.
    Anouck G.

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 avril 2017
    Ce film est tout simplement puissant. Et cette bande originale...enivrante. Un grand bravo à la réalisatrice et aux actrices (qui en vrai sont tous aussi sublimes).
    Jorik V
    Jorik V

    1 272 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 avril 2017
    Il y a certes de la bonne volonté à revendre et les meilleures intentions du monde dans ce long-métrage mais c’est aussi un condensé de banalités et de déjà-vu. « Je danserai si je veux » tente d’abord de dénoncer le poids des traditions religieuses et sociales pesant sur la femme arabe pour ensuite prendre plus généralement le pouls de la condition féminine à Tel-Aviv. Et, en filigrane, de délivrer un message prônant la paix entre juifs et palestiniens, ce que tout film de ce type tente généralement de faire.

    Après un début laborieux, où on hésite à dire si les scènes d’introduction sont expédiées ou trop longues, on se rend vite compte que le film aurait pu tout aussi bien se diviser en trois segments ou court-métrages différents, tant le fait de lier les trois protagonistes par une colocation n’apporte strictement rien au récit. Qui plus est, si les personnages sont bien dessinés, ils ne sont que des archétypes couvrant une partie du prisme de la femme arabe actuelle. Ici nous avons droit à la femme libérée, la femme soumise et religieuse et la lesbienne. Il ne manque plus que l’intégriste pour parfaire le catalogue un peu cliché de la palestinienne…

    Si le film se suit sans déplaisir pour autant, il est vraiment dommage que jamais nous ne soyons surpris par ce qui se passe sur l’écran et qu’on la désagréable impression d’avoir vu ça mille fois avant. L’ensemble des situations est téléphonée et l’énergie des trois interprètes ne parvient pas à nous sortir d’une certaine torpeur. Quelques rares moments éparpillés sur la durée du long-métrage viennent égayer un peu cette chronique anecdotique mais tout cela est tellement attendu que l’on ne parvient même pas à se les remémorer.

    On apprécie le côté revendicatif et cet esprit de liberté que la réalisatrice parvient à insuffler à « Je danserai si je veux ». Néanmoins, l’aspect documentaire voire trivial de la mise en scène accentue encore la ressemblance avec une palanquée de films du même type, issu du Printemps arabe et de la vague culturelle contestataire qui en a découlé. Les meilleures intentions ne font pas toujours les meilleurs films c’est connu, surtout quand ceux-ci enfoncent des portes déjà grandement ouvertes.
    zitouni31
    zitouni31

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 avril 2017
    Ce film est un bijou. Les hommes aiment Leila pour sa liberté et "la quitte" parce qu’elle est libre... la lâcheté masculine, Le poids de la famille, la pression des voisins, l'étiquette culturelle pesante à souhait plus que la religion. et au final, l'immense cœur des ces trois femmes brisées. Immenses cœurs sous ces robes et ces voiles qui irriguent une profonde amitié et une solidarité indélébile.
    Phillip
    Phillip

    1 abonné 56 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2017
    Un beau portrait de ces 3 jeunes femmes à qui on s'attache au long du film.Avec quelques excès,le film montre bien la difficulté de vivre entre les 2 cultures, nn pas juiveset arabes, mais arabe moderne permis dans la société israélienne et traditionnelle. Le titre français sert moins bien l'objet du film que titre original (in between)
    Les 3 actrices sont excellentes, mais aussi les personnages de la famille etc.
    vincentasc
    vincentasc

    33 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2017
    Très beau film. Très beau portrait de femmes. Il y a une telle puissance, une telle humanité, que l'on pardonne aisément certaines facilités du scénario (Le trait caricaturé sur les hommes). Le message : quelque soit la religion, les intégristes sont partout.
    velocio
    velocio

    1 304 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2017
    Avant de s'introduire dans "Je danserai si je veux", il est peut-être bon de commencer par rappeler deux faits qui ne sont peut-être pas évidents pour tout le monde : les arabes israéliens représentent un peu plus de 20% de la population de l'état d'Israël, ce qui fait donc d'eux, à la fois, des palestiniens et des israéliens. Parmi eux, tous ne sont pas musulmans : 7 % de la population arabe israélienne est de confession chrétienne.

    Ce premier long métrage de la palestinienne israélienne Maysaloun Hamoud propose une chronique a priori pleine d'intérêt sur la vie à Tel Aviv de trois jeunes femmes, trois arabes israéliennes qui partagent la colocation d'un appartement. Layla, une avocate, et Salma, à la fois DJ et barwoman, sont deux "femmes libérées" ou, du moins, le croit-elle. Nour, nouvelle venue dans la colocation, est, au contraire, une musulmane fervente qui porte le voile et dont le fiancé, Wissam, son fiancé, refuse de serrer la main des femmes et voit d'un mauvais œil le fait que Nour s'entête à poursuivre des études d'informatique dans le but de pouvoir apporter sa contribution financière à son futur foyer, au lieu de consacrer tout son temps à son mari, à ses enfants et à la religion.

    Chronique pleine d'intérêt ? C'est ce qu'on espérait. La réalité, malheureusement, n'est pas toujours à la hauteur de cette espérance. Il y a d'abord le fait, (trop) longuement évoqué dans la première moitié du film, que, pour Layla et Salma, leur émancipation consiste principalement à se pochetronner régulièrement, à fumer comme des pompières, y compris quelques joints de temps en temps, et même à fréquenter la coke lors des fêtes qu'elles fréquent assidument. Vision réaliste et majoritaire ? On ose espérer que non ! En plus, comme si cela ne suffisait pas, la réalisatrice se plait à filmer cette prétendue "joie de vivre libre" avec beaucoup de complaisance, calquant l'esthétique de son cinéma sur ce qui se fait à New-York ou dans des séries américaines telles que "Sex and the City". En fait, l'intérêt majeur de cette première partie du film réside dans ce qu'il nous montre de Nour et de ses rapports avec son fiancé.

    Heureusement, le niveau remonte lors de la deuxième moitié de "Je danserai si je veux", lorsque le film s'attaque aux problèmes rencontrés par les trois jeunes femmes : Ziad, le "fiancé" de Layla, qui, fumeur lui-même, ne supporte pas que Layla fume en public ; Salma, à qui sa famille, d'obédience chrétienne, n'arrête pas de proposer de futurs maris potentiels, des hommes qu'elle refuse systématiquement d'épouser, et qui, à juste titre, n'ose pas à avouer à ses parents que sa préférence va vers les femmes et non vers les hommes ; Nour, enfin, qui, aidée par Layla, va comprendre que Wissam est un parfait Tartuffe. Des problèmes qui montrent que l'indépendance dont Layla et Salma semblaient si fières dans la première partie du film est loin d'être acquise et que, pour elles, le combat pour une véritable égalité avec les hommes sera encore très long et semé d'embuches.

    Pour les interprètes des trois jeunes femmes, "Je danserai si je veux" représente leurs premiers rôles importants à l'écran et elles s'en tirent très bien, surtout Shaden Kanboura, qui montre avec beaucoup de justesse l'évolution de Nour, la partie la plus intéressante du film. Par contre, dans le rôle de Ziad, on retrouve un comédien qu'on a déjà souvent rencontré dans des rôles importants, Mahmud Shalaby : "Jaffa", "Une bouteille à la mer", "Les hommes libres", "Le fils de l'autre".
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    54 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2017
    Vu et avis le 20170413

    Destin croisé de trois femmes qui cherchent l amour. Intelligent, sympathique, riche

    .-.-.-.-.-.-.

    C est rare, mais je pense que le film réussi à vraiment cacher son vrai sujet et que la plupart verront dans ce film des femmes qui choisissent leur vie. Seulement, à la fin du film, on se rend compte que le seul choix qui leur coûte, qu elles ont du mal à partager avec leurs proches et/ou familles, c est de choisir qui elles aiment ou que qui elles aiment les accepte et assume.
    islander29
    islander29

    864 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2017
    trois jeunes femmes en quête d'amour ou d'émotions fortes, on ne sait pas trop.....Elles sont palestiniennes à Tel Aviv ??? le film procure de jolies émotions et nous brosse un portrait qui varie entre comédie et tragédie....Les images sont fortes spoiler: (attention scène de viol explicite)
    et le scénario nous démontre que l'hypocrisie est partout, que les femmes sont victimes de certains comportements spoiler: ( même sous couvert de religion
    )....Le film est très agréable dans sa mise en scène et dans sa relation avec les acteurs , nous gratifie de certains panorama urbains ou de paysages chaleureux qui mêlent l'utile et l'agréable;;;;;
    Certains passages musicaux (un ou deux) sont un régal, et les trois jeunes femmes bien différentes nous montre dans un plan final superbe, que la solidarité féminine n'est pas un vain mot.....A voir,
    Roub E.
    Roub E.

    955 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 avril 2018
    Pas grand chose à en dire, ce n’est pas mon style et cela ne m’a pas convaincu. Le portrait de ces trois femmes qui ne peuvent être elles mêmes que cela soit à cause de la religion, de la famille, des conventions et certes bien écrit mais j’ai eu du mal à croire et à m’impliquer dans l’ensemble. Bravo aux trois actrice mais c’est à peu près tout ce que je retiendrais.
    benji B.
    benji B.

    4 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 octobre 2017
    Ce film est génial. Une belle énergie positive en découle.
    L'homosexualité, la religion, la liberté... autant de thèmes abordés.
    Les actrices jouent tres bien.

    Je vous le recommande 👍🏼 ❤️
    desiles ben
    desiles ben

    30 abonnés 204 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2017
    Intéressant... mais tout de même un peu déprimant car dans ce film, qui met en scène de jeunes Arabes israéliennes, ce qui s'oppose à la culture d'origine, patriarcale, machiste, violente et intolérante, c'est une liberté qui semble consister à boire de l'alcool à la bouteille, vomir dans des bacs à fleurs ou dans les toilettes, fumer des joints et sniffer de la coke en écoutant de la musique de dingues...
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    80 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 avril 2017
    On ne va pas vous raconter des histoires: ce film ne restera pas dans les annales du cinéma... Ne serait-ce qu'à cause du côté simpliste du profil des trois héroïnes! Ce ne sont pas des personnages, juste des archétypes quasiment caricaturaux. 

           Il faut donc s'attacher à ce que veut démontrer, de façon pataude, le film de Maysaloun Hamoud: quel sera l'avenir des jeunes femmes palestiniennes en Israël? Réponse: elles n'en ont aucun. Et ne pas oublier que le film a été produit par Schlomi Elkabetz, celui qui nous reste depuis que la belle Ronit nous a quittés, celui qui nous reste du couple fraternel qui a tout fait pour promouvoir l'image des Palestiniens et montrer la difficulté de leur existence en Israël.

                 Laila et Salma partagent un appartement à Tel Aviv. Leur colocataire se marie; elle leur envoie sa cousine pour la remplacer. Et les deux filles voient débarquer Nour, empaquetée dans des voiles de la tête au pied. Surprise....

                   Laila (la belle Mouna Hawa, avec sa crinière de lion) est, parait il, avocate. On aurait bien aimé  la voir, justement, dans son cadre professionnel.... mais, et c'est bien là une des faiblesses du film, on ne la voit qu'avec une cigarette à la main (souvent un joint) ou une canette (souvent les deux). Quant à son look, même à Paris, je pense qu'on se retournerait sur elle.... Salma (Sana Jammelieh), couverte de piercings et de tatouages, est DJ et travaille dans les bars. Bref, les deux miss ne pensent qu'à faire la bringue. Dans l'appart, que de soirées où les substances diverses ne cessent de circuler.... 

                   Laila la fêtarde tombe quand même amoureuse, pour de vrai. L'amoureux rejoint la petite bande, venant de New York où il a étudié le cinéma. Un vrai mec libéré donc. Mais.... est il prêt à présenter à sa famille, en vue de mariage, l'explosive Laila?

                Salma est chrétienne. Sa famille (on se croirait chez des bourgeois parisiens!) ne cesse de lui présenter des prétendants -qu'elle refuse poliment. Mais quand ils découvrent que Salma n'aime que les filles, c'est le retour au moyen âge...

                  Nour (Shaden Kanboura), la nouvelle venue, est étudiante en informatique. Elle vient d'une petite ville mais à besoin de se rapprocher de Tel Aviv pour perdre moins de temps dans la période des examens. Elle est fiancée à Wissam (Henry Andrawes), un saint homme qui a créé une petite organisation d'aide et refuse de serrer la main des femmes. Bien que, lorsqu'il vient voir sa fiancée, Nous fasse un grand ménage en mettant à la poubelle toutes les bouteilles de whisky qui pourraient traîner, Wissam suspecte qu'elle est dans un lieu de perdition. Il veut hâter le mariage, ramener la jeune fille à la maison, lui faire oublier ses études et lui coller des marmots. Mais sans doute l'atmosphère de stupre qui règne chez Leila réveille -t-elle chez lui les instincts bestiaux du bigot frustré....

             Trois destins, trois échecs, et au fond, trois histoires individuelles collées artificiellement qui chacune auraient pu être l'objet d'un film. Donc c'est à voir (quand même) mais sur un plan purement sociologique, parce que sur ce plan là, c'est intéressant.
    Bénédicte B
    Bénédicte B

    292 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 août 2019
    Un film caricatural et simpliste, sur la base d'un scénario naïf et maladroit, tant au niveau de sa construction que de ses dialogues, ses actions. En Israël / Palestine, le poids des valeurs religieuses et familiales est lourd ? Soit, c'est plus que possible, mais ce ne n'est pas une raison pour faire un film à cette image : la lourdeur ! Et il y a finalement quelque chose de très hypocrite dans le fait que la critique l'encense, car s'il se passait ailleurs qu'en Israël / Palestine, il y a fort à parier qu'il n'aurait même pas été produit. Autrement dit, on peut constater une fois de plus que la critique est snob et condescendante, généralement. C'est très énervant.
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