Pour les deux réalisatrices, il s'agissait de montrer la force de l'imaginaire face au handicap : "Peut-être cherchons-nous à approfondir nos connaissances sur les rapports humains, et si elles apparaissent hors de portée des enfants, alors nous sommes déterminées à en faire une interprétation qu’ils puissent saisir. Bien entendu, nous cherchons à le faire de façon dynamique et ludique à travers nos histoires, afin qu’elles ne soient pas seulement pédagogiques mais aussi très séduisantes".