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CRITICATOR
36 abonnés
384 critiques
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0,5
Publiée le 11 avril 2017
Le nanar incompréhensible dans toute sa splendeur , heureusement ce déchet cinématographique ne dure qu'une heure 10, je ne comprends pas comment on peut produire un tel film , il n'y a aucun scénario, aucune explication , ça à pas du couter très cher.
Certes l'image est belle, la musique très bien choisie (elle rappelle clairement Kavinsky) et l'acteur principal convaincant, mais bon dieu cette fin ! Le manque de budget ne m'a pas dérangé outre mesure car j'ai réellement été happé par le suspense pendant les 3/4 du film, à chercher ce qui pouvait bien se tramer là-dessous, mais j'ai eu beau remettre le dernier 1/4 3 fois de suite, mis à part 2-3 indices parsemés par-ci par-là, on ne comprend pas vraiment où le réalisateur a voulu en venir avec ce mélange fantastico-thriller sans queue ni tête. Vraiment dommage, un scénario moins alambiqué aurait grandement sauvé ce film.
Belle image, belle musique, bonne interprétation, des références... et pourtant on s'ennuie ferme. Oui le film a du style, il est étrange et ça pourrait être une bonne chose mais il faut penser à distiller des réponses et de la vie sinon ca devient abscon.
nul!le nanard de chez nanard!j'ai rarement vu un film aussi mauvais et je ne vous parlerais pas de la fin de ce film qui est sans aucun doute la pire fin d'un film jamais vu jusqu'a présent!du très grand n'importe quoi!quand au scénario alors la on atteint le sommet du ridicule!
voilà un petit film plutôt bien troussé, l'acteur principal, Rusty Joiner, s'en sort bien. l'image est maitrisée, rien à redire de ce côté. la fin est un peu brouillonne et aurait mérité d'être un peu rallongée, c'est quand même un peu confus (moi, je ne suis pas sûr du pourquoi du comment). je pense que les distributeurs en ont conscience, vu qu'il n'y a eu qu'une seule séance en tout et pour tout, mais franchement, pour son premier long, Christophe Deroo n'a pas à en rougir, c'est bien mieux que la plupart des productions similaires que j'ai pu voir, même si ça reste quand même scolaire.
Nemesis (Sam Was Here), Késako ? Ce film, sorti de nul part, Direct 2 DVD, casting technique complètement inconnu, acteur principal qui, à la base, est top model, film tourné en 12 jour, budget "médiocre". Bon on est d'accord, tout ça peut effrayer. Mais c'est la que Nemesis va surprendre, la réalisation est plus qu'impressionnante, que ce soit en terme d'acting pour Rusty Joiner, mais aussi pour la photographie, le rythme général et surtout la bande son, assurée par le duo electro au nom atypique de Christine, qui donne un cachet très "80's" savamment mené. Je met en garde cependant sur une chose, n'espérez pas un véritable twist final qui vous expliquera tranquillement les 1h10 que vous venez de regarder. La fin pourra sembler encore plus démente que le reste, et ce sera à vous d’interpréter ce que vous venez de voir. En tous cas, NEMESIS est un film à voir!
Bon, je rejoins la plupart des "bonnes critiques", l'enfant de "Duel", un chef d' œuvre, sur tous les plans: esthétisme du film, rythme, originalité du scenario, et la bascule dans la dimension fantastique me rappelle je ne sais pourquoi le Labyrinthe de Pan! Contrairement à la plupart d'entre vous, je trouve la fin très inspirée, le dénouement est à la hauteur et donne tout son sens au film, comme le plan de la musculature du dos de Némésis-Eddy, dont les contractures-secoussent rythment la détresse de l' agonie spirituelle du héros dissous derrière le fameux rideau de la douche hitchcokienne! Oui, il s' agit donc du passage purgatoresque d'un pédophile assassin (D’où ma nomination de Nounours pour le meilleur second rôle 2017, nounours accompagne et entraine irréductiblement le héros finalement pas si innocent que cela) au travers de ce désert-tunnel, puis Motel (Bates motel), captant le ressentiment et la colère émotionnelle des proches criant vengeance, jusqu' a l’accomplissement de leur juste colère, jusqu' a la prise de conscience finale du héros basculant avec horreur de l'innocence à sa culpabilité monstrueuse, Némésis orchestrant la symphonie des lamentations jusqu’à l' expiation finale...
Celles et ceux qui me suivent savent que je n'aime pas les films qui ont une fin n'ayant aucun sens. J'ai toujours laissé aux autres les productions à interpréter. Si je regarde un film, c'est pour rire, ou me divertir, pas pour tenter de mettre un sens à ce que je vois parce que l'histoire ne l'explique pas. Et, ici, si le quasi seul personnage que l'on voit n'est pas mal joué et qu'il y a un suspens qui tient à peu près la route - bien qu'assez faible et n'améliorant pas un scénario peu élaboré - , la fin arrive comme ça, sans explication. Explication que le personnage principal a tenté de trouver depuis quasiment le début, sans succès, comme moi. Heureusement que Nemesis ne dure même pas 1h15.
Curieux d'avoir donné ce titre à ce court long métrage ; en effet nous n'avons pu véritablement en transposer un sens précis : justice, vengeance, destin ? La Némesis des Grecs avait moult cordes à son arc et encore plus de flèches. Ce qui ne nous guidera pas non plus pour comprendre le final du film qui semble rester en suspens. Mais cela s'estompe vite si l'on considère l'histoire comme un condensé, un tout lequel n'a pas besoin d'une conclusion définitive sachant qu'il ne peut y en avoir. En tout cas le suspens fera oublier quelques imperfections mineures dont il est inutile de parler , nous aimerions voir sur les écrans plus d'oeuvres comme celle-ci qui est une belle réussite. Bel acteur, belles images, beau témoignage sur le monde moderne et ses avatars inquiétants.
Premier long-métrage du cinéaste français Christophe Deroo, c’est au fin fond du désert californien que se déroule l’action de Sam was Here. Sous une chaleur insupportable, Sam démarche de nouveaux clients de village en village. Mais les têtes se font rares et le démarcheur commence à se sentir bien seul sur les routes. Il ne reste alors que l’émission d’Eddy, une libre-antenne radio où des auditeurs témoignent leurs maux et commentent l’événement du moment, à savoir, un homme qui a enlevé une petite fille. Sam was Here est un film mystérieux du fait qu’on ne connaitra que le point de vue du protagoniste, qui d’ailleurs, on ne saura pas grand-chose de sa vie. Aussi, on ne sait pas si ce qu’il vit est réel ou sont de simples hallucinations. Grâce à de sublimes plans désertiques et la musique de Christine, le cinéaste parvient à semer le doute continuellement chez nous. Et puis il y a cette lumière rouge dans le ciel qui accentue encore plus cet énigmatique film. Sam was Here est donc un film de genre qui joue sur la paranoïa. On regrette cependant un final exagéré du fait de cet homme qui dandine son dos pour nous faire peur, ou la femme de ménage qui nettoie un rideau de douche plein de sang sans se poser de question. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44
Parallèlement à une mystérieuse comète rouge visible dans le ciel, le sort parait s’acharner sur un malheureux commercial citadin bredouille et paumé dans le désert californien. Le film nous personnalise à cette victime dans une surréaliste conspiration. Désert dehors, désert dedans, isolement, déceptions commerciales, familiales, même mécaniques, tout fermé, sans le moindre dialogue ni rencontre si ce n’est par boites vocales interposées, humeurs excédées, explosions nerveuses imminentes, et pourtant… La descente en enfer ne fait que commencer pour cette victime perdue mais observée par tout le pays, sous les injonctions d’un mystérieux présentateur d’une émission radio locale alertant les gens sur la présence d’un meurtrier pédophile sévissant dans la région. La rationalité narrative de ce surprenant film d’1H10 seulement n’est malheureusement pas sa première qualité. Sous la formidable musique enivrante et psychédélique de Christine, il mise clairement sur l’art de la victimisation évolutive et efficace du début à la fin, pour qui saura se prendre à l’abstraction de l’enjeu. L’esseulement, la persécution progressive, la science à la fois douloureuse et jouissive d’assister à l’injustice, la rage et le danger, nos embarquent dans une traque irraisonnée et inexorable.
Musiques excellente mais un Scénario sans queue ni tête. L'acteur joue bien et c'est grâce a lui que j'ai regardé jusqu'au bout si non il manque l'essentiel du sens a ce film, on y comprend rien, le réalisateur c'est pas pris la tête sur le scénario, un bout par ci , un bout par la . Résultat on pense passer un bon moment puis a la fin sort "dégouté" du film.