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    Halloween
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    Simon1310
    Simon1310

    146 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2019
    J'attendais the predator et c'est finalement Halloween qui m'a agréablement surpris, le film pourtant partait d'un postulat casse gueule, ressusciter Michael Myers dans un nouveau film alors que le premier Halloween ne fait plus vraiment peur, et avec la concurrence d'aujourd'hui ( Annabelle, get out, sans un bruit ), risquait soit de tomber dans l’auto parodie, soit de se ringardiser. Et en définitive c'est un super film d'horreur, qui a réussit l'exploit de rendre Michael Myers, flippant et c’était pas gagné. Là ou dans le premier film jouait sur l'attente, et on adoptait le point de vue des victimes, ici on suit un Michael Myers qui massacre en mode bulldozer, et c'est jouissif, tant il apparait inarrêtable. Si les victimes souffrent d'un manque de personnalité, cela n’enlève en rien le plaisir de voir Michael Myers en faire de la chair à pater. Le réalisateur ayant compris qu'un ambiance et un rythme lent ne pouvait plus être utilisé aujourd'hui, il a eu la bonne idée de rythmé son film, sacrifiant le peu d’épaisseur de certains personnages, la fille et petite fille de Laurie Strode étant assez oubliable. D’ailleurs le cœur même de ce Halloween, c'est la confrontation entre Michael Myers et Laurie Strode et pour la première fois de la série Halloween, les rôles sont inversés, ce qui offre dans la dernière partie un jeu de chat et de la souris tout en tension, qui aurait permit une apothéose de la saga si il n'y avait pas cette recherche de suite au film, qui gâche un peu la fin du film. En définitive Halloween après les purges de Zombies, réhabilite Michaels Myer dans le 21 siècle et offre un nouveau à la saga.
    Marc T.
    Marc T.

    266 abonnés 552 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 février 2019
    Je crois qu'on attendait tous beaucoup trop de cette confrontation entre Michael Myers et Laurie Strode. Le film n'est pas super mauvais en soi, et le début est d'ailleurs très prometteur. Mais c'est après que ça se gâte, on tombe dans le slasher movie complètement dépassé et prévisible, avec des facilités scénaristiques tellement grosses qu'on en reste bouche bée. Bref, rien de bien croustillant à se mettre sous la dent. Et dire qu'une suite est déjà prévue...
    Pascal I
    Pascal I

    752 abonnés 4 118 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 décembre 2018
    Bon je m'attendais pas à grand chose, c'est confirmé ! Seule la scène dans la cour de prison donne du relief, le reste est ennuyeux voir risible. Navet 1 !!!
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    200 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2019
    Le retour tant attendu de Michael MYERS est une véritable déception. Le réalisateur David GORDON GREEN signe une suite sans panache et totalement prévisible. C'est clairement un film d'horreur sans surprise et en panne d'idée. C'est aussi une bien pâle copie du film original proposé par John CARPENTER en 1978. La présence au casting de Jamie LEE CURTIS ne change rien à l'affaire. Cela manque vraiment trop d'inventivité malgré une scène d'ouverture qui promettait de meilleures choses.
    Stéphane S
    Stéphane S

    20 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2019
    Désolé mais ce film récite un peu trop les poncifs du genre des année 80. Sauf qu’en 2018 ça ne marche pas du tout. Ça ne fait pas peur, il n’y a aucun scénario, aucun suspens. C’est une coquille vide. Pas besoin de spoiler : ce film est une succession de gens qui se font poignarder s dans des scènes sans interêt et aucun frisson. Heureusement il y a la musique toujours aussi géniale.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 décembre 2018
    J'attendais cette suite et je suis franchement déçu. Déjà la blessure de Myers à l'oeil, ça ne tient pas debout. On voit bien dans l'Halloween de 1978 à la fin quand il enlève son masque qu'il n'a pas de blessure à l'oeil. De plus Lorie Strode qui se transforme en Sarah Conor, ça me fait doucement rire. Elle a fait appelle à Mc Gyver pour installer les pièges dans la maison?! Dommage, encore un épisode de raté.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 décembre 2018
    Bof bof bof!!
    Ce film qui fait office de la deuxième partie du premier de 1978, n'était pas très utile.
    Le scénario n'est guère original et les meurtres se veulent de plus en plus gore.
    Franchement j'avais bien apprécié le "Halloween 20 ans après" et j'aurais cru que ce Halloween aurait un lien (mère-fils) mais nada!
    De plus il y aurait peut-être la suite pour 2020??
    Mickaël est décidément increvable!! Attention on frôle le ridicule!
    STRANGELines
    STRANGELines

    16 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2019
    Un film qui honore le premier opus. Et bien! attendez vous bien à l'inverse. Le film Halloween 1 est deux fois meilleur que celui-ci trop moyen pour se frotter au génie du premier. Espérons que la barre puisse se redresser si évidemment il y'aura une suite. Attendons nous, vu la fin de ce dernier, à plus d'intrigue! pour un goût plus savoureux, pus élevé que celui qu'on vient de goutter. Parce qu'il y'a quelque chose d'indigeste retenu par la tension supérieur au goût exquis délivré tout au fond par celui de 82 qui fait diluer d'avantage la tension qui nous fait point vaciller de notre fauteuil à cause d'un vide incalculé. Et cela se laisse entrevoir en soi au fur et à mesure que le film se déballe. Vers la fin! on assiste à une tournure inattendue, par je ne sais quel coup de génie!, nous saisit, le cœur serrées jusqu'à la fin du dénouement. Mais hélas on avait rêvé mieux, car le résultat global fut si décevant.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 22 décembre 2018
    Mais quelle déception ce nouvel opus ! on dirait une espèce de remake. ils ont reproduit quelques scènes du 1er et du 2ème Halloween. il paraît clair qu'ils ont manquer d'inspiration ! film inutile et décevant ! c'est un navet pur et dur ! n'ayons pas peur de le dire ! 😡😕😒
    Endless Boogie
    Endless Boogie

    21 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 octobre 2018
    Je suis très fan du film de Carpenter (qui m'avait terrifié il y a 40 ans) et je ne n'ai pas du tout aimé cette suite qui souffre, entre autre, d'une mauvaise réalisation, d'une mise en scène maladroite et inefficace, et d'un scénario indigent. Le film ne parvient pas à effrayer car Il n'y a aucune construction de la tension donc pas de suspense d'autant que les personnages ne sont pas attachants (voire même clairement antipathiques) donc on se fiche bien de ce qui leur arrive.

    Tout ce qui concerne spoiler: Laurie Strode (et sa demeure)
    est délirant et au mieux m'a fait rire, au pire lever les yeux au ciel. La scène spoiler: du psychiatre dans la voiture de police
    et ce qui s'ensuit est grotesque. Je pourrais en citer d'autres mais la liste serait trop longue. Heureusement que je ne mange jamais de popcorn sinon je serais mort étouffé avant la fin de ce navet indigeste. J'ai même songé à quitter la salle avant la fin pensant qu'ayant perdu mon argent je pouvais au moins éviter de perdre plus de temps.

    Il y a eu une quantité industrielle de slashers inspirés par Halloween et ayant intégré ses codes depuis 40 ans. Il faudrait des personnages attachants et une sacré mise en scène pour terrifier le public avec Michael Myers en 2018. et ici ce n'est pas le cas, hélas.
    Thomhassli
    Thomhassli

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 décembre 2018
    Dans le genre cliché, il n y a pas mieux.. Toutes les scènes sont prévisibles... On pourrait presque croire à la suite de scary movie tellement c'est grotesque!!
    RedArrow
    RedArrow

    1 660 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 octobre 2018
    Pendant que Jason Voorhees est en stand-by pour des problèmes de droits et que Freddy Krueger panse toujours les plaies de son douloureux remake, leur grand frère Michael Myers, lui, a encore trouvé le moyen de ressusciter pour une nouvelle virée meurtrière à Haddonfield lors de sa soirée fétiche d'Halloween.
    Ce n'était d'ailleurs pas gagné d'avance, la saga originelle avait été stoppée net après un lamentable "Halloween-Résurrection" qui ne savait plus quoi raconter et celle initiée par le remake de Rob Zombie portait tellement la patte de son auteur (surtout après un deuxième opus clivant) qu'aucun autre réalisateur ne pouvait passer derrière sans en dénaturer l'approche. Mais il existait une solution miracle afin de ramener le croque-mitaine impassible d'entre les morts : la suite rétroactive !
    Ce n'est pas une première pour la franchise, le procédé avait déjà été utilisé par le sympathique néo-slasher "H20" qui zappait les épisodes 4/5/6 pour ne garder en mémoire que les deux premiers films et, ainsi, privilégier un affrontement Michael Myers vs Laurie Strode vingt ans après leur fameuse nuit de folie en 1978. Deux décennies plus tard, rebelote, ce "H40" gomme à nouveau toutes les suites pour mettre encore en scène la revanche du combat entre le tueur et sa victime préférée mais, cette fois, en "oubliant" également le deuxième film. Et c'est une donnée capitale car c'est dans celui-ci que l'on apprenait le lien biologique unissant Laurie et Michael, de fait, les agissements du meurtrier au masque grisâtre lors d'Halloween 1978 (et de 1963) reprennent une part d'ombre plus importante et paraissent encore plus gratuits en l'état.
    Évidemment, ce retour aux sources du mythe est aussi et avant tout un habile moyen de contourner quarante ans d'errements d'une saga inégale qui ont banalisé l'aura d'un Michael Myers au point de ne plus savoir quoi lui donner comme chair fraîche à trancher. Alors quoi de mieux que de remettre sur sa route son éternelle souffre-douleur (littérale) pour raviver sa flamme sanglante et de coller au plus près de ses origines en tentant de tutoyer le film de John Carpenter qui a tant marqué les esprits ? Big John himself a d'ailleurs donné son aval à ce nouveau long-métrage made in Blumhouse en le produisant et en en composant la musique, Jamie Lee Curtis a paru toute guillerette de retrouver le rôle qui l'a fait connaître, Nick Castle a renfilé le costume du fameux "The Shape", l'éclectique David Gordon Green (capable de passer d'une grosse comédie débile à un film d'auteur en une ligne de sa filmographie) aidé de son compère Danny McBride à l'écriture a eu aussi l'air tout content de marcher dans les pas de Carpenter, les bandes-annonces nous ont vraiment vendu du rêve... Bref, tous les astres étaient alignés pour un retour en très grande de forme de Michael Myers, même le public américain a répondu présent en en faisant un énorme succès au box-office, et pourtant... on a beau être quelque part content d'assister à ces retrouvailles, au final, il ne subsiste que le sentiment d'un rendez-vous manqué...

    Prenant comme prétexte le reportage de deux journalistes quarante ans après les faits, le début de ce "Halloween 2018" sert surtout à nous montrer ce que sont devenus les forces en présence.
    Il y a d'abord lui, Michael Myers, cette figure monolithique murée dans son silence et dans son asile de Smith's Grove, démasqué (mais dont la caméra ne révèle que très peu de son visage) et attendant patiemment l'heure de son retour à Haddonfield. La séquence d'ouverture parmi l'environnement de ces fous internés fait incontestablement son petit effet et l'aura de mystère entourant Michael Myers que l'on a tant aimée se recrée presque de manière instantanée comme si ces quarante dernières années ne s'étaient jamais écoulées.
    Et il y a elle, Laurie Strode, devenue une grand-mère vivant si recluse dans l'ombre de la tragédie de son adolescence que le lien avec sa fille est désormais rompu, seul celui avec sa petite-fille subsiste mais menace sans cesse de se briser au vu de son instabilité. À l'instar de sa nemesis, elle vit également dans l'attente, dans l'espérance tordue que Michael s'échappe et lui donne l'occasion d'en finir une bonne fois pour toutes avec ce mal qui la ronge. Même si elle nous est a priori présentée comme une figure féminine forte maniant tous les gros calibres possibles, la Laurie Strode que cet "Halloween" 2018 cherche à nous dépeindre est avant tout une femme brisée, à la vie à jamais bloquée sur ces meurtres de 1978 qui l'ont empêché d'avancer, son refuge excessif dans les armes et les pièges en tout genre sont, comme le regard que sa fille porte sur elle, une traduction du fossé de folie au bord duquel elle se trouve et dont elle se rapproche inexorablement. Derrière la façade forte, Jamie Lee Curtis excelle à faire transparaître la fragilité de cette femme écartelée par sa soif d'un ultime affrontement pour enfin pouvoir avancer et une famille qu'elle voit sans cesse s'éloigner, la qualité de son interprétation ne faillira jamais et sera un des plus gros atouts du long-métrage de David Gordon Green.

    Logiquement (et vous vous en doutez), les rêves de sang de l'un et de l'autre vont être comblés lorsque ce diable de Michael Myers va prendre la poudre d'escampette le soir d'Halloween 2018. À partir de là, le chemin jusqu'à Haddonfield et le moment où le tueur revêt son masque va être encore jalonné de bons moments (et de quelques cadavres en amuse-bouches) mais un des problèmes principaux du film va surgir et nous étonner vu que l'on n'avait pas du tout envisager : "Halloween" 2018 fait très souvent preuve d'une mollesse impardonnable.
    En effet, là où on était en droit de s'attendre à une tension allant crescendo et prête à nous étouffer jusqu'au feu d'artifice de l'affrontement final comme dans le "Halloween" originel, rien, du moins pas grand chose, David Gordon Green insuffle au film un rythme véritablement en dents-de-scie auquel il manque en permanence ce sentiment de percussion pour nous emporter avec lui. Le réalisateur se tire d'ailleurs lui-même une balle dans le pied en éludant la phase habituelle d'observation de Myers avant le passage à l'acte, une partie ô combien nécessaire pour instaurer l'atmosphère d'étrangeté autour du tueur qui renforce sa folie meurtrière à l'écran. Dans le cas présent, une fois Myers en ville, il enfile son masque et hop, débute son carnage avec, certes, un chouette plan-séquence parmi les résidents d'un quartier de Haddonfield mais les meurtres s'enchaînent d'une telle façon mécanique qu'ils ne nous font même pas sourciller (on peut comprendre que le bonhomme est sacrément en manque de couteaux plantés depuis quarante ans mais tout de même...). En plus, David Gordon Green a beau filmer de chouettes mises à mort, on ne ressent jamais la brutalité de leurs impacts à l'écran, on ne réclamait pas de la sauvagerie à la Rob Zombie pour autant, attention, mais, ici, il y a un vrai problème pour traduire visuellement la violence qui habite Myers.
    Autre problème qui empêche "Halloween" de réellement nous captiver : ses nouveaux personnages. Les descendantes Strode ne font guère grand chose pour nous passionner entre une mère définie uniquement par son opposition à Laurie et une fille (ainsi que toute sa bande de copains) par ses déboires sentimentaux d'adolescente. Sur ce dernier point, on pourra nous rétorquer que les jeunes du film de 1978 n'étaient pas non plus très épais en terme d'écriture, cela est vrai, mais les canons de 2018 en ce domaine ne sont de toute évidence plus les mêmes, les personnages/potentielles victimes de slasher ont depuis souvent dépassé(e)s en intelligence leurs stéréotypes nés avec le genre. Bien entendu, cette suite veut s'inscrire dans la lignée de son prédécesseur sur de multiples références, seulement, sur ce plan, cela pose un vrai problème pour nous attacher un minimum à tous ces nouveaux venus, sans compter ces temps morts qui s'attardent sur des moments trop futiles de leurs petites existences.
    Enfin, il y a justement ce souci de suite référencée, David Gordon Green en fait trop, beaucoup trop... La ligne scénaristique, quelques clins d'oeil de mise en scène et autres easter eggs auraient suffit mais non, Green décalque absolument tous les passages cultes du "Halloween" de Carpenter (le fantôme, la main à travers la porte, le balcon, ... même la petite-fille Strode est assise à la place de sa grand-mère en classe) jusqu'à ce qu'on n'en puisse plus. Tout est très souvent fait à l'inverse des personnages de Laurie et Michael du premier film pour bien nous montrer que les rapports de force sont désormais différents mais à quoi bon en répéter autant ?...

    Bon, cet "Halloween" 2018 tente tout de même quelques nouvelles choses, soyons honnêtes, comme, par exemple, ce twist pas si bête sur un personnage qui renvoie forcément à son équivalent du film originel. On pourrait y voir une sorte de doppelganger à ce qu'aurait pu devenir ce dernier s'il avait suivi le même chemin, perdu dans les ténèbres que représente Michael Myers. Hélas, là où il y aurait pu avoir un chouette effet de miroir sujet à réflexion, encore une fois : rien. Ce rebondissement s'avère aussi inutile que sous-exploité (voire stupide) et ne sert en gros qu'à précipiter l'affrontement final...
    D'ailleurs, quant à parler de ce dernier acte... On l'attendait au tournant ce climax, lui-même seul raison de vivre de ces deux protagonistes principaux, et voir le clan Strode faire face aux assauts de Michael Myers était à lui tout seul l'argument de vente le plus alléchant du film. Eh bien, vous risquez de tomber de haut, le suspense est bien entendu plus présent que dans tout le reste mais, hormis le fait de voir enfin les (quelques) pièges amusants de la maison de Laurie en fonction pour tenir tête au tueur, rien de transcendant à signaler... à part si un trop grand stock de mannequins vous effraie terriblement (la scène avec la petite-fille parmi eux est... comment dire... gênante ?). Pire, quand le duel se pare enfin d'un peu de folie et que l'on se met à y croire vraiment.... rideau, cela se termine avec une fin expédiée à la vitesse de l'éclair, nous laissant ruminer toute notre frustration pendant le générique de fin.

    On nous avait promis un tel choc des titans entre Laurie Strode et Michael Myers quarante ans après leur premier tango tâché de sang que le goût amer de la déception ne peut que se faire sentir. Ça n'enlève rien aux quelques qualités du film et à la prestation d'une Jamie Lee Curtis parfaite de bout en bout qui nous font avaler la pillule mais, bon sang, nos espérances étaient si grandes face à un résultat si maigre.
    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    45 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 novembre 2018
    Nul. Je n'aime pas être trop négatif sur les films d'horreur car je sais que le cahier des charges imposé rend l'entreprise particulièrement difficile, mais là non. Pas le moindre frémissement du début d'un moment de tension. Dans un film d'horreur! Pire: on se barbe. Rien ne marche. Tout a été vu mille fois. Tout est absolument archi-prévisible. Chaque scène a déjà été vue. Tous les poncifs sont là, comme d'habitude on va dire, mais tellement outranciers que ça en devient souvent risible. La seule chose réussie dans ce navet est le superbe générique de début avec la citrouille qui se gonfle au son de la célèbre musique: passé ça, tout est raté, l'écriture est à rebours du bon sens, la réalisation franchement datée, les interactions sans intérêt, les personnages clichés... J'ai vraiment failli partir en cours de route, et ça c'est rare. A éviter.
    Caine78
    Caine78

    6 675 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 décembre 2018
    Même si l'intérêt de la saga « Halloween » s'arrête pour moi quasiment au premier volet, j'avoue que ce retour de Laurie Strode quarante ans après, faisant le choix de ne prendre en compte aucune des suites réalisées entre-temps, je trouvais ça plutôt cool. Revenir à quelque chose de primal, basique mais bien dans l'esprit originel, franchement ouais ! Malheureusement, si la très bonne scène d'introduction (clairement la meilleure!) m'avait donné quelque espoir, j'en suis vite revenu. Je ne dis pas : David Gordon Green fait correctement le taf, quelques plans savent créer l'illusion, notamment lorsque la caméra colle au plus près des meurtres. De plus, pas de tentative d'humaniser Michael Myers ou de le comprendre : juste un gros psychopathe à la force surhumaine dont personne ne parviendra à percer le secret en faisant l'être maléfique qu'il est. Sans oublier le plaisir de revoir Jamie Lee Curtis, toujours bon pied bon œil dans le rôle qui aura probablement influencé toute sa carrière, pour le meilleur et pour le pire, ni celui de John Carpenter à la bande-originale, atout indéniable pour l'ambiance sonore. Seulement, si l'efficacité est un minimum au rendez-vous, ce dernier volet (qui ne le sera sûrement pas, du coup, vu son succès) n'apporte vraiment pas grand-chose. Nouveaux protagonistes d'un intérêt souvent mineur, suspense relatif, violence efficace sans plus… Même si le scénario prend un minimum la peine de moderniser le propos et de présenter une nouvelle situation familiale pour Laurie, c'est trop peu pour espérer un vrai renouvellement, bien peu de surprises étant à prévoir. Alors oui, c'est « Halloween », difficile de se renouveler sur un thème aussi basique, d'accord. Mais bon, hormis l'aspect financier, personne n'oblige non plus les producteurs à mettre tous les cinq ans un nouveau film en chantier ! Maintenant, cela a fonctionné, tant mieux pour Jason Blum, producteur décidément très avisé, d'autant qu'il y a bien pire que ce nouvel épisode, ayant au moins le mérite de faire un minimum le boulot et de renouer convenablement avec ses origines. Insuffisant toutefois pour réellement justifier le déplacement : définitivement, « Halloween », pour moi, c'est John Carpenter en 1977, point barre.
    Mathieu Dumont-Roty
    Mathieu Dumont-Roty

    40 abonnés 988 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 décembre 2018
    Michael Meyers est de retour et il zigouille à tour de bras dans ce reboot manquant de saveur et d’originalité
    Les meilleurs films de tous les temps
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