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    The Big Sick
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    FaRem
    FaRem

    8 767 abonnés 9 621 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 septembre 2017
    Deux ans après "Hello, My Name Is Doris" que j'avais pas du tout aimé, Michael Showalter revient avec un nouveau film une fois de plus bien reçu par la critique que j'ai cette fois-ci apprécié. Le film est écrit par Kumail Nanjiani et sa femme Emily V. Gordon qui racontent donc leur histoire particulière. À un moment, Kumail dit à ses parents : "pourquoi m'avoir amené ici si vous ne voulez pas que j'aie une vie à l'américaine ?" Cette phrase résume bien cette histoire avec cet homme qui est partagé entre le souhait de ses parents de vivre une vie à leur image et ses désirs à lui qui veut être humoriste et sortir avec les filles qu'il veut. Si la partie "romance" fonctionne bien, c'est grâce à la bonne alchimie entre Kumail Nanjiani et la talentueuse Zoe Kazan qui était déjà géniale dans "The F Word", "The Big Sick" n'est pas simplement un film romantique, mais surtout un film sur les différences en tout genre (de culture, de choix de vie, etc.) et sur la relation entre les parents et leur enfant ce qui vaut autant pour Kumail que pour Emily. Le sujet est parfois lourd à cause de la maladie ou à cause des problèmes familiaux seulement il y a toujours un trait d'humour ou autre pour détendre l'atmosphère et nous rappeler que l'on regarde avec tout une comédie. J'ai trouvé le film un peu long par moment, il y a quelques longueurs à l'entame de la seconde heure notamment, mais on finit par les oublier et le film qui est amusant et touchant est finalement réussi et agréable à suivre.
    Arnaud R
    Arnaud R

    90 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2017
    Une très jolie dramédie romantique au scénario non conventionnel et à l'authenticité très forte qui doit venir de son statut d'histoire vraie. Sincère, drôle et émouvant.
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 536 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mai 2018
    Attention, vous êtes en présence d'une petite merveille de feel good movie, risques importants de bouffées d'air frais émotionnel pendant près de deux heures !

    On avait évidemment repéré le potentiel comique de Kumail Nanjiani dans l'excellente série "Silicon Valley" où il incarne le magnifiquement sarcastique Dinesh Chugtai mais rien ne nous avait préparé à ce que le bonhomme signe un scénario d'une justesse aussi incroyable dans toute la richesse des thématiques qu'il explore.

    Grandement autobiographique, "The Big Sick" a été écrit à quatre mains par Kumail Nanjiani et sa femme Emily Vance Gordon, l'acteur y joue son propre rôle de jeune comique jonglant entre son petit boulot de chauffeur Uber, la liberté que lui offre ses numéros de stand-up et les traditions familiales pakistanaises auxquelles l'attachement à son cadre parental, aussi chaleureux que rigide, ne lui permet d'échapper. Inspiré de la véritable rencontre du couple, le film va bien sûr faire entrer rapidement une donnée sentimentale avec le personnage d'Emily (incarnée ici par la on-le-répétera-toujours-génialissime-Zoe-Kazan) et nous coller tout aussi vite un énorme sourire aux lèvres par la magie réalistico-romantique qui se dégage de leurs échanges magnifiés par la qualité impressionnante des dialogues.
    Et cette qualité d'écriture sera valable pour toutes les facettes de la vie de Kumail dans lesquelles il se retrouve pris au piège lorsqu'elles ont le malheur de se conjuger : que cela soit sa montée en puissance sur scène, son rapport difficile à la religion et aux comportements traditionalistes étouffants de ses parents (les tentatives de mariage arrangé de sa mère), ce début d'histoire d'amour inattendue ou, bien entendu, l'arrivée tragique de la maladie dans sa vie qui en découlera, tout semble empreint d'une authenticité qui tutoie le génie !
    "The Big Sick" a ce don fou d'emporter l'empathie immédiate du spectateur par cette espèce de sincerité palpable qui se traduit autant dans la drôlerie découlant de l'absurdité très finement relevée de certaines situations que dans ses instants bien plus dramatiques et ce, toujours en évitant l'écueil de la mièvrerie avec lequel ce genre de film a parfois l'habitude de trop souvent fleurter. On pensera à la série "Master Of None" tant Aziz Anzari partage certaines thématiques et cette forme de vérité dans les rapports humains qui se dégagent du film de Kumail Nanjiani (le film est réalisé par Michael Showalter, le créateur des "Wet Hot American Summer", mais le travail du comédien-scénariste est tellement présent que l'on peut parler de "son" film bien à lui), toutefois, "The Big Sick" touchera peut-être encore plus juste par son format de long-métrage qui condense tout cela dans une partition sans la moindre fausse note et où l'ensemble des personnages a son moment pour briller tel un orchestre où l'on est capable de déceler tous les instruments par le simple talent des musiciens (les comédiens sont incroyables avec, hormis les deux principaux, une mention spéciale à Holly Hunter et Ray Romano, fabuleux en presque-beaux-parents). Par cette faculté que possède le film à s'inscrire dans une réalité si proche de la nôtre, il réussit à transcender sa forme conventionnelle (même si on n'attend pas grand chose de ce côté pour ce genre d'histoire, la réalisation ne brille pas par son originalité) pour nous faire douter sur la direction que va prendre la conclusion du film. "The Big Sick" aura-t-il droit un happy-end ou non ? Bien difficile de le dire, même à quelques minutes du générique de fin, comme si tous les codes habituels avaient été brillamment mis de côté pour mieux nous identifier à une vie, imprévisible comme toutes les autres, qui n'est pas la nôtre mais qui, en même temps, n'en est pas si éloignée. Rassurez-vous, quoiqu'il arrive vous aurez toujours ce sourire idiot aux lèvres et sans doute les yeux un peu embués... comme vous les avez eu pendant tout le film.
    Kumail Nanjiani, on aurait bien continuer un peu à vivre à vos côtés. Et il n'y a probablement pas de plus beau compliment que l'on puisse vous faire...
    Yetcha
    Yetcha

    893 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2017
    Une jolie romance qui sort de l'ordinaire et qui, en plus, ajoute une thématique des rapports ethniques vraiment intéressante. Les acteurs sont naturels et on passe un très bon moment plein de bonheur.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    324 abonnés 2 997 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    une comédie dramatique et sentimentale qui évoque également en toile de fond le poids de la culture et de la famille. il y a quelques jolis moments mais certaines scènes sous forme de "remplissage" s'avèrent peu naturelles, certains dialogues sont poussifs, platoniques et on a le sentiment de tourner un peu en rond. le temps est long, difficile de tenir sur la longueur, jusqu'au final plutôt convenu...
    kibruk
    kibruk

    149 abonnés 2 579 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2024
    "The Big Sick" n'est pas véritablement une comédie vu les sujets abordés (la maladie grave, la pression familiale et le poids de traditions), ce n'est pas non plus un mélo romantique car on évite de tomber dans le pathos. On a donc un film à l'ambiance hybride qui tient surtout par la qualité de ses acteurs et de l'écriture des dialogues. Agréable à voir mais pas inoubliable non plus.
    guillermo_go
    guillermo_go

    39 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 janvier 2018
    "Yo momma gonna ghost ya" est la réplique qui m'a fait le plus rire cette année.
    Une honnête romcom, qui montre une réalité de la seconde génération d'immigré pakistanais rarement montrée. Sinon pour du plus sérieux, voir Just a Kiss de Ken Loach.
    ptitmayo
    ptitmayo

    37 abonnés 969 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2019
    "The Big Sick" est un film globalement sympathique mais qui ne tient pas toutes ses promesses. D'un point de vue général, j'ai apprécié le côté très "Master of None" (sans l'aspect génération Y, juste pour l'ambiance multi-culturelle et l'alternance entre comédie et drame) du scénario, capable de délivrer de bonnes séquences humoristiques spoiler: (la mère de Kumail et le rituel des prétendantes; le stand-up; la pièce ennuyeuse sur le Pakistan; le Uber; la relation entre Kumail et le père d'Emily)
    au sein d'un contexte plus lourd spoiler: (la maladie très sérieuse d'Emily, dans le coma)
    qui orchestre une romance émouvante spoiler: (Kumail se rend vraiment compte de son amour pour Emily quand celle-ci risque de mourir)
    . Sur le fond, même si ça se résume uniquement aux mariages arrangés et au passé familial spoiler: (l'arrivée des parents de Kumail aux États-Unis a été compliquée, le père devant repasser son diplôme à 50 ans et sa mère n'ayant pas vu la sienne en 14 ans)
    , la différence culturelle prend une bonne place et s'illustre surtout au final à travers l'évolution de Kumail, de plus en plus complice avec les parents d'Emily alors que dans le même temps il s'éloigne des siens. Derrière cela, on a d'ailleurs aussi une peinture assez juste de la famille, avec ses déceptions spoiler: (la mère de Kumail se sent trahie, le père ne soutient pas ce qu'il fait à New-York et de sa vie en général)
    et malgré tout un lien immuable spoiler: (la mère a quand même fait son plat préféré à son fils pour le voyage)
    . Je regretterais juste alors que la finalité soit très classique spoiler: (Emily débarque dans la salle de Kumail et reprend un dialogue initial)
    , que le déroulé ait des longueurs et que le frère de Kumail ne serve pas assez de contrepoint aux aspirations de Kumail (et en conséquent, le talent indéniable d'Adeel Akhtar est insuffisamment exploité). À propos du casting, rien à redire, Kumail Nanjiani (Silicon Valley) est très bon, Zoe Kazan a une fraicheur agréable à l'écran, et Holly Hunter et Ray Romano sont excellents dans des registres opposés spoiler: (Beth étant plus dure avec Kumail que ne l'est l'hilarant Terry)
    . Au final, "The Big Sick" est une bonne dramédie au message très actuel.
    Cinememories
    Cinememories

    486 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2018
    Michael Showalter a récemment débuté par des petites comédies dramatiques qui ne proposaient pas grand-chose d’appétissant. En revanche, on extrait de sa dernière réalisation une pépite scénaristique. Le travail autobiographique des scénaristes Kumail Nanjiani et Emily V. Gordon, désormais mariés, réamorce des aspects sociaux maintes et maintes fois recyclés. Or, la bataille subsiste encore dans ce monde où la notion de diversité peut perdre tout son sens. Une rencontre hasardeuse fait bien les choses, mais le plus important c’est de bâtir des liens solides afin que jamais ils ne puissent les séparer. Cette relation devra alors trouver et exploiter un terrain commun où leurs différences culturelles ne peuvent les atteindre.

    Kumail fait du stand-up amateur car il en est passionné. Persuadé que le rire fait sa bonne fortune, il renonce aux traditions familiales qui lui impose une condition de vie qu’il ne tolère pas. Il y a suffisamment de cohérence dans son discours pour soutenir son résonnement. Les traditions sont le symbole d’une prison que l’on préserver pour le bien de la famille, or cela n’aide pas non plus chacun de ses membres de s’épanouir comme il le souhaiterait. Vivre en Amérique pour ailleurs, c’est vouloir améliorer sa condition de vie. Cependant, les parents de Kumail persistent à lui octroyer toutes les valeurs Pakistanaises qui ont forgé leur réussite et leur survie. Il y a tout un équilibre à gérer et si l’on ne s’ouvre pas à l’occident et les coutumes locales, pourquoi s’y être installé si ce n’est que pour trouver un travail confortable. Le bien-être préoccupe donc beaucoup ses parents qui ne jurent que par leur croyance, comme leur obstination à vouloir organiser un mariage arrangé. Opposé à cette idée, lui amputant d’une certaine liberté et flexibilité d’expression, Kumail se fit à son instinct et ce dernier le conduit à rencontrer son âme-sœur.

    L’entrée d’Emily (Zoe Kazan) dans sa vie est une chose qui ne pouvait pas plus le réjouir. Chacun à sa manière exprime alors son affection pour l’autre, tel le coup de foudre qui les rapproche intimement, jusqu’à partager des informations qui pèsent sur leur conscience. L’une d’elles exposera un débat ouvert sur la distance qui séparent ces deux individus qui s’aiment malgré tout. Les traditions de Kumail et son respect pour sa famille est une forme de résistance à l’amour qui lui sourit, c’est pourquoi Emily entre de suite en conflit avec son opinion. Pourtant, il le sait, nous le savons. La barrière culturelle qui l’empêche de s’exprimer pleinement à son entourage se cumule dans son esprit. Nous remarquerons que ce n’est pas un détail anodin si Kumail délivre explicitement les vertus de ses traditions à son public. Il évacue ensuite le tout sur scène, devant des inconnus à qui il leur révèle la vérité sur sa condition, tout en usant de l’humour comme forme de défense.

    Vient alors la partie charnière du récit, où la jeune Emily estmise en retrait pendant un moment et sa voix est représentée par ses parents. Alors que la mère plaide tout le soutien moral pour sa fille, le père n’assume pas ses responsabilités ou bien feint de les considérer au sérieux. De la même manière que les parents de Kumail, ceux d’Emily la protège de la honte et du regret. La mère a notamment du mal à accepter le jeune Pakistanais, dont la sobriété et l’honnêteté lui fait souvent défaut. Or, ses sentiments expriment avec certitude son amour. Ainsi, on alerte le spectateur qu’il faut écarter les préjugés et les divergences religieuses et d’opinion. L’œuvre a l’intelligence de servir du concret, slalomant alors entre les caricatures, rien de surprenant en réalité étant donné l’expérience basée sur une relation qui est passée par tout ce mélodrame familial.

    L’amour est un conflit dont il s’agit de savoir maitriser afin de générer la tendresse que l’on convoite tous. Bien que l’on aborde partiellement cette trame romantique pour laisser davantage de place au débat interculturel, ce thème est bel et bien présent. La mise en scène n’offre rien d’innovant bien qu’elle nous rapproche de l’intimité de chacun, donc ce qui est à exploiter se trouve dans le discours de chaque protagoniste qui, les uns après les autres, succèdent les exemples de tout ce qu’ils ont bien pu regretter dans leur vie afin de renouveler un amour perdu. Le film prend le temps d’étudier son cas avec un recul très apprécié. La véritable maladie est cet amour qui lie les personnages à leur racine. S’en défaire leur permet d’évoluer mais cela n’est pas sans conséquence. Et malgré les situations dramatiques qui enveloppe chaque interaction, l’humour et les émotions rattrapent toute la pagaille causée afin de conclure une belle aventure avec sincérité.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    68 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2023
    Comédie ethno-romantique (c'est carrément devenu un genre en soi) sympathique, drôle et attachante, "The Big Sick" raconte, semble-t-il, la vraie histoire de Kumail Nanjiani et son épouse. Le film est passablement original, dans le ton comme dans la mise en scène, les dialogues sont drôles et très bien écrits, les acteurs secondaires sont parfaits (quel plaisir de voir la trop rare Holly Hunter!) et, quand bien même on fatiguerait vite de ces traditions familiales comme ressort scénaristique un peu lourdaud, le charme de Zoe Kazan finira d'achever toute résistance! Joli!
    Prad12
    Prad12

    94 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 octobre 2017
    Surtout pour Dinesh de Silicon Valley.... pour le reste c'est assez lourd et quand même bourré de clichés.... c'est une dénonciation mais surtout une revendication de son appartenance et une volonté de la faire accepter chez l'autre, c'est assez déroutant... bon jeu d'acteurs mais on se demande où va cette dénonciation....
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    143 abonnés 2 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2017
    Une comédie dramatique qui abandonne rapidement la comédie pour le drame et saupoudre son titre d'une pincée de romance.
    Biertan64
    Biertan64

    51 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2022
    Comédie romantique sans prétention qui se distingue (un peu) du fait de l'origine d'un des deux tourtereaux, pakistanais émigré aux Etats-Unis, dont le rôle est tenu par Kumail Nanjiani qui raconte ici ses propres souvenirs
    Cela permet quelques scènes jouant sur les différences culturelles, avec par exemple le running-gag des tentatives avortées de mariage forcé, et sur les difficultés à tout simplement s'aimer quand il existe un décalage ethnique ou une pression familiale.
    Cependant tout ne tourne pas autour de ce seul thème et l'ensemble reste assez classique, avec des moments plus creux et un final sans surprise: ils se rencontrent, tombent amoureux et malgré quelques accrocs, s'aimeront certainement toute la vie.
    Bref, comme souvent dans les romcom, mais le couple Kumail - Zoe Kazan est sympathique et le ton agréable, plein d'une bonne humeur communicative.
    youn31
    youn31

    13 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 septembre 2017
    Un film gentillet, qui me tient à cœur.
    J'ai des origines indiennes, et j'ai du moi même faire face à la différence culturelle. Sauf que je cherche toujours ma dulcinée, et lui l'à trouvé, pour de vrai apparemment, c'est un film tiré d'une histoire vraie.
    Il mérite peut être 3,5 ou 4 étoiles, mais moi j'ai mis 5, pour équilibrer... je ne suis pas certain que tout le monde aime.
    C'est un film qui traite d'un vrai sujet, avec sensibilité, qui plus est est tiré d'une histoire vraie.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 687 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juillet 2020
    Romance, conflit culturel, trahison, compassion et rédemption. Le tout soigneusement emballé dans le contexte d'une comédie. Michael Sholwater a fait un superbe travail de mise en scène et la collaboration d'écriture entre Emily V.Gordon et Kumail Nanjiani a donné au public une idée merveilleusement intime de la façon dont la chaleur, le pouvoir et la croissance d'une relation de couple peuvent élargir et renforcer les liens familiaux. Aucune histoire ou film ne devient grand sans un superbe casting. Encore une fois Kumail Nanjiani a prouvé sa polyvalence avec une performance incroyablement forte. Et ce film n'était pas un one man show Zoe Kazan a donné juste la bonne énergie à son rôle et Holly Hunter devrait obtenir un Oscar pour la meilleure actrice dans un second rôle. Ray Romano était excellent tout comme Zenobia Shroff et Anupam Kher. Ce fut un très bon et c'est peut-être l'une des meilleures comédie romantique que j'ai jamais vu...
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