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    Wildlife - Une saison ardente
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    132 critiques spectateurs

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    traversay1
    traversay1

    3 684 abonnés 4 890 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2018
    Tombé amoureux du roman de Richard Ford, qui épousait sans doute les propres sentiments qu'il avait eus durant sa jeunesse, Paul Dano ne pouvait choisir un autre sujet pour son premier passage derrière la caméra. Wildlife séduit de prime abord par la qualité de sa reconstitution d'une époque, les années 60, et celle de son regard, via son héros adolescent, sur la dislocation progressive du mariage de ses parents. L'aspect social du film, avec ce couple qui trouve difficilement sa place dans le monde du travail, est aussi parfaitement montré dans une narration qui ne pâtit pas d'une mise en scène d'une grande simplicité et sobriété. La lente désagrégation familiale ne donne lieu à aucune scène spectaculaire, si ce n'est peu de temps avant le dénouement. En revanche, le côté "saison ardente" avec ces feux de forêt à proximité qui symbolisent également la brûlure du sentiment amoureux qui s'épuise est un peu moins incarné tant Wildlife capitalise beaucoup sur les gros plans d'un jeune garçon qui est de loin le plus adulte des trois protagonistes principaux. Ce déficit d'atmosphère extérieure est voulue, Dano souhaitant focaliser son propos sur l'implosion de la cellule familiale. Aux côtés d'un Jake Gyllenhaal qui ne donne peut-être pas assez de subtilité à son personnage énigmatique, c'est le duo mère-fils qui emporte l'adhésion, avec Ed Oxenbould, débutant prometteur, et surtout Carey Mulligan, remarquable dans un rôle d'épouse pas spécialement sympathique qu'elle rend magnifiquement vivante y compris dans ses grands moments de détresse. C'est une immense actrice.
    Alice025
    Alice025

    1 689 abonnés 1 375 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 novembre 2018
    Première réalisation de Paul Dano, c'est un début prometteur même si le film souffre de quelques défauts. Jake Gyllenhaal et Carey Mulligan endossent donc le rôle des parents. L'un va partir combattre le feu après la perte de son emploi, pour se prouver des choses à lui-même. L'autre, mère au foyer, va rechercher du travail et va assouvir une forme de liberté et de révolte, délaissant parfois son fils Joe. C'est du point de vue de ce dernier que nous allons assister à l'éloignement de ses parents. L'acteur qui l'incarne, Ed Oxenbould, déjà aperçu dans « The Visit » est très bon.
    Le rythme du film est lent mais on arrive à s'accrocher. La réalisation est correcte. J'aime beaucoup ce genre d'histoire, mais il manque de la profondeur et des émotions à ce drame. Je l'ai trouvé un peu trop « doux » à mon goût. C'est dommage, car la scène finale est très bonne et reste tout de même en mémoire. Un bon sujet, mais pas assez creusé.

    cinephile-critique.over-blog.com
    mat niro
    mat niro

    364 abonnés 1 845 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2019
    Joe, 14 ans, se retrouve coincé entre un père instable professionnellement et une mère cherchant un sens à sa vie. Carrey Mulligan et Jake Gyllenhal interprètent magnifiquement ce couple qui s'éloigne peu à peu au détriment de cet ado devenu l'homme de la maison quand son père s'en va combattre les incendies. Cette chronique familiale est touchante même si elle manque un peu de piment et Paul Dano dresse un portrait subtil des sixties aux Etats-Unis. Pour un premier film, le réalisateur livre une œuvre sobre et efficace qui laisse augurer d'une grande carrière.
    Christoblog
    Christoblog

    839 abonnés 1 689 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2019
    Le premier film en tant que réalisateur de l'acteur Paul Dano est une réussite formelle.

    Wildlife propose une reconstitution convaincante des années 60 dans un coin perdu du Midwest. La photographie est somptueuse, à tel point que certains plans rappellent irrésistiblement des tableaux d'Edouard Hopper.

    La composition du jeune Ed Oxenbould, impuissant spectateur de la déliquescence du couple parental, est très solide. Jake Gyllenhaal ne fait pas grand-chose et le fait bien, Carey Mulligan en fait plus, avec beaucoup de mobilité dans le visage, comme à son habitude.

    Malgré quelques tics de mise en scène, le résultat est plutôt intéressant à regarder, dans un mode vaguement féministe et agréablement allusif. L'intrigue n'est guère développée, mais ce n'est pas très grave, Wildlife est avant tout un film d'ambiance.
    Yves G.
    Yves G.

    1 517 abonnés 3 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 janvier 2019
    En 1960, au Montana, sous les yeux de leur fils unique, un couple se déchire. Jerry (Jake Gyllenhaal) vient de perdre son emploi et sombre dans la dépression. Jeannette (Carry Mulligan) étouffe de devoir porter à bout de bras un ménage qui bat de l’aile. Joe, quatorze ans, aimerait avoir une adolescence normale.

    Il y a deux façons de juger le premier film de Paul Dano, jeune acteur hollywoodien passé derrière la caméra, voué à une gloire précoce pour ses seconds rôles dans "Little Miss Sunshine" ou "There Will Be Blood". La première est de bâiller d'ennui à ce film au rythme volontairement lent, à l'intrigue minimaliste, au sujet déprimant.

    La seconde, au contraire, est de souligner son élégance, sa sobriété, sa pudeur. Car, si le divorce est un sujet cinématographique rebattu (de "Kramer contre Kramer" à "Jusqu'à la garde" en passant par "Une Séparation" voire "Mrs Doubtfire"), on l'aura rarement filmé avec une telle sensibilité. Tout se passe dans les décors désolés d'un Montana automnal - qui n'est pas sans rappeler ceux tout aussi désolants du récent Certaines femmes de Kelley Reichardt - merveilleusement éclairé par la très belle photographie de Diego Garcia.

    L'action se déroule au tout début des années soixante, dans une Amérique conservatrice où Kennedy n'a pas encore succédé à Eisenhower. Les intérieurs proprets et ennuyeux rappellent les tableaux de Edward Hopper. Le personnage interprété par Carrey Mulligan (pour laquelle je nourris une passion enflammée depuis son premier rôle dans "Une éducation" de Lone Scherfing) n'est pas sans rappeler ceux de ces femmes américaines filmées par Sam Mendes ou Todd Haynes enfermées dans un quotidien sclérosant qui soudain se rebellent. Au début de "Wildlife", on croit que l'histoire tournera autour de Jerry ; mais bientôt le récit se désaxe pour se focaliser sur Jeannette, ses frustrations, ses transgressions.

    L'histoire est racontée du point de vue de Joe. Elle évite les scènes attendues, explosives ou larmoyantes. Elle nous réserve un épilogue inoubliable, intelligent, réconcilié.
    janus72
    janus72

    48 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2019
    Retenir surtout le trio d'acteurs : une mère qui se cherche - un père qui s'égare et leur fils tentant en vain de les guider, soit une triste photo surannée des 6o's . . .
    Carey Mulligan et Jake Gyllenhaal sont comdab excellent et le jeune Ed Oxenbould très bien dans un un rôle pivot important.
    Reste que l'ensemble du film me fait irrésistiblement penser au cinéma Mélo d'un Douglas Sirk, tout nickel et formidablement joué mais par trop plombant et presque désuet.
    J'ai aussi aimé la très belle photo de cette reconstitution minutieuse, avec un maximum de plans fixes qui voudraient certainement figer encore plus l'inaction.... mais le scénario y arrive déjà formidablement bien.
    Bref, à mon sens un sujet assez casse-gueule que Paul Dano, que j'adore, aurait sans doute pu laisser encore mûrir.
    Alasky
    Alasky

    366 abonnés 3 499 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2019
    Drame mis en scène remarquablement et doté d'un super casting. J'ai peut-être trouvé l'histoire pas assez creusée et pas assez forte en émotions. Mais cela dit, Paul Dano en réalisateur, j'en redemande !
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 635 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2019
    Dans l’Amérique des sans grades des 60’s, un adolescent voit le couple de ses parents se disloquer et se dissoudre sans qu’il ne puisse ni rien tenter ni rien changer. Jamais dans le larmoyant, cette adaptation d’un roman de Richard Ford est un mélodrame classique mélancolique. Paul Dano pour son premier film livre un honnête film sans éclat mais soigné et rigoureux ; troublant d’avoir un jeune acteur lui ressemblant tellement pour jouer le rôle principal. Y-a-t-il un fond auto biographique dans ce film ? L’anxiété du jeune Ed Oxenbould est palpable sur chaque plan ; anxiété doublée d’une telle maturité dont ses parents semblent dépourvus. Carey Mulligan est toujours aussi émouvante en femme désespérée et son partenaire Jake Gyllanhaal tient bien sa barque comme mari défaillant. Un film d’acteurs et de directeur d’acteurs, car pour le fond, on a déjà vu souvent et souvent bien mieux sur le sujet. Le roman de Ford ne s’attarde apparemment pas sur la psychologie des personnages pour mieux cerner l’ambiance et les changements que commencent à subir les structures familiales à cette époque. Là, çà donne des ellipses rapides avec des changements brutaux dans les attitudes et le positionnement des personnages quelque fois désarçonnant. La fin aussi est attendue dès la moitié du film. Au-delà du portrait d’une famille disloquée, Dano dresse le portrait d’un photographe naissant résolu à réaliser ses désirs à travers son art plutôt que de changer le monde. Ainsi la prise de vue finale annoncée jusque dans l’affiche du film clora un film bien léché mais sans envolée… attendons son second film.
    tout-un-cinema.blogspot.fr
    jerome s.
    jerome s.

    20 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2018
    de très belles images un film qui permet de bien ressentir l'ennui dans une petite ville au fin fond des Etats Unis des années 60... le problème c'est qu'on aimerait bien qu'il se passe parfois un peu plus de chose
    FaRem
    FaRem

    8 875 abonnés 9 665 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2019
    En adaptant le roman de Richard Ford, Paul Dano livre un premier film très simple, mais qui peut parler à beaucoup de monde avec l'histoire de cet adolescent qui voit ses parents se séparer lentement. Un récit au coeur d'une saison, celle des changements qui vont à jamais bouleverser la vie de cette famille. Tous ces événements sont montrés à travers les yeux de l'enfant. Il voit son père perdre confiance à la suite de la perte de son emploi et sa mère qui commence à s'épanouir sans que l'on sache si c'est par manque d'affection ou par réelle envie de vivre sa vie de femme avec l'envie de ne plus être simplement considérée comme une mère et épouse. Un ado qui passe plus de temps à observer la vie de ses parents qu'à vivre la sienne. Si Joe est au centre de l'intrigue, c'est Jeanette, incarnée par l'excellente Carey Mulligan, qui crève l'écran. L'actrice excelle dans son rôle et éclipse tous les autres personnages. En la voyant, on a envie que le point de vue change pour apprendre à le connaître davantage et ainsi avoir son ressenti qui manque cruellement à l'histoire. Son ras-le-bol et tout ce qui va avec ne fait pas d'elle une mauvaise mère. J'ai trouvé son personnage vraiment intéressant et j'aurais aimé qu'il soit plus développé. Ce qui vaut aussi pour le film en général puisque je trouve qu'il manque un peu de profondeur et surtout d'émotion. Je ne peux pas dire que j'ai été réellement touché par l'histoire même si celle-ci est intéressante. En somme, des débuts réussis pour le réalisateur qui signe un bon film qui doit beaucoup à ses acteurs.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    193 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2018
    Paul Dano se met à la réalisation, s'entoure de Zoe Kazan pour le scénario et de Carey Mulligan et de Jack Gylenhaal devant la caméra. Autant dire que ça donne très envie. L'histoire se passe dans les années 60 sur un couple qui essaie de joindre les deux bouts et d'élever leur garçon unique pour lui offrir toutes ses chances. Le début rappelle beaucoup "Les Noces Rebelles" mais l'histoire diverge rapidement. On est spectateur d'un couple qui ne se comprend plus et qui essaie, chacun de son côté, d'offrir le mieux à son fils. L'adolescent est interpellé comme un adulte alors qu'il a été couvé jusqu'à maintenant et son passage à l'âge adulte est trop rapide et abrupte. C'est assez déchirant. La réalisation est très maîtrisé et n'est pas un copier/coller d'autres films. Les acteurs sont tous excellents. Carey Mulligan et Ed Oxenbould portent réellement le film. "Wildlife" annonce l'arrivé d'un nouveau réalisateur à suivre.
    Chris58640
    Chris58640

    221 abonnés 763 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2018
    « Wildlife – Une saison Ardente » est un premier film, le premier film d’un tout jeune réalisateur nommé Paul Dano. Cela se sent, sa réalisation est très appliquée, très propre et même parfois inventive, sans malgré tout être révolutionnaire. Dano propose un film, certes un peu long (1h45 sur un couple qui se sépare, ce n’est pas l’intrigue du siècle, reconnaissons-le), mais bien filmé. Il alterne les beaux paysages du Montana, des paysages presque de carte postale, avec la réalité d’une petite ville ouvrière des années 60 du Middle-west. Là, pour le coup, le cliché des 60’s flamboyant en prends un coup. Ici, on est pauvre, on roule dans des vieilles voitures, on habite des petites maisons de plein pied, et on connait le chômage et le déclassement. C’est une autre vision des années 60, bien plus rare au cinéma que son contraire « American Graffiti » et qui n’est pas sans intérêt. Paul Dano utilise beaucoup de hors-champs, et il l’utilise fort bien, en atténuant le son mais en nous laissant deviner ce qui arrive, il soigne ses travellings (comme pour l’incendie ou il cumule les deux : hors-champs puis travelling), il prend bien soin de ne pas faire durer ses scènes au-delà du raisonnable, d’éviter les dialogues trop bavards, bref : c’est du bon cinéma, surtout pour un premier film. On regrette quand même que ça tire un peu en longueur, que la musique soit transparente et que le personnage de Jerry, le père, soit un peu éclipsé au profit de Jeannette, la mère. Du coup, Carey Mulligan écrase un peu Jake Gyllenhaal au casting. Lui incarne un père un peu taiseux, assez difficile à cerner, orgueilleux et lâche (on peut être les deux à la fois !) et au contact duquel nous aussi on aurait des envies d’émancipation. C’est un personnage très humain, qui caractérise assez bien le mari modeste des 60’s, encore chef de famille, mais de moins en moins… Carrey Mulligan a indéniablement un rôle plus complexe, de femme malheureuse, tiraillée entre une vraie envie d’émancipation (elle saute sur l’occasion de retravailler lorsque son mari se retrouve sans emploi) et de réussite sociale. Son aventure, avec un concessionnaire plus vieux, handicapé et barbant, personne n’y croit vraiment et elle la première, c’est juste une porte de sortie de cette vie étriquée qu’elle ne supporte plus. Au milieu, Joe, est incarné par Ed Oxenbould, adolescent de 14 ans témoin impuissant du long naufrage du mariage de ses parents. Il tient bien son rôle, même si parfois on le trouve bien mature pour un gamin de 14 ans. Mais des années 60, on était surement plus mature à 14 ans qu’aujourd’hui. Comme je l’ai écrit, faire 1h45 sur un couple qui de sépare lentement mais surement, ce n’est pas l’intrigue de l’année. Tout cela est évidemment très crédible, parce qu’entre longue lassitude et crise de colère, tout sonne très juste. Tous les enfants de couples divorcés le savent, on sent ces choses arriver, on sait d’emblée qu’on ne pourra rien y faire, qu’on ne sera qu’un témoin et qu’au final, on va en souffrir quand même, même si on est coupable de rien. Joe assiste aux disputes mais jusque au départ de son père (la mort dans l’âme, il s’engage comme pompier pour combattre les incendies de foret, pour un salaire dérisoire), tout semble réparable. C’est ce départ, et le déclassement qu’il implique pour Jeannette qui scelle l’affaire. A partir de là, Joe ne sera pas épargné par des parents qui ne le ménage pas, qui le prenne à témoins, la manipule, déverse sur lui leurs frustrations. Peut-être que, à cette époque, on se souciait moins qu’aujourd’hui de la psychologie des enfants, mais c’est assez dérangeant de voir combien ce gamin de 14 ans se retrouve acteur de cette séparation bien malgré lui. Quelle vision du couple et de la famille va-t-il garder en grandissant ? Même si la scène finale incite à un certain optimisme sur ce point, c’est quand même navrant de voir un couple si peu ménager son enfant ! Dans l’ensemble, « Wildlife - Une saison Ardente » est un film réussi sur un sujet pourtant ultra conventionnel, déjà filmé mille fois. C’est un film prometteur pour un tout jeune réalisateur visiblement plein d’idées et non dénué de talent. Il est dommage d’avoir sorti ce film en période de fêtes de fin d’année car la saison n’est pas propice aux drames intimistes Si « Wildlife – Une Saison Ardente » fait un parcours honorable en salle, il n’en aura que plus de mérite
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 décembre 2018
    Présenté en ouverture de la Semaine de la Critique du festival de Cannes 2018, Wildlife de l’acteur désormais réalisateur Paul Dano distille une belle chronique familiale dans la classe moyenne américaine des années 1960. Le récit doux-amer coécrit par le réalisateur et Zoe Kazan se pare de mille délicatesses. Derrière ce subtil portrait d’une famille se décline celui, superbe, d’une femme libre dans l’Amérique conservatrice d’alors. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    SYLVIE B.
    SYLVIE B.

    28 abonnés 202 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2019
    Bien joué, certes, bien filmé, certes. A l'ancienne, on se croirait vraiment dans les 60ies avec le grain d'image. . Mais rien de très surprenant
    Revo67
    Revo67

    16 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2018
    Le naufrage d'un couple sous le regard de leur fils.L'histoire se passe dans le Montana début des années 60. C'est très bien interprété et le scénario est intelligent et fin. C'est volontairement assez lent ce qui rend le film un peu ...soporifique.
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