Comédie noire sérieuse, une affiche "coups de poins" racoleuse de one-man-show granguinolesque, "I wanna be your dog", titre assurément ricain du film-fan de l'iguane pop Iggy, avec le "lunairatiquement très présent" Vincent mac caigne, "saignant", "cuit à coeur", puis "bien cuit", dans cette insuffisante fable allégorique sur la cruauté de l'homme envers l'homme, de la société "Beaufe" oublieuse de l'homme derrière l'animal errant, lui préférant l'animal de compagnie, bien sous tou(tou)s rapports, toutes toitures et intentions endémiques confondues. Insuffisante parce que pas assez d'étayage, d'explication, de 'traduction" de scènes savamments intimes, affectivements mises-en-scènes, effleurées à fleurs de peaux brûlées au taser. Vincent-mac-crève-écran est bien là, extension, avatar de Mr Benchetrit, tout(tou..??) en sentiment retenus et contenus, "enfermés dans sa peau et condition d'homme", ne pouvant; ainsi, les révéler, à "coups de langues affectueuses', comme le ferai son meilleur ami, le chien, comme il le ferait, lui, transformé en chien.. L'homme est plus prisonnier que le chien, dans la société qu'il a lui-même crée, bâtit, battue, hors des sentiers, vers un idéal ailleurs, en recherche, toujours, là, proposé en kit délabré, sous nos yeux, de chiens battus incrédules. Le Bonheur serait, alors, que l'homme ne soit plus un loup pour l'homme, mais un chien, docile