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Votre avis sur Oro La Cité perdue ?
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**"Oro, la cité perdue"** est une déception totale. On nous promettait une quête épique à travers l'Amazonie, mais on se retrouve avec une lenteur écrasante et des personnages sans âme. Le scénario manque cruellement de dynamisme et de surprises. Les dialogues sont plats, et l'action est pratiquement inexistante. Plutôt qu'une aventure captivante, c'est un voyage interminable vers l'ennui. Franchement, ce film aurait mieux fait de rester perdu, comme sa cité fictive.
Je suis aussi surpris par une note aussi mauvaise, au lieu de se résponsabiliser de leurs erreur de ne pas regarder le film en version original les gens préferent critiquer injustement la performance des acteurs.
Très bon film, très original et immersif.
Très bon film, très original et immersif.
J’ai eu du mal à suivre ce que les réalisateurs voulais faire, donner comme émotions, direction qui voulais donner au film. Quoi qu’il en soit sa donne rien
Yannickcinéphile
Oro la cité perdue est un film qui a du mal à se faire sa place dans le genre aventure amazonienne. Ce mélange de Lost City of Z, de Fitzcaraldo, de Jungle, mais aussi d’un soupçon de Cannibal Holocaust n’égale aucun de ces films, et c’est un peu frustrant, car il reste assez honnête dans sa proposition et pas désagréable intrinséquement, mais il paraîtra fade à celui qui a vu les sus-nommés. Formellement Oro est très correct. Les costumes sont bons, la photographie est élégante, il y a aussi de beaux décors, de beaux paysages, même si la jungle semble un peu trop « confortable ». On sent le côté « on met un petit iguane par là ; un serpent par ci ; pas trop de moustiques, pas trop d’embûches, il y a un côté trop propre et cette impression reviendra souvent dans le film. Ca transpire pas beaucoup, il y a pas d’ulcères, de plaies, la folie n’est pas si marquée que ça, bref, le film peine à instaurer l’ambiance poisseuse et craspec d’une telle expédition. Sans virer au genre horrifique, on aurait pu avoir quelque chose de plus viscérale, mais peut-être le manque de budget a-t-il joué dans ce ressenti, car le réalisateur n’a sans doute pas filmé vraiment dans la jungle authentique.
Malgré tout, c’est visuellement qu’Oro réussit le mieux, convoquant les références du genre sans être honteux. Même les scènes d’action sont correctes, quoique rarement montrées faute de moyens là encore.
Côté casting, les acteurs sont assez bons. Pour moi il n’y a pas de ratage notable, avec quelques bonnes surprises, comme Oscar Jaenada en méchant charismatique, et des seconds rôles affutés (notamment José Coronado). J’ai été un peu moins emballé par le héros, Raul Arevalo, qui se fait clairement voler la vedette par le méchant. Quant à Barbara Lennie, elle n’est pas à critiquer, en revanche sa présence aura à voir dans les aléas du scénario qui handicape le film. En effet, c’est vraiment là le gros souci d’Oro. Le film se veut une aventure viscérale du bout du monde, et non seulement sur la forme ça manque un peu de ce côté viscéral et jusqu’auboutiste, mais l’histoire ne s’y attarde pas tant que ça. C’est pour une grande part une romance, certes une romance troublée, mais une romance quand même ! Ca prend pas mal de temps dans le film, mais le pire, c’est que malgré tout le réalisateur ne semble pas trop savoir quoi raconter. On a les lieux communs du genre qui s’enchainent avec plus ou moins de conviction, et il y a des redondances. En vrai, le film a une ambition, nous montrer que le véritable ennemi dans ce genre d’aventure vient de l’intérieur, et pourquoi pas, mais du coup c’est vrai que l’on finit par s’attendre un peu à ce qui va se passer !
Pour ma part, Oro est un honorable film dans le genre aventure qui reprend avec un certain savoir-faire tout ce que l’on connait du genre sans faire preuve d’une réelle originalité. C’est pas totalement insipide, car formellement assez bien fait, et le film arrive à créer une ambiance de groupe, ce qui parfois intègre à propos le spectateur qui, proche des acteurs, semble être l’un d’eux. C’est assez immersif. Malgré tout, l’histoire peine à élever sa porter dramatique, la dimension épique, et le réalisme du contexte, malgré la noirceur de certains événements, n’arrive pas à prendre aux tripes vraiment. 2.5
Malgré tout, c’est visuellement qu’Oro réussit le mieux, convoquant les références du genre sans être honteux. Même les scènes d’action sont correctes, quoique rarement montrées faute de moyens là encore.
Côté casting, les acteurs sont assez bons. Pour moi il n’y a pas de ratage notable, avec quelques bonnes surprises, comme Oscar Jaenada en méchant charismatique, et des seconds rôles affutés (notamment José Coronado). J’ai été un peu moins emballé par le héros, Raul Arevalo, qui se fait clairement voler la vedette par le méchant. Quant à Barbara Lennie, elle n’est pas à critiquer, en revanche sa présence aura à voir dans les aléas du scénario qui handicape le film. En effet, c’est vraiment là le gros souci d’Oro. Le film se veut une aventure viscérale du bout du monde, et non seulement sur la forme ça manque un peu de ce côté viscéral et jusqu’auboutiste, mais l’histoire ne s’y attarde pas tant que ça. C’est pour une grande part une romance, certes une romance troublée, mais une romance quand même ! Ca prend pas mal de temps dans le film, mais le pire, c’est que malgré tout le réalisateur ne semble pas trop savoir quoi raconter. On a les lieux communs du genre qui s’enchainent avec plus ou moins de conviction, et il y a des redondances. En vrai, le film a une ambition, nous montrer que le véritable ennemi dans ce genre d’aventure vient de l’intérieur, et pourquoi pas, mais du coup c’est vrai que l’on finit par s’attendre un peu à ce qui va se passer !
Pour ma part, Oro est un honorable film dans le genre aventure qui reprend avec un certain savoir-faire tout ce que l’on connait du genre sans faire preuve d’une réelle originalité. C’est pas totalement insipide, car formellement assez bien fait, et le film arrive à créer une ambiance de groupe, ce qui parfois intègre à propos le spectateur qui, proche des acteurs, semble être l’un d’eux. C’est assez immersif. Malgré tout, l’histoire peine à élever sa porter dramatique, la dimension épique, et le réalisme du contexte, malgré la noirceur de certains événements, n’arrive pas à prendre aux tripes vraiment. 2.5
Mouais. C'est l'histoire des hommes et de leurs comportements au milieu d'une jungle très discrète. Pas mal de violence mais franchement rien de très intéressant.
Un très bon film fantastique espagnol sur les mystérieuses cités d'or réalisé par Agustín Díaz Yanes.
Rien à sauver de ce périple dans la jungle. Certains y verront une dérive humaine mais c'est trop facile comme scénario. Ajoutons à cela une image pauvre. Des musiques sans mélodie et répétitive. On peut comparer à la BO de Mission d'Ennio Morricone qui est un chef d'oeuvre à côté. Deux femmes qui se promènent en robe longue dans la jungle. Sans raison. Des combats mauvais ou des lames qui sont censées rentrer dans le corps mais on voit trop la farce tant c'est peu crédible. A part le petit guide amazonien, peut à sauver.
Une quête en Amazonie à la recherche des cités d or par les conquistadors, pour le décorum et les costumes c est pas mal, le scénario est assez convenu et malheureusement l intrigue est suffisamment mal traitée pour que le suspense et la tension ne se ressentent pas assez, reste ce parcours dans la forêt que j ai au final apprécié. Ça se laisse voir et ne mérite peut-être pas d aussi mauvaises notes en général que ce que j observe. Un 3/5 en fin de compte
Je suis stupéfait des critiques négatives laissées ici à propos de ce très beau film. J'ai du mal à comprendre ceux qui parlent du mauvais jeu des acteurs car ils sont ici fantastiques pour la plupart. Ils ont surement dû regarder le film dans l'ignoble version doublée en français.
"Oro" est une odyssée tragique et violente, une irrespirable folie collective lancée à travers la jungle amazonienne à la recherche d'une cité d'or. Tout y sonne juste, avec une économie et une sobriété dans l'écriture et la réalisation qui nous épargne les explications surlignées de chaque fait et geste, pour finalement nous donner à voir et à ressentir l'essentiel: marcher dans les pas boueux de ces conquistadors et les suivre dans ce périple de mort et de fantasme, d'espoir et de déraison en exposant sous nos yeux la crudité de leurs façons et la violence de leurs désirs.
Un très grand film injustement passé inaperçu dans lequel il ne vous faudra pas hésiter à plonger dans sa version originale bien entendu pour en ressentir la pleine saveur.
"Oro" est une odyssée tragique et violente, une irrespirable folie collective lancée à travers la jungle amazonienne à la recherche d'une cité d'or. Tout y sonne juste, avec une économie et une sobriété dans l'écriture et la réalisation qui nous épargne les explications surlignées de chaque fait et geste, pour finalement nous donner à voir et à ressentir l'essentiel: marcher dans les pas boueux de ces conquistadors et les suivre dans ce périple de mort et de fantasme, d'espoir et de déraison en exposant sous nos yeux la crudité de leurs façons et la violence de leurs désirs.
Un très grand film injustement passé inaperçu dans lequel il ne vous faudra pas hésiter à plonger dans sa version originale bien entendu pour en ressentir la pleine saveur.
Le pitch et le contexte historique de "Oro" n'est pas sans rappeler celui de "Aguirre, la colère de Dieu" de Werner Herzog. Et forcément, cette production espagnole souffre de la comparaison. Pourtant, "Oro" présente plusieurs qualités comme sa bande son, sa photographie et son casting. Mais il manque à ce long métrage le souffle épique que l'on attend de ce genre d'aventure en pleine jungle amazonienne. L'ensemble est relativement plat et manque d'intensité. Cela se ressent dans la chute progressive des conquistadors dans la folie et la paranoïa qui est loin, très loin, d'être aussi palpable que dans "Aguirre". Même chose pour la jungle dont on ne ressent pas assez le danger ni l'ambiance oppressante. C'est ce supplément d'âme qu'il manque le plus au film. Pour autant, on se laisse agréablement divertir par cette expédition d'un autre temps, sur d'autres terres.
Cartoonesque mais dans un mauvais sens. Nonante pour cent du temps les conquistadors errent dans la jungle avec des tonnes d'acier, des fusils, des armures et toutes sortes d'armes. Je me demande s'ils mangent du tout car ils ne portent pas de nourriture ni de casseroles pour cuisiner ou des trucs pour dormir ou des draps de rechange. Au moins Aguirre avait des porteurs pour faire le gros du travail. Le dialogue sonne comme la moquerie d'un mauvais film des années 50. Les personnages agissent comme des robots faisant des choses sans motif (c'est probablement un problème avec le scénario original). La jungle ressemble aux jardins botaniques de Madrid. En résumé les producteurs auraient dû supprimer les fichiers du film avant de s'embarrasser a le faire...
Magnifique photographie, acteurs géniaux. Un bon film sur les conquistadors et sur leur terrible soif d'or.
le film que je recommande à mes amis quand je veux faire une mauvaise blague. ennuyeux, incohérent, mal joué, je ne sais même pas comment j'ai réussi à le regarder en entier tellement c'était naze
Petite déception concernant ce film d'aventure espagnol qui raconte le périple d'un groupe de conquistadors qui sont à la recherche de la mythique cité de Teziutlan dans la jungle amazonienne. Le déroulement de l'intrigue provoque malheureusement un certain ennui et la mise en scène manque cruellement d'action et de rythme. Dommage, car le casting est plutôt impliquer dans l'ensemble et nous avons le droit à une très belle photographie.
C’est dommage, vraiment dommage pour un film qui a mis autant de soin à reconstituer la capitale des Pays-Bas au temps du Siècle d’or, quand elle était le centre de l’économie mondiale et plus précisément quand la société amstellodamoise, de ses élites marchandes à ses couches sociales les plus modestes, fut pris de fièvre spéculatrice autour des bulbes de tulipe. Marchands d’épices et armateurs, peintres et artistes, poissonniers et servantes, ribaudes fumeuses de pipe et religieuses amidonnées, toute la population des Provinces-unies des années 1630 trouve droit de cité dans cette reconstitution historique franchement probante. Et tout ça pour quoi ? Pour une banale histoire d’amour contrariée, mille fois vue et revue, entre la jeune épouse d’un notable vieillissant et un jeune artiste chargé de peindre leur portrait en pied. A supposer même que vous soyez amateur de ce genre de romance en costumes, rien ne surprend, n’émeut, ne suscite un tant soi peu de tension dans l’éclosion de ces amours interdits, qui échoue même à conférer une sensualité minimale à ses scènes d’amour. ‘Tulip fever’ donne l’impression de suivre placidement un cahier de charge établi par des consultants en normalisation cinématographique, sans jamais sortir du rang : la bourgeoise tiraillée entre son respect des convenances et son attirance pour le peintre ? Evidemment. Le complot pour que la jeune femme quitte son vieux barbon de mari en sauvegardant les apparences ? Il y est. La servante enceinte qui échange le bébé avec celui de sa maîtresse pour éviter le scandale ? Bingo ! Les acteurs n’aident pas à l’implication émotionnelle du spectateur et, si Christoph Waltz joue comme toujours avec un admirable sens de la nuance, Dane DeHaan reste fade et Alicia Vikander, curieusement atone. Seule Hollie Grainger apporte un tant soi peu de luminosité au film, et encore est-ce tout à fait voulu puisqu’elle incarne l’amour libre et anachroniquement débarrassé des convenances. Reste évidemment la qualité des décors et des costumes, mais ce n’est pas (uniquement) avec ça qu’on fait les grands films.
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