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3,5
Publiée le 16 novembre 2020
Nouvelles aventures de Bob l'éponge dans un style d'animation différent. C'est toujours un plaisir de revoir les personnages, mais côté scénario ça commence sérieusement à manqué d'inspiration, l'humour est toujours présent mais bien moins marqué qu'au début de la série, d'ailleur ce nouveau film n'es pas vraiment raccord avec celles-ci. Après ça reste tout de même regardable mais la qualité s'étiole de plus en plus.
Divertissant, mais pas fou. On est certes très bien embarqué dans le monde de bob l'éponge mais c'est un peu confus, un peu moyen, pas souvent drôle ! Le message de fin est cependant clair et on reste entrainé sans s'ennuyer dans ce film
Décidément, le cinéma ne réussit pas vraiment à la série !
Raté sur raté pour cet univers qui fonctionne pourtant si bien sous forme de série télé !
Il faut dire qu'aucun effort ne semble fourni : l'animation est d'une laideur rarement atteinte, le scénario est très léger, l'humour tombe souvent à plat.
La seule chose qui, à mes yeux, sauve un tant soit peu ce film, c'est la côte de sympathie des personnages. Ils peuvent générer en moi un sourire rien que de les voir à l'écran.
Mais ce qui fonctionne sur un épisode ne fonctionne pas forcément sur un long-métrage. C'est la leçon que n'ont toujours pas su tirer les producteurs.
Ceux-ci s'évertuent plutôt à valider des films dans lesquels l'animation passe au second plan, quitte à faire subir au spectateur des plans mélangeant prises de vue réelles et animation en faisant le moins d'effort possible pour qu'il y ait des interactions entre les acteurs et les personnages.
En réalité, j'ai la sensation que l'équipe s'est reposé sur un nom : "Bob l'Éponge", en espérant que cela suffirait pour en faire une bonne comédie d'animation. Spoiler : ce n'est pas le cas.
C EST TERRIBLE. Quel manque de cohérence, les scénaristes ont ils regardés la série? Dans la série on voit la rencontre avec Sandy, et le capitaine Krabs, pourquoi inventer un passé qui n'est pas en accord avec ça? En plus d'être un mauvais film, vous faites honte à la série, c'est complètement rageant. Et avec ça vous osez dédier ce film à Monsieur Hillenburg? Incroyable manque de respect, il doit se retourner dans sa tombe. Ne regardez pas, et lancez vous les premières saisons de Bob!
Comparé à son aîné sorti cinq ans auparavant, The SpongeBob Movie : Sponge on the Run fait le choix judicieux de réduire l’interaction du numérique et des prises de vue réelles en la réservant à une séquence sympathique dans un saloon désaffecté ainsi qu’à la tête de Soage, campée par un improbable (et néanmoins savoureux) Keanu Reeves. En résulte une suite fort divertissante à l’animation fluide et visuellement impressionnante, qui embarque ses personnages dans des aventures hautes en couleurs tout en abordant une série de thématiques qui disposent d’une résonance actuelle, quoique traitée sur un mode burlesque : pensons au robot qui menace d’expulsion le Capitaine Krabs, ou encore à ce show judicaire au cours duquel les accusés sont jugés devant un public comme n’importe quelle émission de télévision à succès, idée qui n’est pas sans rappeler le film Yalda en salles il y a quelques semaines (Massoud Bakhshi, 2020). Il est savoureux de voir le long métrage jouer avec les attentes du spectateur, qui sont autant de passages obligés dans les productions familiales – les deux amis partent ensemble mais leur quête va les séparer avant d’orchestrer leurs retrouvailles –, pour mieux les déjouer et proposer un récit assez original, imprévisible et drôle. The SpongeBob Movie : Sponge on the Run s’amuse avec les flashbacks dont la charge émotionnelle se voit désamorcée par leur répétition, se situant tous dans le camp de vacances où nos protagonistes se rencontrèrent jadis. Si l’insolence reste de surface et récréative, et le rythme trop épileptique, elle n’empêche certaines séquences d’emporter par leur rythme, fortes en cela de la partition musicale signée Hans Zimmer. Une reprise de « Take on Me » achève le visionnage de cette œuvre très nostalgique dont la petite morale insiste sur l’importance d’avoir des amis et de pouvoir compter sur eux. Rien de neuf sous le soleil de Bikini Bottom dirons certains, et c’est tant mieux. Une déclinaison honnête et ludique de l’univers créé par Stephen Hillenburg qui retrouve la fraîcheur naïve de l’original, soit la recette secrète de ces délicieux pâtés de crabe.
Bob l'éponge : éponge en eaux troubles est une énorme purge. Adaptation lourdingue, qui n'offre rien de novateur et se contente de paresseusement reprendre les poncifs de la série. Humour bas de gamme, mise en scène et écriture consternantes, même le précédent opus était plus réussi.
Troisième aventure sur grand écran pour Bob l’éponge carrée et Patrick l’étoile de mer, après un premier opus très réussis (2004) et une suite très décevante (2015), on attendait ce nouvel opus fébrilement, ne sachant absolument pas si la qualité allait être au rendez-vous.
Après avoir réalisé la première adaptation en 2D, puis la seconde en 3D, pour la troisième fois consécutive, c’est tout l’univers du film qui change radicalement en termes d’esthétisme et le résultat s’avère bien décevant. Un résultat bien en deçà de ce que l’on s’attendait, tant le résultat s’avère mal texturé et au graphisme laissant perplexe…
Force est de constater que les trames semblent toutes se ressembler les unes aux autres. En 2004, les acolytes partaient sur les routes à la recherche de la couronne du Roi Neptune, en 2015, nouveau road-trip pour tenter de mettre la main sur la recette du pâté de crabe et rebelote, cette fois-ci, de nouveau sur la route, pour retrouver Gary, l̵e̵ ̵c̵h̵a̵t̵ l’escargot de Bob.
Il semblerait que les scénaristes et les producteurs aient du mal à se renouveler, voir à insuffler un nouveau souffle à cette franchise. En dehors de foutre en l’air le graphisme d’origine (rendez-nous le Bob d’avant, avec son graphisme d’origine en 2D), les gags tombent très souvent à plat et faute d’originalité, on attend sans grande surprise à chaque nouvel épisode de savoir quelle sera l’acteur/trice qui se prêtera au jeu du caméo (après David Hasselhoff en 2004 et Antonio Banderas en 2015), sans la moindre surprise, des nouvelles stars sont de la partie, avec Snoop Dogg, Danny Trejo & Keanu Reeves. Etait-ce nécessaire ? Est-ce que cela apporte une plus-value ? La réponse est non.
Non seulement le film est désolant et paresseux, mais il donne aussi cette désagréable impression d’avoir assisté (in)volontairement, à une preview de ce que sera la nouvelle série (ou plutôt spin-off), celle centrée sur l’enfance de Bob l’éponge (et prévue en 2021) : "Kamp Koral SpongeBob's Under Years". Un jolie coup marketing de la part de la prod’, d’où les innombrables redondances à la fin du film, lors de la séquence dite du procès, où chaque personnage vient se remémorer son enfance auprès de Bob (et dont les incohérences sont tellement nombreuses et flagrantes, que cela rend la séquence encore plus pathétique).
Redondant, avec un humour poussif et lourdingue (voir assommant), avec une intrigue des plus ennuyeuse (merci Gary, toi seul aura su me faire sourire). Le film est d’une platitude désarmante, on regrette amèrement tout ce qui faisait le charme du premier opus.
Cela fait plus de vingt ans que la célèbre éponge, accompagnée de son meilleur ami Patrick, occupe une place importante sur nos écrans et dans la pop culture en général. Et c'est la troisième fois que la série produit par Nickelodeon s'adapte en format de long-métrage mais il s'agit là du premier film n'ayant pas été tourné du vivant de son créateur, Stephen Hillenburg, décédé en 2018. Voir une nouvelle aventure débarquer sur Netflix en période de confinement ne peut donc que raviver notre nostalgie et notre âme d'enfant ! Dans "Eponge en eaux troubles", alors que l'escargot de compagnie, Gary, est kidnappé, Bob se lance à sa recherche vers la Cité Perdue d'Atlantic City, où règne le roi Poseidon... Film avant tout familial et no prise de tête, cet épisode longue durée est dans l'esprit des deux films précédents ; un road movie délirant et coloré où la bêtise et la naïveté sont intacts. Certes, c'est divertissant, c'est joli, mais ça se repose un peu trop sur ses lauriers à mon goût, laissant les fans de la première heure sur leur faim. Se partageant entre images 3D et prises de vue réelles et incluant quelques caméos de stars, on ne peut s'empêcher de trouver certaines séquences sans grand intérêt... La bonne surprise, c'est l'apparition de Keanu Reeves, en buisson ardent, qui se marie bien à la fantaisie ambiante, poussant le trait de l'autodérision et de la déconnade. On a aussi le droit à un ajout non-nécessaire et purement promotionnel, qui souligne une nouvelle fois le manque d'idées des scénaristes : l'introduction du futur spin-off de "Bob l'éponge" qui nous plonge, via des flashbacks, dans l'enfance de nos héros... Avec ses passages à vide et ce concept criard qui se contente de remâcher un humour souvent lourd et déjà-vu, ce troisième film convainc beaucoup moins que ses prédécesseurs... et le visuel innovant qui fait peau neuve à la série originelle n'y peut pas grand chose.
Soyons clair, il faut être fan de Bob pour apprécier le film, dont je fais partie. On retrouve toute la troupe, l'histoire est drôle et décalée quant à la technique d'animation, elle donne un relief à tout l'ensemble. Un film d'animation très sympa.
Très fan de l'animé, on peine ici à retrouver l'exact humour loufoque de la série, c'est un peu plus lourd et probablement un peu plus destiné aux enfants, pour autant je me suis pas mal marré. Le comique de situation est toujours présent et Keanu Reeves en guest régale ! L'aspect live action m'a également laissé un peu de marbre, plus de simplicité fera toujours recette avec Bob l'Éponge, qu'on se le dise.
" Bob l'éponge " diffusé sur Netflix revient dans des nouvelles aventures sympathique. En effet même si l'histoire n'est pas très subtil et le scénario assez bancal, le film a le mérite de faire son travail , c'est à dire distraire en cette période morose avec des personnages excentriques et des moments déjantés pour enfants et adultes régressifs.
La petite éponge au rire si particulier nous a suivi, pour beaucoup, dans notre enfance (oui, ça ne nous rajeunit pas) et l'on peut dire qu'elle en a fait du chemin depuis. Allant ainsi d'un film sobre et classique (mais plutôt réussi, comme un long épisode à savourer) qu'était celui de 2004, à la déchéance totale avec le plus que raté Bob l'éponge : un héros sort de l'eau (une arnaque monstrueuse qui promettait un personnage dans le monde réel...Pour mettre en réalité vingt minutes "en extérieur" sur l'ensemble du film, le reste étant sans idées et fade. Un fiasco). Alors, où peut-on classer ce troisième opus, qu'on attendait en salle de cinéma pour au final atterrir (ou plutôt : amerrir) chez Netflix ? La réponse est : pas si loin du deuxième film, déjà dans les "eaux troubles" du scénario chaotique. Ici, on navigue à vue dans un récit d'aventures avec un voyage dont les étapes sont aussi farfelues que dispensables et avec quelques caméos dont on peut presque palper la liasse de billets verts qu'ils ont nécessitée (pour traîner si bas certaines personnalités comme Danny Trejo, Snoop Dog et surtout Keanu Reeves dans son buisson ardent aux apparitions décousues, un délire qui nous rappelle celui - à peine plus gênant à voir - d'Antonio Banderas dans le précédent volet...). Oubliez la fin qui s'enfonce dans la facilité (le méchant qui spoiler: pleure car il n'a que des followers mais pas de vrais amis - ouh trop triste, sortez vos mouchoirs - et qui accepte donc toutes les conditions de Bob sans aucune résistance ... Même un Disney sirupeux n'oserait pas), et n'attendez rien de l'humour qui a depuis bien longtemps changé, se contentant à présent de se vautrer dans un pari de celui qui sortira le plus d'absurdités énormissimes à la seconde, ce qui est vite très fatigant. On boudera aussi le numéro musical de la fin, tout aussi dispensable que les frasques vues jusque-là, mêlées à un trop-plein d'origin stories qui semblent constamment vouloir justifier le fait de regarder ce film, mais ne servent pas à grand-chose dans ce que l'on savait déjà de l'univers de Bob. Mais on notera quand même quelques sourires du côté de Carlo Tentacule (le seul qui arrive encore à nous faire rire, à présent), surtout lorsqu'il nous refait une parodie de L'Exorciste avec l'armure d'un chevalier... Seul moment sincère du film, le seul qui nous a décroché un rire amusé. Et évidemment on ne peut que remercier l'hommage fait au créateur de Bob l’Éponge, Stephen Hillenburg, décédé en 2018, et dont l'esprit déjanté mais "contenu" des premières saisons nous manque déjà cruellement. Ce troisième opus est donc un énorme amas de délires poussifs aux caméos clinquants, qui finit par couler à pic avec sa fin ultra-niaise. Tant Bob que Keanu : ils méritent mieux.
"Bob l'éponge, le film", un petit film d'animation américain réalisé par Tim Hill, sorti en 2020 sur netflix. Ce troisième opus est un de préquel à la série et aux films précédents, à savoir Bob l'éponge, le film (2004) et Bob l'éponge, le film : Un héros sort de l'eau (2015). Un petit divertissement assez moyen et peu séduisant. Bien que bon public, je ne suis peut-être pas le public cible, ni suffisamment fan de l'éponge .
je nai pas été trop sévère dans la note car je trouve que le film essaie d'inové mais dans l'ensemble cela reste seulement pour les enfants avec des blagues très peu efficace , le premier film bob l'éponge était beaucoup mieux dans mes souvenirs .
Tout se qui faisait l'esprit et le charme loufoque de Stephen Hillenburg est bafoué par ce nouveau long-métrage qui s'amuse à créer une incohérence historique de l’univers par des détours scénaristiques qui sentent le remake à fond la caisse. Quelques moments sympas comblent un scenario qui pour la plupart de son temps, s'enfonce dans les abysses nauséabonds des clins d’œils nostalgiques qui brise le rythme déjà essoufflé du récit. A défaut d’être beau et drôle, nous sommes bien loin de l'atmosphère satyrique de la série animée. Ce troisième épisode est un beau ratage.