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Votre avis sur The Harder They Fall ?
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« The Harder They Fall » est un western stylisé qui impressionne par ses visuels et son esthétique, mais malheureusement, de nombreux autres aspects ne résistent pas à un examen approfondi. Le réalisateur Jeymes Samuel a rassemblé une distribution impressionnante, visuellement, le film est magnifique, et la bande-son est exceptionnelle. Cependant, l'histoire de vengeance de Nat Love (Jonathan Majors) contre Rufus Buck (Idris Elba) manque de profondeur et de structure. À plus de deux heures, le film aurait eu suffisamment de temps pour développer ses personnages et son intrigue, mais malgré quelques scènes mémorables, l'ensemble reste plat et prévisible. Les acteurs, bien que talentueux, ne parviennent pas à sauver un scénario faible. Majors et Elba offrent de bonnes performances, mais le manque de développement des personnages et les choix narratifs incohérents laissent à désirer. Le film essaie de se démarquer par son style, mais il échoue à créer un lien émotionnel avec le spectateur. WHITE FINGERS, votre Marshal de l’Ouest. Retrouvez mon amour du Far West dans les romans WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Ridicule, sans intérêt et trop violent pour être vu par des enfants préados.
Je me suis arrêté à 15 mns que je regrette déjà d'avoir gaspillé.[/spoiler]
Je me suis arrêté à 15 mns que je regrette déjà d'avoir gaspillé.[/spoiler]
Un western à l'histoire très classique, enjolivé par des effets de style à la Tarantino et une musique cool, façon blackploitation.
Il se laisse regarder sans déplaisir.
Il se laisse regarder sans déplaisir.
Film très clairement communautariste avec de bonnes scènes mais aussi des longueurs, mais des longueurs .....
« Si les faits relatés dans ce film sont fictifs. Les personnes ont existé ».
Voilà ce que tient à dire Jeymes Samuel aux spectateurs qui penseraient que « The Harder They Fall » s’inscrit dans une mouvance afro-américaine afin de permettre aux gens de couleurs de se reconnaître.
Ouf !
J’emploie à bon escient et par provocation bienveillante « gens de couleur » car la ville Redwood City est bariolée de couleurs vives qui sont un plaisir pour les yeux. Une composition artistique des plus agréables à voir, pas vu depuis « La prisonnière du désert » !
En exagérant à peine.
Un film esthétique qui assume son délire avec la ville de Maysville spoiler: habitée par des Blancs. La ville est toute blanche, du sol aux maisons en passant par la banque braquée dont l’intérieur est tout blanc jusqu’aux habits !
En soi, sous des dehors tarantinesques, « The Harder They Fall » revendique une posture militante : communauté de couleurs, communauté de femmes aussi. spoiler: Celles-ci font jeu égal avec les hommes en terme de brutalité et de violence.
Le scénario est maigrelet, une histoire de vengeance à assouvir, tout ce qu’il y a de plus basique, d’élémentaire. Peu importe, l’essentiel c’est comment nourrir ce scénario. Jeymes Samuel s’en est bien sorti en proposant un scénario délirant et vitaminé, spoiler: avec les aveux de Rufus Buck (Idriss Elba) comme fin inattendue.
A découvrir.
Voilà ce que tient à dire Jeymes Samuel aux spectateurs qui penseraient que « The Harder They Fall » s’inscrit dans une mouvance afro-américaine afin de permettre aux gens de couleurs de se reconnaître.
Ouf !
J’emploie à bon escient et par provocation bienveillante « gens de couleur » car la ville Redwood City est bariolée de couleurs vives qui sont un plaisir pour les yeux. Une composition artistique des plus agréables à voir, pas vu depuis « La prisonnière du désert » !
En exagérant à peine.
Un film esthétique qui assume son délire avec la ville de Maysville spoiler: habitée par des Blancs. La ville est toute blanche, du sol aux maisons en passant par la banque braquée dont l’intérieur est tout blanc jusqu’aux habits !
En soi, sous des dehors tarantinesques, « The Harder They Fall » revendique une posture militante : communauté de couleurs, communauté de femmes aussi. spoiler: Celles-ci font jeu égal avec les hommes en terme de brutalité et de violence.
Le scénario est maigrelet, une histoire de vengeance à assouvir, tout ce qu’il y a de plus basique, d’élémentaire. Peu importe, l’essentiel c’est comment nourrir ce scénario. Jeymes Samuel s’en est bien sorti en proposant un scénario délirant et vitaminé, spoiler: avec les aveux de Rufus Buck (Idriss Elba) comme fin inattendue.
A découvrir.
Un western stylisé et fun . Bien sûr il n y a pas grand chose de nouveau à l ouest plutôt une bonne vieille histoire de vengeance mais très efficace. Mise en scène soignée avec une bonne BO et des comédiens parfaitement bien castés.
Bon....on revisite tout, même le western...et si les afro-américains n'en étaient pas absents, cette histoire est nanardèsque, voulue comme l'affrontements de gangs de narcos. Il n'y a rien à en tirer.
Un très bon western avec tous les codes du genre (plans américains, saloon, duels, désert...) et des acteurs au top (Idriss Elba incroyable). De belles surprises dans le scénario. La musique est vraiment détonnante (pourquoi pas). Malgré tout, quelques longueurs.
On est ici sur un western basic de Netflix qui n'a rien a nous offrir. Ibris Elba joue évidemment bien, comme tous les autres acteurs d'ailleurs, notamment Johnatan Majors. On a des scènes d'action avec de la violence mais question scénario et mise en scène, c'est franchement discutable.
Oh très bien ma foi. Django est passé par là et le monde du western en est marqué au métal brûlant des Colts et des Winchesters. Ce film est, comme son illustre prédécesseur, bourré d'acteurs afro américains, et on ne peut que s'en réjouir au vu de ce que proposent les stars déjà existantes (Freeman, Witakker, Jackson, Washington... ).
Un bon scénar, bien exploité, servi pas une inventive galerie de personnages, et l'équilibre ne manque pas entre la recherche de climats et la baston bien saignante. Dénouement à l'avenant.
S'il n'a pas l'envergure dune pierre angulaire du genre comme Django, ce film est beaucoup mieux qu'un simple divertissement. Très bonne note.
Un bon scénar, bien exploité, servi pas une inventive galerie de personnages, et l'équilibre ne manque pas entre la recherche de climats et la baston bien saignante. Dénouement à l'avenant.
S'il n'a pas l'envergure dune pierre angulaire du genre comme Django, ce film est beaucoup mieux qu'un simple divertissement. Très bonne note.
Un chef d œuvre de réussite avec un jeu d acteurs vraiment réussi et crédible, on reste scotché des les premières minutes et jusqu'à la fin ou l'on ne peut se douter du dénouement.
a recommander fortement et je ne comprends pas que la critique ne propulse pas ce film au rang de chef d œuvre
car c est tout ce qu'il mérite !
a recommander fortement et je ne comprends pas que la critique ne propulse pas ce film au rang de chef d œuvre
car c est tout ce qu'il mérite !
Un excellent film dans la même lignée que Django et Kill bill
La photographie est sensationnelle avec un bon scénario
Les acteurs sont super charismatique
La photographie est sensationnelle avec un bon scénario
Les acteurs sont super charismatique
Assez déçue. Ce western commençait plutôt bien sauf qu'au bout d'une heure, l'ennui a commencé à se faire sentir... Le scénario est tellement inconsistant et les personnages caricaturaux que même les quelques bonnes scènes d'action ne sauvent pas ce film du naufrage. Sans parler du jeu des acteurs qui est très moyen. Reste la bande son super entrainante.
Des clichés, costumes chip, décors chip, une parodie de western.
Si ça ne se prenait pas au sérieux ça pourrait presque être un nanar.
Un seul bon moment dans le film,: la première scène qui est super prometteuse..... Et après c'est la catastrophe.
Bref. Un gros navet
Si ça ne se prenait pas au sérieux ça pourrait presque être un nanar.
Un seul bon moment dans le film,: la première scène qui est super prometteuse..... Et après c'est la catastrophe.
Bref. Un gros navet
Un film moyen parsemé d'abus et d'incohérences de situation. Bref, une histoire qui n'était pourtant pas mauvaise mais l'utopie absurde des scènes finit par rendre le film presque indigeste.
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