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    Synchronicity
    Note moyenne
    2,0
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    55 critiques spectateurs

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    Jdkfbks
    Jdkfbks

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 décembre 2023
    Belle histoire d’amour utilisant le voyage temporel.
    Je lui aurait mis 4 étoiles mais je trouve qu’il a une note trop basse, alors je mets 5 pour tenter de rééquilibrer.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    136 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 mars 2023
    La réalisation est catastrophique, les dialogues sont parfois affligeants, l'histoire aurait pu donner lieu à une bonne série B.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    135 abonnés 3 064 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 janvier 2022
    De la S.F. ou pas tellement c'est laid, vraiment laid image, musique et impression laissée par les voix françaises, parfois surprenant, semblant cohérent mais verbeux et souvent d'un crétinisme inattendu. Le réalisateur est un spécialiste de série B d'horreur cela explique un certain nombre de choses.
    Ezhirel
    Ezhirel

    53 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 février 2022
    Je crois que ce film est le plus étrange que je n'ai jamais vu. Ce n'est pas tant son histoire qui est étrange (bien qu'elle en tient une couche mais j'ai vu largement plus étrange dans ma carrière de cinéphile). Non, les bizarreries se passent sur le plan technique.

    La photographie est curieusement belle sur certains plans et dégage une ambiance sombre à la Blade Runner, avec des volutes de fumées mises en valeur par de la lumière diffuse. C'est super atmosphérique !

    Et à côté de ça, certaines séquences sont tout simplement IMMONDES. Les matte painting ont l'air d'avoir été bricolés par le stagiaire du coin sur photoshop. Il y a un plan sur une route (que l'on voit dans le trailer d'ailleurs), et l'arrière-plan de cette séquence, c'est juste un .jpg mal réalisé, avec des bâtiments et des nuages figés dans le ciel, c'est hilarant de mauvais goût.

    Et je ne parle même pas des fonds verts, je n'ai jamais vu une incrustation aussi hideuse, à part dans les pires films The Asylum. Mention spéciale à la scène du bureau où tous les plans donnent sur une baie vitrée. A croire qu'il n'y a pas de murs dans ce bureau, que des vitres haha.

    Et le film s'amuse constamment à jouer comme ça, entre les hauts et les bas. Autres exemples qui me viennent en tête, les dialogues côtoient le stupide et le génie. En fait, on a l'impression que ça a été écrit par un petit nerd à lunettes très calé en science, qui nous baratine de longs monologues scientifiques auxquels on ne pige strictement rien, mais à côté de ça, le mec est tout bonnement incapable d'écrire une scène de vie crédible comme s'il n'avait pas coutume d'avoir des rapports sociaux simples avec ses pairs. Ce qui donne des séquences complètement lunaires avec des dialogues dignes d'un nanar érotique, puis trente secondes plus tard, ça discute comme dans un débat entre Bohr et Einstein.

    Bref, le film a l'air à la fois récent et daté de 40 ans, l'image numérique étant plutôt belle, mais on a l'impression de regarder un vieux nanar des années 80.

    Je rajoute que le doublage français est une horreur absolue !

    En revanche, j'ai un compliment à faire au film, c'est sa B.O. Encore une fois et contre toute attente, la B.O. est surprenamment bonne, pour un film aussi mauvais. Pour qui ? Pourquoi ? On ne sait pas.

    J'aimerais vraiment comprendre ce qu'il se passe avec ce film, qui semble être coincé dans une schizophrénie visuelle et narrative, à vouloir exister à la fois dans les années 80, et en 2020. D'ailleurs, en y réfléchissant, c'est tout à fait raccord avec le sujet du film. Peut-être que c'était fait exprès… Ou bien le réalisateur est juste nul. Mystère…
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    153 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mars 2021
    "Synchronicity", film américain de S.F réalisé par Jacob Gentry et sorti en 2015.
    Un film à faible budget, avec quelques longueurs et des mouvements de caméra assez particuliers, mais qui ne rendent pas le film désagréable à voir. Une enquête avec voyages dans le temps, qui parvient peu à peu à donner envie de intéresser au film, qui donne envie d'en savoir plus, quelques scènes attractives.
    L'acteur Michael Ironside y fait même une apparition.
    Ce n'est pas un grand film, mais ce n'est pas si mal
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 527 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 février 2021
    Synchronicity est simplement une histoire d'amour. Il s'agit d'un homme qui travaille sur une machine à remonter le temps lorsqu'il tombe amoureux d'une femme qui a une relation avec lui. À partir de là le film est en fait un mélange de notre personnage principal qui fait un voyage dans le temps et d'un tas de scènes où lui et son nouvel amour font un tas de choses. Honnêtement il n'y a pas du tout d'alchimie entre eux. Il tombe amoureux d'elle en deux heures et est prêt à tout foutre en l'air pour pouvoir être avec elle. Le jeu d'acteur était assez mauvais certaines lignes étaient en fait risibles. Il y a une scène en particulier entre le personnage principal et son intérêt amoureux qui est censée être sérieuse. Il semble que les pires acteurs aient passé le plus de temps à l'écran alors que les acteurs les plus talentueux se sont retrouvés avec très peu de dialogues...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 août 2020
    On atteint le niveau ZERO de la science fiction ! Les scénaristes n'ont pas été capables de trouver une idée brillante pour tirer partie de l'idée du voyage dans l'espace-temps. Outre le fond, ce film est en carton-pâte sur la forme : la machine à remontée le temps est particulièrement grotesque, même les doublages sont ratés. Mais de qui se moque-t-on ?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 juillet 2020
    En fait ce film m'a juste fait un gros déclic.
    En vrai, on s'en fout du voyage dans le temps, ce n'est pas le plus important. Le plus important c'est que le scientifique y croit. Jim Beale croit être retourné d'une semaine dans le temps, il agit en fonction de ce qu'il se rappelle des évènement: surtout ne rien perturber. Les choses doivent se passer de la même manière.
    ...mais pourquoi? Jim agit comme s'il ne faisait pas partie de cette réalité. Pourtant n'est-il pas bien là où il se trouve? Il regarde les événements avec un regard orienté, il s'est déjà fait son opinion sur la femme qu'il aime: elle l'a trahi.
    En fait Jim s'empêche de vivre, il se regarde vivre littéralement au niveau de son soi du passé, mais aussi le lui du futur qui ne s'autorise pas à changer quoi que ce soit.
    Le basculement s'opère quand Jim du futur se rend compte qu'il aime cette femme (Abby) et qu'il veut passer du temps avec elle. Il lâche ses préjugés et suit enfin ce qu'il à la place de ce qu'il doit faire (ce qu'il s'impose de faire).
    C'est en cela que ce film est grandiose, c'est ce changement de disposition. Passer de comment les choses doivent être et de comment je dois me comporter à comment sont les choses et comment je veux agir.
    En gros passer du devoir et des préjugés à l'être et à la liberté.
    Ce film est très beau pour montrer ce passage et le voyage dans le temps n'est finalement qu'un prétexte.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 080 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 février 2019
    Synchronicity me rend septique; s'il sonne assez laid suite à son manque de budget, il fait preuve de tellement d'efforts d'écriture qu'il paraît injuste de le considérer comme les autres daubes du genre sorties chaque année, et qui n'apportent rien d'autre que du temps perdu. Avant d'en parler plus en profondeur, on éviter de développer sa version française catastrophique, sans émotion ni once de vivacité; l'on croirait qu'ils lisent des dialogues qu'ils viennent de découvrir, si mal que les voix ne collent pas au mouvement des lèvres.

    Passé cela, et c'est dur d'y parvenir, on pourra se concentrer sur le scénario tortueux qu'il nous amène, complet par sa crédibilité scientifique et la justesse de son rythme. Car si le film possède un certain côté série b, il n'y a pas de doute sur le fait qu'il est directement intéressant par les thèmes qu'il rebat et les personnages qu'il nous présente. On croirait presque voir une sorte de Jeff Goldblum de La Mouche version Ashton Kutcher de L'Effet Papillon, le ton sombre et la dépression en moins.

    S'y présentera le très sympathique Michael Ironside, revenu pour faire une référence à l'écran d'affichage d'entrée d'appartement dans Total Recall, et qui joue, comme à son habitude, l'antagoniste de l'histoire (si l'on peut vraiment parler d'antagoniste). C'est d'ailleurs en cela que Synchronicity surprend : il n'a de méchant qu'Ironside parce qu'il représente la tromperie de Brianne Davis (Abby), et ne développe pas de thèmes manichéens, préférant nous développer des personnages et les rendre psychologiquement intéressants, humains et attachants.

    Loin d'être cependant un modèle d'écriture, Synchronicity, par le fait de rendre agréable ses protagonistes (qu'on peut compter sur les doigts de la main), rend dès lors son écriture appréciable, et nous fait nous intéresser à son intrigue, à ses rebondissements et ses grands changements. Au point qu'on le trouve finalement sympathique mais à force de l'analyser et d'être surpris, se dira-t-on qu'il manque tout de même d'un sacré niveau de cohérence.

    A cela, les scénaristes répondent par la révélation qu'il ne traite pas de voyage dans le temps, mais bien de Terres parallèles. Opportunistes ou malins, ils nous conduisent, main dans la main, vers la compréhension de toutes ces scènes qu'on trouvait pathos, forcées, et pour lesquelles le comportement des personnages manquait de fluidité, de naturel, de réalisme. Dès qu'on a toutes les cartes en main, l'intrigue prend une toute autre dimension et ses moments dramatiques gagnent en crédibilité, tandis que se profile une fin certes prévisible, mais agréable du fait qu'on s'est déjà attaché à ces quelques rares personnages.

    Seulement, Synchronicity, derrière ses airs de film indé qui tente des choses (c'est sûrement sa plus grande qualité), se gâche par son imagerie héritée du Blade Runner de Ridley Scott et qui, par son constant timbre bleuté (le même que celui de l'affiche), s'enferme dans une personnalité visuelle monochrome et sans grand relief, si ce n'est quelques références visuelles (Hitchcock revient plusieurs fois). Une mise en scène à la hauteur de l'interprétation de ses acteurs : plate, fade, superficielle et sans ampleur, tout cela nous conduire vers le ressenti d'avoir vu quelque chose de médiocre, ni bon ni mauvais, de profondément moyen mais d'au moins marquant, tant on se rend rapidement compte qu'il tente énormément de choses, et qu'il tente d'apporter quelque chose à son spectateur. Et cela, il y parvient.

    Faîtes nous en un remake en gros budget, avec des artistes à la hauteur, s'il vous plaît.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 novembre 2018
    Un sujet intéressant et classique : le voyage dans le temps. Une réalisation originale, une musique à la blade runner très sympa. spoiler: L'histoire avec le dahlia n'est pas super claire
    , il faut se tordre un peu le cerveau pour comprendre. Le doublage français est très mauvais, très plat dommage. Ce film amène pas mal de réflexion, c'est bien.
    Olivier A.
    Olivier A.

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2018
    l'histoire est vraiment bien, on se croirait dans retour vers le futur, un casting trop pauvre par contre, malgré la jaquette.
    On se laisse emporter par le scénario malgré une pauvreté évidente.
    spoiler: On se demande ce que fout un dahlia dans l'histoire
    .
    la musique est inspiré de BLADE RUNNER et INCEPTION,
    ça se laisse regarder.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 octobre 2018
    J'ai voulu écrire une critique de ce film. L'intrigue est particulière. J'ai plus ou moins compris qu'il s'agit d'une histoire de voyage dans le temps assorti d'une vague amourette qui prend trop d'importance comparativement aux enjeux d'une découverte aussi importante que celle de l'ouverture d'un trou de verre; sans compter qu'il y a un monsieur qui se prend pour un véreux Edison contemporain et qui veut s'emparer de l'invention d'un Tesla moderne qui a des intentions beaucoup plus humanistes alors... mais bon, je n'étais pas sûr d'avoir tout à fait bien compris, alors j'ai construit ma propre machine à voyager dans le temps histoire de remonter au début du film pour m'en faire une idée plus juste... et je me suis vu en double de moi-même en train de regarder ce film et essayer de comprendre pourquoi il y avait un dahlia qui était le double de l'autre et qui s'était mis à flétrir quand le premier restait intact, et c'est alors qu'est apparue lumineusement cette idée qu'il ne s'agissait pas vraiment d'un voyage dans le temps mais bien dans un autre parmi de nombreux espaces-temps dans lesquels de multiples possibilités de notre propre vie ont cours sans que nous nous en rendions vraiment compte parce que nous n'en vivons qu'une seule, et il était maintenant possible de comprendre pourquoi la fille qui aimait le premier gars baisait aussi avec le deuxième qui était en fait le premier mais pas tout à fait parce que c'était lui mais juste dans un autre espace-temps - d'ailleurs vous avez compris que tout se passe en même temps, donc ce n'est pas vraiment dans le passé - et le deuxième gars est mort mais pas le premier - c'est à cause que la conscience ne peut subsister dans un même espace-temps dans deux individus qui sont le même mais pas vraiment le même, parce que il y a même et même, il faut bien s'entendre et tâcher de s'assurer que tout soit bien clair - à moins que ce soit le premier et pas le deuxième... euh... il a donc fallu que je reparte dans ma machine à changer d'espace-temps pour bien comprendre que c'était soit l'un soit l'autre et puis le dahlia - mais on se fiche du dahlia! - alors la fille dit : «je vais t'arranger ça, tu auras l'argent pour ta machine, je vais faire semblant de sortir avec le gars qui est riche», c'est pour que le deuxième gars - vous savez, c'est le premier qui s'est retrouvé deuxième dans l'autre espace-temps et qui n'aime pas être en concurrence avec lui-même auprès de la fille et qu'il aime sans savoir si la fille l'aime vraiment parce que peut-être elle est de mèche avec le Edison véreux qui cherche à lui voler son invention et avoir la gloire et la célébrité à sa place, mais qu'à cela ne tienne, elle écrit des romans de science-fiction inspirés de l'histoire du premier gars, c'est-à-dire celui qui a tout démarré en se propulsant dans l'autre espace-temps et... mais excusez.... deux ou trois Tylénol et je reviens...
    rogerwaters
    rogerwaters

    141 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 septembre 2018
    Toute petite production indépendante, Synchronicity ne peut en aucun cas rivaliser avec ses prestigieux modèles. Toutefois, on peut saluer le travail effectué sur la photographie afin de tenter de donner une allure plus friquée à un ensemble très chiche. Bien évidemment, on peut légitimement s’irriter de la référence constante à l’esthétique de Blade Runner puisque le cinéaste ose en reprendre les éclairages, mais aussi certains moments clés, le positionnement des acteurs dans le cadre, tandis que la musique pastiche celle de Vangelis. Par contre, le sujet en est totalement différent et préfère jouer sur les paradoxes temporels (ou est-ce une fausse piste ? à vous de voir). Si le jeu des acteurs est un peu fragile, l’ensemble n’est quand même pas trop mal écrit et se regarde sans déplaisir. On n’est clairement pas en face d’un grand film de SF, mais les auteurs arrivent à recycler bon nombre d’idées intéressantes pour livrer une œuvre plus romantique qu’il n’y paraît de prime abord. C’est donc un petit inédit vidéo sympa, mais il ne faut pas rechercher un blockbuster époustouflant sous peine d’être furieusement déçu.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    175 abonnés 1 748 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 août 2018
    Fan des films d'anticipation sur le voyage dans le temps, Synchronicity est dans le fond du panier en terme de qualité. Rien n'y est, acteurs non charismatiques, scénario alambiqué à la limite de la raison, rythme et plan de caméra incohérent. Bref 1h44 de perdu.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 janvier 2018
    J'ai eu beaucoup de mal à regarder ce film jusqu'au bout, j'ai du le faire en plusieurs fois, motivé par l'envie de connaitre le dénouement de ce sac de noeuds : mal m'en a pris car plus le film avançait plus le noeud de l'intrigue devenait indémêlable. Le scénario est une catastrophe. Le jeu d'acteur et les dialogues ne relèvent pas le niveau. L'univers de ce film est très sombre, étrange comme thématique pour parler d'une relation d'amour... A laquelle il est impossible de croire. La musique d'ambiance venue tout droit des années 1980 est fatigante mais finalement c'est elle qui représente le mieux le voyage dans le temps dans ce navet.
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